Les résultats scolaires de Philippe et Cyrille s’améliorèrent grandement grâce aux devoirs faits en commun les mercredis après-midi. Ils avaient un alibi pour se voir et ils travaillaient à l’entretenir. Donc, une fois qu’ils s’étaient donnés l’un à l’autre et vidé les couilles mutuellement, ils faisaient leurs devoirs en commun.
Leurs parents, soulagés par la hausse de leurs résultats, voyaient d’un bon il cette entraide, sans se douter cependant que ce n’était là que la partie visible de l’iceberg. Et quand les soirs, en sortant du lycée, ils se retrouvaient dans un lieu discret pour une pénétration ou une fellation fugace, ils n’avaient qu’à prétexter avoir passé un moment avec l’autre pour comprendre un devoir qui leur posait problème, réviser une leçon qu’ils n’étaient pas sûrs d’avoir entièrement saisie pour apaiser les inquiétudes parentales.
Au gré des absences des parents de l’un ou de l’autre, le lieu des devoirs et des ébats changeait avec leur bénédiction. Philippe avait une grande sur en fac. Marion poursuivait ses études de psychologie et habitait à deux cent kilomètres, dans l’académie voisine. Elle ne revenait en général que pour les fêtes de fin d’année et les grandes vacances. Ainsi sa chambre était le plus souvent inoccupée et il arriva que les parents de Philippe invitent Cyrille à passer le week-end chez eux. Mais ce n’était pas les moments les plus propices pour des ébats, puisqu’ils avaient toujours la crainte d’être surpris par les parents.
Au fil des semaines, il s’avéra que Cyrille aimait plus se faire prendre que l’inverse. Il y prenait beaucoup de plaisir et attendait toujours impatiemment de se faire déboîter le trou par son copain. D’autre part, sa verge de taille tout ce qu’il y avait de plus normale ne pouvait rivaliser avec celle de Philippe qui, sans être exceptionnelle, avait des dimensions à même de donner beaucoup de plaisir rien que par sa taille. Cyrille adorait sans limite sentir ce pieu écarter ses sphincters, et quand Philippe se mettait à lui ramoner la cheminée, il entrait dans une autre dimension. D’autre part, lorsque Cyrille éjaculait, il lui fallait longtemps avant de pouvoir remettre le couvert alors que son ami se remettait plus rapidement en état de marche et arrivait à jouir plusieurs fois, pour son plus grand bonheur.
Cyrille était allongé contre Philippe. Sa tête reposait sur le torse de son ami, et d’une main gauche très adroite il lui flattait son service trois-pièces afin de lui redonner un peu de vigueur. Pendant près d’une heure, son copain lui avait copieusement limé le fion dans plein de positions et il se sentait encore ouvert. Heureux et ouvert.
─ J’aime quand tu viens sur moi, que tu me domines, que tu prends possession de moi, de mon cul.
─ Tu voudrais être mon esclave et que je te force à faire des trucs ?
─ Non, ce n’est pas ça. C’est plus que tu me mettes au défi de faire quelque chose plutôt que d’être réellement forcé.
─ Et quoi par exemple ?
─ Je ne sais pas peut-être que tu pourrais me mettre un objet dans le cul et voir combien de temps j’arrive à le garder. Ce genre de défi.
─ Je vais y réfléchir. Si ça te fait plaisir, pourquoi pas ?
La verge de Philippe avait bien redressé la tête sous l’effet de la main de Cyrille et de la discussion qui lui ouvrait des perspectives amusantes et intéressantes. Il restait assis, le pieu bien dressé ; Cyrille vint s’y empaler allègrement. Il maîtrisait ainsi la vitesse et la profondeur de la sodomie. Et il s’en donnait à cur joie, le bougre ! A force de se faire enfiler, son cul avait bien pris la mesure du chibre de son ami et le membre coulissait sans entrave. Sans déculer, Cyrille se retourna pour faire face à Philippe. Il voulait voir la jouissance sur son visage. Il ne pouvait que la voir ; il était aux anges. Quand il eut bien contemplé le visage expressif de son compagnon, il se plia en avant et ils se roulèrent une longue pelle.
─ J’allais oublier de te dire un truc
─ Ce n’est pas une mauvaise nouvelle au moins ?
─ Non, au contraire. Ma sur à trouvé un job pour cet été ; du coup, elle ne viendra pas avec nous en vacances. Mes parents m’ont proposé de t’emmener, si tu le souhaites.
─ Et comment que je le souhaite !
Cyrille sentit ses joues s’empourprer dans un reste de timidité mal placée. Il n’avait aucune raison de rougir, si ce n’est pour exprimer son bonheur. Il était heureux de la tournure des choses. Il se sentait sur un petit nuage.
─ A vrai dire, je pense qu’ils l’auraient proposé aussi, quand bien même elle serait venue. Il y a suffisamment de chambres.
─ Il faudra tout de même que j’en parle à mes parents, mais ça ne devrait pas poser de problème. Et c’est où ?
─ En Lozère. C’est un tout petit village. En fait non, c’est seulement un hameau, perdu dans des collines recouvertes de forêts. On s’y ennuie assez vite en temps normal, mais si tu viens ça change tout. On trouvera forcément l’occasion de s’envoyer en l’air
Subitement, ils souhaitèrent tous deux accélérer le temps. C’était le printemps ; les vacances de Pâques allaient bientôt arriver. Ils n’avaient aucune idée de la manière dont ils pourraient se voir durant ces deux semaines, mais ils se projetaient déjà plus loin. Ils ne devaient cependant pas montrer outrancièrement leur enthousiasme afin de ne pas piquer la curiosité des parents.
─ Bourre-moi donc le cul encore une fois pour fêter ça, proposa Cyrille.
─ Laisse-moi souffler un peu. Tu ne veux plus m’enculer, toi ?
─ Je préfère te sentir en moi ; tu me remplis bien avec ton gourdin. Et quand tu jouis dans mon cul, que je sens tes spasmes, c’est terrible !
─ Tu ne serais pas en train de tomber amoureux, toi ?
─ Peut-être bien.
Philippe rigola. Pas pour se moquer de Cyrille, mais plutôt pour éviter qu’il ne lui pose la même question et ne pas avoir à avouer que c’était surtout le sexe qui l’intéressait. Il découvrait sa sexualité sans se soucier encore de sentiments. Et il appréciait d’avoir une petite femelle à sa disposition.
Cyrille se glissa entre les jambes de Philippe, et presque à contrecur, il le pénétra. En même temps, il saisit l’épaisse verge au repos et la masturba au même rythme que ses va-et-vient. Il lui pressait de la voir reprendre sa pleine forme.
─ Attends, Cyrille ; si tu veux vraiment te faire remplir le cul, je crois que j’ai une idée.
─ Vraiment ? Là, tu m’intéresses, répondit Cyrille avec un grand sourire.
Philippe se dirigea vers la cuisine. Il ouvrit le frigidaire et se baissa pour vérifier ce qu’il y avait dans le bac à légumes. Il fit rapidement le tour des possibilités : des courgettes et des carottes. Le reste n’avait soit pas la forme adéquate, soit était trop volumineux. Un jour peut-être parviendrait-il à enfoncer une aubergine dans le cul de Cyrille, surtout s’il continuait à préférer se faire enfiler. En revenant, il remarqua deux bananes qui trônaient dans la corbeille sur la table du salon. Une autre idée germa dans son esprit. Si Cyrille préférait se faire mettre, Philippe semblait au contraire s’accommoder d’un rôle plus actif.
─ Qu’est ce que tu préfères ? Courgette ou carotte ?
─ Les carottes sont un peu trop petites
─ Eh ben, tu promets, ma cochonne ! Mets-toi à quatre pattes.
Contre l’avis de son copain, Philippe introduisit tout d’abord une carotte. Effectivement, le diamètre n’était pas très conséquent, mais il y avait plusieurs carottes. Il en glissa une deuxième. Cyrille avait rapidement compris où il voulait en venir et déjà il tendait le cul en arrière, réclamant un légume supplémentaire qui arriva sans tarder. Philippe s’amusa ensuite à faire remuer les légumes mais Cyrille exigea très vite qu’il remplace les carottes par la grosse courgette.
Il déposa un peu de crème sur le bout de la courgette et la pressa sur la rondelle de son ami. Elle n’allait pas entrer aussi facilement que les carottes. Philippe appuya plus fortement tout en faisant tourner le légume sur lui-même. Il remit plus de crème, appuya à nouveau. Cyrille agrippa ses fesses à deux mains pour faciliter le travail. La bite bio gagna quelques centimètres mais la rondelle ne céda pas encore. Philippe fit relever son ami, saisit la courgette par la base et la tint à la verticale. Cyrille comprit la marche à suivre et acquiesça. Il vint s’empaler sur le légume que Philippe avait de nouveau tapissé de crème. Il sentit d’abord ses sphincters résister, mais son propre poids fit que les muscles finirent par laisser passer l’intrus. Philippe n’avait jamais entendu un râle aussi fort sortir de la gorge de Cyrille dont la bite se redressa presque instantanément. Son cul avait absorbé la totalité de la cucurbitacée. Philippe était estomaqué par la capacité d’accueil du rectum de son ami mais se reprit vite :
─ Serre bien les fesses, qu’elle ne ressorte pas. Et viens vite me mettre ta queue bien raide.
─ Tu as eu une putain de bonne idée ; c’est vraiment le pied !
Cyrille avait cette fois plus d’entrain pour enculer Philippe. A chaque va-et-vient, il ressentait la courgette jouer avec ses sphincters, appuyer contre la paroi de son intestin. La sensation de dilatation l’excitait au plus haut point. En contrepartie, il ne put se retenir bien longtemps et ressortit juste à temps pour balancer la purée sur le ventre de son ami. Cyrille n’avait jamais eu une telle éjaculation, ni de jouissance aussi forte. Son sperme était bien plus épais et abondant que d’habitude. Philippe lui attrapa la tête et lui fit avaler la semence étalée sur son ventre. Il goba rapidement le foutre mais n’avala pas : il s’approcha et roula une pelle gluante à son ami. Fourbu, Cyrille s’allongea sur le dos à côté de Philippe ; il posa une main sur l’épaisse verge et la caressa.
─ Mais c’est à peine croyable tu en veux encore ?
─ Oui ! J’aime bien me faire dilater, mais j’aime encore plus sentir quand tu te répands en moi.
─ OK. Encore une fois, et après fini pour aujourd’hui De toute façon, vu l’heure, ce ne serait pas raisonnable : mes parents ne devraient plus tarder.
Il fallait d’abord enlever la courgette, ce qui n’était pas une mince affaire. Entrée entièrement, Philippe ne pouvait donc la saisir avec ses doigts. Cyrille dut pousser violemment pour commencer à la faire bouger ; elle finit par apparaître. Philippe contemplait l’effet sur les sphincters dilatés : l’anneau s’étirait comme il ne l’avait jamais vu. Certes, il avait constaté la dilatation en enfonçant le légume, mais sa sortie était plus impressionnante. Et encore, la partie la plus enflée n’était pas passée !
─ Attends ! Repousse-la dedans. Je vais filmer avec mon téléphone. Tu verras, je suis sûr que ça t’excitera.
─ Déconne pas, tu ne vas pas balancer la vidéo sur le net, rouspéta Cyrille.
─ T’inquiète ! Je filme en gros plan, on ne verra pas ton visage.
Une fois la courgette enlevée, Cyrille suça la queue de Philippe pour lui redonner un peu de rigidité. Son ami n’eut pas à lubrifier sa bite, tant le trou était élargi. Il entra sans peine. Il avisa les carottes posées au pied du lit. Puisque Cyrille aimait tant se faire dilater, il allait être servi. Il recula de sorte que seule une moitié de son sexe reste dans le conduit anal de son ami, puis il présenta le petit bout d’une carotte contre l’anus et poussa jusqu’à ce qu’elle pénètre suffisamment. Philippe en prit une deuxième et réitéra l’action. Il finit par en mettre une troisième. Cyrille mordait le polochon pour ne pas hurler, un peu de douleur puis de plaisir.
─ Tu es prêt ?
─ Tu veux en mettre une autre ?
─ Non, je vais pousser et te rentrer tout à fond.
Philippe n’attendit même pas la réponse. Il serra une main autour des carottes et de sa bite pour les maintenir bien en place. Son autre main saisit Cyrille par l’épaule, s’assurant qu’il ne puisse se défiler. Il poussa d’un coup. Il y eu un râle violent ; tout était entré. Cyrille avait le regard révulsé et se pâmait de bonheur. Philippe posa ses deux mains sur les hanches et commença à lui labourer le cul avec une énergie inhabituelle. La pression qu’exerçaient les carottes autour de sa verge augmentait la montée de sa jouissance, et bien qu’il en fût à sa troisième éjaculation, il ne tarda pas à venir dans le cul de son ami, même si la quantité de sperme émis fut moins importante.
Cyrille était toujours dans les vaps, le cul en l’air, comme offert, mais il n’y avait plus personne pour en profiter. Philippe lui donna une petite tape pour le faire réagir ; ses parents pouvaient arriver d’un moment à l’autre et il fallait encore ressortir les carottes.
─ Laisse-les dedans. Je les sortirai chez moi en allant aux WC. Je suis curieux des sensations qu’elles me procureront en marchant ; ce sera comme si je te gardais un peu plus longtemps en moi.
Ils se rhabillèrent. Cyrille embrassa Philippe en lui exprimant toute sa gratitude. Il aimait définitivement être sa petite femelle. Il attendait déjà impatiemment l’arrivée des vacances pour profiter d’un remplissage quotidien de son petit cul.