Comme tous les soirs, après le travail, jai pris l’habitude de faire un jogging dans une forêt proche de mon domicile. A quarante ans, marié, je n’ai jamais eu d’expérience homosexuelle, bien que cela me tente depuis des années. Et sous ce prétexte de jogging j’espérais bien trouver cette relation que je désirais, mais à laquelle je pensais souvent en me branlant… Je garais la voiture sur un parking à l écart, puis je partais doucement en marchant en short, mais les rares personnes que je croisais ne semblaient pas rechercher la même chose que moi, aussi au bout dun moment, je me lançais dans ma course.
Un soir, au bout de quelques minutes, un autre coureur me rattrape. La quarantaine aussi… Je m’attends à ce qu’il me dépasse, mais il ralentit à ma hauteur, diminue sa foulée et m’invite à courir avec lui. Au bout dune vingtaine de minutes, je n’en peux plus ; je fais signe que jabandonne, il s’arrête et me propose de marcher quelques minutes, avant de reprendre la course. Tout en marchant, nous discutons :
« Tu nas pas peur de mauvaises rencontres, à courir dans le coin ? « Me demande t il
Je ne vais pas lui dire que cest ce que je cherche…
« Je viens souvent, c’est plutôt calme en fait. Et toi, pas de mauvaise rencontre ? »
Il sourit, me regarde en riant et répond : » non, jamais de mauvaise… »
Je me mets à bander dans mon short. Il sen aperçoit ; ses mains se posent sur mes fesses ; je le regarde fixement. Ma main cherche son sexe par dessus son short, le trouve en érection également. Je le caresse ainsi, à travers le tissu.
— Je te fais bander, je lui demande en le caressant, la voix un peu chevrotante par l’excitation
— Putain, oui ; il me prend la main, m’invite à quitter le chemin pour un coin plus tranquille. Debout face à face, il me déshabille ; ma main s’est glissé dans son short, et je le branle doucement, puis le déshabille aussi. Nus l’un contre l’autre, nos sexes durcis se caressent, il me caresse le cul, me retourne et passe doucement sa bite contre ma raie, en me branlant en même temps. J’adore sentir son gland contre ma raie et sa main qui me branle fermement, c’est trop… J’explose dans sa main, et m’arrose le ventre de sperme.
Je m’agenouille alors, et entreprends de le sucer ; mon premier mec. Je lui lèche les boules en le branlant, puis prend possession de son sexe dans ma bouche. Je m’applique à le sucer, un peu maladroit ; il saisit ma tête à deux mains, me guide, m’invite à me faire plus profond, à accélérer le mouvement. Il gémit, il jouit dans ma bouche puis il me repousse et me gicle sur le visage, et finit de se branler contre ma joue.
On se rhabille, je ne sais pas trop quoi dire… J’ai très envie de découvrir d’autres choses avec lui… Il me sourit enfin.
— La semaine prochaine, même jour même heure, ça te dit ?
— Oui, bien-sûr
A la semaine prochaine alors, me dit-il en reprenant sa course…