Suite à des demandes me revoilà pour donner suite à mon histoire qui, apparemment ne laisse pas tout le monde indifférent
Nous passâmes donc un excellent week-end avec Antoine et Gilles.
A notre retour, rien na changé, jétais toujours la femelle soumise de mon chef et un amant gourmand pour ma belle. Ce qui a changé, cest que mon chef a aménagé un appartement sur le lieu de travail Rapidement, je devais ly rejoindre pour me faire mettre, lui faire du bien et y satisfaire Gilles puis quelques amis de mon chef.
Au lieu darriver le matin à 9h, je dus arriver à 8h pour le rejoindre à lappartement. Là, ma garde robe mattendait.., je pris aussi lhabitude de porter un large collier, je devais me faire belle pour moffrir à lui, à eux. Jai juste refusé de me faire parfumer car je ne voulais pas que Marie se doute de quelque chose, ni que les collègues me regardent bizarrement ; même si jaurais bien aimé quil me fume dans lintimité. Disons quen général, mon corps sentait plutôt le minou de Marie. Deux fois, trois fois voire quatre fois par semaine ; je prenais mon travail avec sa liqueur dans mes entrailles. Une fois déguisée, je mallongeait sur le lit.., en général, je me mettais à quatre pattes pour lui présenter et offrir ma rondelle ; il aimait me voir avec les fesses lisses. Il déposait une noix de salive pour me lubrifier le boyau. Jaimais de plus en plus le sentir entrer puis coulisser en moi. Je serrai un peu mon sphincter pour sentir son passer sa queue bien raide. Le plus agréable, cétait quand il me caressait à travers mes douces robes longues en lycra. Quand il avait fini de me besogner, il me mettait un tampon pour que je garde sa liqueur en lui. Il disait que cétait une forme de soumission qui lui plaisait beaucoup. Ce qui me plaisait aussi cest quand je masseyais sur le lit, il arrivait face à moi, je mapprochais pour lui libérer son sexe déjà très désireux de moi. Il ma rapidement avoué ne plus se laver le sexe en semaine car cétait devenu ma mission Je sortais son sexe et le prenais en bouche puis le caressais avec ma langue dans le moindre recoin. A lentendre soupirer, je savais que jétais efficace. Je naimais pas sa liqueur car trop salée ; je veillais donc à lavaler au plus vite, histoire quelle ne me laisse pas darrière goût désagréable dans la bouche. De toute façon, le principale était que javale
Antoine me prenait au moins une fois par jour, souvent deux voire plus Je le suçais trois fois, quatre fois par jour ; sans compter ses amis que je devais aussi combler. Je le pompais dans son bureau, dans mon bureau, dans les caves, dans les voitures et même dans les toilettes ; tous les endroits intimes étaient propices à me coincer et mabuser Dans les toilettes, il me forçait à y entrer, je devais masseoir pour le sucer puis il me faisait lever, il me faisait retourner, mes mains sur le mur et pantalon baissé, je lui tournais le dos ; là, je sentais son dard chercher mon entrée puis sy glisser Il aimait aussi memmener dans les bois en face du travail pour que je magenouille et le pompe en écoutant les oiseaux gazouiller Il ne partait pas sans arrêt dans ma bouche, son plaisir était de me voir le sucer. Je sentais son sexe déformer mes joues, je prenais plaisir à jouer avec ma langue autour de son prépuce, mais il veillait toujours à ne pas aller trop loin pour ne pas me donner la nausée ; jen engouffrais quand même un bon morceau Il me caressait les cheveux ou me tenait la nuque pour me donner le rythme ; je me sentais vraiment sa femelle. Il marrivait régulièrement de mimaginer avec ma bouche le suçant ; alors quil nétait pas là. Je ne vous raconte pas cette sensation.., être létalon de sa belle à la maison et la femelle de son chef au boulot Antoine mavait monté une véritable garde robe : collants fendus, tanga, douces robes longues, soutient gorge, escarpins
A la maison, Marie, ma compagne, ne se doutait de rien, cétait aussi bien Elle profitait de toute mon excitation accumulée dans la journée Jétais gourmand de son sexe, de ses seins, de ses petites fesses fermes ; bref tout son corps (une superbe métisse de plus dun mètre quatre vingts) me rendait dingue. Son corps était une pile à fleur de peau, la moindre de mes caresses la faisait onduler de la plus excitante des façons, son odeur corporelle me faisait tourner la tête. Javais une bombe à la maison Elle avait un caractère très directif mais adorait que je prenne les commandes de son corps et je vous garantis que je navais pas grand chose à faire pour cela. Je voyais sans arrêt, dans son regard, le désir. Jai toujours réussi à ôter mes dessous en rentrant avant de moccuper delle. Je vous parle de Marie et vous la présente car mon chef sest fait muter loin de chez moi et nous nous perdîmes de vue. Il ma invité à plusieurs reprises mais je nai osé accepter ses invitations de peur des tournures que mes venues auraient pu prendre… La surprise quil me fît lors de son départ cest quil ma donné une grosse somme, des milliers deuros en espèce Il ma expliqué et avoué que cette somme représentait les prestations quil avait encaissé en me louant à ses amis. Jétais sur le cul et une dernière fois hyper excitée
Cette histoire nest que pure fiction ; excepté les lieux et Marie qui existe et marqua dune chaude et incompréhensible façon ma vie.
Un petit coucou à tous mes lecteurs qui ont lu cette trilogie jusquau bout. Vos « pokes » me motivent. Je vous écrirai dautres histoires.