Il est midi, je sors du taf Vanessa m’attend dans sa petite R5 rouge. Elle me fait signe, je monte et nous voilà partis pour déjeuner à son appart. J’ai deux heures pour manger, c’est confortable.
Arrivés devant son appartement, elle se gare et me demande un coup de main pour descendre les courses. Elle a deux gros sacs dans le coffre, je m’en saisis et nous voilà devant l’ascenseur.
Les portes s’ouvrent, je la laisse monter et lui emboîte le pas. Elle me regarde et sourit :
— Tu as les mains prises je pourrais abuser de toi !
— Cela ne m’effraie pas…
— Vraiment ?
Elle se rapproche, flatte sans autre forme de procès ma braguette. L’ouvre avec expertise, et sors ma queue, au repos, qu’elle branlotte avec amusement. L’ascenseur sonne, la porte s’ouvre.
— Je te laisse ranger tout ça,
— Non, nous n’allons pas faire que ça, si c’est pour la ressortir dans 10 secondes je la laisse dehors !
— Et s’il y avait du monde ?
— L’immeuble est quasiment vide, et si tu veux je passe devant et tu me colles comme ça aucun risque d’être vu Mr le Timide…
Elle est contente de son coup et rit bêtement. Elle sort et je la suis de près… elle stoppe net je me cogne contre elle, ou du moins ma queue s’écrase sur son cul.
Elle repart, et recommence…
— Décidément Mademoiselle a envie d’un coup de queue ou quoi ?
— Evidemment pour le moment il n’y a que toi qui es choyé j’ai aussi envie que l’on s’occupe de moi.
— Patience !
— Non maintenant.
Elle passe une main dans son dos, et m’attrape la pine à pleines mains de l’autre elle cherche ses clés dans son sac et ouvre la porte de son logement.
Nous entrons elle se retourne, claque la porte. Elle s’agenouille aussitôt devant moi et me gobe entièrement. Elle aspire, lèche, suce en me regardant droit dans les yeux. Le bleu de ses yeux déjà si particulier est sublimé par le port de lentilles. Je ne tarde pas à bander comme un âne en rut. Je pose les sacs. Elle plonge sa main dans l’un des sacs, ressort une boîte capote et en moins de temps qu’il faut pour le dire. Elle déchire un emballage et porte la capote à sa bouche et commence à l’appliquer ainsi sur mon gland. Elle enfile la première partie avec une maîtrise qui en dit long sur l’expérience de la cochonne. Elle finit de la dérouler à la main. Elle se redresse, baisse son short et sa culotte à mi-genoux. Elle pose les deux coudes à plat sur la table. Elle me tend ce super-cul que j’ai découvert ce matin sous la douche. Elle me regarde par-dessus son épaule et me lance :
— A vous Monsieur ! J’ai été attentionnée, je compte sur vous pour ne pas me décevoir.
Rien à ajouter. Sa chatte est humide, je le vois d’ici, je peux donc considérer que les préliminaires sont faits…
Je la saisis par les hanches, aligne mon gland sur sa chatte et c’est elle qui se laisse tomber en arrière et s’empale littéralement sur ma queue jusqu’à la garde !
— Oh oui … la bonne bite bien raide ! Baise-moi.
L’invitation ne mérite pas plus d’explication. Je m’agrippe à son bassin et je la pilonne comme un forcené. Je m’applique à ressortir le plus possible avant d’entrer de nouveau dans son ventre comme une brute.
Rapidement elle couine, marmonne des « oh oui », « c’est bon », « plus fort » … C’est une baise qui se révèle être très sportive…
Je la tamponne. Je m’amuse des vagues sur ses fesses à chaque fois que mon ventre vient la cogner. Cela s’apparente de plus en plus à une saillie.
Je sens mon ventre s’enflammer, je vais jouir… Il faut que je tienne… Il faut que je tienne… Je sens mes couilles remonter et gonfler. Il faut que je tienne… Il faut que je tienne…
Je contracte ma queue le plus fort possible pour retarder l’explosion quand tout à coup : la voilà qui vibre sur mon chibre. La cochonne jouit et cela me donne l’autorisation de jouir à mon tour ; deux grands coups de reins bien brutaux pour bien me planter au fond de sa chatte. Et enfin je me déverse dans le préservatif. Nous restons immobiles quelques instants.
— Ah trop bon !
— Merci.
— Tu as commencé à me prendre si fort, j’étais sûr que tu allais me laisser sur ma faim, bravo jeune homme.
Je sors ma tige encore raide de son corps, dans un léger bruit de succion.
— Bon, on mange !
— Pas de câlin après l’amour ?
— Bah je ne sais pas : Le plus souvent je baise…
— J’adore ta repartie. Bon alors casse-dalle et on rebaise ?
— Vendu ! Mais dis donc tu as de l’appétit…
— Normal, comme toutes les filles non ?
— Oui, oui ! (Tu parles je n’ai jamais rencontré une pareille chaudière).
Elle avait acheté des formules en boulangerie sandwich, boisson pâtisserie juste pour avoir le temps de se faire de nouveau prendre. Nous nous installons à table l’un en face de l’autre.
En quelques minutes le repas est avalé. Et je n’ai même pas le temps de déglutir ma dernière bouchée que je sens le pied de la cochonne flatter mon entrejambe.
— Eh bien…
— Quoi tu n’as pas envie ?
— Si si… (une vraie nympho !)
Viens. Je l’aide à se lever. Et l’installe sur le clic-clac, le dos sur l’assise et les jambes bien relevées et écartées. Elle était restée le cul à l’air et du coup sa petite chatte m’est tout exposée. Elle a une très belle chatte : ses lèvres sont lisses naturellement, elle n’a qu’un petit toupet de poil sur le mont de Vénus, ses grandes lèvres sont fines et ciselées, elles laissent apparaître un joli petit bouton rose vif. Dans cette position et après le coït que nous venons d’avoir sa chatte est ouverte et je distingue aisément ses muqueuses humides.
J’AIME SA CHATTE !
Instinctivement je me baisse pour lui lécher la totalité de son sexe : j’y plante la langue et je remonte jusqu’à son clito. Je suce ses lèvres, pompe son clito, je redouble d’énergie pour la faire jouir ainsi. Rapidement son ventre trahit ses sensations et elle finit par jouir sur ma bouche.
— Enorme, on ne m’a jamais bouffé la chatte ainsi ! Tu lèches encore mieux que tu baises !
— Quoi ! Tu dis ça pour me faire chier ?
— Non c’est un compliment… (son sourire inspire le défi qu’elle me lance)
— Attends, tu vas voir…
Bien sûr je bande et sa chatte est trempée, j’enfile une capote. Je me redresse maintien ses cuisses, je pose mon gland sur son orifice et je pousse lentement jusqu’à la garde. Je ressors lentement mes yeux sont plongés dans son regard turquoise.
Je lis le plaisir qu’elle prend et je m’en amuse. Je plonge de nouveau entièrement dans sa chatte ouverte et ressors entièrement je jette un il aux contractions de son sexe lorsque j’en sors.
— Baise-moi fort !
— Attends, je ne veux pas jouir trop vite…
— Tu rigoles ? Tu as éjaculé quatre fois depuis ce matin, je serai étonnée que tu partes vite !
Je descends mes mains le long de ses jambes : de ses chevilles, j’effleure ses mollets, passe sur ses genoux et mes larges mains enserrent ses cuisses.
— Ah enfin une caresse ?
— Non je cherche une prise.
D’un coup je la pilonne le plus vite et le plus fort possible, en moins d’une minute elle jouit. Je ne ralentis ni le rythme ni la violence de mes coups de reins.
— Tu voulais être baisée ?
— Oui vas-y baise moi !
De ma jeune expérience jamais une fille ne mavait parlé comme ça. J’ai l’impression d’être dans un film de cul.
Je mets toute mon énergie pour la déglinguer !
— Salaud, je vais jouir une deuxième fois…
C’est sous cet encouragement que j’éjacule quelques gouttes au fond de la capote. Je tombe sur elle. Quelques instants se passent, je reprends mon souffle. Je me redresse et la regarde.
Nous transpirons tous les deux beaucoup. Elle a les yeux embués :
— Tu baises terriblement bien aussi !
— Merci ma p’tite dame, je m’y applique… Je file à la douche.
— Je peux venir ?
— Non, … qui veut aller loin ménage sa monture !
— Alors OK, je veux qu’il te reste de l’énergie pour ce soir…
Elle va m’user cette nympho, il reste quatre semaines de cohabitation… Je vais bien m’amuser aussi.
Je prends une douche vite fait, et je file au taf.
On verra ce soir.