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Rubrique: un mec pour Alexa – Chapitre 3




Dès le lendemain, l’émission avait commencé depuis deux heures quand Donald interrompit brusquement tout le studio :

— Oh là ! Attendez un peu. Je m’excuse, Johnny, mais je vois qu’un technicien est en train de nous amener quelqu’un.

Une jeune fille se trouvait à l’entrée, mais elle n’avançait pas plus. Elle souriait, et saluait déjà tout le monde avec les mains. Aurélie se tourna vers elle, puis vers Donald :

— C’est qui ?

Donald lui fit signe de rester assise :

— Pour nos auditeurs, je vous explique : à-partir de maintenant, et pendant quelques jours on va essayer de glisser une nouvelle rubrique au milieu des autres. On est déjà un peu court avec le temps, mais je voudrais vraiment qu’on y arrive.

— Mais c’est qui cette fille ? Insista Johnny, vexé que celle-ci ne dise rien.

Donald continua :

— Du coup, je vous présente à tous, en chair et en os, Alexa !

— Oh non ! Sérieusement, c’est toi ? Fit le second animateur.

Le technicien amena un siège et brancha un microphone pour la jeune fille. En s’installant, elle répondit, tout sourire :

— Salut, ça va ?

— Bien-sûr que ça va, et toi ? Répondit Donald.

— Super.

— Tu as déjà été dans une radio ?

— Non jamais. Mais vous avez l’air bien installés en tout cas.

— On est bien, c’est vrai. Tu as dit bonjour à Johnny et Aurélie ?

— Non, pardon… Vous allez bien ?

— Très bien. Fit Aurélie.

— Impec’, je me régale. Fit Johnny, amusé.

— Gros porc ! Répondit Alexa, avec le sourire. Il est toujours aussi facile à supporter ?

Donald éclata de rire :

— Non, des fois c’est encore plus facile.

Johnny voulait reprendre la parole :

— …en fait il faut quand même que les gens sachent : elle a vraiment des seins énormes. Je suis désolé, mais on voit que ça ! Je crois pas une seconde que personne veuille de toi !

Donald en profita pour enchaîner :

— Justement, à ce sujet, je dirais d’abord que tu es encore plus jolie en vrai, et j’avoue que moi-aussi, pour le coup, je comprends pas comment tu pourrais dégoûter qui que ce soit.

— Ben ma foi. Fit-elle en riant.

— Par-contre ! Reprit-il. Il faut encore que tu nous racontes ce que ça a donné avec ton dernier contact ici à la radio.

— Oui, Bernard. Rappela-t-elle.

— Dis-nous qu’il t’a calmée ! Implora Johnny.

La jeune fille rigolait :

— Ben… je dirais pas qu’il m’a calmée, mais on a réussi à se trouver un moment…

— « Se trouver un moment » ? Répéta Donald. C’est bien délicat comme expression. Moi je dirais pas qu’il t’a calmée : là t’as plutôt l’air anesthésiée.

— J’imagine pas ce qu’il a dû te faire pour que tu te retrouves dans cet état. Ajouta Johnny.

Alexa gloussa :

— En tout cas je marche droit, vous avez bien vu, non ?

Sa réplique fut accueillis par plusieurs éclats de rire, et elle passa toute seule aux confessions :

— Je vous raconte. En fait, il était bien sympa…

— Ah ! Ça, ça veut dire que c’est déjà de l’histoire ancienne. Nota Johnny, inquiet.

— …mais baiser avec lui plus qu’une fois, je voyais pas l’intérêt.

— Mais pourquoi ? S’étonna Aurélie.

— Ben je sais pas. Ça m’a fait du bien, mais j’attendais un peu plus en fait. Il était un peu trop gentil, je trouve… C’était un peu mou en fait.

— Mou ? Et qu’est-ce qu’il te fallait, alors ? Fit Donald.

— Je sais pas… Un peu plus de fougue. Expliqua-elle en riant.

— Mais alors c’est bon, ça fait plus trois mois que tu baises plus. Remarqua Johnny.

— Non, c’est bon. Confirma-t-elle.

— D’accord. Et t’es venue ici pour quoi alors ?

— Mais je suis venue sur invitation ! Se défendit-elle.

Donald s’expliqua :

— C’est moi qui ai demandé à Mia de reprendre contact avec elle, et comme elle lui a dit que ça le faisait pas, j’ai décidé qu’on n’avait qu’à l’inviter et l’aider à trouver quelqu’un d’autre.

— Ah OK ! Fit Johnny. Tu veux jouer à Radio Proxénètes pour avoir un maximum d’auditeurs ?

— Hé ! Protesta Alexa.

— Pas Radio Proxénètes ! Se défendit Donald. D’abord elle est majeure, ensuite elle fait ce qu’elle veut, et finalement elle a pas de contrat avec nous. Elle est là en qualité d’invitée, et on va l’aider à trouver l’amour.

— Regarde ses seins ! Provoqua Johnny. Y’avait bien assez de place pour écrire Amour, et moi je vois rien.

— Je cherche pas d’amour, je veux faire l’amour ! Se défendit la jeune fille.

— Ben voilà, on y est ! Fit-il.

— Tu veux pas venir essayer ? Proposa-t-elle. Peut-être que ça m’irait d’essayer avec un vieux !

— Un vieux ? Hé, tu te prends pour qui ? Tonna-t-il sur le même ton amusé.

— Calmez-vous ! Demanda Aurélie. Alexa, tu nous as pas dit dans quel état du étais, du coup..?

— Ben ça va, je vous ai dit qu’il m’avait soulagée.

Donald reprit l’antenne :

— C’est vrai que les auditeurs peuvent se poser la question, parce que Lundi tu étais vraiment mal.

— Ouais, je l’admets. Fit Alexa. Mais je me sentais pas bien. Je sais pas si…

Elle s’éloigna un tout petit peu de son microphone pour demander à Aurélie :

— Je peux tout dire ?

Et comme Aurélie hochait la tête, elle reprit, distinctement :

— …En fait, ce soir-là, je me suis branlée huit fois, j’ai dû regarder vingt vidéos porno sur mon téléphone, et après j’ai retrouvé Bernard. Et je peux vous dire que même après tout ça c’est encore moi qui conduisais.

Aurélie et Johnny avaient éclaté de rire depuis longtemps, à la fois gênés et amusés. Quant à Donald, il essayait de garder le contrôle de lui-même :

— OK, je vois ce qu’on a. Disons qu’on n’a qu’à commencer maintenant : on va te passer des auditeurs, et ils pourront te faire des avances. Ça marche ?

— Ça court. Renchérit-elle, impatiente.

Mia leur livra un prétendant dans les dix secondes, et c’est Donald qui lui parla :

— Allô ?

« Ouais, salut ici c’est Nico ! »

— Salut Nico, enchantée. Répondit Alexa.

— Bien élevée ! Nota Johnny, moqueur.

Elle lui donna un petit coup de pied sous la table, tandis que Donald continuait :

— Alors, Nico, vends-nous du rêve : qu’est-ce que tu es comme gars ?

« Tout ce qu’elle veut. Répondit Nico. Si elle veut que je sois dur, je peux être dur. Si elle veut que je sois gentil, je serai gentil. Si elle veut de la violence ce serai violent… »

— Wow ! Wohoho ! S’exclama Johnny, mort de rire. On t’a pas demandé ton CV de hardeur !

Nico se mit à rire :

« C’est juste que je veux pas passer à-côté d’Alexa comme ça. »

Donald riait :

— Écoutez-le, on dirait qu’il fait les soldes. Hé, jeune homme, on t’a proposé de te présenter une fille bien, je te rappelle. Tu nous parles que de sexe, là !

« Mais non, pas du tout. J’ai pas parlé de sexe, je dis juste que je sais adapter mon caractère… »

— Ouais sûrement ! Grommela Alexa. T’as surtout l’air d’un soumis, et je suis prête à parier que si tu as pas ta petite gâterie le soir venu, tu te donneras plus autant de peine le lendemain.

Il essaya de se défendre :

« Pas à ce point, mais j’avoue que si tu as l’intention de m’affamer c’est pas la peine de venir. »

— T’inquiète pas, j’ai pas l’habitude d’affamer les gens. Fit-elle.

— Et tu veux lui donner à-manger, pour le coup ? Demanda Johnny.

Alexa secoua la tête :

— Désolée, mais je préfère pas. J’ai pas une bonne impression, là…

« OK, OK ! Fit Nico. Je voulais juste faire une proposition. »

— Au-moins, tu le prends pas mal. Fit remarquer Donald. C’est bien. Tu veux saluer quelqu’un avant de partir ?

« Ouais, tous les potes qui m’ont reconnus et qui ont pas eu les couilles d’essayer d’avoir Alexa eux-mêmes. »

Et Mia mit sa ligne hors-antenne, déjà occupée à préparer le suivant.

— Il était fier, mais marrant. Nota Alexa.

— Pas faux. Fit Aurélie. Mais j’ai l’impression que Mia nous donne toujours le même genre de rigolos.

La standardiste releva la tête et s’écria :

— J’aimerais bien t’y voir, toi ! C’est pas facile à trier. Je te signale que je vire déjà neuf cochons sur dix, là !

— C’est gentil. Déclara Alexa, soulagée de l’apprendre.

— Dis-moi, le temps que Mia nous trouve quelqu’un d’autre… Commença Donald. Tes seins, ils étaient comment avant que tu les refasses ?

— Moches. Répondit Alexa.

— Les petits seins sont pas forcément tous moches ! Défendit Johnny.

— Je sais. Répliqua-t-elle. Mais les miens étaient moches.

— Moches comment ? Demanda Donald.

— Comme aujourd’hui, mais sans silicone. Je vous jure, ils pendaient… comme des…

Elle éclata vivement de rire, suscitant la curiosité des animateurs.

— Ils pendaient comme quoi ? Demanda Donald.

— …comme des couilles. Avoua-t-elle, morte de rire.

Cette remarque fit rire tout le studio une fois de plus, mais Donald tenta de calmer le jeu :

— Et pourquoi tu les as faits aussi gros ?

— Je sais pas. Je me disais que D, c’était pas si gros finalement. Mais je t’ai déjà dit que j’étais grosse à l’époque. Maintenant ils sont vraiment saillants, mais je les trouve magnifiques quand même.

— Ils ont l’air beaux, c’est vrai. Admit Johnny.

Elle se tourna vers lui :

— Dis plutôt que tu aimerais bien les voir.

— J’ai rien dit, et j’ai besoin de rien. Insista-t-il.

— Tu as une femme ? L’interrogea-t-elle.

Il allait réagir, mais Donald le devança :

— Oh, attends Alexa, j’ai oublié de t’expliquer un truc : ici, on a un petit marché entre nous, c’est qu’on parle pas de nos femmes ou du mari et de l’amant d’Aurélie.

— Quoi, Aurélie a un amant ? S’écria Alexa. Mais…

— Non, je suis célibataire, c’était de l’humour. La rassura l’animatrice. Mais on parle pas de ça.

Alexa dodelina de la tête :

— Vous êtes gonflés quand même : moi j’arrête pas de vous parler de mes seins et vous essayez de me refourguer des rigolos depuis l’autre jour…

— Tu peux partir si tu veux. Fit Donald. On te rend service.

— Je sais, je rigolais.

— On a un auditeur ! Intervint Mia.

— Allô ? Répondit Donald.

« Salut tout le monde, salut Alexa, moi c’est Partick. »

— Salut Patrick. Répondit Donald. Tu fais quoi dans la vie, Patrick ?

« Hein ? Heu… je suis chauffagiste, à mon compte. »

— J’ai déjà dit que je m’en foutais ! Coupa Alexa, amusée. Tu mesures combien, Patrick ?

« Un mètre quatre-vingt-deux. » Répondit-il.

Elle s’écria, amusée :

— Oh putain, je suis pas assez profonde !

Johnny lâcha une nouvelle fois un éclat de rire qui domina tout le plateau. Lorsqu’il fut calmé, on entendit le rire gêné de Patrick :

« Hé hé… pour ça, je fais dix-huit centimètres. »

— Ouais, mais Mia : tu tries aussi en fonction de la longueur ? S’exclama Donald.

— Pas du tout. Se défendit la standardiste. C’est lui qui le dit !

— C’est bon, c’est rien. Fit Alexa. Dix-huit, ça veut dire quatorze centimètres, c’est tout.

« Bon, j’avoue en fait c’est seize. » Fit le jeune homme.

— J’ai pas bien compris. T’as dit douze ? Plaisanta-t-elle.

« Non ! S’écria-t-il. Vingt ! C’est vingt. »

— Disons treize. Fit-elle doucement. Et tu as d’autres qualités ?

Elle le prenait de court, mais en même temps elle cherchait un garçon qui ait la capacité de répondre. Les animateurs la laissaient faire.

« Je suis bon masseur, il paraît. » Expliqua Partrick.

— Bon masseur ? Répéta-t-elle. Tu connais quel genre de massages ?

« Ben les bases. Fit-il doucement. Pour la détente… et le massage coquin s’il le faut. »

— C’est vrai ? S’écria la jeune fille.

Donald remarqua une poussée d’enthousiasme de sa part, et il le signala tout de suite :

— Partick, on dirait bien que tu l’intéresses, tout-à-coup. Tu aimes les massages, Alexa ?

— Pas du tout. Répondit-elle. Mais j’aime les caresses.

« Ça je sais faire, aussi ! » Répondit Patrick.

— Tu lui fais quoi quand tu as une copine à caresser ? Demanda Alexa, tout en vérifiant du regard que Donald voulait bien la laisser continuer dans cette direction.

« Plein de choses. Répondit-il. Une fois on faisait ça comme un vrai massage, sur la table, avec des serviettes et de l’huile parfumée… »

— Aha ? Et ensuite ? Demanda Alexa.

« Ben j’ai commencé gentiment, classique. Et la fille m’a fait comprendre qu’il fallait aller plus loin, alors… Ben voilà. »

Alexa hésitait. Elle tourna plusieurs fois la tête entre son microphone et Donald. Celui-ci comprit ce qu’elle voulait :

— Patrick ? Appela-t-il. Imagines que là, Alexa est allongée sur une table, avec une serviette sur les fesses, et que tu doives la masser. Raconte-lui comment ça se passerait.

Patrick se mit à rigoler :

« Ha ha ! Génial, je vais m’afficher en direct, là… »

— Non, c’est rien, tu fais que parler ! Répliqua Aurélie, pour l’encourager.

Il continua tout seul :

« Ben je commencerais par lui caresser le dos… »

— Parle-moi directement ! Demanda Alexa.

Tandis que patrick reprenait, les trois animateurs éclatèrent de rire et éloignèrent leurs microphones pour parler à Alexa en privé :

— Tu vas lui faire croire que tu te touches ! Prévint Johnny.

— Tu veux jouer à quoi ? Demanda Aurélie.

— Chut, attendez ! Répondit Alexa. Écoutez !

Patrick avait repris son récit :

« Je pense qu’après le dos, tu serais déjà bien détendue, et je pourrais continuer par tes jambes. Mes copines aimaient bien que je leur masse les cuisses. »

— Oui, les cuisses c’est excitant. Fit Alexa. Mais parle pas de tes copines, y’a que toi et moi ici !

Il gloussa nerveusement, mais obéit :

« Et… je sais pas, si tu es réceptive je pense que j’essaierais de m’approcher de tes fesses. »

— Oui, pour les tâter ?

« Exactement. Et je ferais tomber ta serviette, comme si j’avais pas fait exprès… »

— Oh là ! Faut pas révéler ses secrets trop vite ! Prévint-elle. Moi je tomberai pas dans le panneau !

« Oui, mais si je vais jusque-là, ça veut dire que tu auras rien contre ! » Nota-t-il.

— Peut-être. Répondit-elle. Et ensuite ?

Elle ne se touchait pas, mais les animateurs se moquaient d’elle comme si elle le faisait. Elle chauffait l’auditeur comme une folle, et ça se sentait à sa voix qui devenait haletante :

« De fil en aiguille, je tarderais pas à essayer de mettre un doigt à l’intérieur de toi… »

Donald voulut intervenir, gêné, mais Alexa se leva en tenant son casque, l’implorant de les laisser une seconde de plus. Il ne fit rien et laissa Patrick continuer quelques secondes.

« Après ça, la voie est libre, je pense. Tu imagines la suite. »

— Oui, j’imagine. Comment tu as deviné que j’aime bien faire ça à-plat-ventre ? Demanda Alexa.

« Je pouvais pas savoir. Fit Patrick en rigolant. Mais t’inquiète pas, j’aime ça aussi ! »

— OK, on vous arrête ici ! Coupa Donald.

— Purée, Alexa t’es chaude ! Intervint Aurélie, en riant. Tu me ferais presque de l’effet !

— Désolée. S’excusa la jeune fille. Mia ? Tu pourras me donner son numéro, je crois que je vais l’appeler.

— Déjà le deuxième ? Répondit la standardiste.

— Tu m’en as préparé combien ?

— Je les prends au fur et à-mesure, mais il ’y a beaucoup d’appels.

— Tu en prendras d’autres après la publicité. Annonça Donald.

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