Traduction autorisée d’un texte de bydreamweaver5539.

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Je vais vous raconter comment j’ai rencontré Angela, ma nouvelle meilleure amie. Elle avait une histoire intéressante et j’ai réussi à lui faire raconter. Je vais vous la répéter. Je suis sûr que cela ne la dérange pas,

Il y a quelques mois, mon beau-fils âgé de 20 ans est revenu à la maison avec une femme que je n’avais jamais vu avec lui auparavant. Elle faisait plus proche des 30 ans que des 20. Je fus curieuse de savoir qui elle était. Elle était blonde avec des cheveux qui lui arrivaient aux épaules. Elle était mince et très jolie. De taille moyenne avec de longues jambes, elle avait un petit cul bien rond et des seins qui devaient faire du 85B.

Alors que son visage respirait l’innocence, sa tenue indiquait le contraire. Elle était vêtue d’une mini-jupe noire et serrée et d’un tee-shirt sans soutien-gorge au-dessous. Quand elle m’aperçut assise dans le salon, elle me sourit et baissa les yeux comme si elle avait honte. Je savais que je l’avais déjà vu quelque part mais je ne pus me rappeler.

Matt me lança un petit bonjour et tira rapidement la femme dans l’escalier qui monte à sa chambre, ses talons aiguilles cliquant sur le sol.

Je fus surprise d’entendre presque immédiatement le cadre de lit de mon beau-fils taper en rythme contre le mur de la chambre. C’était bien le genre de fille à laquelle je pensais. Je fus tout aussi surprise quand le bruit cessa peu après. Je pensais qu’ils étaient essoufflés. Peu après, le couple était de retour en bas des marches et se dirigeait vers la porte d’entrée. Voyant la femme plus nettement, je me souvins où je l’avais vue auparavant. Elle venait souvent à l’église avec son père et son mari. Je savais que son père était quelqu’un de bien mais strict et sévère. Le comportement de sa fille me surprenait beaucoup. Quand Matt ouvrit la porte, je me levai et lui demandai :

— Où vas-tu Matt ? Tu viens juste de rentrer ?

— Il faut que j’aille à l’entrainement. Je ne dois pas être en retard. Répondit-il.

— Est-ce que ta nouvelle amie doit t’accompagner ou elle peut rester un peu ?

Matt haussa les épaules et la jeune fille essaya de trouver une excuse pour partir. Mais je la saisis par le bras et j’insistai :

— S’il vous plait, restez un peu. J’aime bien discuter avec les nouveaux amis de Matt.

Sur ce Matt partit, laissant la jeune femme debout avec moi, rougissante et clairement honteuse de ce qui s’était passé plus tôt.

— Asseyez-vous ! Lui dis-je en lui montrant le fauteuil en face du canapé où je m’assis.

— N’êtes-vous pas la fille de M. JACOBS ? demandai-je.

Elle hocha la tête doucement tout en fixant ses pieds, incapable de me regarder dans les yeux. Je relevai son visage en soulevant son menton et je lui dis :

— Regardez-moi quand je vous parle.

Elle acquiesça, ses yeux humides fixés sur les miens.

— Je sais que votre père est un homme bien, un homme pieux. Et votre mari semble être un assez beau garçon. Alors pourquoi avez-vous baisé avec mon fils ?

Ses yeux retombèrent sur ses pieds. Alors je la saisis par les cheveux pour lui relever sa tête et je lui demandai d’une voix forte :

— Dites-moi pourquoi vous êtes venu baiser mon fils sinon je vais voir votre père et je lui raconte !!!

Cette menace lui fit venir les larmes aux yeux et elle murmura :

— J’ai tellement honte, je suis humiliée. S’il vous plaît ne dites rien à mon père. Je vais tout vous dire. Je ferais ce que vous voudrez mais ne dites rien à mon père s’il vous plait.

Je la lâchai et la calmai en lui offrant un verre d’eau. Puis je la laissai me raconter son histoire.

Elle me dit qu’elle s’appelait Angela et elle m’expliqua comment son mari l’avait transformé d’une vierge timide à l’âge de 18 ans en un « sac à foutre » aujourd’hui (ce fut ses propres mots).

Elle commença à me raconter sa vie et sa situation.

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Mon père est un homme très strict et dominateur si bien qu’à 18 ans j’étais une fille douce et vierge. A cet âge, je n’avais encore jamais embrassé un garçon et j’étais toujours habillée de façon stricte. Les garçons ne s’intéressaient pas à moi. A l’université, j’ai rencontré quelques filles qui m’ont aidée à sortir de ma coquille, à me maquiller et m’habiller un peu plus à la mode. Et surtout, elles m’ont présentée à certains garçons pendant des fêtes. A une de ces fêtes, j’ai rencontré le garçon qui allait devenir mon mari.

Paul était un peu plus âgé que moi, beau et charmeur. Il n’a fait attention à moi que lorsque nous avons été présentés par un ami commun. Je suis tombée amoureuse instantanément. Enivré par quelques boissons, nous nous sommes retrouvés sur la balancelle à l’arrière de la maison. Je lui ai même permis certaines choses en dépit des avertissements de mon père qui disait que les garçons ne voulaient qu’une chose.

Nous nous sommes embrassés profondément et il a glissé sa langue dans ma bouche. Je l’ai accepté et je n’ai pas bronché quand il a placé sa main sur mon genou nu. Haletante, je n’ai pas résisté non plus quand il a posé sa main sur ma poitrine et qu’il a commencé à caresser mes seins à travers le tissu de ma robe et du soutien-gorge.

Mais quand il a essayé de glisser sa main sous ma robe, je lui ai demandé qu’il arrête. En parfait gentleman, il n’a pas tenté d’aller plus loin et nous avons passé le reste de la nuit en baisers et caresses innocentes.

Après cette première nuit, nous sommes devenus inséparables.

J’avouai rapidement à Paul que j’étais encore vierge et que je n’étais sorti avec aucun homme encore. Je lui décris la stricte éducation religieuse que m’avais donné mon père, son caractère dominateur qui faisait que je ne pouvais sortir de la maison pour rencontrer des amis.

Je dis à Paul que j’étais devenue réservée et timide.

Je fus surpris quand Paul me répondit que mon innocence et ma pureté le touchait profondément et qu’il était heureux d’être le premier homme dans ma vie.

Je lui dis que nous pourrions nous aimer mais que je voulais rester vierge jusqu’au mariage. Il accepta cette condition mais posa les siennes ainsi que ses attentes. Il me dit que je devrais être prête à explorer avec lui notre sexualité, qu’il y avait d’autres formes de contacts sexuels, et que je devrais lui faire confiance et lui obéir sans poser de questions.

Je fus excitée par ces termes. Mon éducation avait fait de moi une soumise qui fantasmait d’être contrôlée sexuellement par un homme. Alors je m’empressai d’accepter.

Paul fut doux et lent, me laissant apprendre et explorer mes désirs sensuels à mon propre rythme. Un jour, je lui offris mes seins qu’il caressa et suça avec tant d’amour que je priai pour avoir plus. Il me demanda si mon sexe était mouillé et j’admis que oui. Il me dit que je devrais jouer avec moi-même. En m’embrassant et me caressant les seins, il ajouta que lui aussi il jouerait avec son corps.

Je me couchai en arrière, laissant ma tête reposer sur l’oreiller et mes seins exposés pour son plaisir.

Glissant ma main sous la robe, je commençai à me toucher sous ma culotte pendant que Paul jouait avec mes mamelons. Il tira son pantalon et commença à caresser son pénis raide. Je n’en avais jamais vu auparavant et je trouvai que c’était un objet fascinant. Il remarqua mon regard fixé sur son entrejambe. Alors il se déplaça légèrement vers le haut pour que j’ai une meilleure vue.

— Aimes-tu regarder mon pénis. Demanda-t-il.

— Oui Paul. Marmonnai-je timidement.

Paul se mit à genoux à côté de moi pour que je puisse mieux voir. Je le regardai tandis qu’il pompa sa grosse tige charnue. Il mit son sexe à quelques centimètres de mon visage et dit qu’il ne savait pas s’il pourrait attendre pour me former à sucer une bite et à utiliser ma bouche pour faire plaisir aux hommes.

La vue de sa grosse queue ainsi que ses paroles m’excitèrent tellement que je me mis à frotter mon clitoris plus énergiquement sous ma robe. Je lui avouai :

— Je veux être la femme parfaite pour toi mon amour. Je veux que tu me formes pour que je sois la partenaire sexuelle idéale pour toi.

— Tu acceptes d’être formée comme mon jouet sexuel, de me laisser t’utiliser de la façon que je veux et d’obéir à toutes les fantaisies sexuelles que je t’ordonnerais ? Demanda Paul, curieux.

— Mon père et l’église m’ont appris à être soumise et obéissante à mon homme et mari. Donc, tu peux me former à n’importe quel acte sexuel que tu désires. J’obéirai à tous les ordres sexuels que tu donneras. Je te promets d’être une amante soumis, à obéir aux ordres et à me soumettre sexuellement à tous tes fantasmes.

Bien sûr, à ce moment-là j’étais encore naïve et je n’avais aucune idée des perversions et fantasmes que les garçons pouvaient avoir. A l’époque cela me semblait bien innocent. Mais avec ces mots, j’avais scellé mon destin.

Paul, m’ayant vu me caresser frénétiquement sous ma robe me demanda, en digne gentleman, s’il pouvait soulever ma robe et me voir jouer avec mon sexe. En signe de consentement, j’écartai les jambes plus largement. Il remonta ma robe sur mon ventre. Il caressa la chair tendre de mes cuisses en me regardant me frotter le sexe sous ma culotte. Il tenta de glisser ses doigts sous mon sous-vêtement mais je lui giflai la main, le privant de cette aventure si tôt dans notre relation.

Contraint de me caresser les jambes nues en me regardant me caresser la chatte, il se masturba et fut bientôt prêt à éjaculer.

— Puis-je éjaculer sur tes seins bébé ? Laisse-moi jouir sur tes seins magnifiques. Gémit-il.

N’ayant jamais vu d’hommes éjaculer, je fus excitée par l’idée :

— Oui Chéri, tu peux jouir sur mes seins. Haletai-je.

La vue des giclées de sperme sortant de son pénis et s’écrasant sur mes seins provoquèrent mon orgasme et je laissai échapper un long cri.

Allongés côte à côte, nous échangeâmes un long baiser intime. Il me prit dans ses bras pour me bercer et il me demanda s’il pouvait lécher les doigts qui m’avait donné du plaisir. En lui tendant ma main, je lui dis :

— Quel garçon vicieux !

— Tu n’as aucune idée des plans coquins que j’ai pour toi. Dit-il calmement.

Je ris en réponse. A ce moment je n’avais pas la moindre idée des choses extrêmes qu’il avait prévu pour moi.

Comme vous pouvez l’imaginer, notre relation passa à une vitesse supérieure. Paul put bientôt enlever ma culotte pour me regarder me masturber et lécher mon vagin. Il m’apprit à sucer sa bite et il me convainquit d’avaler son sperme. J’aimai exécuter la position qu’il appelait un 69, écartant mes jambes et offrant ma chatte à sa langue tandis que je me régalais sur son engin.

Et quelques mois plus tard, je reniai ma résolution de rester vierge jusqu’au mariage. Librement je lui offris l’entrée de mon vagin.

Après le premier rapport sexuel, je trouvai que je n’en avais jamais assez. J’étais contente e ne pas avoir attendu le mariage et je voulais qu’il me prenne sans cesse. J’ai souvent été choquée de la façon dont je m’offrais sans retenue à Paul. Dès que l’occasion se présentait, j’ouvrais les jambes : dans sa chambre à l’université si son colocataire n’était pas là, à la bibliothèque cachée derrière une étagère, dans la cage d’escalier tard dans la nuit, ou encore dans ma propre chambre de dortoir.

Quand il verrouillait la porte de celle-ci, je levais ma jupe et descendais ma culotte avant même qu’il soit au milieu de la pièce. Je m’allongeais sur le bureau, la robe tirée sur mes hanches, les jambes écartées pour lui montrer mes petites lèvres humides et je le suppliais :

— Paul s’il te plait, aime-moi.

— Baise-moi. Dit-il un jour.

— Pardon ? lui demandai-je.

— Quand nous avons des rapports sexuels passionnés pendant un long moment ça s’appelle aimer. Mais si nous avons un rapport rapide, juste pour le plaisir, cela s’appelle baiser.

Comme je compris la nuance je me suis entendu crier :

— Alors baise moi Paul. S’il te plait baise moi juste.

Je présentai Paul à ma famille et ils l’ont bien accueilli. Mais ils insistèrent sur le fait qu’il avait sa proche chambre lorsqu’il resterait. Je dis à mon père que nous avions tous les deux décidé de nous réserver pour le mariage. Mon père embrassa mon front et me dit qu’il était fier de moi et qu’il savait qu’il avait élevé une bonne fille.

Sur le coup, je me sentis très mal et déçu de lui avoir menti.

Mais quand mes parents furent partis faire des courses, Paul et moi nous sommes rapidement déshabillés et nous avons baisé dans chaque pièce de la maison. Il m’a baisé dans mon lit où je dors depuis que je suis petite. Il m’a prise en levrette sur le lit de mes parents. Il m’a baisé assise sur le comptoir de la cuisine où ma mère passe sa journée à préparer les repas. Il m’a baisé sur la table de la salle à manger où nous dinons tous. Je l’ai chevauché dans le canapé où ma mère tricote. Et il m’a baisé assise, les jambes écartées dans le fauteuil en cuir préféré de mon père.

Quand Paul éjacula dans mon vagin, son sperme et mes secrétions vaginales tombèrent sur le cuir du fauteuil de mon père. Regardant je me suis dis « Mon amant vient de baiser la chatte en feu de la précieuse fille à son père et il vient d’éjaculer dans son vagin accueillant sur le siège préféré du vieil homme ». Je pensai à toutes ces années sous l’emprise de mon père, son éducation stricte et sa volonté d’avoir une famille soumise et obéissante.

Eh bien, aujourd’hui, j’avais un autre homme à qui obéir aveuglément, à servir comme une fille soumise. Est-ce que mon père pourrait comprendre que ces années d’abus m’avaient formé à assumer le rôle d’un jouet de baise contrôlé par un autre homme. Et comme je le comprendrai plus tard, à assumer volontairement le rôle d’un « sac à foutre » obéissant.

Je laissai Paul déverser son sperme dans ma chatte, volontairement, librement, voulant qu’elle soit remplie de son amour. Je regardai sa semence fuir de mon sexe pour se répandre dans le fauteuil de mon père. Paul indiqua qu’il allait le nettoyer rapidement mais je lui dis :

— Non. Laisse-le sécher sur son cuir précieux. Laisse ce vieux s’assoir dans notre amour. Je ne suis plus à lui maintenant. Je n’obéis qu’à toi. Tu peux me baiser où et quand tu veux. Je suis à tes ordres et tu peux me faire faire ce que tu veux. J’étais soumise à mon père pendant 18 ans mais maintenant je suis à toi.

J’embrassai Paul longuement puis je me mis à genoux et suçai sa bite pour la rendre propre. Si bien, que de nouveau sa queue grossit et qu’il put encore baiser la fille du père puritain sur son siège préféré.

Par la suite, je sentis que j’avais gagné ma liberté. Mon père n’avait plus le contrôle de sa fille. Je l’avais donné librement à Paul.

J’aimai les idées de mon amant pour explorer ma sensualité et pousser les limites de nos aventures sexuelles.

Paul insista pour que je porte des vêtements provocants lorsque nous sortions à des fêtes. Il me fit échanger mes longues robes à motifs ennuyeux par des jupes courtes en cuir, des soutien-gorge évasés et des talons.

Je mis plus souvent du maquillage et je me laissai pousser les cheveux. Paul m’emmena dans la rue ou dans des fêtes et il commenta souvent comment les hommes avaient été ébahis à la vue de mes seins et fesses.

J’avais honte mais Paul me dit que ça l’excitait terriblement que d’autres hommes me désirent et qu’il se branlerait plus tard sur mon corps en pensant aux regards que ces hommes déposaient sur mon corps.

Comme cela lui plaisait, je ne pouvais résister à ses exigences. Alors je cachai mon humiliation et ma honte d’être considéré par les hommes comme une fille juste bonne à être utilisée sexuellement. Qu’étais-je vraiment ? La vérité fut que je ne pouvais rien refuser à Paul. Formée par mon père à être soumise, douce et obéissante, je devins l’esclave sexuelle Paul, accrochée à se lèvres et à tout ordre en sortant.

Paul m’emmena à des fêtes fabuleuses, où je rencontrai beaucoup de gens passionnants. Il ne montra aucune jalousie quand ses amis me draguèrent. En fait, Paul semblait apprécier qu’ils aient de l’attention pour moi. Pour les chauffer, Paul touchait mes seins, caressait mes jambes ou claquait mes fesses en leur présence. Il insistait pour que je danse avec eux. En fin de soirée, certains hommes essayaient de profiter des danses pour me caresser un sein, mettre leurs mains sur mes fesses ou me donner un baiser. Je regardais Paul mais il ne bougeait pas en souriant.

Par la suite, je me plaignis du comportement de ses amis mais il me dit qu’ils voulaient seulement prendre un peu de plaisir et que je devais les laisser faire. Il suggéra même que je les encourage :

— Embrasse-les. Qu’ils touchent ton cul ou tes seins. Ou mieux encore, tu prends leurs mains et tu les mets sur ton corps en leur disant à l’oreille ce que tu veux.

Paul m’expliqua qu’il était toujours très excité de regarder d’autres hommes me toucher. Ensuite la nuit il se branlait sur mon corps en y repensant.

Indépendamment de mes sentiments personnels, j’obéis à mon amant. Je laissai ses amis déposer des baisers sur mes lèvres, serrer mes fesses avec leurs mains, toucher mes jambes nues et caresser mes seins.

Peu à peu, tout en dansant, ou assis à côté de moi sur un canapé, ou en me plaquant contre mur dans l’intimité, ses amis, des étrangers pour moi, me virent comme une proie facile.

Ils placèrent leurs mains sur mes hanches, me donnèrent de longs baiser, me caressèrent les fesses, insérèrent leurs mains entre mes jambes pour les remonter jusqu’à mes culottes humides. Je n’offris pas de résistance, obéissant à leurs demandes d’écarter mes jambes ou déboutonner mon chemisier pour exposer encore plus mes seins.

Souvent, je vis Paul nous regarder et apprécier le spectacle de son copain tripotant sa petite amie. Il semblait tellement excité que je pouvais voir la bosse que faisait son pénis dans son pantalon.

Et plus tard, le soir, il me baisait profondément pendant que je lui racontais ce que chaque homme avait fait avec moi.

Tandis que les mois d’été passaient, je commençai à me demander comment cette situation pendant les fêtes pourrait bien évoluer. Mais Septembre arriva et nous fûmes tous de retour à l’université ; nous concentrant sur nos études. Les fêtes se firent rares, à mon grand soulagement.

Paul me dit qu’il avait loué une maison avec trois autres copains. Je fus heureuse car nous aurions un peu plus d’intimité et autre chose que le dortoir pour profiter l’un de l’autre.

Le jour de ma première visite de cette maison je fus un peu choquée. Les colocataires de Paul étaient tous des garçons qui avaient pris des libertés avec moi au cours des fêtes.

Je baissai la tête timidement quand je les rencontrai. Paul me dit de ne pas être si timide, d’être fière de mon corps et de profiter de l’attention que les hommes me donnaient.

Paul insista également pour que je m’habille dans des vêtements plus suggestifs quand je lui rendais visite. Il me demanda aussi de n’acheter que des mini-jupes, des talons aiguilles et de ne pas porter de culotte ou de soutien-gorge et de laisser mes décolletés largement ouverts.

Le soir, dans sa maison, je ne dus porter que des déshabillés particulièrement révélateurs qu’il avait choisis pour moi.

Alors que je marchais dans le salon, ses amis pervers me mataient comme des affamés de sexe. Et plus je protestai auprès de Paul, plus il sembla apprécier la situation.

Un soir, tout le monde était assis avec des boissons. Quand Paul quitta le salon, les garçons commencèrent à me tripoter. Plus tard je m’en plaignis à mon amant mais il rigola.

Une autre fois, alors qu’il revenait dans le salon, Il trouva un de ses amis, la langue dans ma bouche et une main tripotant un sein sous ma nuisette. Plutôt que se fâcher, il encouragea les garçons en leur disant que j’aimais qu’ils me touchent quand il n’était pas là.

Cela libéra les vannes. Et tous les garçons, Paul y compris, saisirent mes seins, mon cul, et touchèrent ma chatte tout moment à leur guise.

Couchée dans les bras de Paul sur le canapé, il prit l’habitude de baisser le haut de ma nuisette ou soulever le bas, dévoilant ainsi mes seins, mon cul ou ma chatte à ses amis. Il m’ordonna de divertir ses copains. Hésitante, obéissante et humiliée par cette position de jouet sexuel pour une bande de jeunes hommes excités je ne résistai jamais. Ils jouèrent avec mes seins, mon cul et même ma chatte humide. Avec mes seins à l’air, je dus aller leur chercher des bières en étant récompensée à chaque fois par un « merci poupée » et un tripotage de ma poitrine exposée ou une claque sur mes fesses nues.

Une nuit, alors que Paul et moi sommes allés au lit, il laissa la porte de notre chambre grande ouverte. Quand il me déshabilla et commença à me monter dessus, je lui fis remarquer la porte ouverte. Mais il fit juste « chut ».

Bientôt, je vis les trois garçons à la porte regarder Paul me pénétrer. Je criai mais il me dit de les laisser.

Evidemment, comme ses amis le regardaient, Paul fut très excité et il commença à me pilonner durement. Puis il me retourna et me prit à quatre pattes. Ses copains ne loupèrent rien. Pour mon humiliation finale, il me demanda de le chevaucher. Les garçons s’approchèrent la bite à la main, se masturbant tout en regardant mes seins rebondirent tandis que je baisais Paul.

Après cet épisode, Paul me baisa à n’importe quel moment et partout dans la maison, même si ses amis étaient là. Et même plus quand ils étaient là. Il venait derrière moi, me poussait sur la table et me baisait quand les garçons regardaient la télé. Ou alors il me baisait sur le canapé quand ils jouaient aux jeux vidéo. Il pouvait me coucher sur le canapé de telle sorte que ma tête repose sur les jambes d’un garçon et ils les invitaient à jouer avec mes seins. Ou alors il me penchait à côté d’un garçon l’invitant à tirer sur mes seins pendant qu’il me pilonnait par derrière.

Bien que ces situations soient dégradantes et humiliantes, je dois admettre que je fus très excitée lorsque Paul suggéra à ses amis de sortir leurs engins. Je me retrouvai soudain avec trois belles bites à quelques centimètres de mon visage tandis que mon amant enfonce la sienne dans ma chatte.

Après que Paul eut joui, il laissa ses amis éjaculer sur moi. Ils jouirent sur mes seins, mes cuisses ou mes fesses. Je me sentis comme une vraie salope mais j’aimai être couverte du sperme de tous ces garçons.

Un samedi, Paul me dit qu’il avait quelque chose de très spécial de prévu pour moi ce soir-là. Je devais obéir à tous ses ordres sans questions. Je fus très nerveuse en me demandant ce qu’il avait pu prévoir mais de toute façon j’allais obéir.

Il me fit habiller dans une nuisette avec bustier qui tombait juste au raz de mes fesses. Puis il me fit servir des boissons à ses amis toute la nuit. Chacun d’eux me taquina quand je les approchais. J’eut droit à de gros baisers sur mes lèvres ou des tripotages de mes chairs exposés. Paul les encouragea en disant que j’aimais ce traitement. Puis il s’assit et commença à se masturber en regardant ses amis me peloter.

Etant moi aussi un petit peu ivre, j’obéis aux ordres de Paul en laissant chaque garçon me caresser les seins, tripoter mon cul ou frotter ma chatte avec leurs doigts. Au début, je fus honteuse et humiliée par ce traitement dégradant mais l’alcool supprima peu à peu ces sentiments. Si bien que bientôt j’encourageai leur comportement. Et j’eus hâte de voir de nouveau leurs bites raides gicler sur mon corps.

Encouragée par l’alcool et Paul, je dansai avec chacun d’eux. Ils soulevèrent ma nuisette pour montrer aux autres mon cul rebondi ou ma touffe tout en me serrant. Puis mes seins furent à nus et je les cramponnai tout en les malaxant devant leurs visages. Partageant des baisers langoureux, je me surpris à caresser leurs bites à travers leurs pantalons. Puis je leur dis que j’aimerai voir leurs queues pendant que je me masturbais.

Enfin, ivre et trop fatiguée, je m’effondrai sur Paul et me couchai sur lui. Il chuchota dans mon oreille de faire semblant de dormir et de ne pas réagir à ce qui allait se passer. Il avait de grands projets pour moi ce soir.

Les yeux fermés, je sentis Paul lever ma nuisette pour dévoiler ma chatte, puis il écarta doucement mes jambes pour faire apparaitre mes petites lèvres humides. Il a ensuite repositionné ma tête sur ses genoux avant d’inviter ses amis à explorer mon corps à leur guise.

Au début, je fus heureuse de sentir des doigts explorer ma chatte, tripoter mes seins ou entrer dans ma bouche. Je sentis beaucoup de mains caresser mon corps et la sensation fut très agréable.

Mais ensuite, je fus étonnée de sentir le gland d’une bite frotter mes lèvres et essayer d’entrer dans ma bouche. J’entendis Paul dire :

— Allez-y. Faites ce que vous voulez. Elle est endormie et comme c’est ma petite amie, je vous offre son corps pour la nuit.

Je ne pus croire ce que j’entendais. J’avais voulu garder ma virginité jusqu’au mariage et il me l’avait prise. Maintenant il voulait me laisser à d’autres hommes. Oh mon dieu.

Je sentis qu’on écartait mes jambes et le poids d’un homme sur mon ventre. « S’il te plait Paul, non. Je veux être tienne et seulement tienne. S’il te plait, ne les laisse pas faire ça » Crièrent mes pensées dans ma tête. Mais mes lèvres restèrent serrées. Je ne voulais pas mais je devais rester obéissante et accepter tout ce qu’il exigeait de moi.

Couchée là, humiliée, honteuse, effrayée, je sentis une bite étrangère s’enfoncer profondément en moi.

Avant que je ne puisse réfléchir au fait que maintenant deux hommes m’avaient baisé, une autre queue se positionna contre mes lèvres et pénétra dans ma bouche, baisant mon visage sur les genoux de Paul. Celui-ci caressa doucement mes cheveux et je l’entendis dire :

— Bonne fille, il suffit juste de te laisser aller, de laisser les garçons te baiser.

Alors qu’il répéta ces mots, je sentis chaque nouvelle queue pénétrer et explorer mon vagin ou ma bouche. Je voulus mourir. Mon amant avait fait de moi une salope, une pute.

Essayant de me détendre et de reprendre mon souffle, je cherchai à réguler ma respiration. Etonnamment, je me trouvai bientôt plus détendue et j’acceptai plus facilement les bites qui entraient dans mon corps. Puis je commençai à profiter de l’expérience. Une bite dans la bouche et une dans la chatte, je savourai la double pénétration en imaginant les sexes des deux garçons.

Je restai immobile pendant que les queues se succédaient dans mon vagin et dans ma bouche. En me baisant la bouche, les hommes tripotaient mes seins. En baisant ma chatte, ils caressaient mes jambes. J’appréciai le sentiment d’être utilisée par deux hommes à la fois et dans mon ivresse, je souhaitai bientôt que ça dure éternellement.

Avant que j’atteigne l’orgasme, je sentis qu’un garçon éjaculait dans mon ventre. Instinctivement j’écartai encore plus les jambes. Un autre le remplaça et s’enfonça profondément. Puis un autre éjacula dans ma bouche.

J’avalai la décharge de sperme que je venais de recevoir puis je léchai mes lèvres pour les nettoyer. Je levai les yeux vers Paul et je lui dis innocemment :

— J’aime avaler ton sperme mon chéri.

Il me répondit en montrant entre mes jambes :

— Ce n’était pas mon sperme dans ta bouche salope. Et ce n’est pas ma bite dans ta chatte.

Je regardai entre mes jambes et vit son ami pilonner ma chatte humide. Je dis :

— Oh mon Dieu. Vos amis m’ont baisée.

— Parce que tu les as suppliés. Mentit Paul

— Ooooooooooooohhhhh.

— Oui petite salope, tu as trop bu et tu les as laissés tripoter tes seins et ton cul toute la nuit. Tu as caressé leurs bites en dansant. Puis tu es tombée sur mes genoux et tu as écarté les jambes pour commencer à caresser ta chatte humide. Et puis tu as demandé à tout le monde de te baiser.

— Je ne me souviens pas

— Dommage salope. Il est trop tard. Maintenant que tu t’es offerte tu es obligée de respecter ton engagement.

— Je dois faire quoi ? Demandai-je.

— Maintenant, tu dois leur dire que tu es une salope. Tu dois les supplier de te baiser. Tu dois leur demander de t’utiliser comme un sac à foutre. Ordonna Paul.

Même si je fus hésitante, je sus en moi-même qu’il me fallait plus même si je devais me conduire en pute. Alors je criai :

— Baisez-moi les garçons s’il vous plait. Utilisez votre salope. Remplissez votre sac à foutre avec vos bites et votre sperme.

A cette annonce, les festivités redoublèrent. Les garçons bandèrent de nouveau et bientôt du sperme frais coula de ma chatte, sur mon visage, sur mes cuisses et mes seins. Je priai et je gémis de plus en plus. Je demandai à avoir toujours une bite dans ma bouche et une bite dans ma chatte. Ma confession de salope et l’acceptation de mes désirs sexuels ont décuplé l’excitation de Paul. Il se masturbait furieusement en regardant ses copains abuser de moi. Il ne me baisa pas mais éjacula sur mon visage te mes seins tout en m’appelant sa petite salope vicieuse.

Chaque garçon réussit à jouir à plusieurs reprises et quand je partis me coucher avec Paul, mon corps était recouvert de sperme du visage au haut de mes cuisses. Il dégoulinait de mon vagin et ma bouche et mes lèvres étaient striées de semence séchée.

Le lendemain matin, au réveil, Paul me sauta rapidement et furieusement. Puis en me souriant, il me demanda si j’avais aimé être baisée par ses amis. J’admis que dans l’état d’ivresse où j’étais j’avais apprécié, mais que je ne voulais être qu’à lui. Paul dit alors :

— Mais ce que je veux que tu sois, ce que j’ai besoin que tu sois, ce qui m’excite comme un fou, c’est que tu sois utilisée comme une décharge de sperme, un sac à foutre.

Tandis qu’il continuait à enfoncer sa queue dans ma chatte brulante, je lui demandai de m’expliquer. Ce qu’il fit :

— Tout homme a besoin de vider son sperme dans la bouche ou dans la chatte d’une femme de temps en temps. Sans amour ou sentiments, il n’a pas besoin de se fatiguer à lui plaire. Tout homme cherche une femme prête à se faire baiser sans résister et sans rien attendre, une femme qui laissera sa bouche ou sa chatte utilisée par des hommes pour leur seul plaisir à eux. Ça m’excite comme un fou de voir d’autres hommes abuser de ma copine. Je veux offrir ma petite amie à d’autres comme une simple décharge de sperme. Tu ne feras pas l’amour, tu n’auras pas d’orgasme, tu seras juste une bouche et une chatte disponible pour les hommes qui veulent se vider rapidement.

Après cette explication, il continua à me ramoner avec violence.

J’aimai son sexe dans mon vagin et j’en avais besoin alors je dis :

— Oui, s’il te plait, baise-moi, baise ta salope. Je te promets que je serais ton obéissante décharge de sperme si tu me fais jouir. Je n’ai pas eu d’orgasme la nuit dernière, même avec tous ces hommes qui m’ont baisée. J’ai juste besoin d’être bien baisée maintenant pour jouir. Ensuite, tu pourras les laisser m’utiliser comme un « sac à foutre », cela m’excitera.

Il me baisa encore et encore toute la journée, excité de m’avoir vu abusée par ses amis. Je fus très satisfaite avec une chatte satisfaite. Donc je fus d’accord pour tenir les promesses que j’avais faites. Ses amis pourraient m’utiliser à leur guise. Ils pourraient se vider rapidement en moi. Et le soir, Paul me ferait l’amour pour que je jouisse.

Paul annonça à ses colocataires que je vivrais avec eux et que je deviendrais le dépôt de sperme officiel de la maison. Je leur dis que j’avais compris que des jeunes hommes ont besoin de se soulager rapidement dans une bouche ou dans une chatte. Par conséquent ils étaient libres d’abuser de moi à tout moment et en tout lieu.

Bientôt je passai mes journées à satisfaire Paul et ses amis. Ils me prenaient sous la douche ou en regardant la télévision. Endormis, je sentais une queue appuyer sur ma bouche et y entrer ou des mains soulevaient mon cul pour mieux me pénétrer. Ils me prenaient couchée sur les genoux de Paul sur le canapé. Ou alors, ils me sautaient quand j’essayais de téléphoner ou de faire mes devoirs. Ils venaient même dans la nuit quand je dormais dans les bras de Paul. Celui-ci se masturbait en regardant sa petite amie être pilonnée par ses amis.

Satisfaire ces quatre hommes fut long et épuisant, chacun ayant besoin d’éjaculer en moi plusieurs fois par jour. Etre baisée rapidement me laissa excitée et insatisfaite. Si bien que moi-même je cherchai à être baisée. Je les rejoignais quand ils se reposaient. J’offrais de les sucer quand ils jouaient aux jeux vidéo. J’ai même demandé à un de leurs amis de passage de me prendre sur la table.

J’aimais avoir deux bites en moi car à ces moments, j’approchais l’orgasme. Mais ils éjaculaient toujours dans ma bouche et ma chatte avant que je jouisse.

Ces brèves saillies laissaient ma chatte brulante et chaque soir, j’attendais Paul pour qu’il me fasse l’amour jusqu’à l’orgasme.

Le temps passa et Paul décida de me partager avec plus de personnes. De nouveaux colocataires remplacèrent les anciens. Et ils eurent droit comme leurs prédécesseurs de vider leur sperme dans la salope de la maison. Les anciens colocataires restèrent libres de revenir et m’utiliser comme ils le souhaitaient.

Paul organisa des parties de poker où ma bouche et ma chatte étaient offertes aux vainqueurs.

D’autres fois des amis de Paul vinrent le voir. Il fut toujours courtois en leur laissant le privilège d’un accès privilégié à la décharge de sperme de la maison.

Un soir, nous fûmes à une fête dans la maison d’un de ses amis. Les parents de celui-ci étaient partis en vacances. Avec Paul ils décidèrent d’un jeu. Paul m’emmena à l’étage dans la chambre parentale et me plaça sur le lit. Il utilisa des cravates trouvées dans le placard pour me bander les yeux et il lia mes mains sur mes chevilles. Il sortit de la chambre et un moment plus tard il revint. Il me dit qu’il allait profiter de ma bouche et de ma chatte encore et encore tandis que tout le monde était en bas pour la fête. Je me doutai de ce qu’il allait se passer quand j’entendis d’autres voix chuchoter et rire dans la chambre. Paul me dit d’ouvrir la bouche et je sentis une queue glisser sur ma langue. Paul me dit de lui sucer sa bite, mais je sus bientôt que ce n’était pas la sienne. Elle était plus fine et avait une forme différente de celle de mon amant. Pas dégoutée, je fus excitée et même un peu gênée que mon vagin commence à s’humidifier. Si mon copain voulait me faire sucer et baiser tous les hommes de la fête et si ça l’excitait, alors soit, je serais leur « sac à foutre ».

Je profitai de la douceur de la peau lisse de la queue entre mes lèvres mais je fus déçue quand le garçon la sortit de ma bouche. Puis je sentis quelqu’un grimper sur le lit derrière moi et mettre ses mains sur mes hanches. J’entendis la voix de Paul dire derrière moi, mais pas vraiment derrière :

— Je vais t’enfiler maintenant salope.

Une bite se présenta à l’entrée de mon vagin. Ma chatte était tellement mouillée que la queue n’eut aucune difficulté à pénétrer. Après quelques coups rapides, je compris pourquoi le garçon s’était retiré de ma bouche. Il éjacula dans mon ventre. J’étais vraiment une décharge de sperme. Un homme se retire de ma bouche seulement pour pénétrer ma chatte et gicler sa semence en moi. J’entendis Paul dire qu’il bandait de nouveau. Bientôt, une nouvelle bite était dans ma bouche. J’appréciai et lorsqu’il se retira pour pénétrer ma chatte, je me retrouvai à en vouloir une troisième. Ce ne fut pas long à venir, chaque garçon étant pressé de me baiser pour la première fois. Le troisième resta un peu plus longtemps mais tout juste. Avec trois décharges de sperme dans mon vagin, j’en désirai encore plus :

— Encore Paul, j’en veux encore.

Je m’entendis pleurer à plusieurs reprises. Il est évident que les garçons croyaient à l’histoire que seulement Paul me baisait. Une nouvelle bite fraiche entra dans ma bouche. Je la suçai vigoureusement. Mes cris durent attirer l’attention des personnes en bas à la fête, car j’entendis encore plus de chuchotements d’hommes dans la chambre ainsi que des gloussements étouffés de femmes.

Pendant que je continuai à réclamer des sexes, les filles regardèrent les garçons me prendre à tour de rôle et éjaculer aussi bien dans ma chatte que dans ma bouche. Je suis sûr que beaucoup sont revenus une deuxième fois éjaculer en moi. Et bien que ma chatte criât de plaisir dans mon cerveau, je ne pus jouir car chaque pénétration ne fut pas assez longue.

Plus tard dans la nuit, les heures s’étant écoulées, j’eus le sentiment que les garçons et les filles avaient quittés la salle. Paul ferma la porte de la chambre et vint m’enlever mon bandeau et mes liens. Immédiatement je sautai sur lui et le suppliai de me baiser encore. Un flot de sperme jaillit de ma chatte pour s’écouler le long de mes jambes dans le lit. Innocemment Paul dit :

— Comment pourrais-je te baiser à nouveau ? J’ai déjà beaucoup joui en toi.

— Je sais que tu as laissé tous les garçons de la fête me sauter. Et je sais que tu as aimé les regarder. Ça ne me dérange pas. Mais là je suis tellement excitée que je veux être baisée à nouveau mais longuement.

— Donc tu savais que c’était des étrangers qui te pénétraient et tu as aimé ? Demanda Paul.

— Oui, je ne te tromperai jamais mais si tu veux offrir mon corps à d’autres hommes, j’en profiterai. Répondis-je.

— Donc tu les laisserais tous te baiser à nouveau ?

— Bien sûr.

— Et si je t’ordonne de baiser un étranger tu le feras ?

— Oui. Fut tout ce que je pus dire.

Après l’accouplement amoureux que Paul me donna, je dérivai vers le sommeil. Je remerciai Paul d’avoir fait ressortir mon côté vicieux et d’avoir fait de moi une salope à sperme. Tandis que je m’endormais, je l’entendis dire :

— Et encore ma chérie, ce n’est que le début de ce que j’ai prévu pour toi.

Ce fut tellement vrai.

Au cours de toutes les années d’université, Paul me fit baiser par des centaines et des centaines de bites. J’aimai.

Un jour ou je fus ivre, Paul me convainquit de le laisser pénétrer mon trou du cul. Et, en peu de temps, j’appris à aimer être sodomisée. Si bien, que les hommes avaient maintenant trois trous à remplir de sperme quand ils voulaient abuser de la salope. Je dus sucer le propriétaire pour payer plusieurs fois le loyer. Je dus sucer les plombiers et les électriciens pour que les réparations soient gratuites. Les fêtes et les parties de poker m’occupèrent toute la nuit alors que la journée, je m’occupai des colocataires et de leurs amis.

Chaque soir, je me couchai avec Paul, attendant la baise qui finalement me donnerai un orgasme que j’avais espéré toute la journée.

Souvent j’étais complétement couverte du sperme d’autres hommes et Paul ne me laissait me laver que le matin. Alors que j’étais allongée sur le lit, Paul promenait ses doigts sur le sperme de mon visage, de mes seins, de mon ventre, de mes jambes et de ma chatte. Il le ramassait avec ses doigts et me les donnait à sucer. Avide je léchais tout et j’avalais. Il me disait que j’étais la meilleure décharge de sperme et que j’avais réalisé ses fantasmes. Je lui avouais que j’avais aimé le faire pour lui.

Puis, nous nous sommes mariés Paul et moi et il a trouvé un travail dans votre ville. Nous nous sommes installés dans votre paroisse et Paul a connu votre fils.

Matt m’a gagné lors d’une partie de poker et je devais lui laisse utiliser chacun de mes trous. Je lui fis une fellation pendant la partie de poker et il m’a sauté un peu plus tard dans la nuit. Aujourd’hui, je finissais de payer ma dette en me faisant sodomiser.

Je dois signaler à Paul tout ce que je subis. Il tient un registre et il aime se masturber quand je lui raconte avec tous les détails.

Sinon je suis une femme au foyer même si j’ai eu quelques emplois dans le temps. Mais ils ne durèrent pas longtemps pour des raisons évidentes.

Je lui demandai de m’expliquer ce qu’elle fit.

Quand ils se sont installés dans notre ville, Paul a perdu tous ses amis. Angela lui dit qu’elle préférait être une femme au foyer respectable plutôt qu’une décharge de sperme. Elle ne voulait que l’affection de son mari et une vie détendue dans un quartier agréable.

Mais Paul avait d’autres idées. Il lui demanda se s’habiller un peu plus pute afin d’attirer l’attention des hommes, et même si elle ne devait pas les approcher directement, elle ne devait pas repousser leurs avances et toujours faire ce qu’ils voulaient. Et à la maison, elle devait toujours être en déshabillé sexy. Si quelqu’un frappait à la porte, elle devait lui demander d’entre dans la maison. Et elle devait tenter de les séduire par tous les moyens possibles.

Paul lui dit qu’il s’était fait des amis dans la ville et qu’il les lui enverrait en leur demandant de se faire passer pour des représentants. Ou alors ils s’approcheraient d’elle à l’épicerie ou ailleurs. Ensuite ils lui diraient comme elle s’est comportée, si elle avait obéi ou non.

Angela m’expliqua qu’elle eut honte mais qu’elle ne sut que faire. Elle continua de me raconter.

Alors je commençai à m’habiller comme il le voulait et je ne protestai pas quand les hommes me faisaient des clins d’il ou me draguaient dans la rue ou dans les magasins.  Bientôt, j’eus énormément d’admirateurs, du jeune homme fraichement sorti de l’université aux hommes plus âgés et mariés avec une famille.

Un jour, un homme se présenta à la porte. Il était grand, assez beau et d’âge moyen. Il me dit qu’il remplaçait les toitures à bon marché. Mais ses yeux me dirent qu’il était plus intéressé à regarder mes jambes nues et mon décolleté que de parler de toit. Je soupçonnai Paul de l’avoir envoyé. Alors je fus obéissante et j’invitai l’homme à entrer.

Je m’assis dans mon déshabillé à côté de lui sur le canapé et je lui demandai de m’en dire plus sur ce qu’il vendait. Tandis qu’il me montrait ses brochures, je croisai et décroisai mes jambes nues. Je fis tourner mes cheveux et je me plaignis que les bretelles de ma nuisette frottaient mon épaule. Alors qu’il bégayait en essayant de m’expliquer son travail, je fis tomber les bretelles et seul la fermeté de mes seins maintint le fin tissu de ma nuisette. Je souris et je dis :

— S’il vous plait, continuez Monsieur. Les bretelles me dérangeaient.

Il continua à bégayer. Je pressai mon corps contre le sien, en plaçant ma main sur le renflement de son pantalon puis je lui mordis l’oreille. Il ne put se retenir plus longtemps et immédiatement nos lèvres se soudèrent et sa main baissa ma nuisette. Il serra mes seins et les écrasa agressivement dans ses grandes mains. Pendant ce temps je travaillai sur la fermeture de sa braguette pour pouvoir saisir son érection.

Il me repoussa sur le canapé et souleva mon déshabillé pour exposer mon entrejambe. Il retira rapidement son pantalon et bientôt sa grosse queue se présenta à l’entrée de ma chatte. Je pensai au plaisir qu’il allait me donner en me baisant tout l’après-midi. Mais après quelques minutes de bourrage de mon sexe, il éjacula à l’intérieur de mon ventre. J’avais oublié ce que Paul m’avait dit : « Quand tu te donnes trop facilement à un homme, il n’a pas de respect pour toi

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