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Tata Laurence et Mamy Geneviève – Chapitre 3




Salut c’est votre folle de lycra

Dans les chapitres précédents, je vous racontais comment tata Laurence et mamie Geneviève m’avaient dévergondé. C’est à l’occasion d’une sortie à la piscine que j’ai découvert le travestissement, j’ai commencé par essayer une culotte puis cela a dégénéré jusqu’à porter une robe. Grâce à elles, j’ai aussi perdu mon pucelage je les ai honorées toutes les deux, le même jour. J’ai aussi commencé à apprécier de sentir les petites culottes souillées, mais surtout savourer le fait d’être habillé en femme. Mamie et tata ont réussi à convaincre ma mère de me laisser partir avec elles, le weekend d’après, pour gagner du temps elles sont carrément venues me chercher le vendredi soir. J’aimais vraiment les rapports incestueux que j’avais avec ces deux femmes, une fois arrivé sur place il ne m’a pas fallu bien longtemps pour me transformer en femme, elles se sont chargées de la finition. Une fois l’opération terminée il n’y avait trois femmes dans la maison de campagne, nous sommes ensuite passés à table, j’avais vraiment la sensation d’avoir changé de sexe.

Alors que j’étais totalement habillé en femme ce vendredi après le repas un monsieur prénommé Claude est arrivé il était l’invité de Geneviève. Dès qu’il est entré, pour la première fois de ma vie j’ai embrassé un homme et c’était un baiser gourmand. Quelques instants plus tard, le mâle de ce quatuor s’est retrouvé assis dans le canapé entouré des deux vraies femmes qui s’étaient chargées de lui sortir le sexe et lui mettre en érection. Invité par tata et mamie, je déposais mon premier baiser sur le sexe d’un homme, ce dernier devait être comblé car il avait trois femmes en chaleur pour lui. À le voir, il avait l’impression d’apprécier les deux vraies femmes mais ce qui l’excitait le plus c’était moi, l’ancien homme qui était en train de découvrir les plaisir d’être une femme. Je découvrais l’odeur et le goût de son sexe petit à petit, maintenant j’avais la bouche pleine pendant que les deux femmes l’embrassaient à tour de rôle. Celle qui était inoccupée se chargeait de mon perfectionnement dans l’art de la fellation. Il n’y a pas à dire j’adorais l’odeur de sexe qui émanait de son entre-cuisse, maintenant son sexe allait et venait dans ma bouche et ma langue prenait du plaisir à effleurer son sexe dans le but de lui donner de bonnes sensations.

J’étais maintenant à genoux entre les jambes de Claude, mes main étaient appuyées sur ses cuisses, je n’avais plus besoin de l’aide, ni de Mamie ni de Tata pour aller et venir sur son dard. À le sentir donner des coups de reins dans ma bouche, j’étais conscient que maintenant je lui faisais du bien.

— Cette nouvelle fille est une véritable salope.

— J’ai l’impression que cela fait dix ans qu’elle suce des bites.

Claude parlait de moi au féminin et cela m’excitait plus encore, les deux vraies femmes prenaient ça comme un compliment. Puis j’ai senti le dard se contracter j’en ai conclu qu’il allait me balancer la purée dans quelques instants au fond de la gorge. J’ai voulu me retirer mais Claude m’a fermement retenu la tête et il m’a dit qu’il voulait que je garde toute la semence dans ma bouche, avant qu’il me dise d’avaler. Ça y est, maintenant il était en train de se vider dans ma bouche le goût était amer et salé et je sentais ma cavité buccale se remplir. Pour la première fois de ma vie, je venais de satisfaire un homme, le pire c’est que bien que j’ai la bouche pleine et qu’il ait fini de se vide et j’ai continué à le sucer.

En plus d’être habillé comme une femme, je devenais gourmande de sexe masculin. Ah si ma maman savait ce que Tata et mamie avaient fait de moi en si peu de temps. Je venais de me retirer du sexe de Claude, mais j’avais toujours sa semence dans la bouche depuis maintenant plusieurs minutes. Ma langue et mes dents baignaient dans son sperme en attendant qu’il me dise ce que je devais en faire. À ma grande surprise tata et mamie sont venues m’embrasser pour me voler un peu de semence et c’est seulement ensuite que Claude m’a autorisé à tout avaler. Il m’a fallu deux gorgées pour me débarrasser de cette précieuse liqueur, les deux femmes et Claude me regardaient avec un sourire. Je venais de rentrer dans le clan des pompeuses de glands, j’avais l’impression que Tata et mamie me regardaient avec admiration, elles avaient l’air d’être fières de moi. Quand tout le monde a repris ses esprits je me suis retrouvé assis sur les genoux de Claude, il me caressait à travers ma robe et il me faisait énormément d’effet.

Il jouait avec mon sexe et les deux femmes me caressaient le reste du corps, ces attouchements de différentes provenances réveillaient en moi le désir. Mamie a décidé que, vu que nous avions le ventre plein, que j’avais eu mon bain de bouche, il était temps maintenant que nous allions nous coucher. Nous nous sommes tout les quatre relevés, à ma grande surprise Claude m’a pris par la taille pour m’emmener dans une chambre, cela voulait dire qu’il connaissait bien la maison. Il m’avait saisi comme l’on saisit sa femme, avec une idée coquine derrière la tête, et je n’ai pas eu d’autre choix que de le suivre. J’ai eu le droit quand même à un baiser gourmand de la part de mamie et tata avant de les quitter. Une fois arrivés dans la chambre, Claude m’a invité à me déshabiller, chose que je fis, en commençant par mon peignoir. C’est à ce moment que Laurence est arrivée pour m’enlever en expliquant à Claude que je n’étais pas opérationnel. Je suis arrivé dans la chambre des filles, là Geneviève m’a fait finir de me dénuder pour me faire enfiler un body fendu au milieu, mais surtout avec des attaches pour des bas.

Quand Laurence m’a vu, elle m’a dit que maintenant j’étais opérationnel et elle m’a renvoyé dans la chambre où m’attendait Claude. Il m’a accueilli en m’embrassant avec passion mais aussi en me plaquant contre lui, il avait une érection et la mienne est revenue en quelques instants; il n’y a pas à dire, il avait envie de moi et j’ai l’impression que moi aussi je le désirais. C’était vraiment très agréable de se sentir la proie d’un si bel homme, dans ma tête l’idée n’arrêtait pas de me travailler, celle que ce que je vivais avec cet homme était complètement manigancée par Laurence et Geneviève. Quand on croisait ces deux femmes dans la rue ou quand on parlait avec elles, pas une seconde on ne pouvait imaginer combien elles étaient portées sur le sexe. Je ne sais pas vraiment si j’étais une victime de leur machination ou elles me donnaient la chance de ma vie de vivre ma sexualité. Je me sentais maintenant totalement offerte à Claude, il me traitait comme sa femme avec beaucoup de douceur et d’attention, dans l’état d’excitation où j’étais maintenant j’avais envie de m’offrir à lui.

Je savais que si je me laissais aller, si je m’offrais totalement à lui cette nuit, il allait me féconder, il allait faire de moi une femme offerte, il allait me faire découvrir le plaisir de la pénétration et sans doute j’allais y prendre goût. Qu’à cela ne tienne, j’étais majeur et je savais ce que je faisais de plus tata et mamie étaient là et je leur faisais confiance. Le body était conçu de telle façon à ce que la fente soit à l’arrière, de telle sorte à ce que mon sexe soit quand même retenu par cette douce matière qu’est le lycra. Ainsi vêtu, je me savais appétissante et il ne s’est pas privé de me le faire savoir en me caressant, mais surtout en me glissant ses doigts entre les fesses. Grande fut ma surprise de constater au combien mon petit cul était excité, oh combien mon petit cul appréciait ses caresses, oh combien mon petit cul désirait que Claude aille plus loin. Je me sentais maintenant chaud comme la braise, à vrai dire je désirais que maintenant il me prenne, peut-être sauvagement. Quand il m’a invité à ce que nous allions nous coucher, j’au su à ce moment-là, que je ne pourrais plus faire marche arrière. En tant que femelle soumise, docile et obéissante, je suis parti m’allonger et il m’a rejoint quelques secondes après.

Il se mit à caresser mon corps pendant de très longues minutes, je n’arrêtais pas de bander toujours plus fort, j’avais envie qu’il aille plus loin tout de suite, mais il savait se faire désirer. J’étais consciente que c’est lui qui déciderai quand le moment sera venu de s’occuper de moi, maintenant il était venu se coller dans mon dos et je sentais la chaleur de ton corps me réchauffer l’arrière du mien. De ses mains puissantes il m’avait tiré à lui pour que je sois bien imbriqué contre les moindres recoins de son corps. Tout en me plaquant contre lui, il en profitait pour me caresser, le moindre de ses effleurements me faisaient onduler du corps, il aurait fallu être aveugle pour ne pas voir combien je le désirais. Maintenant il n’avait plus besoin de m’attirer à lui, c’est moi qui venait me blottir contre son corps réconfortant. Bien évidemment je sentais que son désir était de plus en plus gros et que ce désir allait bientôt me pénétrer. J’avais maintenant levé une jambe, pour qu’il puisse venir positionner son sexe contre mon petit cul et aussi contre mes boules. Désormais sa queue était prisonnière de mes jambes, maintenant son sexe était décalotté et je pouvais venir lui chatouiller le prépuce.

Lui aussi profitait maintenant de la douceur de mon body pour venir promener ses mains le long de mon corps. J’avais l’impression que tout mon corps était une zone érogène tant il me faisait du bien, j’avais envie qu’il ne s’arrête jamais. Claude s’est mis à me titiller la pointe de mes seins, jamais je n’aurais cru qu’ils pouvaient être aussi sensibles et aussi érigés. J’en étais à me demander si je n’allais pas jouir tellement il me les malaxait et me le triturait bien. Je sentais son souffle dans mon cou et il me disait des mots doux qui me faisait beaucoup d’effet, il ne me parlait qu’au féminin.

— Détends-toi ma belle je vais te faire ça tout en douceur.

— Je veux que tu prennes du plaisir dès la première fois, pour que tu aies envie de remettre ça le plus vite possible.

— Les préliminaires sont longs, mais le plaisir sera intense.

— Je veux faire en sorte que la première se passe bien, pour que tu veuilles remettre ça le plus vite possible.

— Quand Laurence a vu combien tu étais soumis, elle a tout de suite pensé à moi pour me charger de ton éducation.

Pendant qu’il me parlait à l’oreille avec sa voix douce et rassurante, que son bras droit me caressait un téton; son autre main était maintenant partie me lubrifier mon petit trou avec de la salive. Je sentais que les préliminaires étaient en train de prendre fin et que l’acte final arrivait à grand pas. De temps à autre, il lui arrivait de glisser sa main à l’intérieur de mon body pour venir me caresser mon sexe, à chaque fois ce dernier n’attendais que ça. J’étais tellement excité que lors de son dernier passage il a pu constater que j’avais déjà balancé un peu de liquide préséminal, au fond de lui cela devait vouloir dire que j’étais bon à tirer. Là il s’est légèrement reculé pour pouvoir venir me caresser mon entre fesses bien lubrifié avec son sexe. Je le sentais maintenant monter et descendre le long de ma vallée intime qui regorgeait de salive. En fait il se promenait le long de l’ouverture qui était faite dans mon body, n’ayant pas vraiment le système pileux très développé, je sentais à merveille son sexe au contact de ma vallée du désir.

Je sentais aussi ses coups de reins, je me disais qu’une fois qu’il serait en moi à chaque coup, il irait très loin. De temps à autre Claude me caressait mes jambes gainées de bas voile, cela me faisait des frissons tellement c’était bon. Et si Laurence et Geneviève ne s’étaient pas trompées à mon égard, je me posais la question car maintenant j’avais de plus en plus envie de sentir Claude en moi. J’avais envie de le sentir bouger dans mon boyaux et en même temps sentir ses mains sur mon corps. Le silence était total dans la chambre comme dans la maison, mais qu’est-ce qu’étaient en train de faire les deux femmes. Je n’entendais que le souffle animal de Claude dans mon cou, mais surtout je pouvais savourer la douce fragrance de son eau de toilette. Je n’avais plus aucun doute j’appartenais à Claude pour la soirée et pour la nuit à venir, je n’avais pas trop de crainte car Claude ne faisait que me rassurer. Quand je pense que ma maman, qui connaît cette maison, doit être en train de se dire que je dois me faire chier comme pas deux avec Laurence et Geneviève.

À ma grande surprise Claude s’est relevé dans le noir, mais il savait où il allait, il est parti chercher quelque chose dans un tiroir. J’étais intrigué qu’allait-il chercher, de quoi avait-il besoin pour passer à l’acte avec moi. Quand il est revenu se coucher, exactement dans la même position qu’il avait auparavant, il est venu me poser autour de la tête un bandeau avec à l’extrémité une boule en plastique qui m’a introduit dans la bouche.

— Je te mets ça dans la bouche, comme ça si tu viens à vouloir crier, les sons seront étouffés.

— Tu vas voir tu vas t’y faire je suis sûr que tu vas finir par trouver ça très agréable.

— Tu verras, à une autre reprise je t’attacherai pour te saillir.

Ensuite il m’a posé un collier très large autour du cou qu’il a fait attention à ne pas trop serrer.

— Ça je te le mets pour te montrer que tu es mienne désormais.

— C’est moi qui l’ai suggéré aux femmes et elles ont trouvé l’idée très sympa.

— Maintenant tu es prête je vais te faire femme, tu vas devenir ma femelle.

Le fait qu’il parle de moi au féminin et qu’il me présente son projet à court terme et à long terme me plaisait énormément.

Maintenant j’étais vraiment prêt à m’offrir à lui, je savais que quand j’allais quitter ce lit, je me serais fait féconder. Après s’être de nouveau totalement collé à moi il a repris les mêmes caresses que tout à l’heure sauf que maintenant je sentais plus difficilement son souffle dans mon cou. Je trouvais aussi très agréable le contact des poils de ses jambes contre mes jambes doucement satinées. Quelque chose était en train de changer en moi, dans ma tête et dans mon corps, je ne sais pas vraiment, voilà peu je prenais plaisir à m’occuper de Laurence et Geneviève. J’avais découvert la pénétration vaginale, là maintenant j’allais découvrir la pénétration anale avec un bel homme viril et doux avec moi. Il avait largement l’âge de ma mère et je pense qu’il allait me transmettre de l’expérience à travers son sexe. Il m’a remis un peu de salive dans ma raie culière, il a veillé à en déposer le plus possible dans mon petit trou, qui maintenant accueillait trois de ses doigts sans problème. Ça y est Claude estimait que j’étais prêt, il a positionné son gland à l’entrée de ma rondelle, il s’est accroché à mes hanches, puis un léger coup de reins.

Maintenant je commençais à sentir son sexe me pénétrer, maintenant j’étais à lui, maintenant je ne regarderai plus les hommes de la même façon. J’étais très sensible par la douceur qu’il mettait à me prendre, je sentais son pieu glisser lentement mais sûrement vers le cur de mon intimité. Il a facilement mis 3 ou 4 minutes avant que je commence à sentir le haut de ses cuisses se plaquer contre mes fesses. Il n’y a pas à dire cet homme avait de l’expérience, ce n’était pas la première fois qu’il s’occupait d’un homme et cela ne devait pas être la première fois non plus qu’il volait le pucelage de quelqu’un. Quelques minutes sont encore passées avant qu’il ne s’arrête, il était au fond de moi. Il est resté un long moment immobile en me disant de très belles choses à l’oreille.

— Tu me donnes du plaisir et je te promets que je vais t’en donner ce soir.

Par moment, il gonflait son sexe et je le sentais dans ma nouvelle chatte, en réponse, j’ai découvert que je pouvais lui répondre en contractant mon sphincter.

C’est sur ces mots que je termine ce chapitre en espérant vous avoir mis l’eau à la bouche.

Bisous à vous

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