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La mère de ma copine Elodie – Chapitre 8




Salut c’est votre folle de lycra.

Ce samedi nous venions de fêter nos fiançailles avec Élodie, contre toute attente je m’étais retrouvé avec Christiane, une collègue de Geneviève, qui m’avait fait une turlutte mémorable. Cette collègue avait trouvé le moyen de s’arranger pour rester dormir sous notre toit, en l’occurrence celui de Geneviève Élodie et moi. Bien évidemment, à mes yeux, tout était manigancé. C’est ainsi qu’au moment de me coucher avec ma fiancée, cette dernière a prétexté de besoin d’aller causer avec sa mère pour me laisser tout seul dans notre chambre, c’est à ce moment-là que Christiane est apparue. Bien évidemment j’étais en douce longue nuisette et Christiane avait à peu près la même parure que moi. Ma masculinité venait d’en prendre un grand coup, mais je pense qu’elle était au courant depuis longtemps en causant avec belle-maman. Quand je l’ai vue arriver, je me suis précipité sous les draps tant j’étais mal à l’aise dans cette tenue devant cette inconnue. La gêne était énorme de mon côté, mais en même temps j’avais une érection impressionnante qui n’arrivait pas à être dissimulée par la couette.

Quand elle est montée sur le lit, qu’elle a rampé sur la couette pour arriver à ma hauteur, j’ai réalisé que cette femme qui avait facilement trente-cinq ans de plus que moi, m’excitait au plus haut point. J’étais conscient, que dans quelques instants j’allais l’embrasser de nouveau, qu’elle allait me sauter dessus et que cela finirait évidemment par une pénétration. Quand je vois la synchronisation qu’il y a eue entre le départ de ma fiancée et l’arrivée de Christiane, il était évident qu’elles étaient de mèche. En gros ma fiancée était en train de m’offrir à une collègue de sa mère, était-ce pour me faire plaisir à moi ou pour faire plaisir à la collègue de sa mère. Son parfum était en train d’envahir mes narines, il me faisait déjà tourner la tête de désir, d’envie, peut-être même de résignation. Quelques minutes ont passé avant que mes lèvres se retrouvent connectées aux siennes et quelques secondes suffirent pour que sa langue vienne prendre possession de ma cavité buccale.

— Ne t’inquiète pas mon chéri, nous avons toute la nuit si tu le désires.

— Ton sexe plaît énormément à ma collègue et pour l’avoir sucé tout à l’heure, j’en ai moi aussi une énorme envie, au fond de moi maintenant.

Cela avait le mérite d’être clair, Christiane voulait que l’on s’envoie en l’air tous les deux, avec l’aval de ma fiancée et de ma belle-mère. J’ai été encore un peu réticent, avant qu’elle ne vienne se glisser sous les draps et se coller à moi. Elle s’est rapidement débarrassée de sa longue nuisette, et elle m’a fait savoir qu’elle préférait que je garde la mienne ça l’excitait de me voir ainsi vêtu. Maintenant pendant qu’elle m’embrassait, elle me caressait le corps mais s’attardait plus souvent sur mon sexe. Je peux vous dire qu’une douce main féminine, en train de caresser un sexe emballé dans une nuisette en viscose c’est le summum au niveau sensations. Puis elle a disparu sous la couette, cela me faisait trop envie, car d’habitude c’est Élodie qui le faisait, et j’adorais ça. Je n’avais pas vraiment de doute quant à sa destination sous les draps, il ne m’a fallu que quelques secondes pour confirmer mes soupçons. Elle venait de passer sous ma nuisette pour venir prendre en bouche mon sexe, en même temps qu’elle me suçait, j’avais le droit à un massage au niveau de ma raie culière.

Christiane savait faire bander un homme, et surtout lui faire donner le meilleur de lui-même entre ses jambes. Elle m’a carrément fait lever les cuisses pour aller me donner des coups de langue sur mon petit trou. Elle me faisait ça si bien que j’en arrivais à pousser de petits cris, pas vraiment masculins, quand elle me glissait son doigt dans le fondement. Au bout d’un quart d’heure d’un tel traitement, elle est revenue à la surface pour m’embrasser avec gourmandise mais surtout venir caresser son minou avec mon sexe. Je sentais partout la chaleur de son corps sur le mien, je pense même que j’arrivais à discerner la pointe de ses seins à peu près à la hauteur des miens. J’étais impressionné par la plastique de cette femme qui était quand même d’un âge avancé mais manifestement qui n’avait jamais pratiqué la chirurgie esthétique. En gros, bien qu’elle soit relativement âgée, cette femme était un bon coup. Pendant au moins dix minutes, elle s’est caressé toute la fente, de son clitoris jusqu’à son petit trou. C’était vraiment très agréable, régulièrement j’étais tenté de donner un coup de reins pour la pénétrer, mais elle me tenait fermement le sexe.

Au bout d’un certain temps, elle a cessé de m’exciter avec mon sexe et le sien, pour s’allonger et surtout m’inviter à descendre à la cave.

— Viens me brouter la figue ma cochonne.

— J’ai envie de voir si tu es aussi bon que ce que me dit Geneviève.

— Je veux constater par moi-même, comment tu te sers de ta langue sur mon abricot.

Depuis le temps qu’elle était sous les draps, l’odeur de sa cyprine m’était montée au nez, en plus de son parfum très envoûtant. En fait je mourais d’envie d’aller glisser ma langue sur sa toison intime, pour découvrir le goût de cette cyprine me faisait tant envie. Tout cela pour vous dire, que quand elle m’a invité à descendre, je ne me suis pas fait prier, mais bien évidemment j’ai fait une petite escale par sa poitrine, très sensible à mes baisers gourmands et coquins. En plus d’embrasser, ses seins, je les caressais, je les malaxais délicatement, j’essayais de les exciter comme je pouvais. A voir comment la pointe des tétons était érigée, je ne pouvais pas douter une seconde comme quoi ils étaient réceptifs à mes attentions. Plus le temps passait, plus les draps commençaient vraiment à sentir l’odeur intime de Christiane, c’était quand même paradoxal que dans un lit nuptial, si je puis dire, l’odeur d’une autre femme puisse, à ce point, s’imprégner.

Je culpabilisais, mais en même temps je me disais que c’étaient Élodie et Geneviève qui m’avaient envoyé dans les bras de Christiane. J’étais vraiment admiratif devant la plastique de cette femme qui devait facilement avoir trente-cinq ou quarante ans de plus que moi. Sans pour autant être un expert, je pense que par leur fermeté, par leur sensibilité, par leurs formes magnifiques, je pense que Christiane avait une poitrine digne d’une jeune fille post-adolescente. Je l’entendais maintenant soupirer et peut-être même un peu crier, à chacun de mes coups de langue, à chacune de mes caresses, sur cette partie si sensible de son corps. J’ai continué ma descente, qui contrairement à d’autres, ne me menait pas aux enfers, mais au paradis. Je me suis arrêté sur la dernière marche avant d’arriver à la cave, à savoir son nombril, bien évidemment à la même hauteur se trouvaient ses hanches et je ne me suis pas privé de m’y attarder. C’est ainsi que pendant que je commençais à lui bécoter le nud de son cordon ombilical, de mes mains je lui caressais ses parois on ne peut plus sensibles. Pour avoir eu l’occasion de la tester voilà quelques heures, au niveau de ses cuisses, je peux vous confirmer que sa peau était d’une douceur sans égale.

À chacun de mes petits coups de langue au niveau de son nombril, je la sentais sursauter de plaisir et de désir. Maintenant elle me tenait la tête, pour que je m’attarde à cet endroit, et que je continue de lui solliciter cet endroit à ce point réceptif. Après m’y être arrêté encore quelques instants, Christiane a décidé qu’il fallait que je franchisse la dernière marche menant au paradis des sensations. Ça y est, j’étais en train d’y arriver, j’ai commencé à sentir les poils de sa toison pubienne effleurer mon menton. L’odeur de cyprine qui s’en dégageait était croissante et intense, il n’y a pas à dire, je ne pouvais plus me passer de l’odeur du nectar intime d’une femme. Quand ce genre d’effluves me montaient à la tête, cela me mettait dans tous mes états et j’en voulais toujours plus. J’étais vraiment heureux de me trouver sous les draps à ce moment-là, car je respirais un concentré de femme, rien ne s’en allait. Maintenant ma langue était en train de se faufiler à la base de ses poils finement et proprement taillés, à la voir onduler, je pouvais en conclure que son corps n’attendait que ça.

Arrivée sur le point névralgique de la sensibilité féminine, ma langue a commencé à en reconnaître le moindre millimètre carré. J’essayais d’en estimer la sensibilité où que j’aille à la découverte, ses lèvres assez développées qui dissimulaient son joyau, étaient elles aussi très sensibles. Christiane tenait mon visage un peu plus fermement, j’avais l’impression qu’elle voulait orienter mes coups de langue. Je me suis laissé guider, et j’ai rapidement constaté qu’elle voulait que mes coups de langue viennent s’égarer sur son vagin. Là j’ai découvert la source de cyprine, j’ai été impressionné par la production de ce nectar, tout son entrejambe n’était pas humide mais mouillé, pire encore, le drap l’était tout autant. Maintenant, mes joues, mon menton, mon nez et même mes sourcils, étaient recouverts d’une fine pellicule de cyprine. Il était évident que quand j’allais sortir de sous les draps, j’allais sentir la femme, et pas n’importe laquelle, j’allais sentir Christiane.

Dorénavant, je donnais de grands coups de langue, comme pour essayer de nettoyer les méfaits d’une inondation, mais aussi pour tenter de récupérer un peu de confiture déposer sur les lèvres. À chaque fois que je passais en cet endroit qui donne la vie, je sentais Christiane donner un coup de reins, soupirer et appuyez sur mon visage. J’étais vraiment heureux de me sentir à ce point efficace, moi qui étais à ce point inexpérimenté, je donnais du plaisir à une femme qui avait dû voir de nombreux hommes avant ma naissance. À côté de cela j’avais une érection monstrueuse, car j’avais une énorme envie de la pénétrer et lui donner du plaisir avec autre chose que ma langue. Mais bon il ne fallait pas que je me déconcentre, elle réagissait de plus en plus fort à mes assauts linguaux. Il lui arrivait d’appuyer tellement fort sur ma tête que je n’arrivais plus à respirer, mais je continuai mon uvre en apnée.

Quand je me suis à nouveau un peu plus attardé sur son clitoris, il ne lui a fallu que quelques instants pour se mettre à crier et me serrer entre ses jambes, à m’en faire mal. Les cris qu’elle s’est mis à crier, ont sans nul doute été entendus par toutes les personnes dans la maison. Je suis resté encore quelques instants, contre sa volonté, à savourer son nectar mais surtout la sensibilité de son entrejambe. Ensuite elle m’a fait remonter à la surface de sous les draps, pour m’embrasser avec passion, mais surtout pour prendre possession de mon sexe, qu’elle a immédiatement fait la pénétrer, elle avait réussi à soulever l’avant de ma nuisette pour libérer l’accès à mon sexe en quelques secondes. L’opération s’est passée en moins d’une minute, ça y est je pénétrais Christiane pour mon plus grand plaisir. J’avais l’impression que Geneviève m’avait formaté pour faire l’amour aux femmes, pendant que je pensais à ça je venais d’arriver au fond de l’intimité de ma partenaire. Le plus beau c’est que ce n’était pas moi qui donnais la cadence, c’était Christiane qui avec ses coups de reins me faisait entrer et sortir d’elle.

En même temps en tant que jeune fiancé, j’étais en train de me demander ce qu’était en train de faire Élodie. Christiane était en train de guider les opérations de plus en plus fermement, à chaque fois que je rentrais en elle, elle contractait son vagin et je me disais qu’à ce rythme-là, je n’allais pas tenir longtemps. Nous avons encore continué quelques instants, avant que ma partenaire ne prenne l’initiative de renverser la situation, à savoir qu’elle m’a allongé sur le dos et qu’elle est venue s’asseoir sur mon sexe. Christiane était une vraie féline assoiffée de sexe, de mon côté j’en profitais et je savourais, j’essayais de lui donner le plus de plaisir possible contractant le flux sanguin dans mon sexe. Maintenant je lui tendais les mains et elle s’y accrochait pour rester droite, j’avais l’impression qu’elle rebondissait sur mon appendice. Pour mon plus grand plaisir je constatais, qu’elle aussi, était sur le point de jouir de ce rapport intense. Je me disais qu’il fallait que je reste encore concentré quelques instants, j’en étais à me demander qui allait jouir en premier.

Mes soupçons ont été confirmés au bout de quelques minutes, quand Christiane s’est mise à pousser des cris monstrueux. Je réalisai que Geneviève et Élodie allaient de nouveau entendre crier leur amie et collègue, mais cette dernière continuait à se déchaîner sur mon sexe et nous étions tous les deux à en profiter. C’était à mon tour de jouir et de déposer toute ma liqueur dans les entrailles de ma partenaire, moi aussi je me suis mis à crier mais bien plus discrètement, seule Christiane a pu m’entendre. La DRH a continué son va-et-vient quelques instants, avant de s’effondrer de tout son long sur mon corps tout excité. Elle avait l’air épuisée, exténuée, vidée ; il n’y a pas à dire sa jouissance venait de très loin. Je sentais nos deux corps légèrement humides de transpiration, par ces sécrétions nous étions soudés l’un à l’autre. C’est de force qu’elle s’est mis à m’embrasser, bien évidemment dans cette force il y avait de la douceur et de la féminité, c’est pour cela que je me suis laissé faire. La Féline déchaînée était en train de reprendre ses esprits, pendant que son étalon d’un soir en faisait de même.

Ce baiser passionné a facilement duré dix minutes, avant que Christiane ne se laisse glisser sur le côté, qu’elle me fasse me pencher de ce même côté, avant de venir se lover contre moi et s’endormir. Je peux vous garantir qu’après une journée de fiançailles mais surtout une soirée déjà extraconjugale, je n’ai pas été bien long à la rejoindre dans les bras de Morphée. En m’endormant j’ai constaté que ma cuisse était posée à l’exact endroit où l’entrejambe de Christiane était resté pour inonder le drap conjugal de sa cyprine. La nuit était déjà très avancée et nous avons dormi comme des bébés jusqu’au lendemain dix heures.

— Salut mon bel étalon reproducteur.

— Alors heureux de cette nuit de sexe.

— Il va falloir que l’on remette ça très rapidement, car j’ai adoré ce que nous avons fait cette nuit.

Pendant qu’elle me parlait, elle avait déjà saisi mon sexe pour jouer avec sa rigidité bien matinale. C’était une maîtresse infatigable, je n’osais imaginer qu’elle veuille déjà remettre ça, après cette nuit à ce point épuisante. Elle s’est tue pour se mettre à m’embrasser, toujours avec son côté directif, mais il y avait de la passion.

À travers ma douce nuisette Christiane me caressait, elle faisait tout pour que je me réveille en douceur, l’opération était réussie. Elle s’est rendue à la douche où elle est restée un long moment dans cette petite chambre où il pleut, sans doute pour profiter du côté revigorant. Une fois sortie de la douche, c’est moi qui ai pris le relais, bien évidemment nous avons échangé de doux baisers en nous caressant. Quand je suis sorti de la douche, Christiane était habillée, elle me regardait avec un léger sourire. Quand je suis parti m’habiller, sur mon lit, il y avait sa culotte qui était encore toute mouillée et odorante.

— Je voudrais que tu la portes le plus longtemps possible, car tu m’as vraiment bien fait jouir cette nuit.

Je n’ai rien dit et je l’ai enfilée, mes doigts en premier, mais ensuite mes fesses et mon sexe, pouvaient apprécier l’humidité qui s’en dégageait encore. Mon habillage était sans arrêt ponctué de baisers et d’attouchements on ne peut plus précis. Il n’y a pas à dire Geneviève était encore chaude comme les braises, mais mon petit doigt me disait qu’elle était attendue ailleurs.

Une fois tous les deux rhabillés et présentables, c’est avec une grande honte que je suis sorti de ma chambre conjugale, accompagné de ma maîtresse d’une nuit. J’avais peur qu’Élodie me surprenne à ce moment-là mais le couloir était vide et silencieux, je ne savais pas trop où aller mais à ma grande surprise, Christiane s’est directement rendue vers la chambre de sa collègue. J’étais impressionné par l’assurance qu’elle avait, d’autant qu’elle est rentrée dans la chambre sans frapper, quel manque de correction, ou quelle assurance. J’étais encore dans le couloir, quand elle est entrée dans la chambre, j’ai entendu des rires féminins mais aussi des soupirs. J’ai entendu Geneviève demander à sa collègue comment s’était passée la nuit, j’ai été très flatté de n’entendre que des commentaires élogieux à mon égard. J’entendais des petits commentaires rassurés de la part et ma fiancée qui était fière que son homme ait donné du plaisir à la collègue de sa mère. Manifestement il y avait une troisième personne dans la chambre, c’est par curiosité et peut-être indiscrétion, que je me suis approché pour voir qui était là.

J’ai fait quelque pas pour rentrer dans la chambre, là il y avait trois personnes dans le lit en l’occurrence Élodie Geneviève. Quand j’ai découvert qui était la troisième, je suis passé à deux doigts de tomber par terre.

Comme d’habitude je vous remercie de m’avoir lu jusqu’au bout, en espérant que cela vous ait plu.

Bisous à vous.

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