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"Il venait d'avoir Dix-huit ans…" – Chapitre 9




La partie de foot battait son plein. Fabrice, nul dans cette discipline, ce qui lui attirait quolibets et réflexions blessantes, était toujours "demi". Il pouvait faire illusion à ce poste, même si on ne comptait pas sur lui pour arrêter les buts.

Une attaque… la défense se met en place, et Fabrice voit arriver son copain Raphaël, le fils de sa prof adorée, la balle au pied.

Il fonce comme un rhinocéros fou. Son regard est d’acier, sa détermination aussi. Fabrice essaie de le bloquer, et son adversaire se jette jambes en avant… Le choc est terrible, Fabrice n’a pas vu arriver le tacle, et surtout ne s’attendait pas à une telle violence de la part de son meilleur ami.

L’arbitre siffle:

— Carton rouge, tu sors Raphaël, ça ne va pas une telle conduite agressive ?! Respecte le nom que tu portes, tu devrais être un modèle pour tes camarades. Mais qu’est-ce qui t’a pris, nom de nom !

— Moi je sais ce qui m’a pris ! " Et Raphaël crache à côté de Fabrice, qui se tord de douleur.

Dans les vestiaires, l’atmosphère est lourde, les jeunes hommes quittent la pièce un par un avec un regard en coin, pour Fabrice, qui bande sa jambe gauche, et Raphaël, adossé contre les armoires métalliques, qui attend que tout le monde ait quitté l’enceinte.

On entend un :

— Eh bien il va y avoir du règlement de comptes… je comprends pas ce qui leur arrive à ces deux-là!

Quand le dernier est parti, Raphaël plonge sur Fabrice et l’attrapant par le col, le secoue comme un prunier :

— Alors ordure ! Tu baises ma mère ! Salopard !

— Mais non… non tu te trompes, je ferais jamais un tel truc…

— ARRÊTE DE TE FOUTRE DE MA GUEULE ! Tu baises ma mère ! Je vous ai surpris hier chez moi ! Chez moi, tu te rends compte ! (et le poing dressé, Raphaël s’apprête à mettre une bonne droite à son camarade.)

— NON ! NON ! Je t’en supplie, écoute-moi ! Cest vrai, je la baise, mais j’y suis obligé !

— Je vais te foutre une rouste !

— NON ! C’est vrai, demande-le lui. On a été pris dans un guet-apens, il y a de cela trois semaines environ, alors que ta mère me raccompagnait un soir… elle a eu un accident, elle a tué Rémi, un type de la bande de Thomas, tu sais le mec qui magouille drogue, pièces de mobylettes et d’autres trucs. Il fait chanter ta mère. Elle est obligée de faire tout ce qu’ils lui ordonnent, sinon ils vont tout cafter. Et ils ont filmé le… la…

— QUOI !

— L’exhibition de ta mère, elle s’est foutue à poil, a fait un strip, comme dans l’émission de Stéphane Colaro, tu sais la "playmate"… ils lui ont demandé de faire ça pour garder le silence. Et comme ils ont du matos, ils ont pris des "Polaroids", et ont une bande enregistrée sur K7 vidéo ! Et depuis ce temps, ils nous tiennent tous par les couilles, ta mère, ton père et moi !

— Mon… mon père est au courant ! Je ne te crois pas !

— Ben si, pour sauver son mariage, sa famille et sa réputation dans le lycée et au temple, il est obligé de laisser faire !

— Il… il sait que tu …

— Oui il sait que je baise ta mère… il me l’a "offerte sur un plateau" ! Il est obligé parfois de mater, comme pour "ma première fois", et de raconter au téléphone ce qu’il voit aux mecs… ils lui ont même prêté une caméra pour filmer… Mais c’est pas toujours le cas."

Raphaël s’assoit sur le banc, blanc comme un linge et abasourdi. Il garde le silence pendant cinq bonnes minutes. Fabrice pense qu’il " a sauvé sa tête". Puis Raphaël frappe le banc de toutes ses forces :

" Et merde, mais qu’elle est conne ma mère, putain ! Mais pourquoi elle sest exhibée comme ça, ils n’auraient pas eu de moyen de pression. Et ça dure depuis combien de temps ?

— Quoi ?

— Ben, que tu baises ma mère, connard !

— Trois semaines ! Je peux te faire une confidence, mais tu jures que tu ne me feras rien après ?

— Oui, parle !

— Je… je crois que ta mère aime tout cela… je crois même qu’elle n’est pas la victime innocente qu’on pourrait croire !

— ATTENDS ! Tu es en train de me dire que ma mère est une salope ? Fais gaffe, ou je vais te réduire en bouillie !

— Non c’est vrai… Franck est venu me voir… Ta mère ne savait pas qu’il a une dette d’honneur envers moi. Il m’a avoué que c’est ta mère qui a tout organisé… Il n’a jamais été question pour la bande de Thomas de nous faire chanter… C’est elle qui a voulu "qu’on la force" à faire tout ce qu’elle fait… des fois, c’est même elle qui écrit les scénarios qui vont lui être infligés ensuite. ET je te jure que c’est vrai ! Va demander à Franck, il te dira !

Si c’était encore possible, Raphaël avait blêmi encore plus ! Tout son monde de certitudes, de morale protestante, de Bien dans le monde, tout son système de valeur s’écroulait. Sa mère était la dernière des traînées ; elle prenait du plaisir à sa dépravation, elle était la victime consentante. Et elle y prenait du plaisir ! Et son père, triste larve sans couilles, laissait faire, laissait sa femme se transformer en putain devant ses yeux, par peur du "quen-dira-t-on" ! Lui, toujours rigoureux, orgueilleux, brutal, plein de morgue et d’autorité quand il s’adressait à des élèves fragiles, qui lui devaient respect et obéissance. Là, face à des mecs qui avaient des couilles, il se liquéfiait comme une grosse merde. Et son meilleur pote, se tapait sa mère !

— Je veux voir !

— Quoi ?

— Je veux voir ce que ma mère fait !

— Mais tu es fou c’est ta mère !

— Non c’est une sale pute, ce n’est plus ma mère… je veux voir. On rentre chez moi. Mes parents bossent encore, tu vas me chercher une de tes K7 vidéos, et tu vas me la faire visionner… on va regarder tes exploits à deux !

Effaré, Fabrice ne put qu’obtempérer.

Une heure après, dans le salon avec la superbe peau de vache sur le sol, la grande télé couleur, grand luxe pour l’époque, et le massif magnétoscope en dessous, les deux jeunes regardaient les K7 vidéo.

La main tremblante, Fabrice commença par le strip-tease de Anne V….. r, ce fameux soir.

Et Raphaël, flegmatique, sans aucune émotion visible, regarda sa mère se déshabiller, et danser de façon très sensuelle sur la table. Il n’y avait que trois minutes de vidéo. C’était l’exemplaire qui avait été envoyé par la poste, pour asseoir "le chantage". Et qui avait poussé le proviseur à céder aux exigences des malandrins.

— Une autre, je veux tout voir de cette salope !

— Mais il n’y a que celle-là !

— Tu mens ! Je veux voir celle où tu la baises, ou je t’explose la gueule !

— Bon… bon…

Et sur la K7 vidéo suivante, Raphaël, put admirer sa mère, qui se laissait ouvrir son peignoir de bain, par Fabrice, et la découvrir nue en porte-jarretelles avec des bas résilles, qui faisaient très pute, il fallait bien l’avouer. Puis Fabrice laissait ses mains s’égarer sur ce corps de rêve, tandis que leurs bouches s’unissaient. Vint enfin la première fois de Fabrice, qui sauta la mère de Raphaël en missionnaire !

Anne s’installa sensuellement sur le lit, regardant d’une façon moqueuse son mari, qui allait découvrir sa femme faisant l’amour avec un autre homme pour la première fois ! Elle écarta les cuisses présentant sa petite chatte ouverte et toute luisante de cyprine à son élève. Celui-ci, un peu pataud, se présenta à genoux entre ses cuisses, et caressa le sexe offert d’une main tremblante. Il passa des doigts "fiévreux" entre les boucles blondes de son sexe. Il allait baiser sa première femme… et quelle femme ! Sa prof de physique, voisine, et femme de son proviseur ! Pas mal pour une première fois, non ?

Anne le fit s’allonger sur elle, et saisissant son membre viril, le dirigea vers son antre de plaisirs. Le jeune homme n’avait pas mis de préservatif ; à cette époque, le SIDA n’avait pas encore fait les ravages que nous lui connaissons aujourd’hui…

Une fois "dans" sa prof, celle-ci ayant exhalé une longue plainte de contentement, Fabrice d’abord timidement, puis prenant de l’assurance, commença à bouger son bassin. Suivi en cela par Anne, qui prenait beaucoup de plaisir à cette pénétration inexpérimentée, mais tant attendue ! Évidemment Fabrice jouit très vite, mais Anne, excitée par le fait de faire l’amour avec un autre homme que son mari, et cela sous ses propres yeux, eut elle aussi un orgasme.

— Ne t’inquiète pas, ce sera encore mieux les autres fois ! Alors Maurice cela t’a plu ?

Son mari se renfrogna, éteignit la caméra et piteusement quitta la chambre conjugale … Consterné, mais secrètement très excité, il avait vu sa propre femme, jouissant et gémissant pendant ce rapport certes très court, mais tellement attendu par la prof de physique !

N’ayant pas prononcé une parole, Raphaël se tourna vers son camarade, visiblement en colère, mais avec aussi une touche d’excitation dans le regard.

— On va faire un deal ! Ma première idée était de prévenir les flics ainsi que le pasteur pour faire arrêter cette horreur ! Mais au vu de tout cela, moi aussi j’ai envie de profiter de la situation. Alors voilà ce que tu vas faire. Tu vas ordonner à ma mère, enfin cette salope d’Anne devrais-je dire, de draguer ta mère et de se la faire. Et quand les deux seront amantes, tu organiseras une soirée à quatre, toi, ta mère, moi et la mienne. Et là, on les prendra comme les salopes qu’elles sont, ces deux chiennes !

— Quoi ma mère ? Mais tu es fou, elle marchera jamais dans la combine ! Elle est honnête ma mère !

— Ouais… comme la mienne ! Tu n’as jamais entendu l’histoire avec la trésorière, Mme Lamy ?

— Non, c’est quoi ce truc ?

— Ta mère se tape la trésorière une fois par semaine, le jeudi de 15h à 16h00 exactement.

— Ma… ma mère, gouine ? Je ne te crois pas ! ( à cette époque le terme "lesbienne" n’était que peu employé, heureusement tout cela a changé … Note de l’auteur)

— Moi j’avais pas de Polaroid, mais quand on a mis le ballon sur le toit en terrasse des habitations, et que j’y suis monté, j’avais une vue plongeante dans la chambre de l’appart de Mme Lamy, et je les ai vues toutes les deux à poil. Ta mère était en train de lui bouffer la chatte, et l’autre adorait ça ! Je l’ai dit qu’à deux ou trois potes. Je vois qu’ils ont su garder leur langue !

— Ma mère fait l’amour avec des femmes ? Mon Dieu c’est… c’est …

— Excitant, oui, n’est-ce pas ? Et tu imagines nos deux mères, la blonde aux cheveux au carré, mince et athlétique, poitrine moyenne, et la tienne la petite brunette aux cheveux longs, noir de jais, un peu pulpeuse avec ce cul bien plein, cette paire de nichons… putain comme j’aimerais en sucer les pointes ! Putain, je rêve de sa chatte aux boucles bien brunes ! Elle fait combien ta mère, 95 D, c’est ça ?! Putain de nibards ! C’est un bon plan, non ? Tu baises ma mère, je baise la tienne… elles baisent ensemble et peut-être même que dans le feu de l’action …

Raphaël avait les yeux brillants d’excitation ! Fabrice aussi… sa mère se gouinant avec la trésorière… il allait falloir qu’il vérifie cela !

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