Mon petit ami arrive à ce moment là et s’assied entre nous. Je suis très excitée et ne pense qu’à faire l’amour avec Nico. Mais une pensée perverse passe dans mon esprit

Pourquoi ne pas le faire à trois ?

« Qu’est-ce qui s’est passé ? Vous avez l’air trop bizarre. », demande Laurent, qui semble loin de se douter que sa petite amie vient de passer un quart d’heure à rouler des pelles à son grand frère.

  

Je me lève, je fixe Laurent au fond des yeux, en souriant comme une louve, des idées qui se bousculent plein la tête.

« Je t’aime Laurent », dis-je en pensant chaque syllabe. « Oh je t’aime tellement. »

Mon mec sent bien qu’il se passe quelque chose de pas normal, et il ne sait pas trop comment réagir

  

« Je t’aime », dis-je encore, cette fois sur le ton du murmure, alors que je me penche vers lui et que je l’embrasse à pleines lèvres, ma langue envahissant sa bouche. C’est un baiser furieux, un vrai baiser d’amour. En embrassant Laurent, je ne quitte pas des yeux Nicolas, qui reste assis là à nous mater, l’air très à l’aise et la mine approbatrice. Rouler un patin à mon petit ami pendant que mon frère nous regarde, c’est extraordinaire. J’ai l’impression de leur appartenir à tous les deux.

  

« Je t’aime je t’aime je t’aime ». Les mots doux continuent alors que je fais des baisers dans le cou à mon homme. « J’ai envie de toi », lui dis-je alors je défais son pantalon. Désorienté, il saisit mon poignet et tente de m’arrêter : « Mélissa pas pas devant Nico »

  

« J’ai envie de toi tout de suite », dis-je alors d’une voix cassée de désir. 

Mes doigts vont se glisser dans le caleçon de Laurent et enveloppent son sexe. Il lâche un gémissement infime. 

Pendant ce temps, Nicolas a lui aussi ouvert sa braguette et en a sorti son membre. 

C’est la première fois depuis l’adolescence que je vois la queue de mon frère. Elle est énorme. Elle est magnifique. C’est un puissant instrument d’amour, moins long que celui de mon mec mais plus large. Je suis émue. Mon autre main saisit ce membre qu’on me présente.

  

A présent, j’ai le sexe de mon homme dans la main gauche et le sexe de mon frère dans la main droite. 

Je regarde Laurent pour avoir son approbation : il a l’air nerveux et un peu dépassé par les événements, mais je vois dans son regard une étincelle de curiosité, qui m’indique qu’il savoure tout de même chaque seconde de cette situation délirante. Nicolas, lui, me jette des illades de désir pur. J’en fais un animal.

Je me mets à déplacer mes mains sur ces colonnes de chair, lentement pour commencer. 

Ces sexes sont complètement bandés. Ils sont durs et tout chauds dans mes paumes. Je branle mes deux hommes au même rythme, tout doucement, pour ne pas les faire chavirer trop tôt. Ils s’habituent aux va-et-vient de mes doigts sur leur queue, au plaisir que je leur procure, à l’inconfortable étrangeté mêlée de fascinante perversion de la situation. Ils commencent tous les deux à avoir la respiration lourde et les yeux mi-clos. 

C’est moi qui mène le bal, c’est moi qui contrôle tout. Je donne le ton, je donne le rythme. Mon désir est leur plaisir. J’en veux plus, je veux aller plus loin

  

Je me mets sur les genoux et j’entreprends de déshabiller Laurent : je descends son pantalon et son caleçon. Nico vient derrière moi et défait mon soutien-gorge avant de le laisser tomber au plancher. Il défait ma robe, la fait glisser en commençant à effleurer mes seins du bout des doigts. 

Bouleversée, folle, groggy, je suis ravie. Mon grand frère a les mains sur mes seins. Pas la peine de le nier : j’aime ça. C’est exactement cette sensation que je cherchais Je veux sa chair sur ma chair. Il est à moi, je suis à lui.

  

Nicolas me regarde et dit : « on devrait peut-être aller dans la chambre à coucher. Il y a plus de place là-bas »

« Ouais », se contente d’acquiescer Laurent.

Commence alors un étrange cortège. A moitié nus, fous de désir, nous sautillons en direction de la chambre, à l’étage. 

Je laisse les deux mecs à l’entrée et je leur fais mon show. Je retire ce qui me reste de robe dans un strip tease rigolo et affriolant. 

Je baisse lentement ma petite culotte, montrant à mon frère ma chatte pour la première fois, et c’est idiot mais je ne peux pas m’empêcher de sourire, comme si je vivais le moment le plus beau, le plus dingue, le plus mignon de ma vie. C’est exactement ça, en fait. 

Mon mari et mon frère mes hommes se déshabillent rapidement, sans doute pressés de me sauter dessus. 

Nous sommes nus tous les trois, ils ont le sexe dressé, j’ai le cur qui bat. Mon frère et mon époux se regardent, et eux aussi ils se sourient.

  

C’est parti. Je me tourne vers Laurent, je lui fais signe de s’approcher, je l’enlace, je me colle à lui. J’embrasse mon homme d’un baiser très vorace, très érotique. Nos nudités s’épousent, nos langues se mélangent. Son sexe tendu vient se plaquer contre mon ventre. C’est comme d’habitude, sauf que le regard de mon frère sur nos préliminaires amplifie notre excitation. 

Nicolas nous laisse nous prendre la bouche un moment, en parfait voyeur, puis il s’approche, l’air de savoir ce qu’il fait. Il se met à caresser nos corps, d’abord le mien, puis aussi celui de Laurent, qui n’a pas du tout l’air de s’en plaindre.

  

Mes lèvres ne décollent pas de celles de mon mec, et je sens les mains douces de mon frère se poser sur mon dos, sur mes épaules, sur mes fesses, sur mes seins. Il dépose de petits bisous dans mon cou j’adore ça puis il descend le long de ma colonne vertébrale, ponctuant son exploration de tendres baisers. 

Je me mets à embrasser mon petit ami encore plus profondément au moment où je sens que la bouche de Nico descend jusqu’à mon cul. Il reste là un moment, à explorer mes fesses de ses doigts et de ses lèvres incestueuses.

  

Avec Laurent, on continue à s’embrasser. Mon mec a pris mes seins à pleines mains et les pelote avec gourmandise. Pendant ce temps, Nicolas m’embrasse les jambes, en commençant par les chevilles, et en remontant de plus en plus haut le long de mes cuisses. Je tremble d’excitation. Je suis à eux, ils sont à moi. 

Nico m’écarte les jambes avec autorité et m’embrasse enfin entre les cuisses. 

Depuis le temps que j’attendais ça ! Sa langue est brûlante et je gémis quand elle finit par atteindre mon sexe moite et offert.

  

« Tu te mets sur le lit ? », me demande-t-il doucement.

Je m’écarte de Laurent et je m’allonge sur le matelas, les cuisses largement ouvertes. 

C’est maintenant, plus question d’attendre : je veux sentir la langue de mon frère en moi : 

« Je te veux Nico. J’ai trop envie. » 

  

Il ne se fait pas prier. Nico est tout de suite sur moi. Il me rend folle. Il embrasse mon ventre et l’intérieur de mes cuisses. 

« On va bien s’occuper de toi ma belle, tu vas voir »

Ma main gauche va se glisser dans sa chevelure, et je plaque son visage contre mon sexe. Je lâche un « Maintenant ! », presque pour moi. Je sens le souffle chaud de mon frère s’approcher de la fine toison de mon pubis. 

  

Du bout de sa langue, Nicolas vient taquiner mon clitoris qui se cache encore sous son petit capuchon de chair. La caresse est légère mais le contact de cette langue fraternelle qui part à la découverte de mon intimité me fait chanceler. Mes doigts se crispent dans les draps et les cheveux de Nico. 

  

Je fais signe à Laurent de s’approcher. Mon mec comprend immédiatement ce que je veux. 

« Suce moi mon ange », m’ordonne-t-il. 

Il place son sexe bandé devant mon visage, et j’accepte de le prendre en bouche. Je me sens tellement salope. Ce soir je suis leur chienne à tous les deux. 

Mes lèvres viennent jouer délicatement autour du gland sensible de mon mari, dessus, tout autour, puis je lèche ce membre énorme sur toute sa longueur, jusqu’à arriver à une belle paire de couilles que je suce avec gourmandise. Laurent gémit.

  

Pendant que je commençais la fellation, Nicolas n’a pas arrêté de me lécher. Mes cuisses sont maintenant largement ouvertes et mes reins cambrés, pour offrir toute mon intimité à mon amant incestueux. Je suis tendue comme un arc. La langue chaude de Nico joue avec mon clitoris, écarte mes petites lèvres pour s’introduire dans ma fente intime, puis revient jouer avec mon bouton d’amour. C’est trop bon. J’adore ça. Oh Nico Il me fait grimper au septième ciel

  

Je serais sans doute en train de lui hurler mon plaisir si je n’avais pas avalé la grosse queue de Laurent. 

Sa chair dure et brûlante est délicieuse dans ma bouche. Je le savoure docilement tout en le regardant dans les yeux. J’adore voir l’effet que je fais à un homme quand je le suce, et avec Laurent je ne suis pas déçue. 

Il se laisse aller, les yeux mi-clos pour mieux profiter du plaisir. 

« Oh ma pute Oh ma petite pute Oh ma salope »

J’adore quand il me parle comme ça, c’est un jeu coquin entre nous qui décuplent mon excitation

Un soubresaut et un gémissement me font comprendre que la jouissance n’est pas loin : je redouble d’ardeur pour le voir fermer les yeux et profiter du moment. 

  

Moi aussi je sens monter en moi cette vague profonde qui annonce l’arrivée de l’orgasme. Un rien peut me faire exploser. 

Nico accentue la pression de sa langue dans mon vagin. Elle s’y introduit de plus en plus profondément. 

Je mouille comme jamais. Le plaisir me fait trembler. Mon corps s’arc-boute, se tend. Mon frère accélère encore le mouvement. Premiers spasmes. Puis d’autres. Puis d’autres encore, de plus en plus fort.

Je jouis. 

Je ne suis plus que plaisir vif. Chaque muscle brûle. Ma vision se voile. Je perds presque connaissance.

  

Je suis encore en plein orgasme quand Laurent laisse échapper un long gémissement sans ambiguïté. Il me tient la tête pour pouvoir enfoncer sa bite encore plus au fond de ma gorge. 

Son membre m’étrangle. C’est inouï. J’amène mon homme au paroxysme du plaisir

Puis, la délivrance. Il jouit ! Un, deux, trois jets de sperme chaud qui viennent couler au fond de ma gorge. Je n’en rate pas une goutte ! Il continue à éjaculer. Encore un jet, puis encore un. Il rugit. Il n’a jamais joui comme ça.

J’avale avec délice tout le foutre onctueux qu’il veut bien me donner. Puis, quand enfin l’explosion est terminée, je lèche doucement son sexe pour le nettoyer, pendant que Nicolas bois le jus d’amour qui sors de ma chatte.

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