Réglée comme une horloge, Élodie se préparait pour partir au travail. Sérieuse et organisée, rien ne venait perturber son quotidien. Aujourd’hui, elle attendait l’arrivée du peintre qui devait s’occuper de repeindre la chambre à coucher de leur maison.

Son mari avait pris le rendez-vous à 8 h, le peintre ne devait plus tarder à arriver. Le mari d’Élodie était déjà parti au travail. La sonnette retentit et Élodie ouvrit la porte. À sa grande surprise, elle reconnut le peintre, elle le connaissait déjà ! Il s’agissait d’un émigré malien qu’elle avait aidé à retrouver du travail. Elle travaillait de façon très assidue à la réinsertion des chômeurs, le social avait toujours été une passion, elle y mettait tout son cur.

Youssouf la reconnut immédiatement, fit un grand sourire et lui serra la main.

— Quelle coïncidence, vous êtes Youssouf c’est ça ?

— Oui, oui, c’est bien moi Madame, je vous reconnais, c’est vous qui m’avez aidé à trouver ce travail. Je vous suis très reconnaissant de m’avoir aidé. J’aime beaucoup ce travail, vous allez voir, je vais faire la peinture vraiment très bien pour vous.

— Je dois me sauver, je vais travailler, je dois aider d’autres personnes comme vous Youssouf ! Mon mari vous a laissé les instructions sur la table. Bon courage.

Youssouf regardait Élodie s’éloigner. Elle portait des chaussures à talons hauts, des collants et une jupe serrée qui mettait en valeur de très jolies fesses.

La journée d’Élodie ne fut pas très productive, elle pensait sans arrêt à Youssouf. Elle était très heureuse de voir que son travail portait ses fruits et qu’elle avait pu aider quelqu’un. Mais d’autres pensées venaient la perturber. Elle pensait au visage de Youssouf, à son corps grand et mince, à sa couleur noire très foncée, à ses mains, immenses

N’arrivant pas à se concentrer, Élodie rentra chez elle plus tôt que prévu. Elle trouva Youssouf dans sa chambre à coucher, tout avait été recouvert de plastique pour ne pas tâcher. Youssouf la regarda entrer, il était torse nu, quelques taches de peinture sur les épaules.

Élodie ne put s’empêcher de parcourir des yeux ce corps d’ébène, ces épaules fortes mais sans excès, ce dos musclé et ces fesses galbées et serrées dans le pantalon de treillis. Youssouf se rendit compte qu’Élodie le regardait et lui sourit. Ils échangèrent un long regard et Élodie lui sourit également.

Soudain, ils entendirent du bruit, c’était Fred, le mari, qui rentrait. Le sourire d’Élodie s’effaça immédiatement, elle aurait voulu profiter de la vue encore un peu

Le lendemain, Élodie ne travaillait pas, son mari était déjà parti au travail, c’était donc elle qui devait ouvrir la porte à Youssouf. Après avoir pris sa douche, elle hésita un peu, puis, pensant à Youssouf, elle remit sa nuisette avant de lui ouvrir la porte.

Lorsque Élodie lui ouvrit la porte en nuisette, il sourit et resta sur le pas de la porte pour l’observer. Elle adora se sentir regarder par cet homme alors que son mari était parti travailler. Elle lui sourit également.

— Je ne vous ai jamais remercié de m’avoir aidé mais grâce à vous j’ai trouvé ce travail, j’en suis ravi, je vous suis redevable. N’hésitez pas à me demander si vous voulez quoi que ce soit.

— Je t’en prie Youssouf, on se connait déjà, tu peux m’appeler Élodie.

Elle referma la porte et s’avança dans le couloir. En passant à ses côtés, elle posa sa main sur les fesses de Youssouf et les caressa tout en le contournant. Les deux souriaient. Elle alla jusque dans la chambre à coucher, il la suivit.

— J’ai bien aimé te voir en tenue de travail hier, tu as raison, il ne faudrait pas que tu taches tes vêtements

Elle prit le t-shirt de Youssouf par le bas et le remonta jusqu’à ses épaules pour faire apparaitre son ventre et sa poitrine. Elle caressa ses abdominaux, ses pectoraux, il était fort, musclé. Il la laissa faire et enleva complètement son t-shirt qu’il jeta par terre.

— Alors comme ça tu as une dette envers moi ?! Tu es redevable ? J’aime bien l’idée !

Il s’approcha d’elle, prit les deux bretelles de sa nuisette et les écarta. Elle tenait ses bras le long du corps, souriante. Il lâcha la nuisette qui glissa lentement le long de ses bras, fit un sursaut au niveau des seins puis tomba à ses pieds.

Élodie était complètement nue devant ce grand black, son cur battait à tout va ; depuis son mariage c’était la première fois qu’elle montrait son corps à un autre homme que son mari. Elle se mordait la lèvre inférieure, elle n’y tenait plus, se sentir nue face à Youssouf l’excitait énormément. Elle baissa les yeux sur la braguette de Youssouf et vit une grosse bosse se former.

— Si tu veux rembourser ta dette, il va falloir me donner quelque chose en retour mon cher Youssouf, dit-elle tout en se baissant lentement.

Une fois qu’Élodie fut à genoux, elle regarda Youssouf dans les yeux, un sourire aux lèvres. Il n’attendit pas une seconde, ouvrit sa braguette, défit sa ceinture, baissa son pantalon et Élodie fit le reste. Elle baissa son caleçon et ouvrit deux grands yeux face à cet énorme sexe.

Celui de son mari n’était décidément pas comparable. Intimidée, elle le prit entre deux doigts, le remonta et le décalotta. L’énorme gland trônait devant elle, il était très impressionnant, Youssouf se mit à bander encore plus fort, son sexe s’allongea encore un peu, se durcit et Élodie l’observait la bouche grande ouverte de stupeur.

Youssouf profita de voir cette bouche grande ouverte, il prit sont sexe dans sa main droite, plaça sa main gauche sur la tête d’Élodie et l’approcha de son gland. Elle ouvrit sa bouche pour le recevoir et Youssouf déposa son gland sur la langue d’Élodie qui ne le quittait pas des yeux.

Elle ferma ses lèvres sur la verge et Youssouf commença à faire des mouvements de va-et-vient avec la tête d’Élodie qui sentait ce gros sexe durcir et se déplacer dans sa bouche.

Après quelques minutes d’allers-retours, Youssouf sortit son sexe de la bouche d’Élodie. De longs filets de baves s’écoulaient de la bouche de celle-ci, dégoulinant le long de son menton, de sa gorge, entre ses seins, jusqu’au sol où c’était formé une flaque de salive.

Élodie le regardait, médusée. C’était une première fois, elle découvrait une nouvelle source de plaisir en donnant sa bouche à cet homme. Elle qui pouvait être si prude avec son mari, parfois gênée lorsqu’ils faisaient l’amour, se découvrait sous un autre jour : elle voulait être prise, possédée, abusée par cet homme.

Youssouf comprit le plaisir et l’envie dans son regard. Il lui sourit, la fit se relever en lui tendant la main puis la jeta sur le lit. Il la retourna pour qu’elle lui présente ses belles fesses, écarta ses cuisses et appuya sur son dos pour la cambrer, il passa fermement sa main sur ses fesses, puis la glissa le long de la raie pour descendre jusqu’à sa chatte.

Élodie expira, gémit de plaisir, elle se cambra encore plus comme pour l’inviter à la pénétrer. Il remonta sa main le long des fesses, jouant du bout des doigts avec l’anus d’Élodie puis y enfonça son pouce. Elle avait l’anus détendu, elle était prête à le recevoir, elle n’attendait que ça, elle commença à faire des mouvements de hanches pour mieux sentir le pouce de Youssouf.

Il la prit par les hanches et colla son gland contre l’anus puis commença à la pénétrer. Son sexe entrait lentement mais sûrement dans les belles fesses d’Élodie. Il poussait, poussait, tout en regardant son sexe disparaître et l’anus s’écarter pour le recevoir.

Élodie baissa la tête en soupirant et mordit l’oreiller. Il était en elle, elle était en train de se faire enculer par ce grand black, elle ne le voyait pas mais sentait sa verge bien en elle. Elle, dans ce lit, le lit conjugal, sa photo de mariage sur la table de chevet, elle qui ne laissait pas son propre mari la pénétrer analement, était en train d’offrir son intimité à cet homme qu’elle n’avait rencontré que quelques fois

Youssouf retira son sexe puis l’enfonça de nouveau, il commença les allers-retours en entendant Élodie gémir. Il lui appuya sur le cou pour qu’elle garde son visage contre l’oreiller sur lequel elle bavait de plaisir. Le gros sexe de Youssouf la pénétrait avec vigueur, sa chatte mouillait et dégoulinait le long de ses cuisses.

Élodie était en train de prendre un pied phénoménal quand Youssouf remonta les deux bras d’Élodie dans son dos en les maintenant d’une seule main par les poignets. Il augmenta la cadence, serrant fort les poignets d’Élodie et commença à donner des claques sur ses jolies fesses à chaque pénétration.

— Ça te plait ? Tu aimes la façon dont je paye ma dette ? En t’enculant sur le lit où tu dors avec ton mari ?

Élodie gémissait, elle n’arrivait pas à répondre, l’idée d’être pénétrée par un autre homme dans l’intimité de son foyer lui faisait perdre la raison, elle ne pensait pas que donner son anus à cet inconnu lui aurait procuré autant de plaisir.

Youssouf s’allongea sur elle, bloquant de son ventre les bras d’Élodie. Il lui passa un bras sous la gorge, lui fit légèrement tourner la tête et lécha son visage à plusieurs reprises. Il augmenta encore la vitesse et la force des pénétrations.

Il commença à geindre puis à crier et hurla enfin:

— Prends ça dans ton cul de blanche ! !

Il lâcha plusieurs saccades de son foutre dans l’anus endolori d’Élodie, accompagnant chaque éjaculation d’un fort coup de rein. Il reprit sa respiration, retira son sexe et retourna Élodie en maintenant ses bras sous son dos. Il enjamba son torse et lui mit son gland devant la bouche. Elle ouvrit la bouche toute grande, tendit la langue et Youssouf serra fort son sexe de la base jusqu’à la pointe pour en extraire les dernières gouttes de sperme qui tombèrent sur la langue d’Élodie.

Il mit alors son sexe dans la bouche béante et elle le suça langoureusement et se délecta de tout le sperme présent sur le gland et la verge. Il s’avança, posa son sexe sur le front d’Élodie et mis ses couilles sur sa bouche. Elle lécha goulûment ses énormes couilles et descendit sa langue entre ses cuisses jusqu’à lui lécher l’anus.

Élodie souriait, elle n’avait jamais aussi bien été remerciée de tous ses efforts, son action sociale envers les personnes dans le besoin était enfin récompensée. Avec tous ces hommes qui lui sont redevables, Élodie se dit qu’il était temps d’obtenir du plaisir en retour

À suivre.

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