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Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante – Chapitre 6




Salut c’est votre folle de lycra.

Nous étions donc dans un manoir dans la ville d’Arnage tout proche du circuit du Mans. Geneviève était en train de m’embrasser sur le canapé, j’avais les jambes bien écartées et je m’attendais à ce que Muriel vienne me brouter le minou, car manifestement elle est experte en cela. Là, à ma grande surprise ce n’est pas un coup de langue que j’ai reçu mais un sexe masculin de belle taille qui m’a pénétrée d’un seul coup. Muriel venait de relever l’avant de sa robe et manifestement elle était bien harnachée, prête à me donner du plaisir. Je peux vous garantir que j’ai été vraiment surprise, car je pensais que Muriel allait s’occuper de moi avec sa langue, mais manifestement elle avait pris un gode à ceinture de belle taille. Je ne pouvais pas vraiment voir ce qui m’arrivait, car Geneviève m’embrassait avec gourmandise et ses cheveux me laissaient dans l’obscurité. Il n’y a pas à dire Muriel était vraiment experte pour donner du plaisir à une femme que ce soit avec la langue ou avec un sexe factice. Ce dernier était tellement gros qu’il s’est mis à me procurer des sensations jouissives très rapidement. Il n’y a pas à dire, brouter du minou c’était bon, se faire brouter le minou c’était aussi bon, mais se faire pénétrer par un sexe même factice était quand même bien meilleur.

Maintenant je poussais des cris de plaisir, ces derniers étaient étouffés par la bouche de Geneviève. Puis à un moment, c’est Muriel qui a pris le relais pour m’embrasser, en sachant que Geneviève s’occupait désormais de me caresser le corps dans les parties de plus sensibles.

— Y a pas à dire, ma belle auto-stoppeuse, tu as l’air d’aimer faire l’amour.

— Tu es faite pour prendre du plaisir, tout comme en donner.

— Je voudrais que cette partie à trois d’aujourd’hui, tu t’en souviennes jusqu’à la fin de tes jours.

La douceur de la voix avec laquelle Geneviève me parlait me faisait des frissons, elle était une femme de pouvoir mais elle voulait me donner du plaisir, un plaisir mémorable, un plaisir que je ne puisse oublier. Avec son appendice fictif, Muriel me faisait un bien fou et j’avais l’impression que Geneviève appuyait sur ses fesses, pour que notre conductrice aille encore plus loin en moi avec son harnachement, sans doute en silicone tant il était souple. J’étais impressionnée par la puissance de ma partenaire qui me pénétrait, elle s’accrochait un coup à mes hanches, un coup à mes épaules, un coup elle me tenait la tête, mais ce n’était pas grave car elle me faisait du bien, un bien fou, et ça, c’était le principal.

— Désormais Coralie, Muriel et moi te donnerons du plaisir quand tu le voudras.

— Je sais que tu es aussi une experte pour en donner.

J’aimerais que tu dédicaces à Muriel, ta jouissance qui est sur le point d’arriver.

C’est vrai qu’au fond de moi, la première fois que j’ai vu Muriel, jamais je n’aurais pensé qu’elle me ferait l’amour et surtout qu’elle me ferait jouir, comme elle était sur le point de le faire. Au fur et à mesure qu’elle semblait découvrir ma relation avec sa patronne, nos regards étaient de plus en plus complices. J’en étais à me demander si Muriel et Geneviève étaient en couple, car à y regarder à deux fois, elles étaient quand même très complices et même au lit. Maintenant les coups de reins de ma partenaire étaient de plus en plus puissants, bien évidemment, plus elle allait loin, plus cela me faisait du bien. Je contractais mon vagin à chaque fois que je la sentais rentrer en moi, à défaut de lui faire du bien, cela m’en faisait et en plus je musclais mon périnée. Pour essayer de lui donner le rythme, mais aussi un peu de puissance, j’ai entouré mes cuisses autour de son corps. Ma théorie était vraiment efficace et j’en profitai pleinement.

Maintenant c’est avec l’appui de mes talons sur ses fesses que je la faisais rentrer toujours plus violemment en moi, je voyais la poitrine de Muriel ballotter. A force d’admirer ses seins qui me faisaient très envie, je me suis mise à lui malaxer fermement ; la bougresse aimait ça. J’étais sur le point de jouir grâce à un sexe factice, c’était vraiment le summum. À mesure que mes talons appuyaient sur ses fesses pour l’envoyer toujours plus loin en moi, je réalisais que malgré sa robe, je sentais qu’elle n’avait pas de ceinture sur elle. Muriel me faisait tellement de bien, que je ne réfléchissais pas là-dessus tout de suite. Ce n’est qu’au bout de quelques minutes que j’ai commencé à me poser la question, comment son sexe factice pouvait tenir, avec les coups de boutoir qu’elle me donnait. Dans ma tête les idées et les pensées étaient en train de se reconstituer, à savoir, je n’avais jamais vu l’entrejambe de ma partenaire. Mes pensées ont été stoppées nettes, quand je me suis mise à jouir et surtout à crier de façon monstrueuse, c’est Geneviève qui est venue m’embrasser pour me faire taire.

Et là, oh grande surprise, Muriel se mettait aussi à jouir, mais pas une jouissance comme la mienne, pas une jouissance comme celle de Geneviève. Muriel était en train d’éjaculer dans mes entrailles pendant que Geneviève m’embrassait. Était-ce un sexe fictif qui envoyait un liquide chaud, car je savais que cela existait. Je ne sais pas ce qui se passait en moi j’avais un doute dans la tête, mais je maintenais le corps de Muriel contre moi pour qu’elle y reste le plus profond possible. Quand j’ai repoussé Muriel, pour essayer de voir ce qui venait de se passer, l’avant de sa robe est immédiatement retombé, mais laissait deviner quand même une belle érection. Du coup moi qui espérais découvrir plein de choses je suis resté sur ma faim. Cela sentait très bon le sexe et je voyais Muriel se caresser son sexe fictif à travers sa robe, son mouvement de la main était très érotique. Tout comme moi, Muriel était en train de ressentir le contrecoup de la jouissance intense. De son côté Geneviève ne cessait pas de me caresser, mais en profitait pour aussi caresser sa conductrice maintenant.

Les fortes pulsions sexuelles qui venaient de nous traverser, de nous déchaîner, étaient en train de s’estomper, tout rentrait dans l’ordre. J’étais toujours allongée sur le canapé, la tête reposant sur l’accoudoir, soutenue par des oreillers, quand Muriel s’est approchée de moi pour m’embrasser. Nous avons échangé un long baiser gourmand, passionné et intense, décidément il y avait quelque chose qui était en train de naître entre nous. Après ce long baiser, ma partenaire s’est relevée, elle a soulevé sa robe et je me suis retrouvée dessous, cela sentait bon le sexe, j’adorerais, d’autant qu’une partie de cette odeur m’appartenait, c’était l’odeur de ma cyprine. J’étais en train de lui picorer le haut des cuisses, quand je suis remonté et là, je ne pouvais pas tomber car j’étais allongée sur le canapé. Ce n’était pas un sexe factice qui venait de me taper le visage, mais un sexe bien en chair dont la forme était un peu sur le déclin. Ce sexe sentait la femme, il sentait moi, il sentait ma mouille, il sentait ma cyprine, ce sexe venait de me pénétrer, ce sexe venait d’éjaculer en moi. Muriel était une travestie.

Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais sous sa robe toute douce, où cela sentait très bon le sexe, je n’ai pu me retenir de prendre son priape qui me caressait les joues, en bouche. Il m’est déjà arrivé de sucer des bites, mais jamais je n’avais été pénétrée par l’une d’entre elles, tout cela pour vous dire que Muriel venait de me dépuceler. Cela me faisait tout drôle de sucer ce sexe qui pendait entre les jambes d’une femme, mais surtout ce sexe qui avait l’odeur de mon minou. J’aimais bien sentir ce morceau de viande dans ma bouche, d’autant que j’étais en train de constater qu’il était en train de reprendre vigueur. Maintenant j’avais passé une main sous la robe de Muriel, et je lui caressais ses baloches qui pendaient, bien évidemment, je m’attardai entre ses fesses et elle avait l’air de beaucoup aimer. Plus je la pompais et plus son sexe grossissait, je trouve que pour une travestie elle était vraiment bien membrée, beaucoup d’hommes auraient bien voulu être ainsi pourvus.

Pendant que je pratiquais une fellation à notre conductrice, Geneviève se remettait à me caresser.

— Alors ma chérie, tu ne m’en veux pas trop de la surprise ?

— Je vais t’avouer que tu plais beaucoup à Muriel et qu’elle n’en pouvait plus de se retenir de te sauter dessus.

— Si tu savais le nombre de fois où Muriel me fait l’amour et qu’elle pense à toi.

— À vrai dire toutes les deux nous pensons à toi.

J’écoutais tout ce que me disait Geneviève, d’une voix douce, pendant que je suçais ma partenaire. Il fallait que je me fasse une raison, dans ce trio de femmes, il y avait un demi-homme.

— Ne t’inquiète pas j’ai tout calculé par rapport à tes pertes, je sais qu’actuellement, tu n’es pas fécondable.

Au bout d’un bon quart d’heure de turlutte, j’étais en train de réaliser que si je continuais, notre conductrice allait de nouveau me balancer la purée, dans la gorge ce coup-ci. Au fond de moi je me disais qu’au point où j’en étais je n’avais plus grand-chose à perdre, et c’est ainsi qu’en plus de m’inonder de sperme le moule à bébé, Muriel était en train de me noyer des amygdales dans sa liqueur de gland.

C’est vrai qu’un bon gros sexe qui vous balance de la liqueur, c’est quand même agréable. Après être partie au fond de ma gorgée, j’ai continué à la sucer et je me suis même accrochée à ses fesses, je voulais le pomper jusqu’à la dernière goutte et même plus encore. Muriel s’est mise à pousser des cris bien féminins, comme si elle me suppliait que j’arrête ma succion. Je suis tellement allée loin dans ma fellation, que Muriel a fini par s’effondrer sur moi, son sexe était devenu beaucoup trop sensible pour que je le garde en bouche. Je me retrouvais donc la tête à l’air frais à regarder Muriel avec un air béat, mais surtout Geneviève qui avait l’air contente de nous deux. Geneviève s’est approchée de moi pour m’embrasser et récupérer les dépôts de sperme qui étaient encore sur mes lèvres. Je l’ai laissée un instant récupérer le précieux nectar, avant de prendre la parole.

— Vous auriez pu me dire plutôt votre secret avec Muriel.

— Je ne pensais vraiment pas que ce serait une fille qui me prendrait mon pucelage, et surtout qui me balancerait son sperme au fond de mes entrailles.

Geneviève m’a laissé parler car elle savait que j’en avais besoin, puis elle a pris la parole.

— Pour que tu sois au courant de tout.

— Muriel était un garçon qui ne voulait plus de ce sexe mâle et pour cette raison, ses parents ne voulaient plus de lui.

— J’étais à cette époque en déplacement dans la campagne profonde.

— Là-bas, les gens n’ont pas l’esprit aussi ouvert qu’à la ville.

— Muriel traînait dans les rues, malheureuse comme un chien battu. – Elle venait juste d’être majeure, quand je lui ai proposé de venir avec moi elle n’a pas hésité une seconde.

— Elle est venue vivre dans ma maison dans la vallée de Chevreuse, puis avec le temps, vu qu’elle ne savait pas faire grand-chose, je l’ai invitée à passer son permis c’est ainsi qu’elle est devenue mon chauffeur personnel.

Au fond de moi je me disais qu’en fait Geneviève avait aidé ce jeune homme à devenir la Muriel qu’elle voulait être. Maintenant notre fameuse Muriel était en train de reprendre ses esprits, elle était désormais la tête allongée sur mes jambes, alors que moi j’étais assise dans le canapé, et Geneviève continuait son histoire.

— Rapidement j’ai acheté des vêtements féminins à Muriel, je lui ai carrément monté une garde-robe.

— Je pense que tu peux le constater Coralie, elle est vraiment magnifique habillée en femme.

— Ensuite elle a voulu suivre un traitement hormonal, je l’ai avertie comme quoi cela était irréversible, mais elle était déterminée.

— Je peux te garantir que cela m’a fait tout drôle de voir ce garçon, pas vraiment viril, dont la poitrine commençait à pousser, dont les cheveux commençaient à s’affiner, dont la taille commençait aussi à prendre forme.

— Mais c’est ce que voulait Muriel et j’étais heureuse de la voir ainsi se transformer pour son plus grand plaisir.

— Quand tu vois le résultat, il n’y a vraiment pas de regret à avoir.

Ce qui me faisait drôle c’est que Muriel qui était vraiment très belle et désirable avait quand même un sexe de bien belle taille. Moi qui étais un peu à voile et à vapeur en embrassant Muriel, en embrassant Geneviève, voilà que maintenant notre conductrice allait être ma baiseuse officielle. Je peux vous garantir que cela n’était pas pour me déplaire, par contre il allait falloir que je pense à prendre la pilule. C’est quand même paradoxal de s’envoyer en l’air avec des filles et d’être obligée de se protéger contre une grossesse non désirée. Geneviève avait raison, cette partie de jambes en l’air était vraiment mémorable, j’étais effectivement appelée à m’en souvenir très longtemps. Je venais de perdre mon pucelage, et qui plus est avec une travestie, que je croyais femme mais qui me plaisait beaucoup.

— Avant que Muriel ne passe son permis je roulais dans une grosse berline de la firme aux anneaux.

— Une fois diplômée, j’ai décidé de la salarier comme chauffeur de maître.

— Il lui fallait une voiture à la hauteur de son emploi, voilà pourquoi j’ai décidé d’investir dans cette magnifique berline de prestige.

Nous avons continué à parler encore un peu avant de monter nous coucher, chacune dans notre chambre bien évidemment. Je ne sais pas ce qui m’a pris mais une fois dans mon lit j’ai eu une énorme envie d’aller voir Muriel. C’est dans ma chemise de nuit toute longue, toute douce et toute fine que je suis partie frapper discrètement à sa porte. Pendant que j’attendais une réponse de sa part, j’avais peur qu’elle se soit endormie, puis la porte s’est légèrement ouverte, elle m’a pris par la main et a refermé silencieusement derrière elle. Il y avait une timide lampe de chevet qui éclairait la grande de façon discrète et tamisée, elle était dans une nuisette comme la mienne, mais son sexe avait de nouveau une grosse érection. Notre conductrice m’a guidée jusqu’à son lit, où elle me fit asseoir et elle a commencé à m’embrasser pour mon plus grand plaisir. Bien que nous soyons dans une presque obscurité, j’avais son visage dans les yeux, avec des traits on ne peut plus fins, on ne peut plus féminins. Muriel savait parfaitement donner du plaisir avec sa langue, mais en plus avec son sexe de belle taille et bien vigoureux.

Je ne sais pas si en venant la voir ce soir, en toute discrétion, je venais me faire baiser ou juste chercher des câlins auprès d’elle. Pendant qu’elle m’embrassait cela a été plus fort que moi, il a fallu que j’aille lui caresser son sexe dissimulé dans sa nuisette en viscose. Sa poitrine n’avait strictement rien à envier à la mienne, de plus, j’avais l’impression qu’elle était plus sensible aux caresses que moi. Il était maintenant vraiment tard, le sommeil était en train de prendre le dessus, mais j’étais heureuse car j’étais dans les bras de Muriel. Notre conductrice m’a fait pivoter sur le lit de telle façon à ce que je me retrouve allongée, elle est venue à mes côtés, nous nous sommes glissées sous la couette. C’est rapidement que Morphée a pris le dessus et c’est ainsi que nous nous sommes endormies enlacées. Le lendemain matin vers sept heures, Geneviève était là pour nous réveiller, nous n’avons pas eu un seul commentaire comme quoi nous nous étions endormies ensemble. Elle nous a juste dit qu’il fallait que l’on se dépêche, car la journée allait être riche en émotions et qu’il fallait que je travaille quand même après.

Geneviève était comme une mère pour moi et c’est ainsi que nous avons petit déjeuné rapidement puis nous avons pris la voiture direction le circuit du Mans ou plutôt ses environs.

— J’ai une superbe surprise pour vous.

— Toutes les deux, je voulais que vous passiez un week-end mémorable.

— Vous m’en direz des nouvelles.

Geneviève nous mettait la pression, car manifestement Muriel non plus ne savait pas ce qui nous attendait. Comme d’habitude Muriel avait pris le volant et j’étais à l’arrière avec Geneviève, évidemment, elle était très tactile avec moi, et cela me faisait mouiller comme pas deux. Geneviève m’a expliqué qu’elle avait mis le GPS et que Muriel n’avait juste qu’à suivre les indications pour nous mener à destination. Arrivées sur place, à notre grande surprise, il n’y avait personne, il n’y avait rien aux alentours, à peu de chose près nous étions en plein champ.

— Ne vous inquiétez pas, peut-être sommes-nous en avance voire peut-être très en avance.

Geneviève nous a expliqué qu’il allait falloir attendre et c’est ainsi que nous avons pu admirer un magnifique lever du soleil au chaud dans la voiture avec une douce musique. Muriel nous avait rejointes à l’arrière, nous étions collées les unes aux autres. Il y avait une rosée givrante sur tous les champs alentour, cela vous laisse imaginer la fraîcheur à l’extérieur. Au bout de quinze minutes, nous avons vu un 4×4 arriver avec une grosse remorque.

— Ça y est, ils arrivent.

— Il va falloir que vous alliez vous habiller, j’ai ce qu’il faut dans le coffre.

Mais qu’allions-nous faire ce matin dehors, au point d’avoir besoin de chaudement nous habiller ?

En espérant que ce sixième chapitre vous a plu et que votre indice de satisfaction est toujours aussi élevé.

Gros bisous à vous et merci encore.

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