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Danielle – épisodes sexuels de ma vie – Chapitre 1




Soirée torride pour mon mari

Ce soir j’attends mon mari avec impatience. J’ai envie de lui, j’ai très envie qu’il me prenne, qu’il ma fasse subir les derniers outrages. Suis-je une salope, une cochonne, une obsédée ? Non, juste une femme qui a retrouvé le goût et l’envie de faire l’amour, mais surtout de jouir.

Avant de vous narrer ma dernière soirée torride, laissez-moi me présenter. Je me prénomme Danielle, 50 ans, divorcée 2 fois, mère de mes deux filles (24 et 21 ans), un tas de "compagnons" vite virés pour un tas de raisons et finalement, la perle (j’y crois encore) Luc – nous sommes ensembles depuis 11 ans, cela compte, je l’aime, il m’a sortie de ma torpeur sexuelle pour m’épanouir complètement dans ses bras, sous ses caresses.

Je n’ai pas toujours été aussi chaude, ce que me reprochait mon premier mari. Il a oublié nos premières années de vie commune, puis nos 2 filles, une maison et un travail à temps plein, tout cela ne me permettait pas d’assouvir pleinement les fantasmes sexuels de monsieur. Bien sûr avant de nous marier j’étais assez portée sur le sexe, même une fille facile, raison pour laquelle il m’a épousée. Durant les premières années j’ai été très "cochonne", nous avons eu une vie sexuelle bien remplie, mais le rôle de mère, de secrétaire en journée et de femme au foyer le soir ont modifié mes priorités, pas celle du mari. Nous continuions à faire l’amour, même souvent, mais les jeux érotico pornographiques n’étaient plus ma priorité numéro un. Pas pour lui. S’il m’avait épaulée dans les tâches domestiques quotidiennes, j’aurai eu un peu plus de temps pour réaliser ses phantasmes, mais non, j’étais toute seule, alors le soir, tard, je m’écroulais dans le lit pendant que monsieur râlait dans son coin en me maudissant. Le week-end, un petit coup de main ? Non, bien entendu, ce sont des tâches pour les femmes ! Évidemment, ce qui devait arriver arriva et je me suis retrouvée cocue, puis larguée pour une jeunette beaucoup plus chaude que moi. Mais ça n’a pas duré très longtemps, quand il ne pu plus assurer, financièrement, il a été rapidement largué. Ensuite, il a voulu recommencer avec moi, mais j’ai refusé, j’en avais assez bavé, pas question de me remettre avec un mec qui n’est capable de penser qu’à travers son pénis et qui a si peu de considération pour moi.

Mon second mari n’a pas été plus correct, il est resté 3 ans avant de me tromper lui aussi, avec une plus âgée, même beaucoup plus âgée – à l’époque j’avais à peine 30 ans et sa maîtresse plus de 50 ans – uniquement parce qu’elle portait des bas, qu’elle avalait, mais surtout parce qu’elle se laissait sodomiser ! Je reconnais que je ne suis pas adepte de la sodomie. Je portais pourtant de la lingerie pour nos moments coquins, mais les collants sont quand même plus facile à porter pour aller travailler qu’un porte-jarretelles et des bas. Le lui faire comprendre, une prouesse ! Pour qu’il comprenne que la vie n’est pas un film X, que de discussions. Bien sûr j’avalais aussi, mais pas tous les jours. Cela ne lui suffisait pas. Quant à mon plaisir à moi ? J’y avais droit, de temps en temps, en me caressant car ce n’était pas son truc : hop hop sucer, baiser, juter, comme dans les films X, en me faisant prendre 36 positions fort peu confortables. Par dessus tout il fallait un scénario, ben oui, toujours comme dans les films X ! En plus, monsieur n’aimait pas le cunnilingus, mais exigeait des fellations journalières. Me faire l’amour ? Non, mais me sauter, comme dans les films X, oui ! Quel rustre, quel macho, même pas capable de me faire jouir, mais en plus très imbu de son membre.

Puis, l’inévitable, une fois encore rejetée car pas assez "salope" ou "pute" ! Et je suis retombée très bas. Heureusement il y avait mes filles pour me maintenir en vie, car j’ai même pensé et envisagé au suicide ! N’être considérée que comme un sexe, un bouche, se faire cracher dans la gueule et surtout devoir se faire enculer pour avoir le droit d’exister et d’être considérée comme une "bonne épouse", quelle horreur ! C’est vrai, j’avoue avoir toujours refusé la sodomie, j’ai un petit cul et je ne vois pas pourquoi je devrais souffrir pour que monsieur prenne son pied. C’est pas ça l’amour.

Ma décision était prise, j’allais à nouveau devoir recommencer ma vie, mais seule et en faisant une grande croix sur le sexe. Pourquoi encore me faire souffrir ? Et pour si peu de plaisir et de respect.

Ma troisième partie de vie se déroula donc sans homme, sans sexe et je me portais à merveille. Enfin, c’est ce que je croyais. Je pouvais enfin me consacrer à mon travail et à mes filles sans devoir supporter un mec, ses chaussettes sales et la cuvette du WC non rabattue.

Après quelques années, l’envie de câlins me reprit, mais les hommes ne font pas de câlins, ils baisent, ils sautent, ils tirent leurs crampes mais ne câlinent pas. Même si je n’étais pas très attirée par un plan cul, il fallait bien que j’essaie de trouver un "câlineur" ! Et non, ce fut quasi toujours le même déroulement : rencontre, resto ou cinéma, premier baiser "French kiss", première nuit où monsieur faisait un effort de caresses, mais bien vite, le naturel revient au galop malheureusement pour moi et les caresses cessent. En revanche "caresser monsieur", pas le choix, la main et surtout la bouche ! Puis, comme par hasard le shopping passe devant une boutique de lingerie, parfois même devant un sex-shop !

— Ma chérie, on entre ?

— Pourquoi pas, devinant bien où il veut en venir

……..

— Regarde ce bel ensemble, tu ne veux pas l’essayer ?

Bien entendu, c’est le 3 pièces classiques : soutien, slip et porte-jarretelles.

Aucun ne me demandait :

— J’aimerai t’offrir de la lingerie, qu’est-ce qui te ferait plaisir ?

Car j’avais envie d’une belle guêpière, un peu rétro, mais c’est vrai c’est cher ! J’adore la lingerie, celle qui me plaît, pas celle que l’homme insiste à me faire porter ! Question de couleur, de forme, de matière et surtout de confort, mais cela peu d’hommes le comprennent, dommage pour eux.

Il y en a même un qui m’a demandé d’essayer le modèle avec slip ouvert à l’entre jambe et soutien ouvert aux mamelons. J’ai refusé, le lendemain j’étais "larguée" ! Pour une fois que ce n’était pas moi qui larguait, pas grave, je ne me suis pas sentie plus mal pour autant.

Puis, un jour, mon patron me demande de recevoir un client, une grosse affaire, mais rien de sexuel. Uniquement professionnel : dossier, chiffres, statistiques, réservation pour eux deux dans un restaurant de réputation et réservation d’un hôtel pour le client. Bref, le "business" normal.

Un homme séduisant, grand, brun, aux allures sportives, agréable à regarder se présenta quelques jours plus tard au secrétariat et demanda mon patron. N’étant pas, à ce moment là, en chasse, je ne remarque que le client important à recevoir de façon professionnelle et pas l’homme, viril, le mâle qui pourrait assouvir mon besoin de tendresse et de caresses. Le soir avant de quitter la société, ils reviennent ensembles, disparaissent dans le bureau du patron puis se séparent. Mon patron m’appelle et je lui donne le compte-rendu de l’après midi puis je quitte la société. Pour moi, le client est déjà loin, mais surprise, il est dehors, sur le parking et m’attend.

— Bonsoir, je ne vous avais pas remercier, me dit-il

— Me remercier, de quoi ? Pourquoi ?

Pas inquiète, mais surprise quand même, pourquoi m’attend-il ? Juste pour me dire "merci" ? Étrange.

— Par votre professionnalisme.

Je me dis que là il me drague, un client ne remercie jamais une secrétaire.

— Merci, mais je n’ai fais que mon travail.

A ce moment là je réalise qu’il regarde mes jambes. Je porte un tailleur clair et un collant brun clair, soyeux aux reflets satinés, pas très opaque, mais pas transparent non plus. Le confort est très agréable, la texture du collant donne une sensation assez excitante à mes jambes et, pour mon propre plaisir, je le porte sans slip, ce qui accentue cette excitation au niveau de mon sexe. Je ne dirai pas que je suis excitée, mais ma chatte est un rien humide, mon petit plaisir solitaire.

— Pourriez-vous me déposer à l’hôtel me demande-t-il

— Heu oui, d’accord, dis-je totalement prise de surprise.

— Où sont vos bagages ? dis-je, ayant repris contrôle de moi-même

— Je n’ai pas grand chose, juste mon PC et un "baise en ville"

— Oupsss pardon, s’empresse-t-il d’ajouter, je ne voulais pas vous heurter.

— C’est juste une valisette pour 1 ou 2 nuits, ajoute-t-il en essayant de rattraper sa bourde.

— Pas de tracas, je sais ce qu’est un "baise en ville".

Ses sacs dans le coffre, il m’ouvre la porte de ma voiture et, d’un geste noble de la main, m’invite à m’asseoir. Évidemment toutes les astuces sont bonnes pour se rincer l’oeil.

Afin de ne pas le décevoir, je prends le temps pour m’asseoir derrière le volant et écarte, plus que de coutume, les jambes en faisant remonter un peu ma jupe, mais pas trop haut. A-t-il vu mon entre jambe ? Je ne sais pas, mais son visage s’empourpre une fraction de seconde. Lorsqu’il vient s’asseoir sur le siège convoyeur, il est à nouveau maître de ses émotions. Durant tout le trajet, plus ou moins 15 minutes, il narrête pas de regarder mes jambes. Pas comme un rustre, pas de façon vulgaire, mais de façon très intéressée. J’ai peur que sa main ne s’aventure sur ma cuisse, mais non, en parfait gentleman, il reste digne, pas de main baladeuse. J’en profite pour regarder furtivement son entre jambe, je crois décerner une protubérance, mais très vite mon regard se porte à nouveau sur la route. Arrivé devant l’hôtel, il descend de la voiture, prend ses bagages et disparaît dans l’hôtel. Je ne le verrai plus, me dis-je, ouf. Je n’ai pas envie, à ce moment-là, qu’un mec ne vienne bousculer ma vie et n’ai pas particulièrement envie de sexe ce jour-là. Quoique ….

Quelques semaines plus tard, au centre commercial, un homme m’apostrophe très correctement. Je ne le reconnais pas. Voyant mon désarroi, il se présente. Juste ciel, lui ! Cette fois-ci, ce n’est pas par hasard qu’il me rencontre, il habite beaucoup trop loin et ma ville n’est pas sur les axes principaux. Je fronce les sourcils prête à m’en aller.

— Vous êtes contrariée ? me demande-t-il ?

— Non, mais que faites-vous ici ?

— Je passais par hasard dans la région, quelques achats pour le week-end et le hasard fait que je puisse vous rencontrer, fit-il avec un sourire enjôleur, me regardant bien dans les yeux.

— Le hasard ? Quel hasard ? Justement dans ma ville, je ne vous crois pas, dis-je d’un ton un peu sec.

— Et pourquoi pas ? demande-t-il en rajustant sa veste.

— Que me voulez-vous ? fis-je assez agacée.

Et là, il me sidère par son audace, sa franchise et toujours ses yeux enjôleurs.

— Vous me plaisez énormément, vous êtes magnifique, je désire vous inviter au restaurant et avoir un autre rendez-vous avec vous.

Ma tête ! Soufflée, je ne peux rien dire, alors que ma bouche reste ouverte et mes yeux grands ouverts sans rien vraiment voir.

— Je ne suis pas libre, je parviens à dire en bredouillant.

— Tiens, comme c’est étrange ! fait-il avec un petit sourire narquois.

— Qu’est-ce qui est étrange ? Sa remarque m’ayant fait recouvré mes esprits.

— Que vous ne soyez pas libre, tiens ! dit-il avec assurance.

— …..

Choquée, aucun son ne sort de ma bouche, je suis estomaquée, Une fois encore, je ressemble à un poisson hors de l’eau.

— Mais qui êtes-vous ? Vous vous êtes renseigné sur moi ? dis-je, un rien en colère

— Oui !

Mon dieu, je vais m’évanouir, c’est un cauchemar, je vais me réveiller.

Ne sachant plus quoi dire, je le quitte, je n’en crois pas mes oreilles.

Il court derrière moi, me rattrape, me dépasse, s’excuse et me demande de bien vouloir l’écouter.

— Bon, alors mais pas au milieu de l’entrée du centre commercial, je ne veux pas me donner en spectacle, offrez-moi un café pendant que j’écouterai vos bêtises.

Il ne dit rien, ne commente pas ma dernière phrase.

Une fois assis, il me raconte sa vie, ses aventures, puis le fameux jour où il est venu s’entretenir avec mon patron, le jour où il m’a vue, rencontrée et où il est tombé sous le charme ?

— Il y avait beaucoup de feuilles mortes ? dis-je assez amusée.

— Quelles feuilles ? Feuilles mortes ? Pourquoi des feuilles mortes ? dit-il complètement éberlué, ne comprenant vraiment pas de quoi je parle.

— Ben oui, quand vous êtes tombé ! S’il y avait un tapis de feuilles mortes, cela fait moins mal ! dis-je avec grand sérieux, tout en essayant de ne pas éclater de rire.

— Mais de quoi parlez-vous ? dit-il, ses yeux remplis de points d’interrogation

— Ben vous êtes tombé sous l’arbre, continuais-je avec sérieux ?

— Qui ? Moi ? L’arbre ? Quel arbre ? et d’ajouter : Quand ?

Là, c’est certain, je le déstabilise, il en perd le fil de ses idées, il est complètement perdu.

— Ben oui, en me moquant un petit peu, quand vous êtes tombé sous le charme, vous savez, l’arbre, ça aurait pu être un bouleau, un chêne, un arbre quoi !

Si je ne me pince pas, je suis morte de rire, contente de mon effet, j’en ferai même pipi dans ma culotte. Qu’est-ce que je jubile, je n’en reviens pas de l’avoir tourné en dérision. Il me parle sérieusement de lui, de moi, du jour de la rencontre, et tout ce que je trouve à dire, c’est qu’il aurait pu se faire mal en tombant sous un arbre. Je suis quand même un peu vache, non ?

Cette fois c’est lui le poisson hors de l’eau, sa bouche reste ouverte, ses yeux sont ronds, il ne peut plus rien dire, mais je vois que son cerveau travaille.

Et pour la seconde fois en moins de 15 minutes, il me sidère à nouveau par son audace et sa réaction.

Il vient de comprendre, son sourire s’élargit, ses yeux pétillent, il rit et en même temps dit : "Tu es merveilleuse" alors que ses deux mains viennent enserrer mon visage, il se penche et m’embrasse sur la bouche. Cette fois c’est moi qui suis surprise, les yeux écarquillés, la bouche entre ouverte. Il en profite donc pour y introduire sa langue, mais miracle, à la place d’un beefsteak inquisiteur qui serait venu envahir ma bouche, ce n’est que le bout de sa langue qui joue avec mes lèvres. J’en reste sidérée. Au même moment, deux réactions se dessinent devant mes yeux, soit je le gifle et m’en vais, soit je prolonge le baiser. Son baiser est doux et suave, pas un baiser lourd, baveux, ni forcé. J’aime sa façon d’embrasser. Je fonds, mon dieu que m’arrive-t-il ? Un frisson parcourt ma colonne vertébrale, mon slip se mouille, mes seins se durcissent, ma langue pénètre sa bouche et c’est moi qui l’embrasse.

— Paie les cafés et suis-moi, lui dis-je en me séparant de sa bouche. Je viens de le tutoyer, il ne bronche pas.

Je me lève, je n’en crois pas mes yeux, je viens de l’inviter à me suivre. Je deviens folle ou quoi. Non, mon corps a besoin d’amour, de caresses, de ……….. sexe ! Je ne me reconnais plus, ce n’est pas possible, je ne peux pas me comporter de cette façon, je vais me réveiller !

Il me rejoint alors que je me dirige vers ma voiture. Une fois à l’intérieur, un vent de folie m’atteint, je l’attire vers moi, l’embrasse à pleine bouche et je caresse son entre jambe où une bosse est déjà bien présente. Notre baiser est long, profond, mouillé, nos langues jouent à qui pénétrera le plus profondément possible la cavité buccale de l’autre. Je mouille, je ruisselle, je suis folle, folle. Je ne me reconnais pas, mais toutes ces années d’abstinence font que j’ai besoin de …. je ne sais pas quoi, mais j’en ai envie. D’un baiser ? De sexe ? De baise ? De cul ? Des idées s’entrechoquent dans ma tête, je perds le contrôle, je me laisse emporter par mes hormones, je ne peux pas, je ne veux pas, non, ce n’est pas bien mais mon corps dit le contraire. Ma température corporelle monte en flèche, je transpire, j’ai chaud, il fait trop chaud, je bouillonne. Mes mains sont baladeuses; tandis que l’une lui caresse le cou, l’autre lui caresse toujours le sexe, qui grossit de plus en plus. De son côté, une main pétrit mes seins, gonflés, sensibles et son autre main est posée sur ma cuisse, mais il n’ose s’aventurer plus haut. Toujours aussi gentleman, me dis-je.

Alors que mon corps est tourné vers la droite durant notre étreinte, je me cale dans le siège tout en l’attirant vers moi, sa position n’est pas fortement confortable à cause du changement de vitesse et de l’accoudoir, mais je m’en moque, à lui de se débrouiller. Ma main droite quitte son cou et guide sa main droite vers l’intérieur de mes cuisses que je viens d’écarter. N’attendant qu’un geste de ma part, ses doigts remontent le long de mes cuisses, gainées d’un collant opaque noir. Je suis aux anges, le temps s’est arrêté, je suis comme une adolescente, sauf que je n’en suis plus une ! Je voudrais disparaître du parking du centre commercial, je voudrais que notre baiser et nos mains baladeuses ne s’arrêtent jamais, je voudrais que ce moment magique, merveilleux soit le premier d’une longue série, je voudrais tant de choses que j’ai manquées depuis trop longtemps.

Je le repousse vivement.

— Désolé, dit-il confus

— Non, c’est super, assieds-toi confortablement, lui dis-je, les yeux pétillants de désir et le souffle court

Il s’assied et j’en profite pour remonter l’accoudoir.

— Sors ta queue, dis-je d’une voix sensuelle, comme un souffle alors que mon visage est très proche du sien

— Ici, maintenant ?

— Oui, tout de suite, sors-la.

Sans mot dire, il ouvrit son pantalon, fait glisser son slip et sort sa queue sur laquelle je me jette avec envie. Je veux le prendre dans ma bouche, ma langue virevoltant autour de sa queue. Sa queue est de taille un peu supérieure à la moyenne, je ne peux le prendre profondément en bouche, n’étant jamais parvenue à prodiguer une gorge profonde à mes maris et amants. Pas trop grosse non plus, mais suffisamment pour remplir ma bouche. Je gémis comme une folle. Sa queue est belle et vigoureuse, je la suce. Je suis déchaînée, j’ai envie de boire son sperme. Ma bouche monte et descend le long de sa queue rapidement, je salive abondamment. Lui aussi gémit, me caresse les chevaux mais ne m’impose pas de le prendre plus profondément, j’ai horreur qu’un homme appuie sur ma tête pendant que je le fellationne.

— Oh oui, c’est divin, tu suces merveilleusement, que c’est bon, oh oui oh oui oh oui oh oui

— mh mh mh mh mh mh , je ne peux rien dire d’autre, j’ai la bouche pleine.

Je le lèche sur toute sa surface, tantôt doucement, tantôt avidement. Je prends à nouveau la tête de son sexe dans ma bouche, ma langue embrassant doucement le bout de sa queue. Mes mains ne restent pas inactives et lui caressent les testicules, assez grosses et que j’espère bien remplies. Je veux uniquement le sucer mais je ne peux attendre, surtout sur le parking. Tout en le suçant, ma main droite le branle tout aussi énergiquement, j’attends la décharge avec impatience. J’essaye de le prendre plus profondément, mais impossible, alors ma main redouble d’intensité. Je sens qu’il gonfle dans ma bouche, je la sors de ma bouche pour un dernier coup de langue autour du gland puis l’enfonce à nouveau dans ma bouche.

— Oh oh oh oh oui oui oui oui oui oui mais je sens qu’il essaye de se contrôler.

— Laisse-toi aller, ne te retiens pas, dis-je avant de reprendre la tête en bouche en donnant de fameux coups de langue et en le branlant fortement.

Je gémis de plus en plus, j’attends l’explosion. Il essaye de se retenir aussi longtemps que possible, en voulant faire durer le plaisir, mais ma bouche et ma langue veulent qu’il crache sa semence. Aux soubresauts de sa queue, l’éminence de le délivrance est proche. Un dernier coup de poignet, une dernière lèche, un dernier coup de langue, et

— Oui oh oui oh oui oh oui oh oui

Il déverse une grande quantité de sperme dans ma bouche, du sperme épais, un rien salé, onctueux dont je me délecte. J’avale au fur et à mesure pour éviter d’étouffer et d’en renverser sur son pantalon et sur le siège de ma voiture.

Lorsque son sexe devient tout mou, je me redresse et regarde autour de moi, pas de curieux, pas de gens offusqués, pas de policiers, rien. Pas de panique, personne n’a rien vu.

A côté de moi, un homme enchanté, les yeux brillants, le souffle court, respirant comme un sprinter, mais comblé et qui n’en croit toujours pas ses yeux. Il ouvre la bouche mais aucun son n’en sorti.

— Le resto tient toujours, j’ai faim moi. L’apéritif était plutôt salé, dis-je d’un ton très naturel, comme si rien ne venait de se passer.

— Tu es merveilleuse …

— Je sais, dis-je en l’interrompant

— Tu es vraiment merveilleuse, bien sûr nous allons au restaurant

— Et après tu m’emmènes à l’hôtel ? dis-je, en l’interrompant une fois de plus

— … des yeux interrogateurs, mais muets, me regardent, ne sachant que dire, ne croyant pas ce qu’il entendait.

— J’y compte bien, tu ne crois quand même pas que je vais me contenter d’une pipe, non ? Tu as eu ton plaisir, je veux que tu me fasses jouir, t’as intérêt.

— Tu es merveilleuse, …

— Tu te répètes. Avoue que tu as perdu le contrôle et que dans tes rêves les plus fous tu n’aurais jamais imaginé ce qui vient de t’arriver

— Tu as raison, tu as raison, tu es merveilleuse.

— Ton vocabulaire et ta conversation sont vraiment limités, je te largue.

— Tu ne peux pas savoir à quel point je suis épris de toi. Je rêve de toi depuis que je t’ai vue et depuis que je heuuuu

— Oui, que tuuuu quoi ? fis-je en le fusillant du regard.

— Ne sois pas fâchée, ce n’est pas vraiment ça, mais depuis que je teeeee

— Allez crache le morceau, tu viens déjà de cracher dans ma bouche

— Décidément tu passes du sérieux à l’humour dans la seconde

— Tu n’as toujours pas répondu à la question.

— Ce n’est pas vraiment que je te surveillais ou que je t’espionnais, mais je voulais te connaitre d’avantage; alors j’ai fait du repérage.

— Du re-pé-ra-ge ? Et ben dis donc, pas gêné, toi ! Je te largue.

— Nonnnnnn, je voulais savoir si je pouvais espérer te revoir, si tu avais été en couple, j’aurais abandonné. Il fallait que je sache. Et je me suis aperçu que tu étais seule.

— C’est tout ce que tu as récolté ? Pas fameux comme espion., dis-je d’un ton moqueur.

— Si tu veux, on en parle au restaurant.

— D’accord.

Et comme je lui dis d’accord, je me souviens des impressions bizarres que j’ai eues à certains moments, comme si j’étais sous surveillance, une impression d’avoir quelqu’un dans le dos, m’épiant. C’était donc lui !

Nous nous rendons au restaurant, nous parlons, mangeons et buvons. Je bois du vin de qualité, ce qui me rend amoureuse.

Après le restaurant, il m’emmène dans un des plus beaux hôtels de la ville et me fait l’amour merveilleusement. Pour une fois un homme s’intéresse à moi, me caresse, s’occupe de mon corps, est aux petits soins pour moi et me fat jouir plusieurs fois cette nuit là.

Le lendemain matin, nous nous séparons, pour qu’il récupère sa voiture et depuis lors, nous sommes ensembles et mariés.

Grâce à lui, à sa manière de me faire l’amour, ses caresses, sa passion, sa tendresse, son écoute de mon corps et sa patience, je me suis libérée petit à petit pour devenir, à nouveau, une femme comblée, amoureuse et avide de sexe. Dans ses bras, je renais, je peux laisser parler mon corps, il écoute. Il me fait jouir, réellement jouir, je le fais jouir, il me donne, je lui donne. Nous parlons beaucoup, c’est très difficile de se confier, la peur d’être jugée et jugée. Suis-je normale ou anormale ? La tendresse, surtout après l’amour, aide énormément à se confier. Lui ne s’endors pas, même s’il lutte, je le vois, je le sais, mais je dois parler. Et si nos discussions finissent très tard, au réveil, je le remercie de m’avoir écoutée par une gâterie matinale. se faire réveiller par une bouche humide, il prend son pied et moi je bois sa semence, avidement.

Oser confier à son conjoint ses phantasmes, même les plus osés, c’est terrifiant, c’est se mettre à nu, se dévoiler en espérant ne pas être jugée, larguée. La réciproque doit inévitablement se produire. C’est la confiance totale. Et on se rend compte, que rien n’est vraiment choquant. Heureusement, Luc n’est pas dépravé, pas question de pipi caca violence et autres murs spéciaux.

Il m’avoue qu’il est accro au sexe, complètement, au sexe réel et au virtuel. Qu’il est voyeur réel et virtuel. Qu’il adore la lingerie, qu’il en a acheté et qu’il en a porté. Il aime les mises en scène, surtout lorsque les deux participants contribuent et participent, il aime l’amour ailleurs que dans un lit, mais n’est pas exhibitionniste, il aime être caressé mais n’impose rien (je suis tombée sur la perle rare), il adore ce faire sucer et jouir dans la bouche de sa partenaire, il raffole du cunnilingus (moi aussi, surtout si c’est bien fait), il aime faire des photos mais uniquement pour son plaisir personnel (là jai eu un moment de panique : pas question de me prendre en photo et ensuite de me retrouver sur la toile !), il aimerait (voyez le conditionnel) l’amour à plusieurs, quelle que soit la combinaison, etc. etc. Donc rien de vraiment exceptionnel dans ses demandes, en fait.

Les hommes que j’ai connus avant, à cause de leur comportement macho, de leur assurance de baiseur parfait, ont fait de moi une femme coincée, méfiante vis-à-vis d’eux, refusant de n’être qu’un trou, un matelas mais avec toujours le même résultat : me faire larguer car justement pas assez salope !

S’ils savaient que je suis normale, que j’apprécie le sexe, que j’adore la lingerie et qu’une bonne partie de jambes en l’air ne me fait pas peur, mais surtout dans le respect et la confiance. J’ai besoin d’être considérée, d’être aimée, pour moi. Un homme qui sait me faire vibrer a tout à gagner. Luc m’a écoutée, il a mit ses désirs de côté pour me faire jouir. J’ai joui sous ses caresses, ses doigts, sa langue, son membre. Je connais l’ivresse des orgasmes puis des orgasmes multiples pour finir en apothéose lorsqu’il découvre mon point G. Je jouis comme une fontaine. Durant ces dernières 11 années, je suis allée de découvertes en découvertes et il a tout gagné : je suis sa maîtresse, qui dit rarement non.

Ce soir donc, je suis chaude pour mon mari, j’ai envie de lui, de ses doigts, de sa queue, de ses caresses, quoique j’ai surtout envie d’être culbutée. Lui aussi a envie de moi, mais je veux une soirée chaude, alors j’ai pris les choses en mains.

Voilà donc le récit de cette fameuse soirée.

Je porte un collant couleur chair soyeux, très légèrement "lurex" avec le gousset découpé. Au dessus, un porte-jarretelles rouge en dentelle avec des bas mousse rouge couture; pour ma poitrine (100C) un joli soutien, également en dentelle rouge et assorti, en fait style "remonte seins"; pour compléter, un slip rouge ouvert à l’entre jambe, bien entendu mais avec au-dessus une culotte style années 50 pour faire durer le plaisir.

Me voilà donc déguisée en je ne sais pas quoi, mais ce débordement de lingerie vient à la fois d’un désir de mon mari et de nos trouvailles sur Internet. En effet, nous regardons, à deux, les sites X, surtout les amateurs. Je mouille très vite et assez souvent, pendant qu’il mate, je m’agenouille entre ses jambes pour le sucer. Les images des cochonnes et mes lèvres ont vite raison de lui et son sperme vient se déverser dans ma bouche, j’avale évidemment.

Cette complicité, ce genre de jeux sexuels n’est possibles que grâce à notre entente, confiance et respect. Je peux être très portée sur le sexe et combler mon Luc comme il le désire, mais sans obligations. Si je le suce et le bois, c’est que j’aime cela mais aussi, car il raffole de cette caresse.

Je m’égare, je reprends mon récit.

Pour cacher mes seins, un caraco, évidemment rouge, sous un chemisier transparent noir, une mini noire très collante en stretch et des hauts talons noirs. Voilà le décor, il ne manque que mon mari. Cette soirée, je l’attends depuis que je me suis levée et je suis tellement excitée, que je me suis habillée "hard", mais c’est le genre de tenue qu’aime mon amant et mari.

Je l’attends avec impatience, il ne m’a pas baisée ni ce matin, ni à midi, alors je grince. D’habitude, le matin, c’est un "PCVF" ou une "PAA" (Petit Coup Vite Fait Pipe Avec avale), mais je me suis levée un peu en retard, il devait être plus tôt au bureau et nous sommes restés sur notre faim. Midi, j’avais le temps, pas lui. Donc, attendre ! Notre calendrier mural de la cuisine est bien rempli : courses, visites, etc. et un certain nombre de codes : PAA, PCVF, SN (69), BB (Bonne baise), FCS (Fully clothed Sex = baise tout habillé), si il y a un (L), cela veut dire en lingerie et si c’est un "+", c’est que j’ai avalé sa décharge.

Les filles sont à l’unif, nous ne serons pas dérangés.

En attendant mon amant, je surfé sur Internet, et je visite quelques sites pornos, histoire de m’échauffer un peu, mais je n’en ai pas besoin, je suis déjà chaude. Un régal. Tout en matant les photos d’amateurs (très cochons certains) ou en lisant les histoires, je me caresse et j’introduis un beau et bon god dans la chatte. Mon dieu, que je mouille. Pour ne rien perdre, je suce le god en savourant ma cyprine, que je suis cochonne.

Je sais très bien comment je dois recevoir mon Luc : habillée très sexy et affamée comme une lionne. Je vous donne un aperçu de ce que je lui réserve.

D’abord, je l’accueille assise dans le canapé cuir du salon, les jambes serrées il ne faut pas tout montrer dès le début. Lorsqu’il se penchera pour m’embrasser, je lui plongerai la langue dans la bouche. Je me suis maquillée un peu hard, les lèvres très rouges et effet "mouillé". Il viendra s’asseoir à côté de moi, me prendra dans ses bras et me complimentera tout en ayant les yeux sortis des orbites (ma tenue est là pour cela). Notre baiser sera de plus en plus profond et il essaiera de s’aventurer sous ma jupe, mais je garderai les jambes serrées, il faut d’abord qu’il me caresse le cou, qu’il enfile sa langue dans mon oreille, me caresse les seins par dessus mes vêtements, puis il pourra déboutonner mon chemisier, remonter vers mes seins sous le caraco et les saisir à pleine main. Abandonnant ma bouche, il doit lécher mes mamelons, me manger la poitrine, remonter m’embrasser la langue sortie à son maximum, et nous jouerons avec le bout de nos langues comme des serpents. Son bras droit sera dans mon cou et sa main jouera avec mes seins pendant que sa main gauche essaiera une fois de plus de se faufiler sous ma jupe. Il caressera depuis longtemps mes jambes (il est dingue de bas et de collant, un vrai fétichiste), ce que je lui laisserai faire, jusqu’au genoux, pas question d’aller plus haut, même si mes cuisses sont visibles. Je suis très sensible à l’intérieur des cuisses, alors il devra patienter. Il me demandera évidemment d’écarter les jambes, de le laisser me toucher la chatte, de le laisser me caresser le clito et le minou et d’y enfoncer un doigt. Non, il doit attendre.

Jusqu’à ce moment, je me laisserai faire, mes mains seront restées inactives, surtout pas le caresser bien qu’il doit bander comme un taureau. Il va certainement saisir ma main et la plaquer sur son pantalon pour me faire sentir son état, mais je ne le caresserai pas. Il doit suivre mes règles, il le sait, surtout que s’il les suit, il pourra faire de moi ce qu’il voudra.

Du bruit dans l’allée, j’entends une voiture, c’est lui.

Il rentre la voiture au garage, je vais m’asseoir et je vous raconte ensuite.

Voilà, tous les deux repus, je peux reprendre mon histoire.

Comme prévu, je l’ai fait languir avant de le laisser me baiser, en fait j’ai d’abord sucer Luc, voilà comment cela s’est passé.

Comme je refusais de le caresser, il m’a dit:

— Tu me rends dingue, pourquoi ne me caresses-tu pas ?

— Parce que, lui dis-je en souriant.

— Parce que quoi ?

— J’ai autre chose en tête.

— Quoi ?

— Lève-toi.

Il se lève devant moi, je m’assieds au bord du canapé, j’ouvre les jambes.

— Enfin, tu les ouvres quand je ne peux pas en profiter.

— Bien sûr, attends un peu tu pourras te rincer l’oeil, mais après.

Je caresse son sexe par-dessus son pantalon, qu’il bande fort ! Une vrai trique, j’aime que mon mec bande dur pour moi.

— Doucement, tu vas me faire partir.

— Déjà ?

— Tu m’as tellement excité et j’en avais tellement envie, tu peux pas savoir.

— Gros cochon, tu veux me tringler ?

— Oui, mais je vois que tu en as aussi envie, vu l’accueil.

— Moi ? dis-je, en le regardant dans les yeux avec un battement de cils, un sourire au coins des lèvres.

— Quel accueil ? fais-je comme si je ne savais pas de quoi il parle

— Lorsque tu es en rouge et noir, je sais ce que cela veut dire.

— Quoi donc ?

— Que tu veux baiser.

— Seulement en rouge et noir ? lui dis-je tout en continuant à malaxer son membre.

— Doucement, je vais partir.

— Sors la vite.

— Que vas-tu lui faire ? demande-t-il étonné

— La sucer, tiens, quelle question ! dis-je, comme si c’était tout à fait normal.

— Tu est une vrai salope, me faire bander , m’empêcher de te toucher et puis me sucer.

— Sois poli avec ton épouse. (j’aime qu’il me traite de salope, j’en suis une et j’aime cela, mais uniquement pour lui.)

— Tu es une salope et je vais te faire taire, suce et tais-toi. Tonne-t-il alors, d’une voix ferme.

Sur ce, il me prend par l’arrière de la tête et s’enfonce dans ma bouche.

— Oh oui, suce salope, suce moi bien, j’ai envie de ta bouche. dit-il, les yeux fermés, savourant ma caresse buccale.

— Uhmmmm Uhmmmm , je ne peux rien faire d’autre la bouche peine.

— Suce, bien jusqu’au fond, enfonce ma bitte dans ta bouche de salope, et ne t’arrête pas.

Je relève la tête et le regarde droit dans les yeux et faisant des bruits de succion de plus en plus fort. Je sors sa queue de ma bouche pour lui lécher le membre, lui mordiller les couilles bien remplies et le reprend en bouche.

Il me baise la bouche, comme s’il baisait ma chatte avec des mouvements de bassin d’avant en arrière. De ma main droite je contrôle la profondeur, il est tellement excité qu’il me l’enfoncerai au maximum.

— Ouiiii, c’est bon, encore

— Uhmmmmmm, Uhmmmmmm

— Tu vas me sucer cochonne, je vais tout t’envoyer, je vais te cracher dans la gueule et tu vas tout avaler, tout, jusqu’à la dernière goutte de mon foutre, m’ordonne-t-il d’une voix qui ne me donne pas le choix (j’aime aussi être soumise, surtout par lui)

— Uhmmmmmm, Uhmmmmmm fais-je

— Ouuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, Ahhhhhhhhhhhhhh

Et il éjacule. Le premier jet est si fort que je manque de m’étrangler, mais j’avale aussi vite que je peux. Le second jet s’écrase sur ma langue, il est crémeux, chaud, visqueux, salé que j’avale, puis les autres jets se font de moins en moins puissants et en plus petite quantité. Je garde tout dans la bouche, je n’avale plus.

Il se masturbe dans ma bouche pour faire sortir les dernières salves, puis se retire. Je ferme la bouche et attends.

— Ouvre la bouche.

Docile, je l’ouvre doucement, la tête tirée en arrière pour ne pas que cela déborde et lui montre ce qu’il y a dedans.

— Qu’est-ce que tu attends pour avaler, salope ? Allez, avale, je veux une bouche propre.

Je sors la langue blanche de foutre, joue avec sa semence et puis avale le tout en une gorgée.

— Ahhhhhh, c’était bon. Lui dis-je. Tu avais des réserves de combien de jour ?

— Depuis ce matin. Viens me nettoyer la bite.

Avant de m’exécuter, je lui demande si j’ai été salope assez.

— Non, pas assez, attends un peu je te réserve d’autres surprises.

Je reprends sa queue dans ma bouche et la nettoie, il y a encore du sperme sur la hampe que j’avale vite fait.

Si vous êtes intéressé pour connaître la suite, envoyez-moi un petit mail, je vous attends.

Bisous,

Danielle

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