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Soumise aux ordres de mon Maître – Chapitre 1




Soumise aux ordres de mon Maître. 

Le collègue. 

  

 (Cette histoire est écrite avec la complicité d’une de mes lectrices. Mais je ne vous dirai pas si tout ou partie est fantasme ou réalité. L’auteur)

  

  

 Je mets mes genoux à terre, comme en prière devant ce qu’il a à m’offrir, mes yeux se fixent sur la bosse, hum, belle bosse mais je pense que je serai déçue, j’ai en tête les photos de mon Maître. Personne ne peut rivaliser.

 De mes mains, je défais la ceinture, détache le bouton, baisse la braguette. Il y a une vie sous ce pantalon. Je le baisse et fais apparaître un caleçon noir moulant, je vois la forme de sa bite logée dans le creux de son aine. Hum ! Je sens ma vulve s’humidifier.

 – Sophie, ouvre ton chemisier !

 Ma main droite part ouvrir les quatre boutons, les pans s’écartent, on aperçoit mes seins, petits mais fermes, les tétons sont dressés, j’ai la chair de poule. De la main gauche, je masse, paume à plat le chibre de Jean.

 – Sophie, écarte tes cuisses !

 Oh oui ! J’aime les ordres, je m’imagine que, par la voix de Jean, c’est Patrick qui me commande, comme une marionnette soumise aux désirs de son Maître, je sens ma moiteur, je sens mon odeur, je coule, j’ai envie.

 À deux mains, je descends le caleçon, son pénis s’échappe et commence une petite levée, il est pas mal, bon ce n’est pas Patrick, mais j’ai devant les yeux un appareil qui surpasse ce que j’ai connu. 

 Sa queue est plus foncée que ses cuisses, assez fine au regard de sa longueur. Je vois les veines se gorger et donner de la dureté. Oui, elle est longue, hum !

  

 J’ouvre mes lèvres et embrasse langoureusement son gland en glissant l’extrémité de ma  langue sur son méat. Hum ! Pouvoir le goûter, attendre la goutte qui fera exploser ses saveurs dans ma bouche. Je ne pensais pas être capable et je me découvre en chaleur avec une gourmandise insatiable, je veux dévorer son sexe. Je veux manger des sexes, je veux sentir des bites durcir, bander pour moi.

 Oh Patrick, que fais-tu de moi? Je pense à ta queue si épaisse qui ridiculise celle de Jean.

 Je soulève son rostre et passe ma langue de la racine à l’extrémité, je lui bave dessus tellement il me donne envie. Il grandit encore, durcit. Hum ! J’enroule, tourne, lape, embrasse, lèche, je prends ma sucette en plein bouche.

 Il glisse sa main droite sous mes cheveux, sur ma nuque :

 – Sophie, fini de jouer, prend, prend-moi en entier !

 J’ouvre mes lèvres, l’absorbe,  il est long,  son gland rentre dans ma gorge,  j’étouffe, réflexe d’éjection, il me maintient. C’est pour toi, Patrick !

 – Ouvre encore Sophie !

 Je lève les yeux et je vois un désir brutal, primaire, il a la tête légèrement penchée vers moi, de ses lèvres entrouvertes s’échappe un souffle, oui. 

 Fascinée par l’effet que je lui fais, j’arrive à reculer, inspirer par le nez, et je l’enfonce un peu plus loin. Oui, j’y arrive, il faut le bon angle et accepter son intrusion dans ma gorge.

 Je commence de longs et profonds aller-retour sur sa queue, je le caresse de ma main gauche sur sa longueur, ses couilles, son aine. Ma main droite est partie sous ma jupe.

 – Oh Sophie, je vais jouir ! Oui ! Tu es bonne, hum !  Depuis le temps, des années à me masturber en imaginant ta bouche !  Oh la cochonne, la salope !

 Il sert mes cheveux à la racine et s’enfonce encore plus loin, il baisse son autre main et pince violemment un téton.

 – Oui, t’es qu’une salope avec tes airs de sainte nitouche ! Goûte mon nectar !

 Il n’a pas tenu une minute, éjaculateur précoce,

 Un premier jet parfume ma bouche, il sort vite et arrose ma poitrine.

 – Ah ! Ah ! Voilà ta crème ! Étale !

 De mes deux mains, je masse mes seins, fais pénétrer sa liqueur. Au passage, je frotte mes tétons, j’ai tellement envie, mes hanches sont en mouvement, je sens ma cyprine s’écouler. J’ai tellement envie d’une queue. Non ! J’ai envie de Sa queue !

 – Allez Sophie, retourne dans ton bureau ! C’est fini pour aujourd’hui. Il ne veut pas que j’aille plus loin !

 Quoi??? Il va me laisser comme ça!!! Le corps tendu, frustré, mouillé, sali, le visage ravagé et cette envie qui torture mon ventre.

 Je réussis à faire façade après un passage aux toilettes pour "rafraichir" mon apparence.

 Au fond de moi, dans mon corps comme dans ma tête, je n’ai pourtant qu’une seule préoccupation, qu’une seule envie : Toi, mon Maître ! Tu m’emmènes loin, tu me transformes, tu m’habites, je Te veux.

 Le soir, je reste longtemps à te faire mon rapport par mail. Oh ! Ton prochain message, vite, j’ai tellement hâte….

 Mon rapport se terminait ainsi :

 « Mon Maître. Vous m’avez fait subir une humiliation dont je ne me croyais pas capable. Je ne sais pas si je pourrais le refaire. Sophie. Votre soumise. »

  

 Après avoir envoyé ce mail, j’ai attendu ave appréhension sa réponse. J’allais éteindre mon ordi quand un message de Lui c’est affiché :

 -Mon petit soldat, je te félicite. Tu a passé avec brio cette épreuve. Tu recevras bientôt ton prochain défi. Ton Maître. Tu as mérité deux autres chiffres, encore six.

 Je me glisse enfin sous mes draps. Ma nuit est pleine de rêves plus coquins les uns que les autres. Avec inquiétude et excitation, je me demande ce que sera sa prochaine demande, pourrais-je  franchir ce nouveau cap ?

  

  J’ai reçu enfin ma nouvelle mission.

 « Sophie. Voici tes nouvelles consignes :

  Tu mets la même jupe qu’avec Jean mais avec ton  tee-shirt échancré blanc  à même la peau. Tu es libre de choisir les chaussures. Prends une photo de toi dans cet accoutrement pour que je contrôle ta soumission. »

 Je suis comme une actrice dans son « accoutrement ». Il y a comme un dédoublement de personnalité, mais j’adore ça !

  « Bien Maître. Je vais essayer de suivre vos prescriptions. Votre soumise. »

 Il me répond presque aussitôt :

 « Ce n’est pas une demande, c’est un ordre ! Obéis !»

 Il n’a jamais été aussi sec. Cette autorité provoque en moi comme une décharge électrique. Suis-je si veule pour accepter ça ? Mais c’est si agréable. Ça m’enivre, je ne peux plus me rebeller.

 « Sophie ! Je veux que tu excites tellement un des voisins de ton immeuble, qu’il ne puisse plus te résister et que tu te donnes à lui ! Pour les détails, je te laisse pleine liberté. Mais je veux que ça soit dans un lieu public, le garage ».

 Ce qu’il me demande là, je ne sais pas si je pourrai le faire. Un inconnu, pourquoi-pas ? Mais dans mon propre immeuble ? Comment pourrai-je après m’en défaire ?

  

 L’occasion se présente deux jours plus tard dans le parking. Le voisin du cinquième est là, C’est un bel homme. Et quitte à me faire baiser, autant que ça soit agréable.

 Je suis à ma voiture, j’ouvre le coffre quand il passe à ma hauteur, il lorgne sur mes cuisses et mes fesses sous le tissu de ma jupe. Je dois reconnaitre que son regard m’électrise et m’excite. Je me penche pour qu’il voie que  je ne porte pas de culotte. J’ai honte de m’exhiber ainsi et pourtant je suis excitée comme une puce. 

 Je lui demande s’il ne pourrait pas m’aider à retirer un lourd colis de mon coffre. J’avais prévu le coup. 

 Il vient m’aider à saisir la charge et je sens un membre dur se plaquer en haut de mes fesses.

  J’ai un instant de doute. Vais-je le repousser et lui coller une baffe ?

  Il est là, derrière moi, en train de bander comme un bouc en rut en s’appuyant contre mes fesses, faisant tout pour faire durer ce moment.

  

 Instant de doute? Non, finalement, je n’ai plus de doute. Je sens un sexe d’homme contre mes fesses. Je sens, je sais qu’il a envie. Il faut dire que je suis sans dessous comme depuis plusieurs jours déjà. Patrick me veut nue, disponible, en attente, aguicheuse.

 A mon dernier envoi de photos, il m’a répondu que j’avais l’art de faire monter le désir. 

 Moi, faire monter le désir, je rêve de n’être plus que désir, de ne voir que de l’envie animale dans les yeux des hommes. Je veux faire monter les sexes. Je veux me promener et ne laisser sur mon passage que des hommes en rut, bandant comme des taureaux.

 Et là, derrière moi, j’ai une queue, un homme, qui bande. Je ne m’écarte pas du tout, je n’ai plus du tout envie de lui mettre une baffe, je deviens femme. 

 « Patrick, j’ai envie de me donner à cet homme… pour Toi. »

 Alors, je presse mes fesses, je donne un petit coup de hanche. Hummm ! Il se colle, se fait moins interrogatif, moins hésitant.

 J’ondule légèrement, ma jupe remonte sur le haut de mes cuisses.

 – Ah oui, vous avez vraiment besoin d’aide!

 Une main se pose sur ma cuisse à la lisière de ma jupe. Elle caresse ma peau, glisse les doigts sous la jupe en la remontant jusqu’à ma hanche. Il peut voir ce dont il se doutait. Il n’y a rien, pas de tissu, pas de dentelle, pas d’élastique. Juste ma peau nue. Je me laisse faire, ma respiration devient plus audible, plus rauque. Je n’ai pas compté le nombre d’attouchements auquel il se livre sur moi, mais j’espère que mon Maître  appréciera quand je lui raconterai.

 – Mais comment peut-on être en chaleur comme ça?

 Il rit, un peu incrédule et prenant de l’assurance.

 – Ça n’arrive pas qu’aux autres! Vas-y, bouge !

 Sa deuxième main a imité la première. J’ai la jupe au dessus de mes fesses, deux mains chaudes et fermes qui me tiennent. Il écarte son corps sans me lâcher. Je sens l’air frais et sec du garage chatouiller mes lèvres intimes. 

 – Bouge! Montre-moi que tu as envie petite chienne en chaleur!

 J’ai les joues rouges, le cou aussi mais ce n’est pas que de la honte. Je suis excitée, même ses paroles m’excitent. J’ondule.

 – Aïe!!!

 Je viens de recevoir une claque sur la fesse droite. Ouah, mais pourquoi? Ça fait mal! Oui, mais c’est curieux comme la chaleur se diffuse et remonte dans mon abricot qui verse quelques larmes.

 – Bouge! Demande-moi! Qu’est-ce que tu veux? Tu veux une bite?

 Une larme coule sur ma joue. J’ai honte. Je suis à moitié nue, j’expose mes fesses à un inconnu mais voisin. J’ai envie, je suis toute mouillée, il me parle mal, il est vulgaire et moi, je coule d’envie. Je ferme les yeux et je pense à Toi.

 « Oh, Patrick! Mais que fais-Tu de moi? » J’ai honte et je suis terrifiée à l’idée que quelqu’un nous surprenne mais l’audace de la situation me grise. 

  

 (À suivre)

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