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Le fabuleux destin de Benjamin – Chapitre 4




Benji 4 – Clara

Les jours qui suivirent l’expérience incestueuse de Benji avec Zita et sa mère, ne firent que confirmer ses convictions sur le fait que toutes les femmes étaient des salopes.

En quelques jours, il avait pu dépuceler toutes les copines de Zita, la plupart du temps en sa présence, et souvent avec sa participation.

Il était maintenant très rare que Benji ne baise qu’avec une seule fille, la plupart du temps, il avait 2 ou 3 filles nues pendant ces intenses séances de baise.

Il put également approfondir ses connaissances sexuelles avec Sophie et Anita, qui ne manquait pas une occasion pour profiter de son énorme queue.

Il restait à chaque fin de cours d’histoire, pour défoncer la chatte et le cul de Sophie, et dès qu’il rentrait avec Zita du lycée, il passait chez elle pour baiser avec sa mère.

Qui la plupart du temps, l’attendait, soit complètement nue, soit en tenue ultra sexy, qui ne laissait pas de doute sur ses intentions.

Sophie et Zita, pendant une séance de baise intensive, eurent envie de prendre les mensurations de la queue de Benji en pleine érection, elles furent impressionnées de noter 6,5cm de diamètre au niveau de gland, pour une longueur de 24cm.

Paul, le professeur de math, lui avait exposé son plan pour que Benji puisse baiser sa femme et ainsi permettre à Paul d’être plus libre pour baiser avec Sophie ou avec Zita et ses copines, et ce jour-là, il devait le mettre en place.

Donc l’idée de Paul était de présenter Benji comme un élève en difficulté à qui Paul avait proposé de donner des cours de soutien chez lui.

Sa femme ne vit aucun inconvénient à ce que son mari aide un élève en difficulté, et accueillit Benji chez eux sans aucune arrière-pensée.

Les premières fois, Benji ne tenta rien, sous les conseils de Paul, il voulait que sa femme s’habitue à la présence de Benji et il lui avait demandé de ne rien faire.

Malgré tout, la femme de Paul, Clara, tentait bien Benji, il la trouvait ravissante, une belle brune de 30 ans, aux cheveux longs, de 1,65m pour 60kg environ, des yeux d’un bleu perçant, une poitrine moyenne que Benji estimait à du 90C, et il commençait à être un expert en poitrine, mais surtout Clara avait un cul bien rond et bien rebondi qui attirait énormément Benji. Il la trouvait un peu sainte-nitouche et BCBG, et se demandait comment il allait faire d’une femme apparemment si prude, une grosse salope.

Mais il attendit patiemment le bon moment, et après quelques jours, Clara avait fini par trouver normal que Benji vienne chez eux, Paul faisait exprès d’arriver un peu en retard pour que sa femme s’habitue à être seule ave Benji.

Benji finit par craquer et avant que Paul n’arrive, il alla rejoindre Clara dans la cuisine et, profitant qu’elle soit occupée à couper des légumes, il posa sa main sur ses hanches fines et lui demandant :

— Alors qu’est-ce que vous faites de bon à manger ?

Clara fut troublée du comportement de Benji, jamais elle ne l’avait vu se comporter si familièrement, mais elle ne fit rien pour retirer sa main de sa hanche, et lui répondit :

— Je prépare une soupe de légumes

Benji, voyant qu’elle ne retirait pas sa main, prit confiance, et en faisant glisser sa main sur la fesse de Clara, lui dit :

— Je ne suis pas fan des soupes, je préfère la bonne chaire.

Clara fut encore plus troublée, d’une part le langage de Benji mais surtout par sa main sur sa fesse. Elle se demandait s’il parlait de sa fesse en parlant de bonne chaire et cette main sur sa fesse la perturbait.

Elle lui dit, d’un ton qui manquait de conviction :

— Qu’est-ce que tu fais, Benjamin, enlève ta main de mes fesses.

— Vous pouvez m’appeler Benji, mais désolé, votre cul est vraiment très tentant dit-il en pétrissant la fesse de Clara.

Comme elle avait les mains sales, Clara se mit à tortiller du cul pour essayer de retirer la main de Benji de sa fesse, mais elle sentait des fourmillements étranges entre ses cuisses. Et elle sentit sa volonté faiblir quand elle lui dit :

— Arrête Benji, ce n’est pas bien, il ne faut pas faire, retire ta main, stp.

Mais Benji profita que Clara tortille du cul pour glisser sa main sous sa jupe et aller lui peloter les fesses directement sur sa culotte, il finit par glisser sa main dans la culotte de Clara et glissa un doigt entre ses cuisses pour arriver à l’entrée de sa chatte, qu’il trouva déjà bien humide.

Clara n’avait pas arrêté de protester en tortillant du cul, mais quand elle sentit la main de Benji dans sa culotte et son doigt juste à l’entrée de son vagin, elle s’immobilisa, ne sachant comment réagir.

Les fourmillements de son entrecuisse s’étaient rapidement transformés en un échauffement humide.

Dans un dernier élan vertueux, elle dit à Benji dans l’espoir qu’il arrête avant d’aller trop loin :

— Non, ne fais pas ça, enlève ta main, stp.

Mais sa résolution flanchait aussi vite que naissait un désir étrange en elle.

Quand elle sentit le doigt de Benji s’enfoncer dans son vagin humide, elle sentit ses jambes s’écarter comme-ci elle ne les contrôlait plus, elle s’agrippa à la table, et se cambra comme pour aider Benji à lui fouiller le vagin.

C’était plus fort qu’elle, un désir incontrôlable avait pris possession de son corps et elle s’offrait sans retenue à cet ado.

Elle le sentit lui retirer sa culotte, elle ne dit rien, et souleva les pieds pour l’aider à la débarrasser de ce sous-vêtement devenu gênant.

Elle avait les fesses à l’air et elle sentit Benji lui enfoncer un deuxième doigt dans la chatte, elle s’entendit lui dire :

— Oh, oui, continue.

Elle ne se reconnaissait pas, et quand Benji lui dit :

— Tu aimes qu’on te fouille la chatte, hein ma belle salope.

Elle ne put qu’admettre qu’elle était une salope, que pouvait-elle être d’autre si ce n’est une salope pour se faire fouiller la chatte par un ado, alors qu’elle était mariée et heureuse.

Et elle répondit à Benji :

— Oui, continue, c’est bon, fouille moi la chatte.

Elle ne comprenait pas ce qu’il lui prenait, jamais elle n’avait parlé comme ça, mais sentir les doigts de Benji lui ramoner le vagin, la faisait divaguer.

Pourtant elle avait écarté les cuisses encore plus et se cambrait comme une salope en chaleur, elle s’offrait sans retenue à cet ado.

Ils entendirent la porte d’entrée s’ouvrir, leur signalant que Paul était là, pourtant Clara ne demanda pas à Benji d’arrêter, comme toute femme vertueuse l’aurait fait, non, elle lui dit :

— Cache toi, il ne faut pas que Paul te voit.

Elle avait totalement abandonné sa morale et sa vertu au moment où Benji lui avait enfoncé un doigt dans la chatte.

Benji s’agenouilla derrière Clara, il passa sa tête sous sa jupe, lui écarta les fesses et plongea sa langue dans la chatte trempée de Clara.

Celle-ci poussa un cri de surprise teinté de plaisir.

— Oh, Ouiii

Au moment où Paul surgit à l’entrée de la cuisine, il ne voyait pas Benji sous la jupe de sa femme d’où il était, mais il demanda à Clara :

— Ça va, ma chérie ?

— Ouiii, non, euh, oui, oui, ne t’inquiète pas, je vais très bien, dit Clara qui prenait un plaisir énorme avec la langue de Benji qui lui bouffait la chatte.

Elle avait énormément de mal à contenir sa jouissance devant son mari, il fallait qu’elle se débarrasse de lui.

Mais Paul lui demanda :

— Tu n’as pas vu Benji ?

En sachant très bien qu’il était là, mais il se demandait ce qu’il était en train de faire, il lui avait demandé d’attendre encore un peu pour commencer à séduire sa femme.

Clara, dans un effort surhumain pour contenir sa jouissance, lui dit :

— Si, mais il a dû partir, tu devrais aller t’asseoir dans le canapé, je t’apporte à boire.

Paul obéit, en sachant très bien que Benji était en train de faire quelque chose à sa femme, il la trouvait trop étrange pour que ce soit naturelle, cela l’excitait de la voir dans cet état, et la seule chose qui le tracassait, c’était qu’est-ce que faisait Benji à sa femme pour qu’elle soit si perturbée.

Il réfléchit au moyen de le découvrir.

Pendant ce temps, Clara était soulagée d’avoir réussi à se débarrasser de son mari, et pouvait jouir sans retenue sous les coups de langue vicieux de Benji.

Elle se mordait les lèvres pour ne pas gémir bruyamment, elle tourna la tête vers ses fesses et souleva sa jupe pour voir Benji, le visage planté entre ses cuisses, en train de lui dévorer le clito.

Benji avait sorti sa queue de son short en léchant la chatte de Clara, mais celle-ci ne l’avait pas encore vu.

Quand il se redressa pour pouvoir lui enfoncer sa queue dans la chatte, elle fut complètement stupéfiée par la taille du sexe de Benji.

Elle avait bien compris qu’il voulait la baiser, et elle aussi en avait très envie, mais voir un tel engin s’apprêter à la pénétrer, lui fit un peu peur. Elle ne craignait pas d’avoir mal en sentant cette énorme bite s’enfoncer en elle, non elle avait peur de ne pouvoir se retenir de crier de plaisir avec un tel morceau au fond d’elle.

Donc elle dit à Benji :

— Attends, va dans la chambre et attends-moi, je vais servir Paul et je suis toute à toi après.

Benji remballa à contrecur sa queue, il prit la culotte de Clara avec lui et en dirigeant vers la chambre, il lui dit :

— Je prends ça avec moi, petite salope, va voir ton mari les fesses à l’air et rejoins moi vite pour te faire défoncer.

Clara ne se reconnaissait pas, elle qui était si chaste habituellement, elle venait se faire fouiller et bouffer la chatte comme la dernière des trainées, et le pire c’est qu’elle avait aimé ça et qu’elle s’apprêtait à aller encore plus loin dans son adultère.

Alors que Benji se dirigeait sans être particulièrement discret vers la chambre conjugale, Clara remit un peu d’ordre dans sa tenue et prépara un verre à son mari.

Elle trouvait cela étrange de se promener sans culotte, mais particulièrement excitant.

Mais quand elle se dirigea vers Paul avec son verre, elle se mit à craindre qu’il ne découvre qu’elle était nue sous sa jupe.

Elle posa son verre rapidement, et s’apprêtait à rejoindre son jeune amant, quand Paul lui dit :

— Attend ma chérie, je te trouve particulièrement ravissante aujourd’hui, tu as changé quelque chose ?

Clara devint blanche, elle crut que Paul avait découvert qu’elle était sans culotte, mais elle réussit à contrôler sa peur et lui répondit :

— Non, je suis juste de bonne humeur, aujourd’hui.

Paul n’insista pas, il avait deviné que Benji avait réussi à la rendre infidèle, et il avait vu sa femme blêmir, il craignait qu’en insistant trop, elle ne renonce à l’adultère.

Pourtant Paul bandait comme un fou, en imaginant sa femme si prude s’adonner à l’adultère, et encore plus avec un ado.

Il se dit que Benji avait un certain don pour dévergonder les femmes, même les plus prudes.

Clara s’éloigna de son mari, elle fut soulagée qu’il n’insiste pas, et pour ne pas être dérangée pendant qu’elle allait se faire baiser par Benji, elle dit à Paul avant de sortir du salon :

— Je vais faire une petite sieste, tu veux bien ne pas me déranger.

Paul sourit intérieurement, sachant très bien ce qu’elle allait faire, et lui répondit :

— Oui, ne t’inquiète pas, je vais mettre mon casque pour écouter de la musique.

Clara sauta presque de joie, elle allait pouvoir jouir sans risque que Paul l’entende crier de plaisir.

Mais Paul n’en fit rien, au contraire, il suivit sa femme et colla son oreille à la porte de la chambre pour écouter ce que sa femme s’apprêtait à faire.

Clara entra dans la chambre, elle resta médusée devant la porte en voyant Benji, totalement nu sur son lit, avec son énorme bite en totale érection. Elle fut si troublée de voir un si jeune garçon avec une si grosse bite, qu’elle en oublia de verrouiller la porte.

Benji lui dit :

— Eh bien, ma belle salope, j’ai failli attendre, allez, fous toi à poil que je puisse admirer ton corps magnifique.

Elle avait complètement laissée ses convictions morales aux oubliettes, sans réfléchir aux conséquences, elle se déshabilla et se retrouva nue devant son jeune amant.

Benji lui dit :

— Tu es magnifique, ça va être un véritable délice de te baiser, allez, approche, ma belle salope.

Sans comprendre sa réaction, Clara trouvait cela excitant quand Benji la traitait de salope, et avec ce qu’elle s’apprêtait à faire sans aucun remords, elle approuva son nouveau statut de salope.

Elle rejoignit Benji sur le lit conjugal, sans qu’il ait besoin de lui demander, elle prit sa grosse queue en main, et se mit à lécher sa grosse bite.

Clara se sentait une autre femme, elle était prude avec son mari, mais avec son amant, elle était une salope, alors elle allait se comporter en salope.

Alors elle se mit à lécher les couilles de Benji, elle léchait son énorme bite sur toute la longueur, elle sentait sa chatte en feu, elle ne se rappelait pas avoir été autant excitée.

Et d’un seul coup, elle vit Benji soulever les cuisses, pour dégager l’accès à son anus.

Celui-ci avait découvert la pratique de l’anulingus avec Sophie, et comme il y avait pris énormément de plaisir, il demandait souvent à ses partenaires de lui lécher le cul.

Mais Clara ne comprit pas ce qu’il voulait, alors il lui dit :

— Allez, bouffe-moi le cul, petite salope.

Sans trop réfléchir, Clara posa sa langue sur l’anus brun de Benji et commença à lui lécher le cul, elle découvrit qu’elle lui donnait beaucoup de plaisir avec sa langue sur son cul.

Alors elle insista avec le bout de sa langue sur l’anus de Benji, comme-ci elle voulait l’enculer avec sa langue.

Benji lui criait :

— Oui, c’est ça, salope, continue, vas-y, bouffe moi le cul, enfonce bien ta langue, sale pute.

Clara se découvrait des pulsions sexuelles totalement débridée, jamais elle n’aurait imaginé être capable de donner du plaisir à un homme en lui léchant l’anus, et pourtant, elle était à 4 pattes sur son lit conjugal en train d’essayer d’enfoncer sa langue dans le cul d’un ado, et elle y prenait un plaisir incroyable.

Elle tenait les fesses de Benji bien écartées pour pouvoir enfoncer sa langue vicieuse dans son cul, et elle sentit l’anus de Benji s’ouvrir sur la pointe de sa langue.

Sans même réfléchir à ce qu’elle pourrait rencontrer à l’intérieur du cul de Benji, elle enfonça d’avantage sa langue à l’intérieur.

Elle avait enfoncé plus de la moitié de sa langue dans le cul de Benji quand elle sentit un gout écurant sur sa langue.

Mais benji l’encourageait à continuer à enfoncer sa langue dans son cul, alors prise d’un incontrôlable désir de satisfaire son amant, elle plongea toute sa langue dans le cul de Benji.

Elle avait maintenant la bouche plaquée contre le cul de Benji et même si le goût infect n’avait pas disparu, elle se mit à fouiller le cul de Benji avec sa langue.

Benji n’en croyait pas ses yeux, cette superbe salope, qui avait l’air si chaste, était en train de lui fouiller le cul avec sa langue, et il prenait un pied incroyable en sentant cette langue vicieuse lui explorer l’anus.

Il lui cria :

— PUTAIN, C’EST BON SALOPE, CONTINUE, VAS-Y, BOUFFE MOI LE CUL, SALE PUTE.

Clara ne se reconnaissait pas, elle avait enfoncé sa langue dans le cul de cet ado, et se faisait insulter de salope et de pute, et elle y trouvait une jouissance inimaginable.

Paul avait entendu les cris de jouissance de Benji, il n’arrivait pas à croire ce qu’il entendait, alors il poussa la poignée de la porte de la chambre en espérant que sa femme ne l’ai pas verrouillée, et il fut ravi de sentir la porte s’ouvrir.

Il poussa la porte et regarda ce qu’il se passait sur son lit.

Il fut totalement sidéré de voir sa femme à 4 pattes, totalement nue, avec la bouche collée au cul de Benji. Paul connaissait la pratique de l’anulingus, Sophie lui avait fait découvrir, mais il n’avait jamais osé le proposer à sa femme, il savait qu’il se serait fait traité de gros pervers.

Et là, il la voyait en train de bouffer littéralement le cul de Benji, il ne put s’empêcher de sortir sa queue pour se branler devant ce spectacle particulièrement lubrique.

Benji sentit l’éjaculation approchée rapidement avec ce traitement extrêmement obscène que lui prodiguait Clara avec sa langue.

Mais il fallait qu’il la baise, alors presqu’à contrecur, il rabaissa les cuisses pour mettre fin à cet anulingus extraordinaire.

Clara avait un goût immonde sur la langue, et la seule chose qu’elle fit pour se nettoyer la langue, ce fut de pomper la queue de Benji.

Elle saliva abondamment, et se mit à baver sur la grosse bite de Benji pour effacer ce goût infect de sa langue.

La queue de Benji était couverte de salive, ça coulait jusqu’à ses couilles. Celui-ci regardait Clara lui pomper la queue, il vit Paul en train de se branler, dans l’entrebâillement de la porte.

Apparemment voir sa salope de femme pomper la queue d’un autre l’excitait énormément, alors Benji se dit qu’il était temps de passer à l’étape suivante, et il dit à Clara :

— Allez, salope, monte-moi dessus et enfonce ma queue au fond de ta chatte

Clara, totalement submergée par ses pulsions, obéit et remonta sur le ventre de Benji en l’enjambant, elle prit la grosse queue de Benji entre ses mains et la plaça à l’entrée de sa chatte en feu.

Elle commença à descendre sa chatte sur la bite de Benji, elle sentit sa chatte s’ouvrir comme jamais, elle continua à descendre et quand elle sentit le gland dans son vagin, elle dit :

— OH, mon dieu, qu’est-ce qu’elle est grosse, elle ne pourra jamais entrer jusqu’au fond.

— T’inquiète, salope, j’ai déjà dépucelé pas mal de salope avec cette grosse bite, et elles ont toutes adorées.

Clara sentait les parois de son vagin s’écarter sous la pression de la grosse queue de Benji, elle avait été dépucelée par Paul, et même s’il était plutôt bien équipé, la bite de Benji lui donnait l’impression de se faire dépuceler une nouvelle fois.

Son vagin épousait parfaitement les contours imposants de la queue de Benji, même si elle manquait de comparaison, Clara ressentait une sensation d’allégresse extraordinaire.

Jamais elle n’avait ressenti une telle sensation, même si Paul lui donnait du plaisir pendant leurs rapports, elle ne se souvenait pas avoir atteint un tel niveau de jouissance.

Quand elle sentit ses fesses toucher les cuisses de Benji, elle sentait cette énorme queue dans son ventre, elle avait l’impression d’être transpercée au plus profond d’elle, elle fut prise d’une étrange démence, elle posa ses mains de part et d’autre de la tête de Benji, et avant de plonger sa langue dans la bouche de son jeune amant, elle lui dit :

— Vas-y, défonce moi, baise moi comme une salope.

Mais Benji n’eut rien à faire, mise à part peloter les seins fermes de Clara, celle-ci montait et descendait sa chatte sur la queue de Benji, elle gémissait comme une folle, dans la bouche de Benji. Elle avait de plus en plus de mal à continuer à rouler une pelle à son amant, il fallait qu’elle cri son plaisir.

Alors elle relâcha la bouche de Benji, et se redressa en criant :

— OUIII, C’EST BONN, TA GROOSSSEEEE BIIITEEEE, BAISSEEE MOIIII

Paul qui regardait sa femme monter et descendre sa chatte sur la grosse queue de Benji, n’en revenait pas, il voyait la chatte de sa femme complètement écartelée par cette énorme bite, et quand il entendit Clara crier de plaisir, il ne put se retenir de jouir et éjacula sur le sol.

Jamais, il n’avait vu sa femme dans cet état, il était maintenant convaincu que Benji avait un talent inné pour transformer les femmes les plus prudes en grosses salopes.

Il continua à regarder sa femme se faire jouir sur la queue de cet ado aux talents exceptionnels, et il se dit qu’il pourrait peut-être se servir des talents de Benji pour accomplir quelques-unes de ses vengeances personnelles.

Clara était au comble du bonheur, elle continuait de monter et descendre sur la grosse queue de son jeune amant, elle sentait monter l’orgasme en elle, elle accéléra les pénétrations en criant de plus en plus fort sa jouissance.

Quand d’un seul coup, elle sentit son corps se mettre en trembler, elle sentit son vagin se contracter sur cette énorme bite dans son ventre, et elle hurla :

— OUIIII, JEEEE JOUIIIIISSSSS

Benji avait l’habitude de voir une femme avoir un orgasme et il avait appris à se retenir de jouir en sentant sa queue comprimée par le vagin de la femme qu’il faisait jouir.

Clara s’écroula sur son amant, complètement épuisée, par cet orgasme foudroyant. Mais la queue de Benji était toujours plantée en elle.

Benji la laissa tranquille sur son petit nuage, il fit un signe de victoire à Paul, qu’il le lui rendit,

Même s’il était satisfait de la tournure des évènements, Paul se demandait dans quel état il allait retrouver sa femme à la fin de la journée, comment elle allait réagir quand Benji serait parti et son excitation retombée, et surtout jusqu’à quel point Benji allait dévergonder sa femme.

Il commençait à craindre que son plan, ne se retourne contre lui, et qu’il ne puisse plus contrôler sa femme, devenue une grosse salope.

Mais Clara redescendait doucement de son petit nuage, et en sentant toujours cette énorme queue dans sa chatte, elle dit à Benji en lui caressant la joue :

— Tu m’as faite jouir comme jamais

— J’adore baiser les salopes en chaleur, lui dit Benji

— J’adore quand tu me traites de salope, lui dit Clara en recommençant à bouger sa chatte sur la queue de son amant.

— C’est parce que tu es une belle salope.

— Oui, j’avoue, je suis une salope, je couche avec un autre homme alors que mon mari est à côté, mais tu me fais tellement de bien avec ta grosse bite, dit Clara qui recommençait à gémir de plaisir.

— Qu’est-ce que tu ferais si ton mari te surprenait avec ma queue au fond de ta chatte de salope ?

Paul tendit l’oreille, pour bien entendre la réponse de sa femme.

Clara semblait réfléchir, mais la queue de Benji qui coulissait en elle, la troublait tellement qu’elle répondit :

— Je continuerais à baiser avec toi, elle est trop bonne ta grosse queue.

— On va changer de position ma petite salope, je vais te prendre comme une petite chienne en chaleur, lui dit Benji avec une idée vicieuse derrière la tête.

— D’accord fit Clara, qui se redressa pour retirer la queue de son amant de sa chatte.

Elle ressentit un étrange vide en elle quand la grosse bite de Benji quitta sa chatte, celui-ci lui dit :

— Mets-toi à 4 pattes, ma petite pute, je vais te prendre comme une chienne en chaleur.

Clara Obéit et se plaça à 4 pattes, comme le lui demandait son amant. Elle ne se reconnaissait plus, plus Benji l’insultait en la traitant de pute, de salope, ou de chienne en chaleur, et plus elle se comportait comme telle, et sans ressentir la moindre honte.

Alors que quelques heures auparavant, elle aurait été outrée d’être traitée de la sorte, et elle aurait giflé le fautif, mais là, sur son lit, nue, avec son jeune amant, elle lui obéissait, et prenait plaisir à se faire traiter de pute ou de salope.

Elle se sentait devenir une nouvelle femme, plus libre, plus décomplexée, et étonnamment ce changement la comblait pleinement.

Benji se mit à genou derrière Clara, et plaça sa queue à l’entrée de la chatte de celle-ci.

Clara avait la tête tournée vers l’entrée de sa chambre, Paul était visible, mais Clara ne pensant pas le trouver ici, n’avait pas fait attention, toute son attention était portée vers ses fesses, elle était impatiente de sentir la queue de Benji de nouveau au fond de sa chatte.

Elle se sentait chienne, et elle avait hâte de se faire prendre comme telle.

Quand elle sentit la grosse queue de Benji contre sa chatte, elle lui dit :

— Oui, vas-y, enfonce ta grosse bite, baise moi.

Ni Paul, ni Clara n’aurait cru entendre ses paroles sortir de la bouche de Clara, un jour, mais depuis qu’elle avait laissé Benji lui retirer sa culotte dans la cuisine, elle avait commencé à plonger dans un monde de débauche et maintenant qu’elle avait gouté à sa grosse queue au fond d’elle, elle avait accepté de devenir sa salope, sa pute, sa chienne, et c’est comme une chienne en chaleur qu’elle allait se faire prendre.

Paul avait repris sa branlette en regardant sa femme à 4 pattes, prête à se faire baiser comme une chienne, et sa queue rebandait devant ce spectacle de débauche.

Benji enfonça sa grosse bite au fond de la chatte de Clara, qui poussa un long râle de plaisir, quand sa queue fut complètement enfoncée dans le ventre de Clara, il se pencha sur elle, pour aller peloter ses superbes seins, et lui dire à l’oreille :

— Regarde, ma petite chienne, on a un voyeur.

Et tandis que Benji pinçait ses tétons durcis d’excitation, lui provoquant des frissons de jouissance, elle tourna le regard vers la porte et vit son mari en train de se branler, en la regardant se faire prendre comme une chienne, elle remarqua les traces de sperme au sol, lui indiquant qu’il devait la mater en train de se faire baiser depuis un bon moment.

Etrangement, elle ne fut aucunement embarrassée de se retrouver devant son mari à 4 pattes, nue, avec la bite d’un autre au fond d’elle.

Elle regardait Paul en train de se branler et dit à Benji :

— Vas-y, baise moi, ça l’excite de me voir me faire prendre par un autre.

Et elle n’avait pas tort, Paul était fou d’excitation en regardant sa femme devenir une grosse salope en chaleur.

Benji enfonça le clou, en disant à Clara :

— C’est ton mari, qui m’a demandé de venir te baiser.

Clara jeta à Paul un regard diabolique, elle analysait cette révélation, elle était partagée entre la colère et le plaisir, et elle dit à Benji :

— Alors, vas-y, défonce moi comme une chienne devant ce cocu.

Benji se redressa et s’agrippa aux hanches de Clara pour commencer à donner de puissants coups de rein, lui provoquant des cris de plaisir.

Clara n’eut pas besoin de forcer pour manifester sa jouissance devant son mari, la grosse queue de Benji qui lui ramonait la chatte, lui procurait tellement de plaisir qu’elle criait sa jouissance sans retenue :

— OUIII, C’ESST BOONN TAA GROSSE BITEEE, DEFONCEE MOIII LA CHAAATTEEE

Clara était déchainée, Benji accéléra les pénétrations, accentuant si c’était encore possible les cris de plaisir de Clara.

Ses fesses claquaient à chaque coup de bite. Benji se mit à lui mettre des claques sur ses superbes fesses, en lui disant :

— Tu aimes ça, te faire baiser comme une chienne devant ton mari, sale pute.

Les claques de Benji sur ses fesses lui provoquaient une jouissance extrême, elle se mit à envoyer ses fesses au-devant de la grosse bite qui lui défonçait la chatte et elle se mit à hurler :

— OUIII, OUIII, ENCOREEEE, DEFONCE MOIII, BAISE MOII COMME UNE CHIENNE, PLUS FORT, DEFONCEE MOIII.

Paul crut qu’il allait jouir une nouvelle fois, en voyant sa femme jouir comme une folle.

Mais Benji, qui avait envie de faire plonger Clara encore plus loin dans la luxure, et profitant de l’état d’excitation avancé de celle-ci, commença à lui titiller l’anus. Rapidement il lui enfonça un doigt dans le cul.

Clara était tellement excitée, qu’elle ne refusa pas le doigt de Benji qui s’enfonçait dans son cul, et elle fut rapidement en train de faire coulisser sa chatte en feu sur la grosse queue de Benji, tandis qu’un doigt coulissait dans son cul.

Et en signe d’approbation, Elle se mit à lui crier :

— OUIII, CONTINUE, VAS-Y, FOUILLE MOI LE CUULLL

Paul n’en revenait toujours pas du changement radical du comportement de sa femme, il avait deviné l’intention de Benji, et contrairement à lui, qui n’avait jamais réussi à enculer sa femme, qui lui avait toujours refusé cette pratique, il sentait que Benji allait réussir à dépuceler le cul de sa femme, malgré sa queue hors norme.

Benji enfonça un deuxième doigt dans le cul de Clara, qui continua à se ramoner les deux orifices, simultanément.

Clara était encore vierge de l’anus, et sentir les doigts de Benji dans son cul, tandis que son mari regardait en se branlant, lui procurait une allégresse étrange, elle avait toujours refusé à son mari de l’enculer.

Mais elle voulait se venger de son mari qui avait comploté pour qu’elle se fasse baiser par Benji, et même si elle y prenait beaucoup de plaisir, elle avait envie de laisser Benji lui enfoncer sa grosse bite dans le cul.

Alors quand elle sentit son cul suffisamment dilaté par les doigts de Benji, elle lui dit en regardant son mari dans les yeux :

— Vas-y, tu peux me la mettre dans le cul, j’ai envie que tu m’encules, défonces moi le cul, comme une grosse salope.

Paul était complètement anéanti, il regarda Benji enlever ses doigts du cul de sa femme, sortir sa grosse queue luisante de cyprine, pour la placer contre l’anus de Clara.

Quand elle sentit Benji pousser sa grosse bite dans son cul, elle lui dit :

— Mmmm, Ouiii, vas-y, enfonce la bien au fond de mon cul, tu es le premier à me mettre une bite par là.

Benji poussa pour faire rentrer son gland dans l’anus encore vierge de Clara, celle-ci complétement enivrée par son envie de vengeance et de plaisir mélangé, ne ressentit pratiquement aucune douleur en sentant le gland lui écartelé le rectum.

Elle regardait Paul dans les yeux, en sentant Benji s’enfoncer dans son cul. Quand elle sentit le gland bien planté entre ses fesses, elle poussa un long gémissement de plaisir, et dit :

— Mmmm, ouiii, c’est bon ta grosse bite dans mon cul de salope, vas-y, enfonce la jusqu’au fond

Benji ne se fit pas prier, et continua à enfoncer sa bite dans le cul de Clara, c’était la première sodomie pour Clara, mais elle savait déjà que ce ne serait pas sa dernière, en sentant la queue de Benji lui remplir le cul, elle sentit de nouveau monter en elle une jouissance hors norme.

Et avant même que Benji eut finit de lui enfoncer complètement sa queue dans le cul, elle poussa ses fesses en arrière pour accélérer l’introduction de cette grosse bite au fond de son cul.

Elle dit en regardant Paul :

— Qu’est-ce que c’est bon, une bonne bite dans le cul.

Paul, toujours en train de se branler devant sa femme en train de se faire enculer, lâcha de nouvelles giclées de sperme sur le sol, il n’arrivait pas à se retenir de jouir devant sa femme qui devenait totalement nymphomane.

Clara fut étrangement très satisfaite d’avoir fait jouir son mari, en se faisant enculer par un autre homme.

Elle dit à Benji :

— Vas-y, défonce-moi le cul.

Benji ne se fit pas prier, et commença à enculer doucement Clara, mais celle-ci était complètement obsédée par son mari qui la regardait se faire prendre le cul.

Elle se mit à accélérer elle-même les pénétrations, et se mit rapidement à hurler de plaisir :

— OUIIIII, VAS-YYYY, DEFONCE MOIII LE CULLL, ENCOOREEEE, PLUS FOORRRTTTT

Les allers-retours de la bite de Benji dans le cul de Clara, furent rapidement très violents, les fesses de Clara claquaient à chaque pénétration. Elle hurlait de jouissance.

Elle posa les épaules sur son lit, et alla s’écarter les fesses pour que la grosse bite de son amant s’enfonce le plus loin possible dans son cul.

Paul avait une vue magnifique sur le cul de sa femme ravagé par l’énorme bite de Benji.

D’un seul coup, elle eut un orgasme prodigieux, elle sentait sa chatte éjaculer des flots de cyprine sans interruption. Son lit fut complètement trempé par sa jouissance intense.

Jamais elle n’avait joui aussi fort, elle était de nouveau sur un petit nuage de bonheur, elle découvrait que la luxure pouvait lui apporter une ivresse fantastique.

Mais quand Benji lui dit :

— Je vais jouir dans ton cul, ma petite salope.

Clara eut comme un déclic démoniaque en elle. Ils essayaient depuis plusieurs mois d’avoir un enfant avec Paul, elle avait arrêté de prendre la pilule, sans résultat pour le moment, elle se dit que si elle tombait enceinte de son amant, ce serait sa vengeance ultime.

Elle dit à Benji :

— Mets-moi ton sperme au fond de la chatte, je veux que tu me foutes enceinte, ce cocu n’en est pas capable.

Benji hésita, il ne voulait pas particulièrement être papa à 18 ans, mais Clara insista :

— Allez, remplis moi le vagin, fais-moi un môme, ce cocu s’en occupera pendant que tu me baiseras.

En s’imaginant baiser Clara, pendant que Paul s’occuperait du gosse, Benji retira sa queue du cul de Clara et lui enfonça directement au fond de la chatte, il se vida aussitôt les couilles au fond de son vagin. Benji arrivait maintenant à contrôler parfaitement son éjaculation, il était capable de baiser pendant plusieurs minutes et de jouir quand il voulait.

Clara, en sentant sa chatte de faire remplir par le sperme de Benji, cria à Paul :

— Oui, il me remplit bien la chatte avec son sperme, il va me mettre enceinte, pas comme toi, espèce de couillon.

Et quand les giclées de sperme de Benji se tarirent, ils s’écroulèrent tous les deux, complètement épuisés par cette baise intensive.

La bite de Benji s’était ramollie mais gardait tout de même une belle taille. Clara se lova contre son jeune amant, en sentant son sperme suinter de sa chatte.

Elle eut une idée diabolique, et dit à benji en lui caressant la queue ramollie :

— Dis, tu ne voudrais pas rester ici cette nuit, tu pourrais me baiser toute la nuit, me remplir encore la chatte avec ton sperme, et ce cocu pourrait nous regarder baiser.

— Euh, pourquoi pas, mais il faut que j’appelle ma mère pour la prévenir. Et ton mari est d’accord ?

— Il n’a rien à dire, il voulait que tu me baises, tu vas me baiser toute la nuit comme une grosse salope. J’ai encore envie de ta bite au fond de ma chatte, dit Clara en lui branlant la queue, pour essayer de la refaire bander.

Benji récupérait rapidement et sa queue fut vite bien raide entre les mains douces de Clara.

Benji lui dit :

— Ok, je pourrais avoir le téléphone ?

Clara se tourna vers Paul et lui dit :

— Va chercher le téléphone, cocu, que mon jeune amant puisse me baiser toute la nuit.

Paul se dirigea vers le salon comme un automate, la bite à l’air et alla chercher le téléphone.

Quand il revint dans la chambre, sa femme était à 4 pattes, en train de pomper la bite de Benji, il tendit le téléphone à celui-ci, et voulut caresser les superbes fesses de sa femme.

Mais celle-ci, lui donna une claque sur la main et dû arrêter de sucer la queue de Benji pour lui dire :

— Pas touche, cocu, ce soir, je ne suis plus ta femme, je suis la pute de mon amant, il peut me la mettre où il veut, et avec un peu de chances, il mettra enceinte, ce que tu n’arrives pas à faire, allez va t’asseoir et regarde ta salope de femme se faire baiser comme une chienne.

Paul n’en croyaient pas ses oreilles, jamais il n’aurait pu imaginer entendre sa femme lui parler ainsi.

Mais il lui obéit et alla s’asseoir sur un fauteuil, la regardant recommencer à tailler une pipe à Benji, alors qu’il appelait sa mère.

Comme prévu, la mère de Benji ne vit aucun inconvénient que son fils reste chez son professeur pour étudier, mais il avait prévu d’étudier une autre matière que les maths, et il allait étudier avec la femme de son prof, ou plus précisément à l’intérieur de la femme de son prof.

Clara lui pompait la queue comme une affamée de bite quand il raccrocha, il lui dit :

— Vas-y, salope, bouffe moi la bite, et en attendant notre cocu de service pourrait nous apporter à manger.

Clara se redressa et dit :

— Oui, bonne idée, allez, cocu, va nous préparer un bon petit repas, pendant que ta femme se fait bien baiser.

Paul se leva et obéit, il était pris à son propre piège, sa femme était devenue complètement nymphomane, mais son nouveau statut de cocu de service lui procurait une étrange excitation.

Il alla préparer le repas, en entendant sa femme jouir sous les coups de queue de Benji.

Quand il revint avec le repas, sa femme était à califourchon sur Benji et montait et descendait sur sa grosse bite. Elle gémissait de plaisir sans aucune retenue.

Paul qui avait débandé en préparant le repas, sentit sa queue se durcir de nouveau devant ce spectacle voluptueux.

Il dit :

— Le repas est prêt.

Clara tourna son visage qui respirait la jouissance vers lui, et lui dit :

— Merci, mon cocu, pose le sur la table, dès que j’aurais encore la chatte bien remplie, on mangera.

Benji qui commençait à avoir très faim après toutes ces activités physiques, lui dit :

— J’ai faim, si tu veux, on peut manger en baisant.

— Oui, bonne idée, donne nous à manger pendant qu’on baise, mon cocu.

Paul obéit, la queue bien raide, il donna à manger et à boire à sa femme et à son amant pendant qu’ils baisaient sauvagement.

Benji et Clara, après s’être restauré de façon plutôt acrobatique se déchainèrent sur le lit conjugal, ils baisèrent comme deux bêtes en rut, Clara en redemandait toujours plus, il lui jouit dans la chatte, dans la bouche, dans le cul, elle avait du sperme qui lui coulait un peu partout sur le corps. Mais Clara semblait insatiable.

Benji commençait à être à bout de force, le cul et la chatte de Clara étaient ravagés. Et il sentait sa vessie qui demandait à être soulagée.

Il dit à Clara qui était en train de lui pomper la queue :

— Il faut que j’aille aux toilettes pour me soulager

— D’accord, je t’accompagne, j’ai envie de te voir en train de pisser, lui dit Clara, qui était couverte de sperme séché.

Quand ils arrivèrent dans la salle de bain, Clara eut une idée obscène, alors que Benji se dirigeait vers les toilettes, elle lui dit :

— Attends.

Benji fut surpris, et regarda Clara, qui montait dans la baignoire, elle lui dit :

— Viens ici, et soulage-toi sur moi.

Benji n’avait jamais pratiqué ce genre de chose, et fut un peu surpris par la demande de Clara, mais la voir à genou dans la baignoire, en train de se caresser les seins, en attendant qu’il lui pisse dessus, le convaincu.

Il la rejoignit dans la baignoire, et dirigea sa queue vers ses seins, il décontracta ses sphincters, un jet doré jaillit de sa queue et percuta les superbes seins de Clara.

Celle-ci sentit le jet chaud d’urine lui recouvrir les seins, elle se les caressait en même temps, elle découvrait une nouvelle sensation emplie de plaisir et d’abandon total.

Paul s’était rapproché et regardait sa femme se faire uriner dessus, il sentit son sperme bouillonner dans ses couilles devant ce spectacle particulièrement dégoûtant.

Benji remonta le jet d’urine vers le haut des seins de Clara, qui comprit aussitôt où il voulait aller, elle ouvrit la bouche en signe d’obéissance, Benji continua à remonter, il urinait maintenant sur le cou de Clara, puis sur son menton, et enfin directement dans sa bouche.

Cette salope en chaleur se mit à avaler l’urine de Benji, comme une assoiffée, Benji lui recouvrit le visage et les cheveux avec sa pisse, elle le laissa la baptiser avec son urine.

Et quand Benji eut finit d’uriner, elle se lécha les lèvres comme une grosse salope.

Paul ne put résister plus longtemps et éjacula une nouvelle fois, mais il était tellement proche de sa femme couverte d’urine que son sperme atteignit la joue de sa femme.

Clara se tourna vers lui, lui attrapa la queue, elle lui avala la bite et lui pompa jusqu’à lui vider complètement les couilles.

Paul posa ses mains sur les cheveux de sa femme imbibés d’urine, et il envoya de puissantes giclées de sperme dans la bouche de sa salope de femme.

Clara avala tout le sperme de son mari, c’était la première fois qu’elle goutait au sperme de Paul, jusqu’à aujourd’hui, elle avait toujours refusé qu’il jouisse dans sa bouche, et elle lui suçait que très rarement la bite.

Mais elle était devenue une nouvelle femme depuis qu’elle avait gouté à la luxure, et à la débauche.

Une fois que Paul eut finit de jouir, elle ressortit sa queue de sa bouche et lui dit :

— C’est parce que tu as été sage, tu méritais une petite gâterie, mais maintenant, faut que je me douche et on va dormir, sinon on sera crevé demain.

Benji resta avec elle pour se doucher, elle lui dit :

— J’ai adoré que tu me pisses dessus, c’était incroyable.

— Je n’avais jamais fait ça avant, mais j’ai bien aimé aussi,

— Allez faut qu’on se nettoie, et après dodo.

Ils prirent une douche ensemble, et retournèrent sur le lit complètement ravagé de leurs ébats intenses.

Clara dit à Paul :

— Tu vas dormir par terre, comme un bon cocu, Benji et moi dormiront ensemble et s’il veut me baiser dans la nuit, je suis toute à lui.

Mais Benji et Clara étaient tellement crevés qu’aucun des deux ne se réveilla en pleine nuit pour baiser de nouveau.

Paul dormait comme un bon petit toutou au pied de son lit, alors que sa femme dormait paisiblement avec son amant.

Au petit matin, Paul fut réveiller par des gémissements, en se réveillant au pied de son lit, il se remémora rapidement les évènements de la veille. Il devina que sa femme était encore en train de baiser avec Benji.

Et il eut la confirmation, en se redressant et en voyant sa femme à califourchon sur Benji qui montait et descendait sa chatte sur la grosse queue de son amant.

Paul fut complètement réveillé pour voir Benji éjaculer de nouveau au fond de la chatte de sa femme.

Elle entendit sa femme dire à son amant :

— Avec tout ce que tu m’as mis au fond de la chatte, je suis sûre que je vais être enceinte de toi.

Clara se dégagea de la queue de son amant et vit que son mari les regardait, elle écarta les cuisses de façon obscène et dit à Paul :

— Regarde, mon cocu, regarde comment Benji m’a bien fourré la chatte avec son sperme, je vais être enceinte de lui, et tu vas élever son enfant comme-ci c’était le tien.

Paul ne répondit pas, mais opina de la tête pour approuver la décision de sa femme infidèle.

Tout le monde se leva, ils prirent le petit déjeuner ensemble totalement nus, Clara joua discrètement avec la bite de Benji, il dut lui dire :

— Arrête ou je vais être obligé de te baiser sur la table.

— Mmmm, ne me tente pas, lui répondit-elle en continuant de branler la bite de Benji, qui gonflait rapidement entre les doigts agiles de Clara.

Benji finit rapidement son petit déjeuner, il se leva et souleva Clara, pour la plaquer à plat ventre sur la table, elle alla s’écarter les fesses avec ses mains et lui dit :

— Oui, vas-y, fourre moi encore avec ta grosse bite

Benji enfonça sa queue dans la chatte de Clara d’une seule poussée, lui faisant pousser un râle de jouissance. Paul était juste devant Clara et la regardait jouir de nouveau avec la queue de Benji.

Il se dit qu’elle n’en avait jamais assez, elle qui n’était pas très portée sur le sexe, la veille encore, était devenue une nymphomane en moins de 24h.

Benji lui dit :

— Fourre lui ta queue dans la bouche à ta salope de femme, ça lui fera du bien d’avoir deux bites rien que pour elle.

C’était une première pour Clara, mais l’idée la séduisit instantanément, elle ouvrit la bouche impatiente de sentir la bite de son mari dans sa bouche pendant qu’elle se faisait baiser la chatte par Benji.

Ce fut une véritable révélation pour elle, elle se sentait prise des deux côtés, elle se mit à attraper son mari par les fesses pour qu’il s’enfonce plus profondément dans sa bouche.

La bite de Benji lui défonçait la chatte, alors que celle de son mari toucha sa glotte, mais prise d’une insatiable envie de jouissance, elle appuya d’avantage sur les fesses de Paul pour qu’il s’enfonce encore, et elle reçut pour la première fois, une bite dans sa gorge. Son nez finit par s’enfoncer dans les poils pubiens de son mari.

Paul fut pris d’une envie inco

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