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Mon fils, amant de sa mère – Chapitre 1




Tout récemment j’ai découvert que ma femme me trompait. N’étant pas jaloux de nature, cette découverte m’a excité au plus haut point non pas de savoir qu’elle avait un amant mais surtout en raison de l’identité de cet amant. Voici comment par le grand des hasards, j’ai appris ma déconvenue.

Mon ordinateur était tombé en panne et, profitant du fait que mon fils soit parti pour quelques jours avec des amis pour une grande randonnée en montagne, je lui ai emprunté son portable d’autant plus facilement qu’il a la fâcheuse habitude de noter tous ses mots de passe sur un petit calepin qu’il croit bien caché dans un des tiroirs de son bureau.

Bref, après avoir fait ce que j’avais à faire sur internet, je m’aperçois qu’il a en sa possession un disque dur amovible dernier cri de grande capacité. D’une nature plutôt curieuse, passionné d’informatique, la tentation est trop forte de voir comment il fonctionne. Je le connecte à une des prises USB et me voici en train de fouiner dans les répertoires jusqu’à arriver sur des fichiers portant le prénom de sa mère avec des dates assez récentes. Ce sont des fichiers vidéo tous protégés par un mot de passe. Intrigué je me mets en quête des mots de passe dans son fameux calepin et là, bingo, la première vidéo s’ouvre. Les images commencent à défiler et là, c’est la douce froide. En effet, je ne tarde pas à reconnaître ma femme en gros plan, dans un exercice qu’elle n’est censée que pratiquer avec moi. Elle est à genoux entre les jambes d’un mec, en train de le sucer et visiblement en y prenant beaucoup de plaisir. De temps en temps elle lève les yeux vers l’objectif qui la filme en parlant à celui qu’elle suce mais malheureusement il n’y a pas de son. Je n’entends ni ce qu’elle dit, ni ce que doit lui répondre son amant. Elle s’applique à lécher toute la longueur de la hampe, descend plus bas pour sans doute lui passer la langue sous les bourses avant de remonter pour le reprendre en bouche et se mettre à le téter comme une affamée. L’homme ne résiste pas longtemps au traitement qu’elle lui fait subir et rapidement, je me rends compte qu’il est en train d’éjaculer. Elle lève les yeux vers lui tandis qu’il continue de se vider, commençant à avaler sa semence du moins c’est ce que je crois car quelques instants plus tard, quand elle lève la tête en ouvrant toute grande sa bouche, je m’aperçois qu’elle a tout récupéré. Sa langue baigne au milieu d’une quantité impressionnante de sperme. Elle lui sourit puis avale la semence face à la caméra. J’avoue que sur le coup, j’ai un peu de mal à réaliser que c’est bien ma femme que je viens de voir avaler la semence d’un autre homme. La vidéo s’arrête me laissant réellement frustré de ne pas avoir pu identifier cet homme si toute la séquence n’avait pas été filmé sans le son.

Sous le choc de cette découverte, je reste un long moment devant l’écran vide, hébété, à la manière d’un boxer sonné par un magistral coup de poing. Ça ne me prends que quelques secondes. Cette fois-ci, c’est mon fils qui apparaît sur les premières images, il est dans son lit, un drap le recouvre presque entièrement. Je suppose que la caméra a été fixée en hauteur dans sa chambre car c’est sur un plan large que commence la vidéo. Ouf, il y a le son cette fois-ci. Elle lui demande se lever mais Arnaud ne semble pas vouloir bouger. Elle s’avance vers le lit, soulève les couvertures et se glisse sous les draps en commençant à le chatouiller.

Allez, debout. C’est l’heure.

Arnaud rouspète en essayant de la repousser. Une lutte s’engage, chacun essayant de prendre le dessus et à ce petit jeu, Arnaud a vite raison de sa maman. Normal, il est bien plus costaud qu’elle. Il réussit à l’immobiliser sous lui rapidement. Ils se mettent à rire avant de se faire des petits câlins comme le font une mère et son enfant. La position dans laquelle ils sont pourtant me mets un peu mal à l’aise car Arnaud est pratiquement assis pratiquement sur les seins de sa mère, son bas-ventre à quelques centimètres de son visage. Je suis sur le point d’arrêter le visionnage en me disant que je suis en train de m’immiscer dans un moment de tendresse que je ne suis pas censé voir entre Arnaud et sa maman quand j’entends la voix d’Arnaud lancer :

Suces-moi Maman.

C’est un nouveau choc que je ressens de plein fouet en entendant ces mots. Je me dis que j’ai mal entendu et du coup je me ravise. Je laisse la vidéo en marche pour en avoir le cur net. Arnaud se redresse puis bascule en avant en s’appuyant sur ses avant-bras et ce faisant, il avance son bas-ventre vers le visage de sa mère. Je ne veux pas croire ce que voient mes propres yeux. Je me dis que c’est forcément un effet d’optique. Ça ne peut pas être ce à quoi je suis en train de penser. C’est de mon fils et de sa mère qu’il s’agit pourtant, c’est plus qu’un doute qui m’étreint la poitrine. Je ne sais vraiment plus que penser. J’ai soudainement peur de ce que je risque de voir. J’appuie sur « Stop ». Mes pensées s’embrouillent, j’ai besoin de faire le point. Je repasse les images en flash-back. Non, ce n’est pas çà. Il me faut pourtant visionner cette vidéo ne serez-ce que pour chasser définitivement ces affreuses pensées qui me traversent l’esprit. J’appuie sur « Lecture ». Le film reprend. J’écarquille les yeux. Non je ne peux croire que ce que je vois est la réalité. Arnaud s’aidant d’une de ses mains fait glisser le bas de son pyjama sur ses fesses. Son sexe tendu jaillit, menaçant devant les yeux de sa mère qui fait mine de détourner son visage pour éviter que ses lèvres n’entrent en contact avec le gland gorgé de sang.

Non Arnaud, non. Pas question !

J’essaie de m’accrocher au dernier espoir qu’il me reste, le refus opposé par ma femme à cette incroyable demande. Arnaud n’a pas l’air de vouloir renoncer si facilement à obtenir ce qu’il veut. Il saisit les 2 mains de sa mère pour les immobiliser en les plaquant contre le matelas de chaque côté de sa tête. En 2 secondes, elle est complètement à sa merci. Il lui réitère sa demande :

Allez Maman. Ça sera ton gage. Suces-moi et je te libère !

Elle ne va pas céder. Ce n’est pas possible. Cela ne se peut pas. Mon épouse essaie de se libérer une dernière fois sans succès. Elle n’a pas l’air contente :

Je n’aime pas quand tu me forces mon chéri.

Suces-moi Maman. Regardes comme j’ai envie.

C’est vrai qu’il bande à mort. Le bout de son gland est presque violet de désir, prêt à exploser. Je regarde mon épouse. Je vois à son regard qu’elle est sur le point de céder. Mon cur est au bord de l’arrêt cardiaque. Je retiens mon souffle mais mes derniers espoirs s’envole quand j’entends :

Un jour on va se faire prendre à te faire sucer à tout bout de champ. Bon allez, donnes à Maman.

Elle ouvre toute grande la bouche en tendant son cou pour happer le sexe de notre rejeton. Je vois distinctement ses lèvres happer le gland puis descendre le long de la hampe. C’est fait. Elle est en train de le sucer et elle ne fait pas que çà car rapidement, c’est sa langue qui s’enroule tantôt sur le gland, tantôt sur la hampe avant de descendre pour lécher les bourses que j’imagine pleines à ras-bord.

Arnaud sait qu’il a gagné. Il libére les mains de sa mère pour lui permettre de venir aider sa bouche dans ses caresses. Tout y passe, ventre, fesses, les bourses et la hampe sur toute sa longueur. Arnaud pousse des gémissements en encourageant sa mère à le faire jouir :

Oh oui Maman, oui, comme ça ! Je vais gicler. T’arrêtes pas. Ça vient. Ça vient !!!

Mon épouse accélère ses va-et-vient avec sa bouche au même rythme que sa main sur la hampe. Arnaud ouvre toute grande sa bouche en poussant un long et puissant cri rauque. Son ventre et ses cuisses sont tendus comme un arc. Je sais qu’il est en train d’éjaculer dans la bouche de sa génétrice. Elle lèvre les yeux vers lui tandis qu’il se vide spasme après spasme. Je me surprend à imaginer son sperme gicler du bout de son gland pour venir frapper le palais de sa mère et se répandre en épaisses flaques sur la langue accueillante. Je bande moi aussi comme un cerf et à ce moment précis, je ne me pose même pas la question de savoir si c’est immoral ou non de bander aussi fort en regardant sa femme faire jouir son fils avec sa bouche et boire son sperme jusqu’à la lie. Une folle envie de jouir me tord les tripes mais j’arrive néanmoins à me retenir en réalisant qu’il y a encore plusieurs minutes de vidéo à visionner sur cet extrait.

Je serre mon gland le plus fort que je peux pour faire passer cette envie impérieuse de me soulager et me replonge dans le visionnage immoral. Les jeunes sont sans aucun doute des amants formidables car même s’ils sont inexpérimentés, leur vigueur n’a d’égale que leur empressement à éjaculer. Mon fils ne fait pas exception à la règle et je m’en rends compte rapidement car à peine sa mère a-t-elle fini de le nettoyer des traces de sa jouissance qu’il m’apparaît toujours aussi vaillant et fringant qu’à son réveil.

Mon épouse le connaît parfaitement me semble-t-il car immédiatement elle s’allonge sur le dos en écartant largement les cuisses les bras tendus vers lui dans une invite sans équivoque. Elle sait qu’il en veut encore et elle est prête à le satisfaire. Arnaud s’allonge sur elle tandis qu’elle l’enveloppe de ses bras.

Je t’aime mon fils ! Fais un câlin à Maman maintenant.

Oh oui Maman ! Laisses-moi te prendre. J’ai encore envie !

Je sais mon garçon. Viens ! Viens dans Maman.

Ils ont l’air d’être parfaitement en phase. Je suis sûr en les voyant agir qu’ils ne sont pas amants d’hier mais de bien plus longtemps. Arnaud passe une main entre leurs corps sans doute pour s’aider à trouver l’entrée des trésors interdits. Je guette le moment où un mouvement significatif de son bassin va m’indiquer qu’il a trouvé sa cible. Mon excitation est à son comble tandis que le mouvement attendu arrive. Ça y est. Je sais que son gland est dans l’entrée du ventre de sa mère. Son bassin s’avance, ses fesses se durcissent. Il est en train de s’enfoncer, d’ouvrir et repousser les chairs intimes à l’intérieur de ce sexe qui m’a tant fait jouir mais c’est notre fils aujourd’hui qui en profite et bizarrement, ça ne me met pas en colère. La scène qui s’offre à moi m’excite c’est vrai, mais m’émeut également. Je me surprend à penser que c’est certainement le plus cadeau qu’une mère peut offrir à son enfant. L’extase de la chair à l’intérieur de sa chair. Un orgasme hors norme, hors du commun car qu’y a-t-il de plus fort pour un garçon que de pouvoir pénétrer le ventre de sa mère , la pourfendre de son sceptre, lui donner du plaisir et, au sommet du nirvana, lui donner sa semence en signe d’offrande suprême.

Je les regarde forniquer, mon regard rivé sur les fesses de mon garçon qui s’activent en alternant des coups de reins brusques et puissants à d’autres beaucoup plus lents mais bien plus profonds. J’écoute les gémissements grandirent jusqu’à devenir cris. Ce sont des sons indécents, excitants même et pourtant si délicieux pour moi car je sais que c’est mon fils qui donne autant de plaisir à sa mère. C’est une lutte qui les opposent maintenant devant mes yeux. Les gestes deviennent moins doux, les coups de reins se muent en coups de boutoirs. C’est une course effrénée vers le plaisir suprême qui se déroule devant moi. Je n’en reviens pas de la violence de l’assaut. Charlie mon épouse n’est plus qu’un pantin désarticulé s’agitant au gré de la possession qu’elle subit avec délice. Elle s’ouvre au maximum, écarte ses jambes en repliant ses genoux qu’elle ramène vers sa poitrine. C’est le summun de l’offrande au soc de notre fils qui peut plonger jusqu’au plus profond de son ventre, frappant à chaque coup de rein la matrice qui l’a vu naître. Elle crie. Il gémit.

Je t’aime Maman. Je vais jouir.

Oh oui mon garçon. Oui. Jouis dans Maman. Donnes-moi tout. Donnes-moi tout ton jus d’amour.

La fin de la route est là. Devant c’est le précipice qui les attire à grande enjambée. Ils jouissent enfin. J’ai toujours adoré voir ma femme en train de jouir mais là, je suis aux premières loges, un spectateur privilégié car spectateur uniquement et pas acteur. Lorsque je lui fais l’amour, je ne peux pas vraiment la voir jouir alors que là, je ne manque rien du spectacle qui m’est offert. Je vois son visage déformé par le plaisir et pourtant si beau à mes yeux, ses yeux qui basculent dans le néant, sa bouche qui s’ouvre, cherchant l’air à pleins poumons et son corps tout entier qui se tend tel un arc prêt à décocher son trait, jusqu’au moment où la jouissance déferlera en énormes et longues vagues parcourant chaque parcelle de ce corps que j’adore. Un long orgasme synonyme de bonheur, d’endorphines qui vont se répandre partout dans ce corps brisé mais déjà prêt à reprendre vie.

C’est terminé. Ils sont maintenant en train de se cajoler comme le font la plupart des amants après l’amour. Ils se parlent, s’embrassent, se caressent.

Tu es fou mon garçon. Tu sais que ce que nous faisons n’est pas bien n’est-ce pas ? Il est important que jamais personne ne l’apprenne.

Ne t’inquiètes pas Maman. Ça sera notre secret pour toujours.

Je t’aime mon fils.

Je t’aime aussi Maman d’amour.

La vidéo s’arrête tout à coup. J’aurais bien aimé m’immiscer un peu plus dans ce dialogue intime entre mon fils et sa mère. Je me rends compte tout à coup que rien ne compte plus que leur bonheur à mes yeux et que je ferais tout pour qu’il soit préservé. J’ai envie de leur dire que je suis au courant, que j’ai vu les vidéos et que je sais qu’ils font l’amour à chaque fois qu’ils sont seuls, mais que je ne suis pas fâché au contraire et qu’ils pourraient faire l’amour même si je suis à la maison car je les aime plus que tout et j’aime voir le bonheur dans leurs yeux lorsqu’ils font çà.

La colère et l’incompréhension ont fait définitivement place à un autre sentiment que je ne saurais définir vraiment. Je sais seulement que je ne vais rien faire pour empêcher çà et qu’au contraire je ferais tout pour leur permettre de vivre à fonds l’attachement qu’ils éprouvent l’un pour l’autre en espérant que moi aussi, je pourrais partager avec eux ce bonheur de ne faire qu’un.

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