Il est dix huit heures quand la mini Austin se gare dans l’allée du garage.
-C’est elle, se réjouit Cassandre, ma cops. Ma chérie, enfin, depuis le temps.
Ange, une superbe métis de l’âge de Cassandre, sort de la voiture. Minijupe, chemisier bleu, et veste blanche. Un vrai mannequin.
-Cassandre, dans mes bras, vite. Moi aussi il me tardait de te voir. Cyril, çà va?
Cyril s’avance pour accueillir Ange.
-Cassandre a eu de la chance de te rencontrer, dit-elle.
Si çà avait pu être moi.
-Et toi, répond Cyril, toujours aussi belle.
-Viens, dit Cassandre, je vais te montrer ta chambre. Cyril, tu prends ses affaires?
-quel mari adorable tu as, dit Ange.
-C’est vrai, répond Cassandre. Demain, c’est son anniversaire, on va lui faire une petite surprise.
Vers vingt heures, le trio passe à table.
-Je peux coucher avec ma copine, demande Cassandre à Cyril.
on a tant de choses à se dire.
-Mais bien sur, répond-il, j’aurai le lit que pour moi.
Une fois dans la chambre, les deux femmes se déshabillent, et se jettent sur le lit.
Les langues sont de suite en action, nouées entre elles.
-Il y a si longtemps, murmure Cassandre. je commençais à désespérer.
-On va bien s’amuser, répond Ange.
Les deux copines s’enlacent, jusqu’à ce que les mains partent à la recherche des parties intimes elles se caressent les seins, se mordent les bouts.
Les clitoris sont décalottés, les chattes doigtées.
Qui va lâcher la première.
C’est Cassandre.
Elle se met sur le dos, reins cambrés. Elle s’abandonne aux caresses de son amie.
-Ha..ha..ha..ha.., gémit-elle, c’est trop bon, vas y ma chérie, comme tu joue avec ma fente, comme tu me chatte, salope, tu me fais mouillée. Comme au lycée, je peux pas te résister quand tu me gouine, oui..oui.
-Tu aimes quand je te doigte, hein? Dit Ange. Je te paralyse quand je te prend par ton bouton. Allez, à toi maintenant.
Au bout d’un quart d’heure, c’est Cassandre qui arrive à faire crier sa copine.
Epuisées, les deux femmes s’endorment dans les bras l’une de l’autre.
Il est huit heure quand Cyril arrive sur la terrasse. Juste quand Ange sort de la piscine, seins nus, les bouts durcit par la fraicheur de l’eau.
-Tu peux me passer une serviette, s’il te plait, lui demande-t-elle.
Cyril se précipite.
-"Putain, elle va me faire péter un plomb" pense-t-il.
Cassandre le rejoint et le prend par la taille.
-Tu te la taperas bien, sourit Cassandre, tu as vu comme elle est belle.
-Si elle est belle, répond Cyril.
-Et si je t’offrais une nuit avec elle, çà te ferais un beau cadeau d’anniversaire. Elle dirai pas non. Elle en pince un peu pour toi.
-Ce serai trop beau, dit Cyril, mais je te ferai jamais un coup comme çà.
-Que je t’aime mon amour. Un verre pour tout le monde?
Demande Cassandre.
Ange finit de s’habiller, et rejoint le couple.
-Bon anniversaire mon chéri, dit Cassandre en le prenant à pleine bouche.
Ange en fait de même, aux bords des lèvres.
-Merci, répond Cyril, c’est gentil.
Après une journée d’achats, ils se retrouvent autour d’un repas. Le diner, plutôt arrosé, se termine vers vingt trois heure.
-Allez, dit Cassandre, va m’attendre au lit, on a un anniversaire à fêter. Laisse la lumière éteinte.
Demi-heure après, Cassandre le rejoint, et se glisse dans le lit.
-Tu vas passer une nuit de folie, mon chéri.
Elle est toute nue. Les mains de Cyril parcourent le corps magnifique de sa femme. Elle l’embrasse sauvagement.
D’un coup, il sent son sexe pris par une main. Il éclaire la lampe de chevet. C’est Ange qui le prend en bouche.
-Mais, Cassandre, tu es folle.
-Chut, mon amour, laisse toi faire. tu aimes pas?
Le gland entièrement décalotté, est pris à coup de langues.
Cyril s’abandonne.
D’un doigt, il caresse le clitoris de sa femme. Le corps de la copine n’a rien à envier à celui de Cassandre.
Ange stoppe sa fellation, et place sa chatte sur la queue de Cyril, et s’y empale dessus, dos à lui, pour mieux se faire caresser.
Cassandre, elle, s’attaque au clitoris de sa copine. Elle le dégage du capuchon.
La respiration d’Ange s’accélère, elle commence à râler.
-Bande de vicieux, gémit-elle, comme vous abusez de moi.
Vous me baisez, vous me doigtez, c’est du viol.
-Tu vas voir comme tu vas jouir, poursuit Cyril. Tu sens comme ma queue te lime la chatte, hein?
-Tu mouille salope, ajoute Cassandre.
-Oh putain, quel baiseur, hurle Ange, tu es un super coup au lit, ha..ha.oui..ouii Cassandre viens aussi. Les deux femmes ont un orgasme en même temps. Ange prend les lèvres de sa copine. Elle se retourne et se met à genoux.
-Prend moi en levrette, demande-t-elle à Cyril. Il faut que je t’use.
Cyril, toujours en érection, s’avance et la pénètre.
Cassandre place sa chatte devant la bouche de sa copine.
-Vas-y, suce-moi le clito.
Mais Ange se fait tellement niquer, qu’elle commence à donner des signes de faiblesses.
Dans un sursaut d’orgueil, elle lance ses deux bras en arrière, et s’agrippe à la nuque de Cyril.
Elle est totalement offerte, seins et clitoris à porté de main de Cassandre, qui n’en demandaient pas tant.
Ange ne résiste plus, et s’écroule sur Cassandre.
L’orgasme est fort, très fort, elle hurle de plaisir.
-Assez, assez, supplie-t-elle, je te hais salaud. ha..ha..
Cassandre, si tu savais comme il se vide dans ma chatte.
Il s’arrête plus, vas-y, fais toi plaisir mon chéri.
Cyril s’écroule sur le lit, lui aussi épuisé.
-Quel amant, soupire Ange, quelle chance tu as ma chérie.
Je te l’est un peu volé cette nuit.
-Mais je l’ai tout les jours, répond Cassandre.
-Allez mes chéries, je vais m’allonger un peu.
Les deux femmes s’assoupissent.
Voilà, Ange est sur le départ.
-Merci pour tout ma chérie, dit Ange, tu veux que je mène mon frère la prochaine fois.
-Non, répond Cassandre, c’est gentil, mais mon mari me suffit. Mais toi, s’il te plait, passe me voir, tu me rends tellement heureuse.
Ange s’avance et prend Cyril à pleine bouche. Il essaie de la repousser.
-Laisse toi faire, sourit Cassandre, tu l’a baisée toute la nuit, tu ne vas pas la laisser partir comme çà.
-Cassandre est merveilleuse, dit Ange, même au lit. Merci pour tout. Je vais certainement venir m’installer dans le coin, on aura l’occasion de remettre çà.
Il y a des soirées qui s’annoncent chaudes.