Vacances 2018 2éme semaine de vacances.

Samedi

Cela fait deux heures que Christine est debout. Le petit-déjeuner pris tranquillement, elle retourne dans la chambre afin de réveiller sa chérie, elle aurait aimé partir à la plage pour profiter de la mer en cette dernière journée de vacances, seulement devant le lit, Ophélie lui semble tellement belle dans son sommeil, aussi observant sa chérie à la respiration paisible, elle se rétracte, elle peut se passer de la plage, sa déesse a besoin de récupérer.

Depuis combien de temps n’avait-elle pas pris un livre, se plonger dans un roman et laisser son imagination voguer au gré du scénario. Allongée sur un transat au bord de la piscine, sirotant une limonade fraîche avec une douce musique en fond sonore, occupée simplement à tourner les pages d’un bouquin, elle savoure ce moment de détente… c’est aussi cela les vacances.

Christine est plongée dans sa lecture lorsqu’un bruit de sandalette sur le carrelage attire son attention, elle relève la tête.

Tiens tiens… ma déesse est réveillée, dit-elle en souriant à l’adresse de sa chérie… Je devrais peut-être dire, ma déesse émerge !

Oui ma chérie, il est quelle heure ?

Onze heures.

Oh mon Dieu, déjà !

Va te prendre un thé, ça te fera du bien. Il y a encore des croissants si tu veux… On n’est pas pressé par le temps, alors déjeune.

Qu’elle est belle, même au réveil, se dit Christine, en plus avec ce kimono japonais distraitement fermé, elle ferait se retourner un aveugle.

Se replongeant dans son livre, elle n’a pas lu une page que sa dulcinée est de retour avec un plateau de fruits dans une main, son mug dans l’autre, et un croissant coincé entre ses lèvres. Elle s’assoit sur le deuxième transat, pose sur la desserte les fruits, le mug et la bouche pleine, elle baragouine :

Tu veux un fruit ?

Je ne comprends rien… Et si tu retirais ton croissant de la bouche pour parler !!!

… Oui c’est mieux … tu veux un fruit, redemande alors Ophélie ?

Je veux bien des kiwis merci … Mais seulement si tu me les coupes en deux et avec une petite cuillère pour les manger.

Je vois… Madame est exigeante… Vos désirs sont des ordres, lui réplique-t-elle avec un sourire dont elle a le secret ?

Se redressant, Ophélie se dirige à nouveau vers la cuisine, coupe deux kiwis à moitié, prend une petite cuillère et ramène le tout. En face l’une de l’autre, elles mangent enfin, se souriant mutuellement, une complicité est née depuis le début des vacances, elles n’ont pas besoin de parler. Christine a bien remarqué combien sa chérie faisait attention pour s’asseoir la première fois, là encore, elle l’observe, très mesurée dans ses mouvements.

Tes fesses ne sont pas trop douloureuses ?

Un peu, mais la pommade m’a fait du bien, répond Ophélie, la voix rauque.

Tu ne m’as pas dit si tu as aimé la soirée d’hier.

Ophélie ne répond pas, mais baisse la tête, honteuse.

Tu avais besoin d’un gros dodo en tout cas, rajoute immédiatement Christine avec un sourire jusqu’aux oreilles.

Oui… J’étais très fatiguée.

Tu m’étonnes, hier, c’était le festival… je n’ai pas compté tous tes orgasmes, mais tu t’es surpassé ma coquine.

Ophélie a brusquement le feu aux joues, et c’est troublée qu’elle se lève de son transat pour s’asseoir à côté de sa belle-sur, se serre contre elle, l’entoure de ses bras et plonge la bouche dans son cou.

Je t’aime ma chérie, je n’ai jamais été aussi heureuse, lui murmure-t-elle la voix chargée de trémolo, je suis tellement bien avec toi… et puis tu sais, tout est tellement nouveau pour moi… Tu me pardonnes de ne pas tout faire aussi bien que tu le souhaites … Dis-moi, tu me pardonnes mon amour, lui supplie Ophélie, la bouche sur l’oreille.

Bien sûr ma chérie.

Ophélie n’arrive pas à contrôler son émotion, et quelques larmes de joie humidifient le cou de Christine, elle attrape ensuite à deux mains la tête de son amante, oriente son visage face à elle, et les yeux dans les yeux, l’implore de ne pas la laisser, elle l’aime tellement, elle serait si malheureuse sans elle, puis se penche et quémande un baiser, tendre au début, il devient ensuite passionnel, très passionnel.

Christine est secouée par les paroles de sa belle-sur, ces mots, cette attitude, cet amour la bouleversent plus qu’elle ne le voudrait. Cette femme est devenue plus qu’une amante, elle est La femme qu’elle attendait, la femme qui saura la combler, sa femme toute à elle, rien qu’à elle.

Elle se rend compte du chemin parcouru depuis le début de ses vacances. La déclaration de ce matin est la confirmation de l’évolution d’Ophélie. Sa chérie voulait au début essayer quelques situations de soumission pour pimenter les vacances, et rapidement, Ophélie y avait trouvé un plaisir diffèrent, plus intense. Le mélange de honte de douleur et d’excitation la fait décoller comme jamais, puis les jeux devenant plus raffinés, plus pervers, il lui semble que tous les verrous sautent, sa belle-sur se livre entièrement. Obéir lui permet certainement de ne pas assumer sa sexualité amorale, lubrique et dépravée, en se soumettant totalement à Christine, elle lui donne carte blanche pour libérer ses instincts les plus bas.

Christine se rappelle les discussions qu’elle a eues avec Ines, force est de constater que la Tunisienne avait raison sur toute la ligne. Ophélie recherche la soumission par l’obéissance comme la contrainte, quant à elle, inconsciemment, son désir est de contrôler, diriger, posséder sa partenaire.

Dorénavant, un cap est passé, Ophélie est prête aujourd’hui à se soumettre totalement à son amante, inconsciemment, elle veut être contrainte à l’obéissance, et Christine découvre un plaisir immense à faire obéir sa belle-sur.

Alors, pourquoi ne pas assumer ses propres fantasmes, vivre une sexualité différente, exaltante, pensait Christine. Au diable les conventions.

Et si tu allais prendre ta douche maintenant ma chérie, lui dit Christine en se détachant doucement de sa bouche… tu sais, hier, tu m’as excitée comme une folle, rajoute-t-elle devant Ophélie, baissant les yeux, et notamment lorsque Christine précise qu’elle aimerait tant la faire crier aussi fort sous elle.

Ophélie est contrite de se voir rappeler la manière dont elle a joui intensément. Elle se doutait que sa chérie aimait la voir prendre du plaisir, l’obliger à faire des choses qu’elle n’aurait pu se résoudre sans la contrainte, mais de là à l’entendre lui dire qu’elle aimait ses cris et donc sous-entendu de la voir égosillée sous la cravache, hurler ensuite sur l’énorme phallus écartant ses chaires, il y avait une différence. Christine exprime clairement ses envies, aussi Ophélie a un peu peur de tout ce que cela peut entraîner.

On va aller manger en ville, ça nous changera, alors fais-toi belle ma chérie.

Vingt minutes plus tard, Ophélie est de retour, prête à sortir, en sandalette avec une mini-robe en mousseline blanche à bretelle.

Oh, tu es magnifique ma déesse.

Merci.

Tu penseras à prendre une gourde d’eau et un livre, on ne sait jamais.

D’accord.

Approche-toi ma chérie… On va profiter de cette dernière journée pour s’amuser encore. Qu’en penses-tu ?

…..

Passe ton collier, lui dit Christine en lui présentant… Tu le reconnais, ajoute Christine en montrant le Plug.

Euh oui.

Allez, mets-toi sur le transat que je puisse te l’insérer plus facilement… oh… tu as vraiment un cul somptueux… Et ces marques !!! oh mon Dieu, Arzu s’est lâchée… mais je sais que tu ne le regrettes pas, n’est-ce pas ma chérie ? Avec tous ces orgasmes que tu nous as offerts !!!

Sur ces dernières paroles, Ophélie se remémore la soirée d’hier et notamment la fin quand Arzou l’a cravachée avec force, ses fesses la brûlaient, elle ne pouvait que hurler sa douleur. Ces frappes avaient toutefois vaincu sa résistance, contrainte à se relâcher, elle s’était empalée complètement sur le pal, et aussi invraisemblable que cela puisse paraître, la vulve distendue à l’extrême, un aiguillon puissant avait parcouru tout son être, transcendant la douleur en un fabuleux orgasme.

A ce souvenir, une chaleur envahit son visage, se sentant méprisable de prendre du plaisir avec des pratiques extrêmes, honteuse d’avoir été exhibée à tous ces regards, et excitée malgré tout d’être contrainte à subir toutes ses ignominies.

Elle accepte de jour en jour toujours plus de choses, et mieux encore, son corps se rappelle inconsciemment les préférences de son amante. Là, de suite, elle peut se contenter de se mettre à quatre pattes, mais comme une automate, elle se retrouve la tête dans les mains, les seins aplatis sur le transat, et les cuisses largement écartées. Son subconscient lui dicte cette position où elle se retrouve cambrée au maximum, la croupe haute, posture au combien obscène et vulgaire, mais la plus adaptée à une femelle qui ne maîtrise pas ses hormones, une femelle sous influence, une amante sans aucune pudeur.

Christine sourit lorsqu’elle voit la posture de sa chérie, et tout en préparant le petit il brun avec son doigt enduit de lubrifiant, elle lui promet qu’elles vont bien s’amuser aujourd’hui.

En s’observant une dernière fois avant de partir, habillée seulement de cette robe légère, Ophélie se trouve belle, audacieuse et libérée. La honte des premiers jours laisse place maintenant à la fierté. L’occupation de son fondement est certes un peu gênante pour marcher, mais engendre une excitation autant physique que psychologique, se balader le sexe à l’air lui procure des sensations nouvelles qu’elle apprécie, elle se sent salope, et en même temps, le seul fait d’évoquer ce mot la fait mouiller telle une rivière en crue.

Tout au long du parcours, Ophélie monopolise le regard des personnes sur son passage. La tête rasée, le collier autour du cou avec en prime un décolleté plongeant sur une poitrine agressive sont des arguments qui ne laissent pas indifférents.

Après la balade sur le marché, les deux filles s’arrêtent à l’abri sous la terrasse d’une pizzeria du centre-ville. En mangeant, elles font le point sur les vacances, évoquent le retour en Bretagne puis leurs repas réglés, Christine appelle un taxi sous le regard interrogatif d’Ophélie.

Au bout de dix minutes de trajet sur la petite route, le conducteur les dépose. Ophélie se demande où elles sont lorsque Christine se dirige vers un petit sentier presque invisible, en demandant à sa chérie de la suivre. Elles n’ont que trois cents mètres à faire pour tomber sur une petite crique. Sa copine Ines lui avait parlé de cet endroit très peu connu où les rares personnes qui s’y aventuraient étaient des nudistes. Ne voyant personne, Christine se déshabille complètement, invitant Ophélie à faire de même. Celle-ci s’exécute, mais ne peut s’empêcher de rougir. C’est la première fois qu’elle est nue sur une plage, et surtout, elle est très mal à l’aise avec le piercing clitoridien et le plug entre ses fesses. Christine s’est aperçue de la gêne de sa belle-sur, ce qui la réjouit, cependant elle ne veut pas en rester là.

Retourne-toi ma chérie que je vois si ton bijou est toujours en place… ah oui, il est bien visible.

Ces paroles font l’effet d’une bombe sur le visage d’Ophélie, du rose foncé, elle passe immédiatement au rouge carmin.

Allez, on y va, lui dit-elle en lui donnant une petite tape sur les fesses.

En avançant, Christine aperçoit deux couples dans l’eau. Ophélie s’arrête, un frisson lui parcourt le dos. Justement, ils remontent et s’arrêtent pour regarder les deux filles. Rassurés eux aussi de voir des nudistes, les femmes regagnent leur place tandis que leurs compagnons ne se gênent pas pour regarder les nouvelles arrivantes. Très vite, leurs yeux sont attirés par la plus grande des deux, cette belle femme rasée au collier de soumise.

Avance Ophélie, ce sont des nudistes aussi… Avance ! je ne te le répéterai pas une troisième fois. On ne risque rien… ne t’inquiète pas, au pire, ils verront en toi une dévergondée, une cochonne qui aime se montrer.

Avec ces paroles, Ophélie a l’impression de recevoir une grande claque sur la figure, elle réalise la perversion de la scène qui se déroule à son insu. Elle est traversée par des sentiments contradictoires. La colère contre elle-même de supporter ces humiliations et l’impuissance à résister à sa belle-sur.

Elle s’aperçoit de plus en plus être dépendante des désirs de sa chérie, elle adore ne rien avoir à penser, ne plus rien contrôler, être complètement soumise, devenir un objet… un objet de plaisir.

Et je suis sûre qu’ils vont adorer ton ptit cul.

Oh …

Devant eux, les deux hommes ne bougent pas, ils attendent en discutant ensemble hypnotisés par Ophélie, ils les laissent passer tranquillement. Pendant tout ce trajet, Ophélie n’a pas un instant dirigé ses yeux dans leur direction, honteuse, elle garde le visage incliné ressentant à chaque instant leurs regards lubriques posés sur elle.

Par contre, Christine n’a pas perdu une miette de l’attitude de ces deux hommes, leur souriant, elle ne craint rien d’eux avec leurs femmes, elle s’est même retournée après les avoir dépassés pour constater qu’ils avaient bien remarqué le Plug.

Ma chérie, tu as du succès, dit-elle en regardant Ophélie, heureusement qu’ils sont accompagnés, continue-t-elle avec un sourire, sinon tu aurais eu de la compagnie vu l’état dans lequel tu les as mis.

Pour accentuer ses dires, Christine précise que si le brun avait une demi-érection par contre le grand blond était lui au garde à vous : « tu aurais dû voir ça ma chérie, une belle grande queue rien que pour toi ! » La couleur des pommettes d’Ophélie avait repris de la couleur, cependant ce n’était pas la seule partie du corps enflammée, entre les cuisses, une humidité commençait à apparaître.

Elles marchent encore sur une dizaine de mètres et elles trouvent un endroit sur le haut de la crique qui leur fait envie, un renfoncement entre les rochers. Installées, elles sont à une trentaine de mètres de la mer avec derrière elles, un abri naturel. Les deux couples sont quant à eux allongés un peu plus loin sur la droite, près du bord de mer.

Enlève ton collier ma chérie, je vais thuiler… j’aime quand ta peau devient hâlée.

À genoux l’une en face de l’autre, Christine plonge ses doigts dans le pot de crème à bronzer, en met sur ses deux mains et étale en caressant le visage, le cou, et finit par le crâne. C’est amoureusement qu’elle passe plusieurs fois sur cette zone toute lisse, elle réitère à sa chérie combien elle est belle, débarrassée de toute pilosité, comme elle est attirante, sexy. Elle ne se rend pas compte du pouvoir qu’exerce cette singularité, quelle que soit sa coiffure, elle est toujours magnifique, mais son visage totalement épuré est à lui seul un diamant brut.

Christine lui fait alors un gros baiser sur la bouche puis se recule et lui dit de s’allonger. De nouveau, elle prend de la crème pour enduire le haut du corps en portant une attention particulière à ses seins, lui fait remarquer la dureté de ses tétons, s’occupe ensuite d’une jambe puis de l’autre en remontant très haut jusqu’à l’intérieur des cuisses et caresse le mont joufflu à chaque passage. La respiration hachée de sa chérie lui rappelle si l’en est besoin combien ses caresses lui plaisent.

Retourne-toi ma chérie, je vais m’occuper de ton dos et de tes belles fesses… Ah oui, j’oubliai de te dire, je voudrais que tu jouisses sur cette plage. Je veux t’entendre crier ton plaisir en plein air.

Ophélie se doutait bien que Christine allait lui réserver une surprise comme d’habitude, elle pensait que s’exhiber lui suffirait, mais non ! à l’énoncé du scénario, Ophélie accuse le coup, son pouls augmente sous la honte de devoir jouir presque devant les deux couples.

C’est à ce moment qu’elle repense au plug, le bijou qu’elle avait oublié pendant quelque temps se rappelle à son souvenir, il bouge tout seul. Christine vient de le mettre en route, la première position est enclenchée. Pendant ce temps, elle continue à enduire le dos de son amante puis s’intéresse à ses fesses qu’elle malaxe copieusement. Ophélie souffle et commence à ressentir tous les effets du plug depuis son départ de la villa. Avec un diamètre à l’anneau de trois centimètres, l’anus est déjà fortement sollicité, le rectum bien envahi, aussi lorsque Christine passe au niveau deux, Ophélie gémit.

Mets-toi sur le dos… Et allonge tes bras au-dessus de la tête… Relève tes jambes et ouvre-les que je vois si tu mouilles ma belle salope.

Ah.

Oh, c’est bien chaud là-dedans, lui dit Christine la main posée sur la vulve, un doigt en reconnaissance à l’intérieur. Ça glisse tout seul, ajoute-t-elle.

Ah.

Tu vas aimer !

Son doigt impérieux écarte les chairs délicates et masse ensuite les muqueuses, puis deux autres doigts le rejoignent et le va-et-vient qu’elle opère avec lenteur, se déroule au départ dans un doux bruissement, puis un clapotis. Le plaisir d’Ophélie monte crescendo et le résultat à brève échéance est inéluctable, mais Christine prend cet état de fait en défaut, ses doigts s’extraient du vagin détrempé et se posent en conque sur la vulve dans une position d’apaisement. Sa belle-sur râle de dépit.

Non ma cochonne, tu n’es pas encore prête… tu viendras quand je le voudrais, d’accord ?

D’accord ?

Oui, répond Ophélie de dépit, toujours maintenue en haleine par les vibrations du Plug.

Christine profite de ses doigts enduits de liqueur pour tourner autour du pot… elle caresse le dessus des lèvres, effleure le capuchon, tourne autour du clitoris.

La voix d’Ophélie n’est qu’un murmure, un gémissement, un plaisir haché par une respiration saccadée. Excitée, Ophélie se laisse aller à son plaisir et commence à bouger de façon désordonnée, son clitoris est dur comme du bois et sa chatte dégouline. Elle halète de plaisir, mais Christine ne décide pas encore de lui donner satisfaction.

A l’instant, elle devenait folle, elle veut…, oui elle veut que Christine l’embrasse, qu’elle la fouille de ses doigts, qu’elle lui dise tous les mots orduriers qui lui passent par la tête, qu’elle la traite de salope, de garce, de chienne, qu’elle la délivre de cette boule dans son ventre.

En survolant le corps de sa chérie, Christine entend la respiration de sa chérie devenir plus profonde, plus intense, elle voit le ventre se lever, se durcir, se relâcher. Ophélie geint et râle, elle pleurerait de frustration, sa belle-sur s’est arrêtée.

Mon amour, fais-moi jouir s’il te plaît, dit-elle.

Tu le veux vraiment, ma belle.

Ouiiiiiiiii.

Alors, écarte tes cuisses… plus grand encore… Il ne faut pas décevoir ton public.

Oh.

Christine se penche alors sur la poitrine de sa chérie, d’une main, elle caresse un sein, agaçant doucement le bout pendant que sa bouche s’occupe du deuxième téton, l’aspire, le titille. Ophélie retient sa respiration et gémit doucement. Sa belle-sur la maintient quelque temps sur le fil du rasoir, mordille, serre, puis relâche en léchant, caresse, le désir est à fleur de peau, les chaires électrisées, le ventre se contracte, se tord, Ophélie est au supplice.

Et puis Christine se déchaîne, elle sent que sa belle est sur le point de rupture. Elle actionne le Plug en vitesse maximale, lui pince violemment le téton et croque dans l’autre. La réaction de son amante est immédiate, un cri déchirant sort de sa bouche, aussitôt suivi par un tremblement et un long gémissement. Elle est encore sur la vague de ce tsunami qui l’emporte quand Christine se couche sur elle pour l’embrasser et la maintenir afin de vicieusement poser directement son doigt sur le clitoris en feu. Christine s’attend à la réaction. Avec un mouvement circulaire, elle écrase la fraise et immédiatement, Ophélie recommence à s’époumoner, un long cri rauque, son bassin se tend, la flèche traversant son bouton embrase tout sur son passage, c’est un éclair, il la foudroie, de la lave incandescente remonte de son ventre, elle jouit longuement et l’orgasme la terrasse.

En pantin désarticulé, elle retombe amorphe, totalement vidée. Elle souffle seulement un peu plus fort lorsque Christine enlève doucement le jouet de ses fesses. Ophélie s’assoupit alors.

Une heure plus tard…

Le taxi rappelé, elles quittent la plage pour se rendre dans un hammam traditionnel. Depuis le début des vacances, elles avaient prévu de se faire plaisir avec une après-midi détente.

Quand elles avaient téléphoné pour réserver, elle se doutait qu’elle ne pousserait pas la porte d’un institut grand luxe, et d’ailleurs, ce n’est pas ce qu’elles recherchaient. Elles voulaient du local, du typique, un endroit où elles pourraient s’approcher au plus près de la vie de la population locale.

Les filles sont agréablement surprises par la simplicité comme la beauté du cadre. Si l’architecture n’est pas spécialement belle, les salles sont toutefois décorées de quelques fresques, et ce qui retient l’attention, c’est l’aspect dépouillé uniquement concentré sur la fonction de la salle.

Et puis, avec cet air surchauffé, elles ressentent cette atmosphère unique, toutes les femmes sont sereines, sans aucun jugement de valeur, les regards sont bienveillants, elles ne viennent pas là pour se comparer, mais passer une heure ou deux à se faire plaisir, prendre soin de leur corps, se détendre.

Passées la salle des douches, les deux filles découvrent deux masseuses qui attendent, prêtes à s’occuper d’eux. Rapidement, Christine et Ophélie à quelques mètres l’une de l’autre savourent en communion ce moment d’abandon de soi, de lâcher prise pour simplement profiter de l’instant. Sur la table de pierre, les filles sont ballottées, secouées par ce massage tonique, elles sont à la fois lavées, mais surtout avec le gant, elles subissent un gommage en règle, allié avec la sudation, elles retrouvent une peau de bébé. Ensuite en fin de parcours, elles découvrent la magie du massage à l’huile d’olive, une relaxation subtile les emportant dans les bras de Morphée.

Malheureusement, tout a une fin, elles doivent quitter cet endroit hors du temps, elles rentrent à la villa, et naturellement, se dirigent vers la piscine pour finir en douceur cette après-midi. Passant du transat à l’eau salvatrice, Ophélie ne pense qu’à profiter de l’instant présent, elle savoure la proximité de sa belle-sur. Celle-ci a par contre d’autres projets.

Vers dix-huit heures, Christine appelle Ophélie dans la chambre. Elle lui fixe le collier puis lui demande de se mettre nue et la rejoindre près de la piscine. Elle la prie ensuite de se mettre à quatre pattes sur les matelas et réfléchit rapidement aux artifices qu’elle va utiliser. Ce soir, elle va particulièrement soigner la mise en scène. La position, l’absence de liberté, l’exhibition sont autant de données qui vont déstabiliser sa chérie. De plus, elle prendra son temps pour expliquer ce qu’elle va lui faire tout au long de la soirée avec des mots choisis, vulgaires pour amplifier, ses peurs et sa libido.

Elle veut la mettre en condition oralement tout autant pour l’affoler et l’exciter que pour elle-même, se réjouir de l’état de détresse de sa chérie et la contrôler.

Comme tu le vois, je t’attache afin que tu ne puisses pas te soustraire à ce que je vais te faire. Tu verras, ce sera un grand moment pour nous deux. Je te mets un bâillon, car j’aime te voir muselée et accessoirement comme tu risques de crier, je ne voudrais pas que cela perturbe notre jeu aussi embouché par un Gag Ball, je n’entendrais pas tes récriminations. Voilà ma chérie comme tu es belle !

Christine aime voir sa chérie dans une position où elle est offerte, cambrée comme une vulgaire chienne en chaleur, une femelle réclamant la saillie, une salope avide de prendre du plaisir, mais aussi une lubrique entravée qui sera obligée de supplier pour jouir, une garce qui sera montée jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus crier. A quatre pattes sur le matelas, Ophélie a les cuisses largement ouvertes par des sangles fixées d’une part sur ses genoux et sur les deux extrémités d’une barre d’écartement avec au milieu de celle-ci un anneau où est fixée la laisse du collier. La tête au sol, les poignets entravés par des menottes accrochées au collier, sa chérie n’est pas dans une position très confortable, mais celle-ci est divinement excitante.

Je veux te faire vivre une sodomie complète, douloureuse au début, mais avec un résultat par la suite au-delà de ton imagination. Même si tu ne l’exprimes pas, tes fantasmes passent aussi par la contrainte. Comme ton illet n’est pas encore suffisamment souple, pas habitué à des sodomies régulières, je vais le détendre, cependant tu vas avoir mal au début, car je vais l’obliger à s’ouvrir.

Tu risques de pleurer un peu ma chérie, susurre Christine à l’oreille de son amante en lui caressant le dos qu’elle sent frissonner, et puis à la fin, tu vas aimer, ajoute-t-elle. Le pénis que je t’ai prévu est plus gros que le jouet avec lequel tu t’es amusé cette après-midi, c’est une réplique de sexe d’homme avec un gland fortement dessiné et des veines très saillantes sur la verge… tu vois, il est beau, lui dit-elle en lui montrant une ceinture équipée d’un sexe imposant.

Ophélie est affolée par l’objet que Christine lui montre. Son vagin devrait être bien lubrifié pour le recevoir, aussi, elle a beaucoup de mal à s’imaginer ce gros gland passer son petit trou. Elle en attrape une sueur froide.

A par contre, il est assez long, sur la fiche, il est précisé vingt-cinq centimètres de long pour quatre de diamètre et un peu plus à la base avec cinq. Comme tu n’es pas habitué, le début sera difficile, même si je vais te préparer longuement, mais ensuite, humiliée de ne pouvoir rien maîtriser et de devoir subir dans la douleur, lorsque ton colon suffisamment dilaté l’acceptera, ton cul bien ouvert, tu commenceras à onduler doucement, puis tu bougeras plus franchement, allant à la rencontre du sexe qui te fouille, tu rechercheras le contact au fond de tes entrailles, et lorsque la jouissance pointera son nez, tu me conjureras d’éteindre le feu qui incendie tes entrailles. Ce soir, je vais prendre beaucoup de plaisir à t’enculer, car je sais que tu en as envie, même si tu ne le dis pas, et je serais heureuse de te faire connaître l’orgasme anal. Tu vas jouir du cul et tu ne pourras plus t’en passer… Mais pour l’instant, je dois te punir pour cette après-midi. Rappelle-toi, deux fois j’ai dû hausser le ton pour que tu m’obéisses, je t’avais prévenu que je ne tolérerais aucun manquement. Je n’aime pas te punir, mais cela fait plusieurs fois en suivant que tu ne suis pas mes demandes, tu me forces à être plus sévère, donc je vais te châtier pour que tu apprennes l’obéissance.

En entendant la voix de Christine lui relater ces événements, elle reconnait dans son timbre de voix une forte colère, aussi quand elle la voit se saisir de la cravache d’un air contrarié et décidé elle commence à angoisser. Tournant sa tête pour apercevoir ce qui va lui arriver, sa respiration s’emballe en voyant Christine lever très haut la cravache.

Christine est stoppée dans son élan par le bruit de la sonnette. Elle pose alors la cravache et se rend à l’entrée pour accueillir Ines, elle était dans les parages et voulait lui dire un petit bonjour, lui souhaiter un bon retour le lendemain. Christine est touchée par cette visite et l’invite donc cordialement à prendre un verre. Quand Ines lui dit qu’elle ne veut pas l’obliger, elle lui répond tout naturellement qu’elle est heureuse de la voir et justement comme elle était en train de jouer avec sa chérie, elle la convie à assister à la punition d’Ophélie, elle est toujours de bon conseil…

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