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Inceste et zoophilie à la ferme – Chapitre 12




INCESTE ET ZOOPHILIE A LA FERME 12

Après la journée que nous venions de passer chez le fermier, et comme Sonia me la demandé, je la rejoins dans la grange alors que tout le monde dort ; la ferme est endormie, il ny a aucun bruit. Seuls les animaux dans leurs boxes nous rappellent que nous sommes dans une étable…

La belle est bien là, assise sur des bottes de paille en train de se caresser, les cuisses grandes ouvertes et légèrement relevées ; sa petite culotte est à ses pieds. Elle me sourit. Je mapproche, et lembrasse sur ses lèvres légèrement humides.

« Quest ce quelle est désirable » pensai-je en mappropriant ce corps qui ne demande quà connaître le plaisir.

Je passe mes mains sous son pull pour retrouver sa petite mais très ferme poitrine qui, elle aussi, est nue sous le vêtement et qui réagit à mes attouchements.

Comme vous vous en doutez, jai très envie delle Après lavoir caressée durant un long moment, je lui ai bien sûr fait lamour. Puis, étendus dans la paille, nous avons discuté. En me faisant venir ce soir, je savais quelle avait quelque chose à me dire.

Je vais me marier, me dit-elle en baissant la tête.

Ah bon ? Et avec qui ? lui demandai-je, pensant que cétait une plaisanterie, car je ne lui connais aucun amoureux.

Avec Paul, me dit Sonia. Paul est le fils du voisin Henri ; très vaillant, mais un peu porté sur la bouteille, il nest pas très porté sur les filles. De plus, ce nest pas du tout le style de ma cousine.

Elle me raconte que lors dune soirée assez arrosée à loccasion dune fête, Henri et mon père en avaient décidé ainsi, pour une histoire de prés qui seraient cédés à ma famille si cette union se faisait, car Paul est fils unique.

Mon père était assez intéressé, mais la vérité est toute autre

Sonia me raconte comment et pourquoi cette union, qui apparemment ne la contrarie pas trop, a été décidée :

Il y a deux hivers, quand lépidémie de grippe a sévi, mon père, ma mère et ma sur étaient au lit avec quarante de fièvre ; jétais la seule valide pour faire fonctionner la ferme. Fort heureusement, lentraide a bien fonctionné : les voisins sont venus pour traire les vaches et distribuer le fourrage. Moi, je moccupais surtout de faire téter les veaux.

Ce soir-là, jétais assez en retard ; rien ne marchait comme je le souhaitais et, comme les étables sont mitoyennes, le voisin « Henri », voyant lheure tardive et la lumière encore allumée, est venu maider et me donner des conseils.

Tout en mexpliquant comment faire, le bonhomme qui a sensiblement le même âge que mon père narrêtait pas de parler ; à un moment, jai senti une de ses grandes mains me masser le dos, puis il est très rapidement descendu vers le haut de mes fesses.

Cet homme grand et de forte corpulence dirige sa ferme ; son fils et sa femme sont à ses pieds et nont pas droit à la parole.

Je nosais pas le repousser car sa présence et surtout sa force me permettaient davancer plus vite.

Tout en discutant, ses mains sont passées sous mon pull et se sont mises à caresser ma petite poitrine ; lautre main a écarté mes cuisses et sest introduite dans ma petite culotte qui était déjà humide, ce qui la encouragé à aller plus loin.

Il a massé mon minou pendant un bon moment ; je sentais que je coulais sous ses caresses. Il membrassait dans le cou ; je sentais son souffle dans mon cou. Il ma demandé si jaimais.

Je ne répondais pas, ressentant un certain bien-être : ma respiration sétait accélérée, javais chaud, et ma tête commençait à tourner tandis que mon corps tremblait légèrement.

Lhomme dune quarantaine dannées saperçut très vite de mon émoi, et que ce quil me faisait ne me laissait pas indifférente. Il sétait sûrement dit que ce soir la petite voisine était bonne à faire.

Il sortit son sexe, pas très long mais assez gros, noueux et tout violacé ; il me demanda de le caresser avec ma main puis, lapprochant de mes lèvres, me demanda de le sucer. Devant une telle bite, je ne pus que la lécher ; il ninsista pas.

Oui, avec mes voisins et copains, nous jouions à « touche-pipi » depuis belle lurette ; les garçons aimaient bien mettre leurs mains dans ma culotte et dans celles de mes voisines, ce qui mexcitait.

Je les avais sucés bien des fois en avalant leur sperme, sans aller plus loin ; mais ce soir, cet homme qui aurait pu être mon père, se sentant en position favorable, en voulait bien plus

Je nosais pas le repousser ; dailleurs, est-ce que jen avais envie ? Sincèrement, non : cet homme mavait déjà envoûtée ; je me sentais bien en sa compagnie et dans ses bras.

Il me souleva et me positionna sur une botte de paille ; il fit descendre mon slip et écarta mes cuisses, puis il fit coulisser lentement un doigt dans mon abricot tout gluant de mouille tout en me faisant transpirer et émettre quelques gloussements qui en disaient long sur mon état dexcitation.

Il me dit sûrement pour me rassurer que lannée dernière, cest lui qui avait dépucelé ma sur aînée lors de la fête des vendanges ; elle me lavait bien dit, mais navait pas voulu me dire avec qui.

Jétais en partie réconfortée car, pour une première fois, cet homme mûr devait savoir y faire avec les femmes

Quand il me sentit prête, il approcha son énorme queue de mon entrecuisse bien ouvert ; écartant mes lèvres, il frotta sa tige toute congestionnée en me regardant dans les yeux ; devant mon regard perdu et craintif, il me dit de ne pas avoir peur, que tout allait bien se passer.

Métant positionnée sur les coudes, je ne disais rien : je regardais son membre. Je lui ai juste dit de faire doucement. Lentement, il senfonça en moi, puis poussa un peu plus fort ; je sentis comme craquement dans mon ventre.

Il continuait de progresser en me regardant dans les yeux ; je grimaçais légèrement car la bête avait des difficultés pour se frayer un passage dans mon ventre de pucelle.

Quand il fut bien planté en moi, il ne bougea plus et me regarda avec un petit sourire qui en disait long : « encore une que jai mise au bout de ma pique » devait-il se dire.

Puis il se mit à bouger en me ramonant par de puissants va-et-vient ; je criais et gesticulais ; javais un peu mal, mais je sentais surtout le plaisir monter en moi.

Après mavoir tringlée pendant une bonne dizaine de minutes, il éjacula en longs jets dans mon ventre en me demandant si je prenais la pilule. Devant mon hochement de tête, il se mit à sourire et membrassa.

Depuis ce jour, nous avons bien souvent recommencé ; dans la grange, dans le pailler, dans les maïs : toutes les occasions sont bonnes pour quil me caresse et me saute.

Nous sommes toujours amants ; il veut que je me marie avec son fils pour mavoir toujours auprès de lui car, dit-il, il ne peut plus se passer de moi. Jai su dernièrement par ma mère que sa femme lui avait raconté quil ne la touchait plus depuis bien longtemps ; je nai rien dit, mais je me suis sentie un peu coupable.

La mignonne ma aussi dit quelle gérait la situation ; tout ce quelle souhaitait et lui demandait, elle lobtenait : lhomme avait de nombreux biens et savait en faire profiter la petite.

Certains voisins et voisines jaloux, qui les avaient surpris en fâcheuse posture, nhésitaient pas à jaser sur leur relation.

Après ce que la blondinette venait de me dire, jétais abasourdi ; elle me regarda en souriant puis, en membrassant, elle me dit que pour nous deux rien ne serait changé.

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