Un cul admirable

J’entrepris de la caresser bien qu’elle ne me manifesta qu’une déconcertante inertie, j’essayais avec des baisers aussi fougueux que artificiels de la sortir de la passivité, pourtant les veines de son cou battaient plus vite, l’inconnue était pleine d’une vie inanimée, l’idée qu’elle était morte et que je profanais son corps me traversa comme une nausée voluptueuse, je ne pus me retenir d’empaumer au travers de sa culotte sa chatte rebondie, le tissu était chaud et humide, je m’attardais à de longues caresses sur son ventre remontant jusqu’à ses nichons dont je faisais rouler la chair sous mes mains, je ne voulais pas la déshabiller, la présence de la combinaison me donnait l’impression de ramper sous sa peau et d’être en elle sans la pénétrer, plus intime encore je j’insinuais entre la chair tendre de l’aine et la dentelle amovible du slip. Sa toison était épaisse et dense de même que j’inventais les trésors, mes yeux ne quittaient pas les siens, qui fixaient le néant sous mes doigts les chairs grasses roulaient comme des vagues, je me décidais à m’immerger, et ne bougeais pas, mais sa poitrine se gonfla appelant un baiser que je déposais sur le satin, je plongeais au fond d’elle dans un abîme aux parois ambrées et douces, je nageais au fond de ses entrailles avec la folie désordonnée d’un plongeur ivre, je voulais la posséder, m’enfoncer plus encore.

J’aimais son cul, oui je l’aimais son cul qui pour moi était le plus beau cul du monde, je voulais m’en servir comme oreiller, je voulais l’utiliser comme table, lorsque je voulais lui écrire des mots d’amour, que je n’osais pas lui dire. J’aimais la voir balancer son cul au rythme d’une salsa, j’adorais lui donner de gros baisers sur son petit trou du cul, enfoncer ma langue très profondément dans son trou du cul, son cul c’était un pot de miel, un pot d’amour, un vase parfumé, je désirais enfoncer dans son trou du cul trois ou quatre fleurs qui embaumeraient le lit. Un cul c’est plus beau qu’un tableau de maître. Il peut servir de chandelier. Imaginez une salle de bal éclairée par des bougies enfoncées dans 20 trous du cul de jeune filles régulièrement réparties dans la salle. Quel spectacle original de voir en rentrant sur la piste toutes ces filles faisant face au mur et offrant leur cul rempli de ces jolies bougies adroitement vissées dans leur anus et dispensant une lumière magique …

Ma bite étouffait dans mon slip, je fis voler le morceau de tissu et me présentais contre son immobilité, je commençais à la caresser avec ma bite, la peau fine du gland était si tendue qu’elle semblait sur le point de se déchirer, je le faisais glisser contre sa cuisse, je remontais contre sa peau chaude et lisse, j’avais envie d’exploser, de ma main, je guidais la hampe dessinant d’infinies caresses contre sa hanche m’approchant presque à regret de son anfractuosité, j’avais son cul devant moi, oui son cul, son cul avec l’élégance d’une pomme trop belle pour le paradis, je frottais mon ventre à son cul, je glissais dans sa raie jusqu’à ce que le gland affleure la pastille rugueuse de son cul.

Je descendis encore s’agrippant avec vigueur pour forcer son corps à se cambrer, puis avançais la pine entre ses cuisses, négligeant volontairement l’oeil entr’ouvert, je voulais me fourbir encore contre son ventre, glisser entre ses poils et me frotter à ses chairs gonflées, je revins en arrière avec cette fois l’idée de l’envahir, je tenais la bite à pleine mains, elle était longue et forte, je fouillais la toison poisseuse, pour enduire mes doigts de sperme et déposer la précieuse onction sur le gland, ces fesses était à moi, son cul sera le lieu de sa jouissance je l’empalais d’un coup, lui arrachant un cri, sa douleur faisait monter mon plaisir, j’aurais voulu déchirer son ventre, je donnais des coups de plus en plus violents, mon ventre battait son cul, je passais ma main entre ses jambes pour palper les effets de l’ excitation, mes ongles s’incrustaient dans sa chair, je serrais très fort, comme si je voulais l’empêcher de libérer son plaisir, une onde montait en moi qui me glaçait, puis incendiait tour à tour, mes jambes, mon ventre et mon âme

Je passais ma main sur ma poitrine, je serrais très fort ma bite, l’espace qui malmenait mon ventre, je fondis d’un coup et le haut de mes cuisses s’embauma de liqueur, ma main relâcha son étreinte et l’ambre se répandit devant lui, il s’écroula d’un coup, le fourreau se défit des lames qui l’avaient assassiné et je me retrouvais seul à genoux sur le lit avec cette bite indécente qui pointait sa solitude au dessus de l’inconnue.

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