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La masturbeuse – Chapitre 1




Mignonne, pétillante, élégante et pleine de charme, Agnès est loin d’être un cas désespéré. Pourtant, elle n’a jamais eu de véritable petit ami, ses expériences sexuelles avec des garçons ont été très insatisfaisantes et celles avec des filles encore pire. N’ayant ni plaisir ni beaucoup de désir, à force, elle s’est résolue à admettre qu’elle devait être asexuelle, encore que même cette étiquette la laisse insatisfaite.

Malgré tout, cette situation frustrante a permis à la jeune étudiante en architecture de dénicher un appartement en colocation avec un homme, Pascal, pour lequel elle n’a aucune attirance (mais elle le verrait bien terminer avec son amie Lorène). 

Un soir pourtant, rentrant un peu trop tôt d’une représentation théâtrale écourtée, elle a la surprise d’entendre, à son retour chez elle, une respiration rauque provenant de la chambre de son coloc. Curieuse, elle marche sur la pointe des pieds dans l’ombre, jusqu’à l’embrasure de la porte entrouverte du garçon. 

Elle le voit couché sur son lit, le pantalon baissé, son téléphone dans une main et son pénis en érection dans l’autre. Pascal est en train de se masturber vigoureusement en regardant une vidéo sur son portable. 

Son sexe n’est ni gros, ni petit, mais ce spectacle plonge la jeune femme dans un trouble qu’elle n’avait jamais éprouvé auparavant. En voyant le visage de son ami déformé par le plaisir, sa main imprimer des mouvements de haut en bas à sa queue bien dure, elle s’imagine que c’est elle qui le branle, que ce sont ses doigts à elle qui sont posés sur son membre, et cette pensée la bouleverse. Elle continue à l’observer sans être vue, jusqu’à ce que Pascal pousse un gémissement et qu’un panache de sperme gicle de son sexe.

Pour la première fois de sa vie, Agnès est gagnée par une intense excitation sexuelle: ses mains et ses genoux tremblent, son cur bat très fort et elle sent qu’une chaleur mouillée a pris possession de sa vulve. Folle d’excitation, elle se barricade dans sa chambre, retire sa jupe en daim et ne prend même pas le temps de se déshabiller complètement avant de s’affaler sur son lit et de glisser ses doigts dans son shorty. 

Fébrile, elle se met à se masturber, les phalanges plongées dans l’humidité de son vagin et tout autour d’un clitoris dont elle ne s’imaginait pas qu’il lui procure un jour autant de plaisir. Elle jouit très vite et très fort, à bout de souffle, des étoiles dans les yeux et stupéfaite sur son matelas.

Elle ne dort pas beaucoup et le lendemain elle ne pense qu’à ça. Elle n’arrive pas à regarder Pascal dans les yeux et finit par s’éclipser rapidement, hantée par l’image de sa main enserrant l’érection de son ami. Ce fantasme, malgré tous ses efforts, elle n’arrive pas à se le sortir de la tête et elle y pense toujours le soir, quand elle rentre et s’enferme dans sa chambre sans saluer son colocataire. Elle ne perd pas une minute avant de se branler à nouveau pour tenter d’exorciser ses pulsions…

Aux alentours de minuit, n’y tenant plus, elle finit, presque folle, par débarquer dans la chambre de Pascal. Le jeune homme dort profondément. A gestes mesurés, elle lui baisse le caleçon afin de voir son pénis, qu’elle prend en main, tremblante. Elle commence à le branler, tendrement, de bas en haut, faisant éclore un début d’érection chez ce garçon endormi. Elle est tout à la fois honteuse, effrayée et émoustillée, jusqu’au moment où

Pascal se réveille brusquement et voit, dans la pénombre, sa colocataire qui est en train de le masturber: 

"Agnès! Mais tu folle? Qu’est-ce que tu fabriques?" 

Il sursaute mais ne se dégage pas, et la jeune femme lui caresse doucement le gland tout en répondant: 

"S’il te plaît laisse-moi te masturber J’en ai besoin, tellement, si tu savais Ça n’a rien à voir avec un plan cul ou quoi que ce soit, j’ai juste besoin, pour mon équilibre, de donner du plaisir à quelqu’un avec ma main. Tu veux bien, dis?"

Il va refuser mais elle empoigne sa bite bien raide et se met à la masturber vigoureusement, comme elle en a rêvé – là, il n’a plus la volonté de lui dire non et il se laisse aller à cette attention inattendue. 

Agnès branle Pascal avec un soin infini, varie les prises et les rythmes afin de faire monter son plaisir graduellement, accompagne son geste de caresses sur le ventre, les fesses et les testicules jusqu’à arracher des râles à son colocataire, qui éjacule une belle quantité de sperme tiède sur la main blanche d’Agnès.

Trop excitée pour s’expliquer, la petite étudiante s’enferme dans sa chambre et se masturbe à son tour, atteignant l’orgasme pour la toute première fois. Elle est ivre de plaisir grâce à ce fantasme réalisé, et elle se sent merveilleusement bien d’avoir enfin décrypté sa sexualité.

Le lendemain, au petit-déjeuner, Pascal se montre compréhensif et lui demande quelle est la prochaine étape. Elle lui dit qu’il ne se passera rien de plus entre eux, mais qu’elle aimerait bien continuer à le masturber s’il est d’accord. 

Il trouve ça délirant mais comme il est célibataire, il accepte, et Agnès, sans attendre, le masturbe sur la table du petit-déj jusqu’à le faire éjaculer dans le bol de céréales.

"Oh mon dieu! Tu es devenue complètement folle!" lui dit son amie Lorène une semaine plus tard, quand elle lui raconte ce qui s’est passé et la nouvelle relation qu’elle a noué avec Pascal, qu’elle branle désormais une ou deux fois par jour à leur satisfaction mutuelle.

"Pas folle, non" dit Agnès. " Je vis simplement ma sexualité de manière épanouie, enfin Tu devrais être heureuse pour moi."

"En fait" ajoute-t-elle en posant sa main entre les cuisses de Lorène, "Tu devrais même m’aider à approfondir ce que je viens d’apprendre à mon sujet J’ai très envie de te masturber, Lorène Tu veux bien te laisser faire?"

Lorène sursaute comme si elle avait vu une araignée: 

"Non mais tu es malade? Je n’aime pas les filles, moi, oh!" 

Mais Agnès s’entête et, en souriant, se met à caresser l’entrejambe de son amie à travers le tissu élastique du leggings. 

"Ça n’est pas la question, que tu aimes ou pas les filles Je te propose juste de te faire passer un agréable moment de détente"

Lorène n’a plus eu de mec depuis des semaines et elle n’avait pas réalisé à quel point son corps est en manque de peau humaine, à quel point elle a envie d’être touchée, d’être caressée Elle ne parvient pas à trouver la force de repousser la main d’Agnès, et c’est donc un peu honteuse qu’elle laisse sa meilleure amie toucher l’intérieur de ses cuisses, puis son entrejambe, en gestes doux mais déterminés, qui deviennent vite merveilleusement agréables. 

Elle n’a jamais laissé une fille s’occuper ainsi de son intimité, mais elle vainc ses réticences en se disant qu’elle fait ça pour sa copine et elle ferme les yeux en s’imaginant que c’est un homme qui la caresse ainsi. Et en plus, ça fait tellement de bien Pendant qu’on s’occupe d’elle en bas, Lorène retire son top et son soutien-gorge et caresse très lentement ses deux petits seins.

La petite étudiante en architecture sourit à son amie avec tendresse et complicité alors qu’elle promène sa paume sur l’étoffe satinée. Elle interprète le premier soupir de plaisir comme un signal: elle retire le legging et le string trempé que portent son amie et la dénude complètement. S’approchant à nouveau du sexe de Lorène, elle le découvre avec satisfaction ouvert et nacré d’humidité.

Agnès se mord la lèvre puis laisse son index sillonner la vallée de son amie de bas en haut, en explorer les tendres recoins et les replis intimes, jusqu’au clitoris qu’elle découvre ferme et avide de caresses. Elle tourne autour, le frotte, l’agace, le prend entre ses doigts, pendant que le reste de sa main parcourt le reste du sexe qui s’offre à elle. Elle découvre qu’elle éprouve autant de plaisir à masturber une fille qu’un garçon.

Elle branle Lorène longtemps, jusqu’à ce que la peau de son ventre se couvre de chair de poule et que sa respiration soit remplacée par des halètements, puis elle passe à la vitesse supérieure: elle enfonce deux doigts raides dans le vagin de son amie, qu’elle pistonne comme une bite, de plus en plus vite, avant d’insérer son pouce dans son anus. 

C’est ainsi qu’elle fait grimper le plaisir de Lorène, qui se met à gémir bruyamment, à tendre tous ses muscles, jusqu’à ce qu’elle explose et que des vagues de jouissance parcourent tout son corps. 

Lorsqu’elle se laisse retomber sur le matelas, elle est essoufflée et ébahie par ce qui vient de se passer: 

"J’arrive pas à croire que je t’ai laissé me masturber Merci ma puce" dit-elle à Agnès. 

Elle l’embrasse sur la bouche pour lui exprimer sa reconnaissance mais son amie recule: rien d’autre que la masturbation ne l’intéresse.

Ainsi, les jours qui suivent, Agnès continue à masturber Lorène plusieurs fois par semaine. Elle continue aussi à masturber Pascal. 

Elle masturbe également toutes sortes d’autres personnes, des jeunes et des vieux, des garçons et des filles, des amis et des inconnus, dans des soirées, en classe, dans la rue ou dans les transports publics. A sa grande surprise, elle découvre que peu de gens refusent son offre et que tout le monde a envie de se faire masturber par une jolie jeune femme. Elle est heureuse.

A force de partager l’intimité de Pascal et Lorène, Agnès trouve de plus en plus qu’ils seraient faits l’un pour l’autre. Elle leur en parle, insiste, mais trop timides ou bloqués par la bizarrerie de la situation, ils n’osent pas franchir le pas 

Alors elle le fait pour eux. Un soir, elle invite Lorène à l’appartement sans prévenir Pascal. Lorsque son amie arrive, elle est dans le salon en train de masturber son colocataire. 

Lui est terriblement embarrassé, elle n’en croit pas ses yeux, mais Agnès, sans suspendre sa caresse, dit à la nouvelle venue: "On a commencé sans toi! Viens ma chérie, je vais vous masturber tous les deux"

Lorène, abasourdie, hésite, envisage de s’en aller, puis, vaincue par la curiosité, elle défait sa jupe-portefeuille et retire sa petite culotte avant d’aller s’asseoir à coté d’un Pascal médusé. 

Agnès s’agenouille devant ses deux amis et commence à les branler, à donner du plaisir à ces deux sexes qu’elle connaît si bien: le pénis de Pascal dans la main gauche, le vagin de Lorène sous la main droite. Elle fait monter leurs sensations peu à peu, en rythme lent, afin que leur émoi soit au diapason. 

Au début, ils n’osent pas s’abandonner, restent silencieux, ne se regardent pas. Puis Lorène est la première à s’autoriser un gémissement, et alors ils se détendent et finissent par se regarder dans les yeux pendant que leur amie les branle. 

"Embrasse-le sur la bouche" dit Agnès. 

Lorène ne se fait pas prier. Sentant les doigts d’Agnès en elle, qui lui font tellement de bien, elle est prête à toutes les audaces, même embrasser un parfait inconnu. Elle se penche vers Pascal et lui donne ses lèvres et sa langue. Ils s’abandonnent tous deux à ce baiser très érotique, comme s’ils étaient amants, alors que le plaisir monte en eux, irrésistiblement. 

Agnès sent la bite de Pascal toute dure sous ses doigts, et la chatte de Lorène inondée de mouille, aussi décide-t-elle de les pousser à aller plus loin: 

"Vas-y Pascal, tu vas pénétrer Lorène maintenant" dit-elle en enfilant une capote sur la queue de son colocataire.

Se pliant sans résistance à cette suggestion, Lorène, très excitée, s’allonge sur le divan et écarte ses cuisses pour laisser le champ libre à ce garçon qu’elle meurt d’envie de sentir en elle. Lorsqu’il se couche contre elle, elle prend son pénis en main et le guide vers son sexe afin qu’il la prenne plus facilement. 

C’est fait: Pascal baise Lorène et les deux amants sont tellement excitées qu’ils se mettent immédiatement à pousser des cris, avec un abandon total. Elle empoigne ses fesses afin qu’il rentre tout au fond d’elle, il la possède avec vigueur et passion.

En regardant ses amis qui baisent sans fausse pudeur juste devant elle, Agnès glisse deux doigts dans sa chatte et se met à se masturber. Elle est très excitée de contempler ces deux beaux corps nus qui se font du bien, mais au-delà du voyeurisme, c’est surtout le fantasme réalisé d’avoir branlé ses deux amis et de les avoir poussé à baiser qui l’excite. 

Son plaisir monte au même rythme que celui des deux amants, qui, très émoustillés, ne tiennent pas très longtemps: Lorène pousse un chapelet de cris sexy qui précédent un plaisir où elle se laisse basculer de tout son corps. Son orgasme débridé précipite celui de Pascal, qui laisse échapper un feulement rauque lorsqu’il se met à éjaculer. Enfin, Agnès jouit à son tour, vaincue par sa joie d’assister aux orgasmes de ses amis.

Le souffle court, Pascal s’affaisse sur Lorène. Lorsqu’ils reprennent leurs esprits, ils s’embrassent avec passion, mélange fiévreux de lèvres et de langues. 

"Salut, je m’appelle Pascal" dit-il à son amante. 

"Enchanté, je suis Lorène" répond-elle en souriant à cet inconnu qui l’a si bien fait jouir et qui lui plait énormément.

Pendant qu’ils s’embrassent à nouveau et partent à la découverte de leurs corps, Agnès s’éclipse sans être vue, heureuse d’avoir uni ses deux amis grâce au pouvoir de la masturbation.

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