Je réalise petit à petit ce qui vient de se passer, nous avons enchaîné tout cela avec une passion intense et un naturel déroutant. Je viens de sucer Louis, un de mes plus proches amis.
Finalement, la fatigue de la soirée et la descente de l’alcool nous ont achevés et nous avons fini par tomber de sommeil, dans cette position, moi contre son corps chaud et ses bras réconfortants autour de moi.
Le réveil fut difficile et il est rentré chez lui en me promettant qu’il m’inviterait la semaine suivante. Nous n’avons pas spécialement reparlé de cette nuit-là. Je pense qu’on est juste restés choqués.
Vendredi soir, je me pose enfin dans mon lit quand mon téléphone sonne. Louis appelle.
– Coucou
– Je te dérange ? Tu fais quoi ?
– Non non, je viens de me poser dans mon lit et toi ?
– Ça te dit, je passe te chercher et on va regarder un épisode chez moi ?
– Oh Louis, je suis crevée, pas ce soiiiiiir.
– Je suis en voiture là, j’arrive dans 5 min
Il a raccroché avant que je puisse contester. Je décide de rester en pyjama, lingerie en dentelle blanche, short gris et pull noir.
Lorsque je monte dans sa voiture, je sens directement son odeur, j’aime tant son odeur, tous mes sens se mettent en marche et je suis déjà perdue et excitée.
– Tu vas bien ?
– Oh oui, je suis juste un peu fatiguée.
– Promis, un épisode et je te ramène.
Le trajet est rapide, on arrive dans sa chambre, je me sens gênée, mais l’atmosphère s’apaise quand la lumière s’éteint, que l’épisode commence et que je suis blottie contre lui sous la couette. Encore une fois, c’est naturel.
Quand l’épisode se termine, que le prochain s’annonce, il pose sa main sur ma joue et dépose ses lèvres sur les miennes. Son contact m’électrise, ses lèvres sont douces et délicates. Mais j’en veux plus, je veux son corps.
– Tu m’avais manqué Léa, tes lèvres aussi.
Sans répondre, je me jette sur lui, embrasse et mordille ses lèvres. Nos corps se frottent l’un contre l’autre, c’est sauvage, intense. Je descends sur son corps avec mes lèvres. Je me retrouve à embrasser son caleçon en le regardant dans les yeux, avec l’épisode en tant que fond sonore. Je lèche doucement son gland avant de le prendre dans ma bouche et je commence à le sucer. J’alterne avec ma main et ma bouche pour lui donner un maximum de plaisir. J’humidifie bien son membre avec ma langue de haut en bas.
Je sens son regard sur moi et ça me donne envie de plus.
J’aime tant le goût de sa queue, je le suce de plus en plus vite avant de le placer entre mes gros seins libérés.
Je vois son expression choquée et sa queue semble trembler d’impatience et d’excitation.
Je le branle avec mes seins doucement, puis j’accélère avant de le reprendre au fond de ma gorge pour récolter son sperme chaud.
Cette fois, je n’ai pas le temps de rétorquer ; il me jette sur le lit pour bouffer mes tétons et palper mes gros seins. Je me sens déjà tout humide. Il passe sa main sur ma culotte et sent déjà l’humidité.
– Ça te réussit le sexe sans sentiment apparemment
– Surtout avec toi
– Je ne vais pas te lâcher cette fois ma belle
– Je ne compte aller nulle part, tu sais
Il s’empara de mes lèvres tout en continuant de caresser mes tétons, il les titille, les fait rouler entre ses doigts et les mordille. Je gémis doucement, me cambrant sous ses caresses et ses mains expertes qui me font frissonner. Il insère un doigt dans ma chatte toute mouillée et je gémis encore plus. Je passe une main entre nous et je commence à branler sa queue redevenue toute dure.
– Tu m’excites tellement Louis, mais je vois que c’est réciproque
– Tu ne te rends pas compte du nombre de fois où j’ai pensé à toi et rêvé de ce moment Léa.
Il plonge sa tête entre mes seins et les mordille en titillant mon clito avec son gland. Je veux qu’il me prenne, maintenant, sur son lit.
– Prends-moi Louis
– A tes ordres princesse
A ces mots, il me pénétra doucement en me regardant dans les yeux. Je ne saurai pas dire si c’était vraiment du sexe sans sentiment. Il y avait quelque chose dans son regard, une autre étincelle différente de celle du désir charnel.
Il accéléra de plus belle, je me mordillais les lèvres et il reprit ce rôle par la suite. Il caressa mes cheveux, en s’enfonçant durement en moi comme s’il ne voulait jamais en sortir. Puis il prit possession de mon cou, en l’embrassant, le mordillant et aspirant ma peau. Je gémissais de plus belle et j’en voulais toujours plus.
Je passais rapidement à quatre pattes pour étouffer mes gémissements dans son oreiller, avec son odeur…
Il me donna quelques fessées, et faisait de longs va-et-vient avec sa queue en moi. J’adorais vraiment ça, j’avais envie de jouir, mais de tenir en même temps.
Moi-même je bougeais mon bassin pour que ça aille plus vite, que ce soit plus intense. Et dans un dernier coup de reins après une belle accélération, on jouit simultanément dans un râle commun.
Je gémissais son prénom et lui le mien. C’était si bon de se sentir remplie, de sentir sa chaleur et son odeur.
Il s’écroula sur moi avant de se décaler pour se recaler dans le lit. Il avait éteint la télé, le noir total, on s’est blotti l’un contre l’autre.
– Merci Louis
– Merci à toi ma belle