A cette époque j’avais 20 ans, j’étais inscrit a l’université aux états-unis, ayant double nationalité franco-américaine. Comme beaucoup de garçons de mon age, je suppose, j’étais fasciné par l’idée de déflorer une fille. Mais par défaut de charme ou de chance, je ne l’avais jamais fait.

Cette année-la je m’étais inscrit en retard pour le "campus housing". Résultat (mais ce n’était pas mauvais) je me retrouvais un peu par hasard dans la "Spanish house" du campus, un dortoir pour étudiants ayant un intérêt pour l’Espagnol. (Moi, par contre, pas rapport.) Par chance de plus j’avais ma propre chambre, immense. Celui qui devait cohabiter avec moi n’était pas revenu a l’école ce semestre-la.

Tôt dans l’année, la Spanish house décida d’organiser une petite fête. On allait la promouvoir à l’échelle du campus, ce qui voulait dire qu’il nous fallait une autorisation universitaire pour vendre l’alcool. Le comité d’organisation me confia la tâche d’obtenir cette autorisation (un peu par hasard), ce qui fut manque de pot parce que j’étais plutôt irresponsable, et j’oubliais aussitôt de le faire. Notre petite fête tomba a l’eau par ma faute, et aussi un peu parce que personne n’avait prit le temps de me rappeler.

Quoi qu’il en soit, les meneurs de jeu a la Spanish house décidèrent d’organiser une plus petite fête et entre amis, qui ne serait pas annoncée a l’échelle du campus. Ce serait du bouche-a-oreilles. Le thème: "lingerie party". C’est-à-dire les mecs en caleçons, les filles en dénudé ou carrément en slip et soutiens-gorge. De mon coté, tout était pardonné, et j’étais invité aussi.

Quoiqu’il en soit, quand je me suis pointé à la fête je ne connaissais en gros personne, mais un de mes rares copains (qui était gai) dansait avec une fille sympathique qu’il m’a refilé. A vrai dire elle était plutot mignonne: un peu de gras, mais vraiment juste un peu et de façon très naturelle pour son type de corps, c’est-â-dire sexy et des courbes ou il faut. En plus elle avait un joli visage avec des gros yeux marrons, et des beaux cheveux bruns aussi. Comble du comble, elle ne semblait pas s’offusquer du fait que je danse comme un pied! En fait elle avait plutôt l’air de bien m’aimer. La soirée semblait bien tourner après tout, malgré le fait que je m’étais pointé en mouton noir.

Ayant a peine dansé 10 minutes, interruption. Une sorte de jeu organisé s’annonce. Il faut que les participants soient en couple. On décide de participer, histoire de ne pas briser quelque-chose qui a l’air prometteur. On prend place dans une file indienne de couples et on se prend la main. A peine qu’elle me prend la main, je sens une bosse monter dans mon caleçon. Le probleme, c’est que je n’ai rien que le caleçon! Je lui lance a l’oreille: "Sorry, wait a minute" et je la retire aussitôt vers l’arrière de la salle.

Elle me demande ce qui ne va pas, je lui explique, petit sourire a la fois fier et penaud. Elle sourit aussi, l’air de trouver ca drôle. Je me penche en avant, mains sur les genoux, pour éviter qu’on voie ma bosse monter. Elle me propose de penser au baseball. D’apres ce qu’elle a entendu dire, ca aide à faire redescendre.

Entre-temps nous nous sommes retranchés dans le couloir. Alors que nos yeux se croisent, ça devient plutôt clair. On voudrait bien qu’elle continue de monter, ma bosse…

Je lui propose: "Should we go to my room?"

"Yes."

Et nous nous échappons tels des voleurs. Un couloir, un escalier, un autre couloir, on tourne, nous y voilà. On entre. Elle me regarde de façon embarrassée. Je me penche vers elle et elle se penche vers moi, un peu timide, je lui roule une pelle et elle se colle tout de suite a moi, les mains autour de mon coup. Que c’est bon!

Aussitôt au lit (qui est juste a coté de ma porte), par-dessus elle, elle me dit: "But we can’t have sex."

"Why not?" Je lui demande. "You’re having your period?"

"Yeah… that… and… I’m a virgin."

Je lui dit de suite OK, je fait semblant d’accepter la situation sans plus et je continue a me frotter et a l’embrasser. Mais en arrière-pensée, j’ai d’autres plans pour elle… d’ailleurs elle est un peu bourrée, ce qui devrait jouer en ma faveur.

On flirte, on se frotte, on fait connaissance. Elle me raconte son ex-petit-ami, quand elle avait fait un semestre en Norvège. Il ne voulait pas coucher avec elle parce qu’il était religieux (catholique), mais ils avaient fait tout le reste. D’ailleurs, ca se voyait assez qu’elle adorait le reste. Juste le week-end passé, elle s’était retrouvée dans le lit d’un "frat boy". Quand elle lui avait fait part qu’elle ne voulait pas coucher avec lui (étant encore vierge et sauvegardant ce moment pour quelqu’un de spécial), il lui avait de suite demandé de lui sucer la queue. Et elle s’était dûment exécutée….

Moi, par contre, ca me m’intéresse pas de simplement me faire sucer la queue. D’ailleurs ça a l’air de la surprendre un peu. Elle me trouve original. Mais j’ai d’autres plans pour cette jeune amatrice de cul encore inexpérimentée, et derrière ma nonchalance et mon apparent manque d’intérêt se cache un jeu bien plus sinistre.

A un moment, elle se retrouve sur le ventre, moi par-dessus elle avec mon érection logée contre la raie de son cul. J’ai le bénéfice d’avoir une bite assez grosse, meme un peu plus que ca. J’ai une main sous son ventre, histoire de jouer avec son clito. Elle se cambre, elle se tortille, prise entre mon érection dur comme fer d’un côté et ma main de l’autre.

Doucement, je commence a lui sussurer des cochonneries a l’oreille. Je lui parle de comment ma bite sentirait si j’étais en elle. "You’d be like a little girl…. like a little school girl… You wouldn’t know what was happening to you… I’d open you up… You wouldn’t know what was happening…." je lui repete à intervalles. Je fait l’air flirteur, pas sérieux, mais son silence gêné ponctué par des prises d’air de plus en plus marquées, et des "oh" de plus en plus fréquents, me disent que mes paroles lui font le bon effet… et d’ailleurs elle n’ose me contredire, ou me demander d’arrêter, ce qui est excellent signe…

"You’re thinking about it, aren’t you?" Je lui dit.

"Yes I am!" lache-t-elle, peut-être plus impulsivement qu’elle n’aurait voulu…

"Mh… you’re thinking about my cock in you?"

"Oh… oh…" (Cette fois elle résiste.)

"Are you?"

"Oh… yes…"

"Are you?"

"Yes… oh…"

Et encore:

"Are you?"

"Yes…. I am…. I am… oh…"

(silence… je la laisse mijoter tout en continuant a la serrer…)

"Oh… oh… oh…"

(silence….)

"Oh…. oh… can you please put your fingers in?"

(silence…)

"Oh…. please?… oh…. oh… please…. your fingers…."

Mais je suis trop malin pour la satisfaire de mes doigts, et tout en frottant son orifice pour mieux la chauffer et lui faire envie, je me lui insère rien…

Finalement (et je fais semblant que c’est juste-au-cas ou les choses déborderaient… presque gentleman):

"You want me to put a condom on?"

Elle hésite une seconde. Regarde en arrière vers moi. Et moi, je la regarde sans expression, tout en gardant ma bite bien appuyée.

"OK," lâche-t-elle sans plus.

Pendant que j’enfile une capote, sentant déjà ma victoire sous main, elle se lève pour enlever son tampon… scène presque comique ou elle se cabre par-dessus la poubelle qui est a coté du lit. Et d’ailleurs elle marmonne quelque-chose pour alléger son ridicule.

Retour au lit, pas d’argument, pas de doutes de derniers instants…. elle s’allonge sur le dos et moi par-dessus elle… je commence a me positionner.

Elle me regarde dans les yeux, l’air un peu douteuse mais ayant par-dessus tout envie, ca se voit… sa tete lui disait non il y a un instant, mais les tables ont tourné, et elle n’a plus la maitrise de rien, les images cochonnes que le lui ai imprimé on prit le dessus… Je me réjouis de ma conquête, j’essaie de ne rien faire flancher, je fait ca l’air de rien, calmement, sans la regarder dans les yeux…

Je m’enfonce doucement…. elle prend sa respiration, me dit qu’elle a mal… je continue tout doucement… elle me dit encore qu’elle a mal… je continue… elle respire difficilement, ne dit plus rien… silence… premier petit coup de boutoir… et un autre… silence, respiration retenue de son coté… et un autre… silence de son coté, petite plainte de… douleur? peur? Je n’en sais rien et je m’en fiche bien, du moment qu’elle ne me dise pas d’arrêter…

Je continue comme ca deux-trois fois de plus, et tout d’un coup, je l’entends a nouveau, on ne pourrait plus clair:

"Oh my god… it’s so hard… it’s so big… oh fuck me… oh fuck me… it’s so hard… it’s so big… fuck me… oh please… oh fuck me…"

Et elle continue comme ca a me dire la baiser. Trop fier de ma conquête, je souris des lèvres… mais elle est passée dans une sorte de transe, ne se rend compte de rien. Elle répète les trois mêmes phrases a bout de champ comme une retardée mentale, comme la saoule qu’elle est, complètement sous le choc de sa première bite. Encore et encore: "Oh fuck me, it’s so big, it’s so hard, oh fuck me." Elle est nulle. Prise, Baisée.

Après 5 minutes de ceci, toutefois, je ralentis un peu et elle commence a reprendre ses esprits. Elle marmonne: "Did we do it? I can’t believe we did it… I can’t believe…" Et du coup elle commence a pleurer. Suivant mes instincts, je me garde bien d’essayer de la consoler, je la laisse faire tout en restant collé a elle, ma bite encore en elle, mes lèvres contre sa nuque… et effectivement elle finit par se calmer, a m’embrasser de nouveau la joue, a re-bouger de nouveau du bassin, et voila on re-baise… et les memes paroles…

On y a passé toute la nuit, on a fait toutes les positions. Pour moi c’était une parfaite défloration, et j’espère aussi pour elle 🙂

Voilà… histoire vraie dans tous ses détails. Si ca vous a plu, faites-moi savoir! J’en ai d’autres.

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