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Quel cul ! – Chapitre 24




Nous avons revus David et Luc, qui étaient devenus des amis, plusieurs fois avec toujours autant de plaisir et de jouissance.

Le rendez-vous suivant notre première rencontre avec Luc, David amena avec lui ses deux godes.

Louise y gouta de nouveau. Elle apprécia beaucoup le plus gros. Il entrait facilement, après quelques instants de vibrations, au fond de sa grotte, ce qui lui permit de priser davantage le gros gland de Luc lorsquil lenculait, et il ne sen privait pas le bougre. Il se considérait lui aussi comme lamant de Louise et il ne privait pas de lui faire ressentir. Ni David dailleurs.

Jétais devenu exclusivement spectateur et il marrivait juste de vider mon foutre au fond de sa gorge quand ils me le demandaient.

Aussitôt arrivés dans la chambre nous nous mettions tous nus, moi uniquement pour des raisons de commodités à cause de la chaleur qui régnait dans la pièce et qui nous faisait énormément transpirer.

Louise sallongeait sur le lit en bas et porte-jarretelles, rien dautre. Ils lui demandaient de venir en jupe sans rien dessous si ce nest les bas et le porte-jarretelles. Parfois elle le faisait et parfois elle mettait une culotte.

La première chose quils faisaient en arrivant, était de vérifier, les deux ensemble, quelle était nue sous la jupe. Lorsquelle ne létait pas, ils la laissaient se déshabiller, sans ôter sa culotte ou son string, se déshabillaient eux aussi, et punissaient Louise à leur façon :

« Retire ta culotte, une salope ne met pas de culotte quand elle vient se faire baiser !».

Ils la faisaient se mettre sur le ventre et pendant que lun lui tenait les bras, lautre lui donnait cinq ou six claques sur les fesses, ensuite ils inversaient et cétait une nouvelle série de cinq ou six claques qui tombait. Luc frappait beaucoup plus fort que David et les fesses de la belle restaient marquées parfois plusieurs jours. Les larmes coulaient généralement ce jour là, mais je la soupçonnais de préférer la frappe de Luc, plus violente, à celle de David, plus retenue.

Je savais que, lorsque nous le pratiquions (cela lexcitait énormément et elle mouillait davantage), elle préférait les claques bien frappées et qui faisaient mal.

Après cela, les jours ou elle mettait une culotte ou un string, les relations nétaient pas tout à fait les mêmes. Ils la traitaient vraiment en salope et tout était permis.

Comme ce jour où par provocation elle avait mis une culotte style « grandmère ».

Elle mavait prévenu dans la voiture quelle avait mis une culotte et que celle là nallait pas leur plaire du tout. Elle en était contente davance et, pour avoir, tout en conduisant, mis un doigt dans sa chatte, je sus quelle était excitée au plus haut point.

Jallais certainement profiter dun beau spectacle.

David avait apporté ses jouets ce jour là.

Après lavoir fessée, ils lui enfoncèrent les deux godes en même temps, sans préliminaires et sans autre lubrification que celle de sa chatte trempée, le gros dans son anus que je voyais distendu.

Ils la firent se mettre sur le dos puis se mirent tous les deux à genoux devant sa tête et David lui ordonna de prendre les deux bites en même temps dans la bouche, ce quelle narriva pas à faire compte tenu de la grosseur du gland de Luc. Ils essayèrent de la forcer, en douceur quand même, mais non cela nétait pas possible. Alors elle les suça alternativement.

Ils me demandèrent de venir lui tenir les jambes quils avaient relevées. Tous les deux avait la main sur un gode et ils jouaient avec, lenfonçant, le sortant, lentrant à nouveau, le promenant sur le corps, frôlant ses lèvres avec..

Jétais debout sur le lit lui tenant les pieds bien haut, la bite dressée, ne perdant pas une miette de leurs jeux. Ma queue coulait toute seule tellement jétais excité.

« As-tu déjà joué avec ton urine ? demanda David à Louise »

« Non, répondit-elle, cest sale ! »

« Lorsque tu baises rien nest sale, sauf jouer avec son caca ! »

« Tu vas essayer de faire pipi pendant que lon te baise, tu verras cest excitant ! »

« Je ny arriverai pas ! »

« Ny penses pas tout le temps et tu verras quà un moment ou un autre cela viendra tout seul, lui dit Luc »

« Jai envie de te lécher la chatte mouillée de ton pipi, lui dit David et je pense que Charles aimerait te voir pisser »

Elle me jeta un regard et fit un signe de tête affirmatif.

Elle se concentrait, je le voyais. Elle allait le faire. Javais devant moi une affamée de sexe prête à tous les caprices de ses amants.

Ils la caressaient et jouaient toujours avec les godes. Soudain elle les repoussa de ses mains, écarta davantage les jambes que je lui tenais et commença à expulser son urine, doucement au début puis elle laissa aller le jet sans le retenir.

David avait mis deux serviettes sous elle afin de ne pas inonder le lit.

Lui et Luc commencèrent à la caresser avec lurine qui sortait. David lui bouffa labricot plein durine, lui lécha lanus trempé lui aussi. Ils la caressèrent partout, mouillant leurs doigts quils lui donnaient à sucer. Elle fut surprise la première fois, repoussa, mais finit devant leur insistance, par les laisser faire. Elle buvait littéralement son urine sur les doigts qui se présentaient.

En même temps elle se masturbait et sa jouissance éclata. Elle se frottait elle-même avec son urine, léchant ses doigts avec ceux des autres.

Luc, après sêtre couvert, la pénétra dun coup sec et lui balança des coups de rein qui la firent crier. David frotta sa bite sur le corps humide et lui enfourna dans la bouche quelle avait ouverte.

Jétais toujours debout sur le lit, ma queue à la main la masturbant lentement. Luc, tout en baisant, approcha sa bouche et minvita à me faire sucer. David me caressait les fesses tout en veillant à ce que Louise le suça bien à fond. Je sentais ses doigts sur ma raie, cela me plaisait énormément et accentua mon orgasme. Je me déchargeais sur le corps de Louise toujours en train se subir les assauts violents de Luc.

Il sortit de sa chatte laissant la place à David et, après avoir retiré sa protection, présenta sa bite devant la bouche de Louise qui lavala.

David la pilonna un moment, puis changea dorifice et il lencula.

Toujours debout sur le lit je voyais Louise en train de branler Luc dans sa bouche, David senfoncer entre ses fesses, son corps encore humide qui sentait lurine chaude. Je me remis à me branler tellement jétais excité. Luc se vida dans la bouche de Louise et David jouis dans le cul de ma chérie.

Je me branlais toujours, ma queue reprenant un peu de vigueur, et Louise maccueillit entre ses lèvres.

Je narrivai pas à jouir mais laissait Louise me pomper pour calmer mon envie. Nos deux amis promenaient leurs mains sur nos corps.

Après quelques minutes de repos, Louise partit à la salle de bains. Nous remîmes un peu dordre sur le lit et nous allongèrent pour souffler.

« Quelle excitation. Louise jouant avec son urine ! Jamais je naurai pensé la voir comme ça !

Quand je pense à toutes ces années passées ensemble où elle est restée « soft » et maintenant elle se lâche, dis-je à mes deux compères. »

Louise sortit des toilettes, presque toute fraîche. Elle vint se placer entre nous sur le lit mais repoussa gentiment les mains qui voulaient la caresser.

« Trop pour aujourdhui, dit-elle. Jai mal partout, tellement vous avez abusé ! »

Nous la regardions fumer sa cigarette.

Je détaillais son corps : cest sur il portait le poids des années, son estomac et son ventre étaient maintenant plus proéminents, elle avait quelques bourrelets, mais ses seins restaient « bandants », son cul restait ferme et magnifique, sa chatte aux poils presque blanc, coupés très courts donnait toujours envie de la fouiller.

David et Luc la regardait aussi. Eux ne lavaient pas connu lorsquelle avait 35 ans et ils ignoraient quelle beauté cétait. Si à cette époque elle avait été comme çà !!

Jaurai été le roi des voyeurs !

Nous nous séparâmes rapidement.

Ce fut la dernière fois que nous nous rencontrâmes tous les quatre.

Cétait les vacances dété quelques jours plus tard. Nous allions être séparés pour un mois.

Je la revis quelques jours plus tard pendant quelques instants.

Elle partait en famille rejoindre un de ses enfants dans le sud de la France. Cest là, entouré de ses proches par un bel après-midi, que linfarctus la frappa. Jai appris par la suite quelle navait pas souffert, que tout était allé très vite et quelle ne sétait rendu compte de rien.

Jétais de mon côté rentré un peu plus tôt et jattendais quelle rentre la semaine suivante. Cest par une amie commune, qui résidait près de chez elle et qui me téléphona, que jappris la terrible nouvelle.

Jen fus tellement bouleversé que même mon épouse saperçu que quelque chose de grave me préoccupait. Je ne pouvais pas lui dire que ma maîtresse depuis presque 30 ans venait de mourir !

Je ne pus lui rendre visite à la maison mortuaire. En effet, son mari qui la veillait, soupçonnait quelque chose depuis quelque temps, ce qui nous avait amené à prendre plus de précautions et despacer nos rencontres.

Jai réussi à passer un message à David qui, ils nous lavaient dit, ne partait pas en vacances. Je lui précisais le jour et lheure des funérailles.

Je trouvai un prétexte pour mabsenter ce jour là et jai pu assister à la cérémonie aux côtés de David que javais vu attendre près de la porte dentrée de la cathédrale.

Les larmes nous inondaient tous les deux. Nous nous joignîmes à la foule, ma foi assez nombreuse, et purent par un frôlement sur le cercueil la toucher une dernière fois.

Elle repose maintenant dans le cimetière de son village denfance.

Je vais ly rencontrer de temps en temps.

Je lui rappelle, lorsque je suis seul dans le cimetière, les bons moments de notre rencontre, et je verse des larmes, de tristesse mais aussi ces jours là, de joie et de plaisir en me disant que peut-être, dans le monde où elle se trouve, elle a retrouvé le plaisir des corps.

Il y aura 2 ans ce 17 juillet.

2 années où je pense tous les jours à elle.

2 années où je pense à notre relation amicale avant tout.

2 années où sa complicité me manque. Pas seulement la complicité sexuelle mais aussi cette façon à elle de prendre la vie à pleine dents, privilégiant les moments présents à des « futurs peut-être ».

En écrivant « ces mémoires », jai voulu, pendant les quelques jours où je les ai écrites, la rendre à la vie et à ses plaisirs.

A ma LOUISE

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