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martine.z92 – Chapitre 3




Dix minutes de marche séparaient le chantier de mon logis. Je n’avais pas remis mon string, et en marchant je sentais le vent refroidir mes cuisses maculées de sperme canin. Il était environ dix neuf heures trente quand je suis arrivée. Mon mari était là. Comme à son habitude depuis tant d’années de mariage il m’attira à lui pour m’embrasser, et ce faisant mit sa main entre mes cuisses. Heureux de trouver autant de sécrétions sur mon entre jambes, il portait ses doigts à son nez pour s’assurer que c’était bien ce qu’il pensait. Devant son air interrogatif, j’ai dû lui faire part de ma dernière aventure. Il n’a pas été étonné quand je lui ai dis que trois hommes m’avaient baisée, mais quand je lui ai parlé des chiens, j’ai appréhendé sa réaction. J’ai été très étonnée en comprenant qu’il aurait bien aimé être là pour me voir enfilée par un chien. Il s’est d’ailleurs posté derrière moi pour m’enfiler, sans préambule par derrière, faisant jaillir de mon anus des reliquats de sperme canin. Il m’a demandé de lui décrire dans les moindres détails ce que j’avais resenti. J’ai dû lui avouer que j’avais joui très fort, que oui j’avais aimé et que pourquoi pas j’étais prête à recommencer. Après cet épisode qui m’avait comblé, nous avons passé une période d’un petit mois où à chaque occasion mon mari me reparlait des chiens. Pour le faire penser à autre chose j’ai appelé plusieurs de mes amants réguliers, et nous avons organisé des soirées coquines à la maison, nous sommes aussi sortis en boite échangiste.

Comme cela faisait longtemps que nous n’avions pas joué à la pute de l’autoroute nous avons décidé que le prochain samedi nous irions me faire jouer sur une aire de repos, facilement accessible depuis une petite départementale, ou les camionneurs en transit passent le week-end. Nous avons l’habitude de ce jeu, mon mari prend beaucoup de plaisir quand je me fais enfilée par des inconnus, plus encore quand il peut être spectateur. J’avais laissé de côté mes vêtements de vendeuse de prêt à porter, pour m’habiller et me maquiller comme une caricature de prostituée, mon mari adore. Talons vertigineux, bas, guêpière à jarretelles, jupe en Skaï ultra courte et moulante, toute la panoplie était là. Je me plais dans ce rôle, j’y suis très à l’aise. Après avoir fait deux "clients", j’ai voulu que mon mari assiste à une de mes "passes", autant pour son plaisir que pour le mien. Quand on baise dans un camion, tout est amplifié par le manque d’espace: les bruits, les odeurs le contact. Je suis retournée à la voiture pour me rafraîchir, et pour faire sentir ma chatte gluante à mon mari, quand je lui ai demandé de me suivre. Nous nous sommes arrêtés devant un camion immatriculé en Allemagne. Je venais auparavant de discuter avec le chauffeur, et je lui avais expliqué que je voulais qu’un autre soit présent, pendant qu’il me baiserait. Un peu avec de l’anglais, beaucoup avec les gestes il avait compris ce que j’attendais de lui. Il pensait s’en doute qu’un autre client souhaitait jouer les voyeurs ou les acteurs de second rôle. Je montais dans le camion, suivis de mon mari qui ne s’est pas gêné de me mettre la main au cul en montant les hautes marches du gros engin. Comme j’entrais dans la cabine, un aboiement terrible a retenti, ma glaçant de peur. Le camionneur et maître du chien a fait taire l’animal et l’a attaché solidement par une laisse de cuir au volant. Le berger allemand après nous avoir montré les dents s’est tu rapidement aux ordres de son maître. Une fois les rideaux de la cabine tirés, le chauffeur s’est déshabillé rapidement, il s’est allongé sur la couchette. Mon mari me regardait avec le sourire aux lèvres. Il adore me voire baiser comme une professionnelle. La différence est que je le fais pour le plaisir et que je joui à chaque fois. J’ai commencé par branler l’inconnu et lui masser les couilles. sa bite était belle sans être trop grosse. Je n’ai pas eu besoin de le branler longtemps il bandait très dur. Je l’ai pris en bouche et je l’ai sucé avec douceur. J’aime le goût d’une nouvelle bite dans ma bouche. Je n’avais pas besoin d’entendre les clapotis que faisaient les trois doigts de mon mari dans ma chatte pour savoir combien je mouillais. Pour varier un peu il a voulu faire soixante neuf mais a renoncé très vite tant je mouillais. J’ai déroulé une capote sur la bite de mon client et je me suis empalée dessus. Une très forte odeur de sexe s’est installée dans la cabine. Mon mari qui avait lâché ma chatte a défait son pantalon et son slip. Il bandait comme un taureau. Le chien gémissait et tirait très fort sur sa laisse. Je me suis allongée sur mon client qui en à profité pour me mettre sa langue dans la bouche et dégager mes seins de ma guêpière. J’ai senti que mon mari présentait sa bite à mon cul. J’ai poussé pour qu’il entre et très vite les deux hommes ont trouvé le bon rythme. Sur le coup, alors que le chauffeur continuait de me limer tranquillement, je n’ai pas compris pourquoi mon mari avait pris aussi vite son plaisir, m’inondant le cul de son foutre. Ce n’est que lorsque j’ai vu qu’il détachait le chien rendu fou par les odeurs, que j’ai compris. Il allait enfin pouvoir me voir grimper par cet animal vigoureux. Le chien a commencé par me lécher le cul, récupérant le foutre de mon mari qui avait coulé. Malgré le faible éclairage, je voyais le bout rouge de la bite de l’animal qui dépassait de son fourreau. Ou-la le calibre. Je me réjouissais de prendre ce terrible morceau dans le cul, mon mari venait de faire le passage, j’étais lubrifiée de son sperme, et ma chatte était toujours occupée par la belle bite du camionneur. Mon mari encourageait le chien. Il l’a positionné pour qu’il me monte sur le dos. Le chauffeur et moi nous avons légèrement changé de position pour faciliter la pénétration du chien dont je sentais le bout de la bite taper trop haut sur mon dos. D’un coup l’animal m’a perforé le cul. J’ai joui dans l’instant une première fois. L’ animal soufflait puissamment dans mon cou. Ses pattes de devant me serraient très fort. La vitesse de ses mouvements s’est accélérée. Il était gros, énorme dans mon cul. Son maître l’encourageait en allemand. Prise en sandwich, je bavais, je jouissais sous les impacts. Mon mari m’encourageait . Le chien s’est plaqué contre moi en s’enfonçant encore plus loin, et là, sa bite s’est mise à grossir démesurément. Une grosse boule s’est formée lui interdisant de sortir de mon cul. Nous étions soudés, le chauffeur a lâché son foutre dans sa capote tout en me triturant les bouts de seins. Je sentais le sperme du chien envahir mon cul sans s’arrêter, ça giclait, giclait dans mon ventre. Le bon jus était chaud,Je jouissais, jouissais, c’était terrible, comme un lavement, le chien ne finissait pas de décharger. Il y en avait encore et encore, mon cul était écartelé, toujours accouplée avec le chien, le chauffeur en rampant sur le dos s’est dégagé, il a retiré sa capote, et je lui ai nettoyé la bite de ma langue pendant qu’il rigolait avec mon mari. Après sept, huit minutes, et plusieurs essais, le chien s’est détaché de moi. Un flot de sperme est tombé sur la couchette, inondant au passage mes cuisses et mes bas. Mon cul grand ouvert, ne s’est refermé qu’après un léger massage de mon mari. Pendant ce temps le chien se léchait la bite, C’est à ce moment seulement que j’ai vu le terrible gourdin et l’énormité de la boule qui nous avait soudés. J’étais trempée de foutre canin, à la demande du chauffeur qui sans doute voulait dormir maintenant, nous avons quitté rapidement le camion. Mon mari m’a soutenu pour rejoindre notre voiture de l’autre côté du parking. Installés confortablement il m’a câlinée en me remerciant d’avoir franchi un nouveau cap avec lui. Son membre était redevenu raide, il m’a baisé comme à vingt ans, me faisant jouir une dernière fois. Sa langue fouillait ma bouche à la recherche du goût du sperme de l’allemand, le cul en feu, j’avais joui comme rarement. J’ai promis à la demande de mon mari de recommencer devant lui et devant mes amants ,à me faire mettre par un ou plusieurs chiens.

Je sais que pour son plaisir et surtout pour le mien, je n’aurai aucune difficulté à lui faire plaisir.

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