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Poursuite de mon apprentissage au camping – Chapitre 5




Le lendemain de la nuit de folie passée avec ces 5 hommes, je ne peux mempêcher de penser fortement à l’un d’entre eux en particulier: Philippe, l’homme à la queue énorme qui m’ouvrit toute la nuit, une sensation que je voulais de nouveau ressentir, je voulais être à lui.

Toute cette journée j’espérais le croiser et peut-être qu’il m’aborderait me disais-je, mais rien ne se passa, pas de rencontre, mais une soirée plus reposante que la veille qui me fit le plus grand bien à vrai dire.

Le lendemain je me décida à aller voir du côté du bungalow de mes nouveaux amis, en espérant y trouver Philippe. A cet instant je ne voulais que lui, rien d’autre ne me donnais envie, et après 3 passages devant le bungalow à chercher Philippe, Michel qui venait de sortir me fit un sourire et me fit signe d’approcher.

Je m’approcha donc, et voyant que j’arrivais, il rentra dans le bungalow, je me dis alors que le tête à tête serait pour une autre fois, que ce n’était pas grave. Je rentra donc dans le bungalow plus serein que la première fois, Michel debout était seul.

Michel: "Salut petit ! Comment va depuis avant hier ?"

Moi: "Ça va merci !"

Michel: "Pas trop mal au cul ?"

Moi en rigolant: "Un peu de mal à masseoir."

Il rigole: "Bon tu cherche quelqu’un je me trompe ?"

Moi rougissant: "Euh non ! Enfin oui je cherche Philippe"

Michel: "Ahh! Ce bon vieux Philippe ! On était sûr que tu passerais pour lui ! Il en a du bol le salaud ! Il est à la plage avec les autres, je vais les rejoindre, tu veux venir ?"

Moi déçu: "Euh non merci, c’est pas grave !"

Michel m’attrapant le visage: "Bah fait pas cette tête ! Je vais lui dire que tu es passé ! Sois ici à 16h00, ok ?"

Moi souriant :"Oui merci !"

Michel: "Allez file avant que je te saute dessus !"

Moi ne réfléchissant plus : "La prochaine fois"

Ce n’est qu’en partant et en marchant vers la piscine que je me suis rendu compte que je venais de donner une invitation à Michel sans m’en rendre compte, juste sous le coup de l’excitation et quelles vacances, me dis-je.

Je passai donc l’après-midi à la piscine à bronzer et à languir en attendant 16h00, et je me pointai comme convenu où m’attendait Philippe souriant juste habillé d’un short à travers duquel j’imaginais très bien sa queue. Le voir m’émoustilla, et je ne quittai pas ses yeux, je m’amusais à provoquer ce mâle viril, moi le petit minet.

Philippe : "Alors comme ça on me cherche ?"

Moi : "Oui"

Philippe : "Et qu’est ce que tu veux ?"

Moi : "Euh Toi !"

Philippe me regarde fortement : "Mieux que ça !"

Moi parlant pas trop fort : "Je veux ta queue !"

Philippe : "Tu veux ma queue à tout prix, toi ! Bien, allez suis moi !"

Moi qui avais pris mes marques dans ce bungalow (bon je n’avais pas pris que mes marques c’est vrai), on s’en éloigna, sans un mot, jusqu’à arriver, après 5 min de marche qui me parurent une éternité, à une caravane devant laquelle était assis un homme d’au moins 70 ans qui se sirotait son petit alcool.

On sarrêta à quelques mètres.

Philippe : "Comme je ne peux pas monopoliser le bungalow, et que je veux te baiser pendant un moment, il y a la caravane de mon vieil ami qui est là !"

Moi impatient : "Oui oui !"

Philippe : "Seulement il faut que tu accepte qu’il regarde"

Moi trop excité : "Ok"

Nous nous approchons donc de cet homme. Philippe et lui se saluent et je sens son regard pesant se poser sur moi. A ce moment je me demande ce que je fais là, je baisse le regard, vois la bosse de Philippe et m’en rappelle immédiatement. Philippe m’ouvre, me pousse pour me faire rentrer et referme derrière moi. La caravane est bien rangée, propre, mais surtout agencée pour la baise. En effet ce petit cochon avait installé un fauteuil en direction des 3 banquettes qui faisaient offices de lit, et un petit projecteur éclairait tout ça.

Philippe me rejoins dans la foulée: "Tu plais beaucoup à Roger, il m’a demandé si ça te dérangerais pas de lui faire une petite gâterie ?"

Moi attendris par cette demande : "Non, bien au contraire !"

Philippe se rapprochant de moi me faisant reculer vers les banquettes : "J’en étais sur !" Et sur cette parole je bascule sur la banquette pour me retrouver assis les yeux bien en face de sa bosse. Il mit sa main dans son short et joua avec sa queue.

Philippe : "Tu sais ce que tu veux toi, hein ?!"

Je ne répondis rien, approchai ma tête de sa bosse et l’embrassai à travers son short, la léchai. Je sentis alors que la pression montait, je décidai donc de poser mes mains sur sa taille et fit descendre lentement son short, ce qui fit sortir l’arme de son fourreau. Elle était vraiment magnifique, je ne pus mempêcher de sourire à la vue de celle-ci, et je l’imaginais déjà au fond de moi, moi tout à lui.

Je relève le regard, et attends son approbation pour m’occuper de lui.

Philippe posant ses mains sur ma tête : "Vas-y, elle est toute à toi, mon beau !"

Jattrape sa queue à 2 mains (il fallait bien ça) et avant de l’avaler, je la léchai sur toute sa longueur, jusqu’aux couilles, chose qu’il apprécia au vu des sons qu’il émettait. Comme la soirée précédente je ne pus avaler plus loin que son gland, ma bouche étant trop petite pour une si grosse queue, mais je m’appliquai tout de même à ce que chaque cm2 soit léché, goûté par ma langue et mes lèvres. Pendant que je suçais Philippe, Roger s’était installé sur son fauteuil et ne loupait rien du spectacle.

Philippe sortit de mon emprise pour enlever son short. Il me fit allonger sur le dos de telle sorte que j’aie le cul sur le bord, il se plaça pour que Roger puisse voir, il releva mes jambes et m’enleva mon short.

Philippe : "Elle est pas magnifique celle-là ?"

Roger : "Superbes jambes, superbe cul !"

Je ne sais pas ce qu’il fit à ce moment, mais j’imagine bien ce vieux cochon sortir sa queue pour se branler en me matant. Philippe lui, se lécha 2 doigts et me les fourra, et cela sans difficulté car mon cul était toujours bien ouvert des outrages précédents. Chose qu’il remarqua car il s’empressa de rajouter un troisième doigt. Il écarta mes fesses pour en faire profiter au voyeur.

Philippe : "T’es bien ouvert d’avant hier ! On va pouvoir attaquer sans trop de préparation !"

Roger : "Vas-y mollo j’ai pas envie qu’il chiale le petit !"

Philippe : "T’inquiète il a déjà goûté ! Hein ?"

Moi : "Oui prends moi !"

Philippe : "T’as vu?"

Pas de réponse, je jetai un regard vers le fauteuil, Roger se contentait de se branler.

Philippe me fit mettre debout, et me demanda de tourner sur moi même.

Je mexécutai et me cambrai un maximum ce qui le rendit fou, il me jeta sur la banquette, je me retrouvai sur le flanc ; il m’attrapa par les hanches, et me fit mettre à 4 pattes. De mon côté je me cambrais pour lui montrer que j’étais prêt. Il me tira vers lui pour que j’aie les genoux au bord de la banquette. Je sentis un cracha glisser sur ma raie qu’il s’empressa détaler, puis il posa son gland volumineux. Instinctivement je fermai les yeux, et m’accrochais au drap. Je suis prêt à être à lui. Bien accroché, il poussa pour passer mon anneau.

Philippe sentant son gland rentrer: "Oh putain que c’est bon !"

Moi je ne pus parler, je n’émis qu’un son, un léger gémissement qui s’échappa. Il me veut à lui tout de suite, et il continu sa lente progression en me tirant vers sa queue, et en poussant avec ses reins. A cet instant, je ne respire plus, sentir ce morceau de chair se frayer un chemin en moi est incroyablement divin, je veux qu’il ne s’arrête jamais.

Philippe une fois tout au fond de moi : "Ouhh ! humm !"

De mon côté, je pris une grande inspiration, suivie de plus courtes et rapides, je recherchais mon souffle qui fut coupé par cette intromission profonde. A peine ma respiration trouvée, je le sens qu’il recule et qu’il commence ses va et vient en moi. C’est incroyable, je gémis immédiatement à chaque fois qu’il revient an fond de moi et respire quand il recule. Le sentir aller et venir en moi est juste jouissif et je me laisse aller à ce plaisir, en me laissant guider par ses mains fermement accrochées à mes hanches, sans aucune résistance de ma part.

Philippe sortant sa queue : "Écarte pour qu’on apprécie ton trou !"

J’écarte bien mes fesses pour m’ouvrir au maximum, ce qui semble les combler.

Roger se branlant énergiquement : "C’est très beau tout ça !"

Philippe me claqua le cul et me poussa pour que je me mette au milieu de la banquette, lui en profita pour se mettre à genou derrière moi, cracha de nouveau sur mon cul et se réintroduisit en moi, et quel délice. Dans cette position Roger nous voyait de profil, et pouvait voir quand je tournais le visage vers lui, le plaisir inouï que je prenais.

Roger : "Cette salope adore ça"

Philippe : "Attend que je la baise à fond ! Elle va pas arrêter de gémir ! "

Les écouter parler de moi mexcitait terriblement.

Moi tournant la tête vers Philippe et le suppliant du regard : «Baise moi oui !»

Philippe : «C’est ce que tu veux ?»

Moi : «Oui, prend moi !»

Ni une ni deux, il attrapa un coussin qui traînait, le plaça sous mon ventre, et appuya sur mon dos pour me forcer à m’allonger. Il tira sur mes hanches pour relever un peu mon cul, cracha dessus, posa une main à côté de ma tête, et de l’autre dirigea sa queue dans mon petit trou. Je fermai les yeux, et je sus au fond de moi que la partie commençait. Une fois son pubis contre mes fesses, il posa son autre main de l’autre côté de ma tête, de telle sorte que je pouvais sentir son poids sur moi. Je lui appartiens, aucun moyen d’y échapper. Il recula lentement, puis me remit tout brutalement. A chacun de ses coups de rein, je ne pus mempêcher de lâcher un «Ahhh !» des plus évocateurs. A chaque aller retour, je sentais que la cadence accélérais, ce qui fit que me petits cri se rapprochèrent, jusqu’à ce qu’il choisisse une vitesse infernale, durant laquelle je ne fis que crier.

Moi : «Ahhh ! Ahh ! Ouiii!!Ohhh !! C’est !!! trop !! bon ! Humm !»

Il fit aller et venir sa queue de toute sa longueur, je sentis mon cul brûler sous ses assauts a m’en mordre les lèvres.

Après plusieurs minutes à me faire pistonner, il s’allongea sur moi, m’embrassa dans le cou, me mordilla l’oreille et ralentit sa cadence pour me baiser avec de lents coups de queue.

Philippe me susurrant à l’oreille : «Tu l’aimes ma queue ?»

Moi reprenant mon souffle : «Humm! Oui!»

C’est dans ce moment de repos sensuel que je remarquai que Roger était sorti. Tellement absorbé par cet homme me baisant férocement, que je n’avais pas senti, ou entendu l’hôte prendre l’air.

Philippe se releva pour me libérer, et se prit un verre d’eau. En le regardant je me dis que cet homme est incroyablement viril, et cette queue juste wahoo!

Philippe : «Viens te réhydrater, je voudrais pas que tu tombes dans les pommes, fait chaud ici !»

Je me levai, et me collai à lui pour me servir un verre. A peine le temps de finir mon verre, qu’il m’écarte les jambes et me prit debout avec le lavabo pour ne pas chavirer. Il s’active m’obligeant à me cambrer et à me pencher légèrement pour mieux m’offrir.

Roger rentrant et s’installant sur son fauteuil juste à côté de nous : «Je vais sortir Philippe»

Philippe : «D’accord !»

Il sortit sa queue et me fit mettre à 4 pattes la tête dans l’entre-jambes de ce vieil homme. Je compris bien sûr qu’il était l’heure de la petite gâterie de monsieur, mais surtout que le tête à tête approchait. Sachant cela, je me jetai comme un affamé sur sa queue relativement dure, et pendant que Philippe me bouffait le cul divinement, je suçai avec gourmandise. Je m’y pris si bien, qu’il me remplit dans un râle la bouche d’un léger mais épais liquide.

Roger :  «Comment tu fais pour pas jouir avec une salope pareille ?»

Philippe qui arrête de me bouffer se contente de sourire. Il me balance sur le lit et discute avec Roger.

Roger : «Bon tu sais où sont les draps, alors amusez-vous bien !»

Philippe me regardant la queue à la main: «Oui t’inquiète pas pour nous !»

Je répondis à ce sourire malicieux en me mettant sur le dos et en tenant mes jambes vers mon torse.

Ce que je souhaitais arriva enfin. Nous voilà tout les deux ! Il se rapproche tout en se branlant, monte sur la banquette crache sur sa main pour humecter son dard , le pose à l’entrée de mon trou, attrape mes chevilles, et met un grand coup de reins jouissif. Il me besogne si fort et si profondément que je ne me contrôle plus, les yeux révulsés la plupart du temps. Quand ils sont ouverts je lève la tête pour voir son épée m’ouvrir en deux, la bouche grande ouverte pour respirer et gémir, et les mains cherchant de quoi m’agripper. Tantôt il écarte mes jambes, tantôt il les colle, tantôt il appuie de tout son poids dessus ce qui relève mon cul. Ses changements de rythme me font tourner la tête. Il est bien resté 10 bonnes minutes sans sortir sa queue, alors quand il le fit, mon cul resta ouvert et j’ai cru mourir car je souffrais d’un manque intérieur.

Moi : «Reprends moi sil te plaît !»

Philippe : «Humm ! accroc à ma queue ?»

Moi sentant l’air emplir mon cul en me mettant à 4 pattes pour sucer cette queue : « Oui ! Elle est trop bonne.»

Je branlai sa queue, me réjouissant en voyant son gland apparaître sous un épais prépuce à chaque va et vient. Mais il ne me laissa pas le temps de poser mes lèvres dessus, car il passa au dessus de moi et il me prit lui sur ses pieds moi à 4 pattes. Le buste vers l’avant en appuie sur ses bras, la pénétration fut profonde et puissante. Chaque assaut violent est entrecoupé d’instants durant lesquels il ressort totalement sa queue, m’écarte en grand les fesses, crache dans mon trou béant, et me reprend. Ces moments m’écarquillèrent à chaque fois les yeux.

Philippe : « Je sens que ça vient, je vais bien te remplir, tu veux ?»

Moi : « Oui je veux tout !»

Il serra fort mes hanches et se mit à me démonter si fort que je hurlai de plaisir agrippé au drap la tête dans un coussin pour étouffer mes cris.

Philippe : « ohh Ça vient !»

Et dans un coup de reins puissant il se colla contre mes fesses et je sentis sa première giclée me remplir, puis il recula, et à chaque fois une nouvelle giclée me remplit quand il vint taper au fond de moi, et ceci 4 ou 5 fois.

Moi : «Ohh c’est trop bon !!»

Philippe : «Écarte chérie !»

Je mexécute et écarte mes jolies fesses. Il se retire lentement et une fois sorti, reste au dessus de moi, et presse sa queue pour faire tomber les dernières gouttes. Une fois celles-ci absorbées, il replongea sa queue puis la ressortit et se mit debout face à la banquette. Je comprends ce qu’il veut et me dandine vers lui, son sperme commençant à dégouliner le long de ma raie, et je m’applique à nettoyer ce pieu divin. Pendant que je le suçais, je ne pouvais mempêcher de me doigter et sentir tout ce jus sortir me rendais fou.

Philippe : «T’en a pas eu assez ?»

Moi : «Encore !»

Philippe : «Je t’adore. T’inquiète je débande pas. Tu m’excite trop pour ça.»

Il proposa de se désaltérer, sa queue ne débanda pas. Je m’approchai et je bus dans son verre. Il en profita pour voir les dégâts qu’il avait causé en me doigtant.

Philippe : «On est pas pressés j’espère ?»

Moi : «Non j’ai toute la nuit cette fois»

Philippe : «Super ! je vais pas t’achever tout de suite dans ce cas !  Va t’allonger !»

Totalement soumis, je vais m’allonger, et le vois mettre son short. Il peut voir un début de déception dans mon regard.

Philippe : «Je sors juste m’en fumer une !» ce qui me rassura immédiatement.

Et en effet les petites pause furent importantes, sans elles je n’aurais pas tenu avec cet animal.

Allongé sur le côté, je me laissais absorber par ce qui venait de m’arriver, le cul dégoulinant. Voulant être un minimum propre pour la suite, et ne voyant pas de douche, je paniquais un peu.

Jentrouvre la porte : «Euh ! Ya pas de douche !»

Philippe : «Pas la peine d’aller te doucher tout de suite, tu seras tout aussi transpirant dans 5 minutes. Tu iras plus tard pour reprendre de forces. et referme la porte.»

J’obéi sans broncher et retournai m’allonger. Il me rejoint quelques secondes après, il se met nue, ce qui me montre que monsieur a débandé et je me ravis à l’idée de devoir refaire grossir ce molosse. Il vient s’allonger contre moi, et sa présence, son torse contre mon dos, son souffle dans mon cou m’électrise. Il me caresse le ventre, le dos, les fesses, les jambes, tout y passe. Je me laisse aller à ce moment de tendresse et tourne la tête pour l’inviter à m’embrasser. Au contact de sa bouche et de sa langue je me retourne pour être face à lui, et alors qu’il me caresse les fesses, mes mains sont déjà posées sur sa queue et la branle, sans que je m’en sois rendu compte.

Il s’allongea sur le dos, j’en profitai pour descendre vers l’objet de tous mes désirs, et me jetai sur sa queue qui commence lentement à reprendre sa forme. A genoux entre ses jambes, mes 2 petites mains sur son engin, je tends sa queue bien droite vers le ciel. Je joue avec son gland, je m’applique à lécher toute sa hampe.

Philippe. «Ramène ton petit cul par là»

Je me tourne, et nous entamons un 69 des plus fabuleux, lui fouillant mon trou avec sa langue et ses doigts, moi bouffant sa queue autant que je peux.

Après plusieurs minute de ce traitement, je reçus une claque. Je lâchai sa queue qu’il attrapa pour la garder tendue.

Philippe : «Tu l’aimes ma queue hein ?»

Moi : «Oui»

Philippe : «Empale toi dessus.»

Je me levai au dessus de lui, et maccroupis pour masseoir sur ce pieu. La descente se fit sans problème. En effet sa salive, plus son jus, mais surtout la baise précédente, font que ce ne fut que du plaisir. Accroupi les mains posées sur ses jambes, penché vers l’avant, je bouge de bas en hauts les yeux fermés, me mordillant les lèvres. Lui, avait posé ses mains sur mes fesses et les écartaient pour mieux admirer le spectacle.

Philippe : «Ouais ! Vas-y bouge bien salope !»

Je le sentis essuyer son sperme qui coule de temps en temps. Il me laissa aller et venir sans intervenir se contentant de commenter le spectacle. Ses paroles m’excitèrent terriblement, et j’accélérai la cadence en mefforçant de bien aller sur toute la longueur.

Philippe : «Bascule vers moi»

La manuvre fut difficile, car j’avais peur de basculer, mais j’arrive à placer mes mains autour de lui. Il m’attrapa les hanches et me fit asseoir complètement sur sa queue avant de donner un petit coup de rein pour aller plus loin. Ses mains me firent aller et venir sur sa queue, mais à mes mouvements il associa les siens en venant taper à chacune de mes descentes, me faisant gémir à chaque coup. Plus les secondes passèrent, plus il accélérait, plus ma tête basculait en arrière, jusqu’à ce que je m’allonge sur son torse, les jambes relevées dans ses mains fermes. Je me laissa complètement aller à gémir sous ses coups de boutoir, flottant sur son corps.

Philippe : «Oui vas-y jouis ! Crie petite salope.»

Sentir sa queue glisser en moi, ses mains enserrer mes jambes, son souffle fort, tout cela me rendis fou. Il lâcha une de mes jambes qui tenait dans le vide totalement flasque, et me branle. Sa main plus sa queue me firent jouir en moins d’une minute. Il avait raison, la douche fut inutile, car j’avais le torse et le ventre tout gluant. Toujours en moi, nous basculons sur le flanc, il se met bien au fond de moi, et étale mon sperme avec ses doigts, puis me les met en bouche pour que je les nettoie. Il attend toujours en moi que la tension de ma jouissance descende, et m’embrasse, me caresse.

Moi après quelques minutes quittant sa bouche: «Reprend-moi !»

Il ne se fit pas prier, et il reprit ce qu’il avait si bien commencé. Une jambe dans sa main, corps contre corps, sa queue memplit de plaisir. Ses mouvements sont lents et longs, je gémis doucement la tête sur son bras.

Philippe tout en me besognant lentement: «Tu veux que je te baise ?»

Moi : «Oui baise moi !»

Toujours en moi il nous fait basculer pour que je me retrouves sur le ventre lui sur moi. Il se redresse, puis décide finalement de rester contre moi allongé, s’appuyant sur ses avant bras pour ne pas m’écraser. Cette position m’offre totalement à lui. Ses coups de queue rapides, mêlés à la sensation de son poids m’écrasant et me dominant ne me firent pas divaguer mais presque. Il se mit sur ses mains et me libéra de son poids, puis commença à vouloir sortir sa queue. Toujours sur le ventre, j’accompagnais son mouvement en relevant les fesses.

Philippe : « Ouais vas-y bouge ton cul ! "

Il se tient ainsi sans bouger, tandis que de mon côté je coulisse de bas en haut sur sa queue, ce qui l’excite. Au début immobile, il se décide à venir à ma rencontre, jusqu’à reposer tout son poids sur moi, puis recula pour sortir sa queue de mon emprise. Cette sortie brutale me fit gémir.

Philippe : «Petite salope ! Tu voulais pas lâcher ma queue !  A 4 pattes que je vois comment t’es dilaté maintenant !»

Je me mis sur mes genoux, la tête posée sur la banquette, et écarta les fesses. Je ne sais pas ce qu’il a vu, mais ça lui plu.

Philippe  tout en plongeant 2 doigts: «Hmm, c’est bon ça !»

Quelqu’un frappa, Philippe ouvrit la porte et laissa rentrer Michel. De mon côté je ne bougeais pas et me contentais d’attendre.

Michel : « Ça se passe bien visiblement !  Je vous dérange pas plus longtemps, je passe juste te dire que le bungalow est libre pour la nuit.»

Philippe : « Ah ok ! Bah on va en profiter alors !  Rhabille toi on déménage !»

Je ramasse mon short vite fait, et en moins de 20 secondes les draps sont changés et nous nous dirigeons vers leur bungalow. Au vu des gens qui finissaient de manger, il devait être entre 20h et 21h. Une fois arrivé, Michel nous souhaita une bonne soirée, et nous rentrâmes.

Philippe : « File dans la chambre, j’arrive !»

J’entrai, alluma, enleva mon short et me remiis dans la position que je venais de quitter. A peine en position, il me rejoignit avec un tube de gel dans la main.

Moi surpris: « C’est quoi ?»

Philippe : « Du gel chauffant ! Tu vas adorer !»

Ne connaissant pas, je ne dis rien, a vrai dire je m’en fichais. Je remarqua également que sa queue n’a pas débandée et j’en suis ravi. Il se plaça derrière moi à genou, et je sens qu’il verse son lubrifiant sur mon trou.

Moi : « Je ne sens rien du tout !»

Philippe : "Ah oui ! " Et sur ces mots, il m’enfourche jusqu’aux couilles. Je sentis une grande chaleur m’envahir le cul, et je me demandai ce qu’il se passait, c’était incroyable. Il ne s’arrête pas là et me pistonne avec de grands coups puissants. Je crie de plaisir, le cul en feu, je le supplie de ne pas s’arrêter. Après quelques minutes l’effet s’estompe et je reprends une respiration normale. Voyant cela il sortit sa queue, et versa le gel ravageur dans mon trou béant. Sur le moment, je me dis que j’allais mourir de plaisir. Il me fit mettre sur le dos, releva mes jambes sur ses épaules et prit possession de mon cul vigoureusement. La tête posée, la bouche grande ouverte, je gémis, criai, suppliai, exultai. Ce gel décuplait la plaisir procuré par sa queue glissant en moi. Je ne me contrôlais plus, mon corps était totalement relâché, offert à cet homme. A cet instant je n’étais qu’une poupée qui jouissait du cul.

Philippe ralentissant : « Alors tu sens rien c’est ça ?»

Moi entre des respirations fortes : « Ohh ! (respiration) Siii !(respiration) Sii !(respiration) ! C’est trop bon !»

A peine cette phrase finie, il appuya sur mes jambes pour relever mon cul, et il sortit son membre. Le contact de l’air dans mon cul brûlant me fit du bien.

La vue de son gland à quelque centimètres de mon entrée me redonna également de l’énergie, mais ce ne fut pas pour autant que je retrouvais le contrôle de mon corps. Je fermai les yeux pour essayer de me concentrer, quand je sentis un liquide m’emplir. J’ouvris les yeux, et le vis poser le tube. Je me dis qu’il était fou.

Philippe ne dit rien, il savait qu’il avait gagné, que j’étais totalement accroc à lui, et qu’à ce moment j’étais tout à lui. Il se mit sur ses pieds, appuya encore plus sur mes jambes pour lever mon cul. La pénétration fut directe, et immédiatement mon cul brûlant me fit révulser. J’aurais pu me dire que cet homme était fou, mais je ne pouvais penser, trop submergé par toute cette chaleur, ce plaisir. Mes gémissements étaient complètement saccadés, et ne suivaient pas le glissement de son pieu.

Moi perdant pieds : «Baise moi ! Oui !»

Philippe  au rythme de ses coups de bite : «Tiens ! Tiens ! Jouis ! Petite salope !»

Ah ça je jouis oui, je n’ai fait que ça même.

Philippe accéléra à m’en faire perdre l’esprit, et je sentis son jus de nouveau me remplir. Son jus apaisa mon cul brûlant, comme une pommade. Une fois vidé, il se retira, il respirait fort lui aussi, en effet sa baise infernale m’avait peut-être tué, mais je n’étais pas seul.

Philippe relâcha mes jambes qui tombèrent comme 2 masses sur le lit. Je peinais à ouvrir les yeux, mais je le vis se lever.

Philippe : «C’est bien petite salope ! T’as tenu le choc ! Je te laisse reprendre tes esprits ! Prends ton temps chérie !» il sort et referme derrière lui.

Allongé sur le dos, les bras écarté sur le lit, les jambes flottantes, le cul toujours brûlant malgré son jus crémeux, je n’arrivais pas à reprendre mes esprits, et me concentrais pour calmer ma respiration. Je dus bien rester 20 minutes complètement inerte dans cette chambre, incapable de quoi que ce soit, à sentir son jus couler en moi.

Philippe entrouvre la porte : «Tu émerges ?  Oulah non visiblement, t’as pas bougé. Allez viens»

Il me tire doucement par le bras m’obligeant à me lever. Jaimais beaucoup cet homme mais la je me dis que je ne pouvais pas reprendre.

Philippe : «Allez debout, j’ai fait à manger !»

Ses paroles me rassurèrent, et je me levai difficilement. Le cul trempé, je m’approchai de la banquette du salon.

Philippe : «Hophophop !»

Moi : «Pardon ?»

Philippe: «Tiens. Mets ça sous toi, pour pas en mettre partout !»

Moi : «Ah ! Oui !» et je m’installe.

Le repas se passa délicieusement bien, et je retrouvais lentement des forces.

Philippe : «Bien mangé ?»

Moi : «Oui super !»

Philippe : «Ça va mieux ?»

Moi : «ça va pourquoi ?»

Philippe en souriant : «J’ai cru que je t’avais perdu tout à l’heure»

Moi : «Bah tu m’as tué avec le gel !»

Il rigola, et posa ses lèvres sur les miennes.

Philippe : «File à la douche»

Je ne me fis pas prier, et y restais bien 10 minutes la tête sous l’eau, ce qui me remit d’aplomb.

La suite de la nuit fut à l’image du début, à part que le temps passé dans mon cul augmentait au fil de la nuit entre chaque jouissance. On sendormit l’un contre l’autre ( je ne sais à quel heure), quand nous fûmes exténués.

Le matin je fus réveillé sur le ventre, par une sensation plaisante. Philippe me mangeait le cul divinement, et certainement son jus aussi.

Philippe relevant la tête : «Je t’ai pas réveillé j’espère ?»

Moi : «Non, continue !»

Il me fouilla pendant un petit moment, me laissant dans un semi rêve des plus exquis. Puis il glissa lentement sa queue en moi. Instinctivement je relevai les fesses en me cambrant. Il se coucha sur moi sans m’écraser et me besogna lentement avec de long allez-retours, tout en posant des baisés sur mon cou. J’étais aux anges, et ne pouvais rêver plus beau réveil.

Il sortit, s’allongea sur le dos, et dressa sa queue. Je compris et je m’assis sur son pieu face à lui.

Il m’attira vers lui de telle sorte que je dus m’accouder. Ses mains sur mes fesses m’indiquaient un rythme lent sur sa queue, je pouvais sentir mon cul brûler de la nuit. On ne disait rien, tout deux profitant de cet instant si sensuel, après une nuit si bestiale, quand quelqu’un rentra.

Jean souriant : «Je dérange, pardon»

Philippe tout en continuant la cadence: «Non non. Ça a été la soirée ?  Vous venez de rentrer ?»

Jean : «Ouais super. On est rentrés il y a 20 minutes.»

Philippe : «Il est quel heure ?»

Jean : «Là il est presque 8h00. On déjeune, on vous laisse quelque chose ?»

Philippe : «Oui, on va vous rejoindre d’ici peu. Tu prends quoi ?»

Moi les yeux fermés depuis le début : «Euh ! Pardon ?»

Les deux se mirent à rigoler.

Jean : «Trop drôle ce petit. Arrête de le baiser qu’il se concentre.»

Philippe arrête : «Tu prends quoi pour le petit dèj ?»

Moi : «Du chocolat svp»

Jean : «Ok c’est parti» et il nous laissa.

Philippe m’attrapa le visage à 2 mains, et m’embrassa tout en me caressant.

Philippe : «Tu sais que t’es une incroyable petite salope ?»

Je ne dis rien, et me contentai de l’embrasser. Il attrapa de nouveau mes fesses et reprit ses va et vient. Il accéléra au fil de ses coups de rein, et je dus lâcher ses lèvres pour gémir. Je me redressai, ce qui fit glisser sa queue en entier en moi. Ses mains sur mes hanches, mes mains sur son torse, je me délectais de ce moment.

Philippe : «Je vais jouir beauté !»

Ses paroles furent suivies de quelques puissants coups de reins où je pus sentir une giclée venir rejoindre celle de la nuit. Nous restâmes quelques secondes ainsi emboîtés, puis il me fit lâcher son engin, qui fut suivi de quelques gouttes.

Il se leva, me tira vers lui pour me mettre debout, me colla contre lui et m’embrassa. Une fois nos lèvres séparées, il mit un short.

Philippe : «Pas la peine de t’habiller, tu vas salir ton short ! Allez hop !» et me claqua le cul.

Seul Jean et Michel étaient là, grand sourire en nous voyant sortir, les yeux fatigués, mon corps marqué. Je m’installai sur ma serviette à côté de l’un d’eux.

Michel en rigolant : «T’avais raison, ils ont pas beaucoup dormi»

Tout le petit déjeuner se déroula gaiement avec les anecdotes de leur soirée.

Une fois terminé, je me dirigeai vers la douche sous leur regard insistant. A peine la porte fermée, les paroles fusèrent, je n’ai jamais su, mais j’imagine qu’ils questionnèrent Philippe sur le déroulement de la soirée, car une fois sortie les sourires en coin, et les regards en disaient long. Je partis mais pas pour longtemps, car je revins presque tous les jours, et passai des vacances magnifiques.

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