Ceci est mon premier texte sur ce site, que je trouve vraiment bien fait! Merci de me lire!
Aujourd’hui, mon meilleur ami s’est fait larguer. J’ai toujours pensé que c’était une pétasse finie, mais je n’en ai jamais rien dit. Du coup, il est chez moi, histoire de pleurnicher un peu.
Tant mieux, c’est moi qui le récupère. J’ai toujours fantasmé sur lui. Il est du genre fin, mais musclé, les cheveux sombres et des yeux verts, une bouche bien dessiné et je ne parle pas de sa chute de rein…
Bref, je me suis toujours retenu de le coincer dans un coin et de lui sauter dessus. Dur de s’y résoudre lorsqu’il est en ce moment même contre mon épaule, à me dire que je suis le seul qui le comprenne vraiment.
J’ai mon bras autour de ses épaules. Il a un T-shirt noir, un peu flottant et je ne sais que trop bien que dessous se cachent de forts beaux abdos ! Une torture.
Mine de rien, ma main se glisse sur sa taille, qu’il a fine, comme j’aime. Je lui caresse le flanc, lui répétant que ce n’est pas lui qui est en tort et qu’elle ne sait pas ce qu’elle perd. Lui se calme un peu, mais reste contre moi. Je commence à bander et j’espère qu’il ne le voit pas. C’est un tentateur; il a toujours été très tactile, créant sans gène, sans arrière-pensée aucune une certaine proximité physique avec moi. Je ne m’en suis jamais plaint, pour ne pas attirer l’attention dessus et aussi parce que ça me plaît, il faut bien l’avouer.
Ses cheveux me chatouillent le visage et j’ai de plus en plus de mal à me retenir. Surtout qu’en ce moment, je suis un peu frustré. Bon, trop tard… Je n’ai même pas senti ma bouche se poser sur sa tempe.
Impossible de m’en décoller. J’embrasse doucement la peau et descends sur sa joue, tout en passant mon deuxième bras autour de lui. Merde, tous ces mois à réfréner mes ardeurs viennent de partir en fumée.
-Qu’est-ce que tu fais?
Je pose ma bouche sur la sienne en réponse. Il se laisse faire, surpris, mais ne semble pas fâché. Je me recule, il a l’air un peu perdu. J’enfouis mon visage dans son cou. Je craque.
-Tu me plais. J’ai toujours eu envie de toi.
Il ne répond pas, reste interdit quelques instants.
-Tu m’as jamais dit que t’étais gay, remarque-t-il.
Il dépose sa main sur mon épaule et hésite un peu.
-J’ai jamais… enfin, tu le sais.
-T’as envie?
Inutile de dire que je ne m’y attendais pas trop. Il hoche la tête d’un mouvement à peine perceptible. Je ne me le fais pas dire deux fois, je l’embrasse à pleine bouche. Je le sens se tendre, mais il finit par se laisser aller à me répondre. J’en profite pour glisser une main sur son ventre, caressant à travers le tissu. Main qui se glisse très vite dans son pantalon. Je sens son membre encore à moitié dur à travers le tissu de son caleçon et je commence à le branler doucement. Il se cambre contre ma main, me dégageant l’accès pour enlever ses vêtements. Ça me plaît tiens, qu’il soit nu alors que je suis encore entièrement habillé.
Il semble un peu gêné, alors que je l’admire. Enfin, il est à moi!
Je pose un baiser sur sa clavicule et descends doucement. Il s’allonge, détournant la tête, la respiration saccadée. Je prends son membre en main. Il est beau, long et large. Je passe un coup de langue dessus,ce qui a pour effet de le faire frissonner. Je joue avec lui, je fais durer. Il gémit.
-T’exagères…
Je le fais glisser entièrement dans ma bouche, tellement que j’en ai les larmes aux yeux. Il hoquette, refermant une main sur mes cheveux.
-Oh…Comment tu fais ça?
J’amorce un mouvement de va et vient et il rejette la tête en arrière, haletant.
-C’est bon…
Je passe doucement une main sur son cul, aussi ferme que je l’imaginais. Il se laisse faire, peut-être accaparé par les sensations de la fellation. De l’autre main, je masse ses testicules. Il a l’air d’apprécier. J’accélère, lui dévorant littéralement la bite.
-Oh…putain…Attends je…
Il jouit brusquement, mais je reste, avalant avec joie. Je sens sa queue émettre encore quelques spasmes et je lèche le liquide restant. Je profite qu’il soit encore sonné pour l’embrasser, lui faisant goûter son sperme. Il répond avec force et enroule ses bras autour de mon cou. Je crois que j’ai gagné le droit d’aller plus loin!
Il regarde ma queue, toujours compressée dans mon jean et fait mine d’y poser la main. Je l’en empêche en le rallongeant
.
-Laisse-toi faire pour cette fois.
Je n’attends pas, et reprends l’exploration de son corps. Je fais glisser mes mains partout et l’embrasse à chaque endroit atteignable. Je suçote un téton dur, le faisant soupirer. Je l’invite à se retourner d’une pression de la main et il s’exécute, m’offrant une vue à couper le souffle sur son postérieur. Je passe les deux mains dessus et je le sens se cambrer. Je passe un doigt sur son anus. Il a un mouvement de recul,
mais se détend ensuite.
-Heu…vas-y doucement hein?
-T’inquiète.
Je remplace mon doigt par ma langue, le faisant gémir à nouveau. Il est serré, mais je parviens finalement à y mettre deux doigts, cherchant son point sensible. Il finit par pousser un petit cri suivi d’un râle en se contractant sur mes doigts. Je souris. Je l’ai.
-C’est bon?
Une réponse incompréhensible franchit ses lèvres et je me retiens de le pénétrer sur le champ. Un peu de lubrifiant, c’est sa première fois, soyons gentils, les autres fois, s’il y en a, ma foi, on verra… Je le replace sur le dos, les genoux sur mes hanches. Il semble stressé d’un coup, mais est toujours aussi excité, d’après ce que je vois étalé sur son ventre. Je garde une main dessus, faisant quelques cercles du pouce sur le gland. Quelques gouttes transparentes dévalent le long de la hampe. Je me place à son entrée, le regardant droit dans les yeux. Il se mord la lèvre inférieure, dans un geste que je lui ai toujours trouvé particulièrement sexy. Il grimace un peu au début, émet un gémissement de douleur après, finit par s’accrocher à moi. Je ne bouge plus, le temps qu’il se fasse à ma présence. Puis, lentement je commence à bouger. Il a mal, je le vois bien. Je me fais pardonner en le branlant en même temps. Je touche sa prostate, il se tend soudainement, ouvrant la bouche dans un cri silencieux.
-Ah, oui, là.
Je ne me retiens plus. Je m’enfonce violemment en lui, sensible à ses gémissement près de mon oreille. Il murmure mon prénom, ce qui me fait frémir.
-Attends, doucement…
Je ne l’écoute pas. Je sais ce que c’est. Il va jouir. Je l’embrasse, alors qu’il se resserre autour de moi, éjaculant abondamment sur son ventre. Quelques coups de rein supplémentaires et je jouis à mon tour, en lui. Il regarde en direction de ma queue, que je retire. On reprend notre respiration, pendant que j’observe mon sperme s’écouler lentement de son anus. Il est gêné, un peu confus je crois. Je le serre contre moi.
-Ça va mieux?
Il sourit, m’embrasse.
-Je savais que je pouvais compter sur toi.