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Les malheurs (?) de l'avocat – Chapitre 7




Inceste

LES FEMMES PRENNENT LE POUVOIR

André est ravi, comme promis sa femme et sa fille sont de retour et lui font fête à son arrivée. Après le repas, Odile entraîne son mari dans le salon. Ingrid retient Martine qui les rejoignait.

— Tu laisses, ils veulent être seuls.

Les deux filles séclipsent abandonnant le couple. Odile se suspend au cou dAndré pour un long baiser. Ils saffalent sur le grand canapé. Entre deux baisers, il découvre la poitrine de sa femme et la patouille avec délice. Elle grogne de satisfaction. Il se promet de faire à lavenir plus attention aux seins de sa femme (« Ingrid a raison, cest doux, cest agréable. Jétais un imbécile »). Sa bouche suce les tétons qui se développent comme de petits pénis. Cela le fait sourire (« Ils dardent plus que ceux de Martine Martine ?»). André se redresse.

— Où est Martine ?

Odile veut lattirer contre elle. Il résiste.

— Jespère quelle nest pas avec Ingrid.

— Pourquoi ? Ça te gêne ? Laisse-les tranquille. Elles ne font pas de mal.

— Je naime pas les savoir seules. Dieu sait ce que la fille au pair va imaginer !

— Bah, ces petits jeux innocents sont de leur âge.

— Pas si innocents que ça !

— Si ! Innocents ! Bien plus que ce que tu rêves de faire à ta fille !

— Je ne te permets pas

— Mais si ! Tu es jaloux dIngrid ! Tu noses pas proposer à Martine de renouveler les abominations de lautre soir, alors tu lui refuses le droit de samuser.

— Je tassure

Odile sassied sur le canapé.

— Najoute rien tu profèrerais des mensonges. La preuve ?

Elle porte la main au sexe dAndré.

— Où est la belle vigueur que tu arborais tout à lheure ? Enfuie depuis que tu penses à ta fille ! Je me demande si jai bien fait de revenir. Enfin tout nest peut-être pas perdu. Je te laisse réfléchir.

Elle se lève.

— Où vas-tu ?

— Rejoindre Martine et Ingrid si tu ny vois pas dinconvénient Euh Si tu en vois, cest le même prix !

— Tu Tu me laisses seul ?

— Sois tranquille, je te rejoindrai dans notre lit Plus tard.

Vexé, au lieu de la suivre et de faire amende honorable, il empoigne la télécommande et allume la télévision. Odile qui espérait une autre réaction, hausse les épaules et sort du salon.

André est de mauvaise humeur. Il peste contre sa femme qui approuve la conduite scandaleuse dIngrid ! Combien de temps va-t-elle rester chez eux celle-là ? Encore plusieurs semaines

Les divers programmes quil zappe ne lintéressent pas. Ses pensées le ramènent sans cesse vers létage supérieur. Que font-elles ? Est-ce que la fille au pair les caresses ? Ensembles ou lune après lautre ? Et la mère et la fille ? Non, elles noseraient pas Euh Comment en être sûr ? Toutes ses certitudes volent en éclats ces derniers temps !

Il tombe sur un téléfilm montrant en gros plan deux femmes enlacées.

— Même la télé qui sy met !

De rage il éteint lécran. Que faire ? Il ne peut quand même pas se coucher si tôt. Il tend loreille. Pas un bruit en provenance de létage. Cela ne veut rien dire car la maison est bien isolée. Que fabriquent-elles ? Il faut quil sache !

Des gémissements étouffés sourdent à travers la porte fermée de la chambre dIngrid. Il hésite, ne vont-elles pas se mettre en colère sil les dérange ? La curiosité mêlée de jalousie est la plus forte. Cest son devoir de père et dépoux de veiller à ce quelles ne dépassent pas les bornes de la décence, se justifie-t-il.

Il ouvre avec précaution. Les trois femmes sont enlacées nues sur le lit. Il narrive pas à distinguer qui cajole qui. Ah si ! Ingrid et Martine, tête bêche se donnent mutuellement du plaisir pendant quOdile dispense ses caresses à la fille au pair. Malgré sa colère, André ne peut détacher le regard du spectacle. LorsquIngrid soulève la tête, il admire quelques trop courtes secondes le sexe de sa fille luisant de salive avant que les cheveux de la fille au pair le dissimulent. Le désir gonfle son pantalon. La verge coincée par le tissu le gêne. Ses doigts glissent sous le slip pour la dégager. La ceinture lembarrasse, il la dégrafe et empoigne la hampe. Il ne pense plus les interrompre et observe avec gourmandise tout en se caressant.

Odile saperçoit tout à coup de sa présence.

— Que viens-tu faire ? Nous navons pas besoin de toi ni de tes leçons de morale. Laisse-nous tranquille. Tu peux retourner dans ta chambre. Sois sans crainte, jai promis je viendrai Euh Un peu plus tard.

Honteux il retire la main. Ingrid surprend le geste.

— Tu sais Odile, déclare-t-elle, le gros nounours veut participer je crois.

— Oh non ! sinsurge Martine, pas Papa, je veux pas !

— Toi tu tais et tu caresses ! Quoi tu penses Odile ?

Celle-ci dévisage son mari. Son regard tombe sur la braguette ouverte. Ingrid a raison, pense-t-elle. Il sue lenvie de les rejoindre Ma foi pourquoi pas ? Il lui sera difficile de faire la morale ensuite !

— Daccord, je veux bien Stop !

André, qui entrait heureux de la permission, balance un pied en lair.

— Je veux bien mais à condition que tu promettes de ne plus faire de reproche et dobéir en tous points.

Il hésite. Linstant est grave. Il sait que sil accepte il peut faire son deuil de son autorité dans la maison. Mais nest-ce pas déjà le cas ? Ingrid avec un sourire sardonique écarte les lèvres du sexe de Martine. La vision de la vulve rose emporte ses réticences. Il avance un pas.

— Je veux te lentendre dire, sinon pas question de venir, larrête Odile.

— Je promets de ne pas te faire de reproche

— Tst ! Tst ! Tst ! Pas seulement à moi, à nous trois !

— Euh Je promets de ne pas VOUS faire de reproche.

— Et ?

— Euh Quoi ? Ah oui ! Et je promets de vous obéir.

— En tous points ?

— En tous points.

— Cest bon tu peux entrer Déshabille-toi ! intime-t-elle quand André parvient au milieu de la pièce.

— Me déshabiller ?

— Cest ça que tu appelles nous obéir ?

— Pardon je ne le ferai plus.

Il quitte ses vêtements quil dépose sur la chaise où sont pliés ceux de sa femme. Odile sourit à la vue de la verge qui pointe devant le ventre.

— On dirait que le spectacle te plait !

André rougit et cherche à cacher sa virilité exacerbée.

— Allez, va ! Naie pas honte, cest plutôt flatteur pour nous. Approche et cajole-les, tu en meurs denvie.

Il monte sur le lit qui gémit. Il frémit en touchant la chair tendre de la cuisse de sa fille. Sa main remonte le long de la hanche vers la poitrine dont il caresse le galbe.

— Tu sais Odile ce que le gros nounours peut faire ? suggère Ingrid qui interrompt un instant sa caresse buccale.

André fronce les sourcils: Il déteste quelle lappelle ainsi surtout devant sa femme et sa fille.

— Euh Non Quest-ce que tu proposes ?

— Il pourrait faire crac-crac avec Martine.

— Oh non ! sexclame celle-ci, je veux pas.

— Toi tu tais et tu caresses ! Quoi tu dis Odile ?

André est sur des charbons ardents, pourvu quOdile accepte !

— Tu Tu crois ?

« Elle ne pousse pas des hauts cris, cest déjà ça ! » pense André.

— Tu sais, insiste la fille au pair. Le premier fois le gros nounours

André fronce les sourcils, il naime pas ce surnom !

— Il na pas réussi à donner du plaisir. Je crois si on caresse en même temps, Martine aura son gros plaisir.

— Je veux pas ! sexclame celle-ci.

— Mais si mais si ! Tu demanderas encore Alors tu dis quoi Odile ?

— Euh Ce nest pas bien

— Bah ! Le premier fois peut-être, mais ensuite il ne change rien.

André tremble dimpatience. Ingrid a raison, pense-t-il. Une fois de plus ou de moins Du moment que lon a succombé à linceste

— Quand même

— Allez Odile, tu laisses faire ! Tu viens toi !

Elle tire André par la queue.

— Non je veux pas, grommèle Martine.

— Je nai pas demandé lavis, tu suces et tu ne parles pas !

Elle utilise la verge comme un gros crayon avec lequel elle écrirait des mots damour sur le sexe de la jeune fille.

— Oh ouii ! sécrie celle-ci oubliant sa prévention.

Ingrid pense un instant enfiler une capote.

— Non, il nest pas utile, Martine avale le pilule, murmure-t-elle.

— Que dis-tu ?

— Rien Odile. Tu caresses ta fille comme ça elle aura un gros plaisir Attention mon gros, tu prépares et tu donnes aussi le gros plaisir.

Quelle nait pas ajouté « nounours » sonne comme un présage favorable aux oreilles de lavocat. Il attend que la fille au pair positionne le gland avant de pousser.

— Mmmh ! Ouii ! sexclame Martine ravie de retrouver la sensation dun manchon de chair qui pénètre.

— Tu prends le temps, tu ne presses pas, conseille Ingrid.

André senfonce lentement jusquà venir buter contre le mont de Vénus. Il respire un bon coup, se retire de plusieurs centimètres et se renfonce de nouveau.

— Aaah ! gémit la jeune fille.

— Tu vas maintenant ! Tu fais content Martine mon gros nounours !

Elle peut bien de nouveau lappeler ainsi, cela na plus dimportance pour André. Plus rien ne compte que sa fille dont il attire les hanches à lui au rythme de ses coups de bassin. Il se sent bien, maître de ses sensations. Il est sûr de la réussite. Avec fierté, il voit que Martine a délaissé la caresse buccale se concentrant sur son propre plaisir. Ingrid se dégage sur le coté. Elle et Odile cajole chacune un sein, samusant à tortiller le téton, à le suçoter. La jeune fille, les yeux fermé, balance la tête de part et dautre tout en murmurant des mots sans suite. Une première secousse lébranle. Le tremblement qui la parcourt manque dêtre fatal à André. Il se ressaisit, calme ses coups de rein. Il doit faire vibrer sa fille une nouvelle fois. Ce nest que lorsque les gémissements redoublent dintensité quil accélère la cadence et laisse la jouissance monter dans la verge.

— Mssshh ! Maman ! Ouiiiiii !

— Aah ! Aaah ! Aaaah ! Aarrgghh !

Ingrid les laisse reprendre leur souffle quelques instants puis tire en arrière lavocat qui sassied à coté de sa femme. Elle embrasse Martine.

— Alors ma chérie ? Tu as eu ton gros plaisir ?

— Mmmh !

— Je vois que oui. Tu viens, je vais nettoyer.

Elle entraîne la jeune fille dans le cabinet de toilette. Odile se pelotonne contre André.

— Alors, quen dis-tu ?

— Cétait Merveilleux Je devrais avoir honte nest-ce pas ?

— C’est toi qui le dis.

— Je ny arrive pas Tu sais Jaimerais le refaire.

— Ah ?

— Oui, mais avec toi Je tassure.

— Si tu étais venu plus tôt

— Pendant quIngrid et toi vous vous caressiez ? Jétais bête Cela ne se reproduira plus.

Les deux filles reviennent dans la chambre. Odile se lève et ramasse ses vêtements et ceux de son mari.

— On vous laisse tranquille, tu viens André ? Jai sommeil.

— Euh Martine reste là ?

Est-ce de la jalousie ? Il accepte à contre cur que sa fille partage le lit dIngrid.

— Voyons André ! Tu as oublié ta promesse ? Elles ne font rien de mal.

Il baisse la tête et suit son épouse.

— Bonsoir les filles ! lance cette dernière en franchissant la porte.

— Bonsoir Maman, bonsoir Papa.

Odile sourit en entendant sa fille interroger Ingrid :

— Tu crois quils vont dormir ?

Dans leur chambre, elle fouille dans un tiroir.

— Que cherches-tu ? demande André qui ouvre la couverture.

— Une chemise de nuit.

— Pourquoi faire ? Si tu as froid ne suis-je pas là pour te réchauffer ? Allez viens !

Il se couche tout nu, invitant Odile à faire de même. Avec un sourire elle le rejoint. Ils senlacent, un long baiser les unit. André prend plaisir à patouiller la poitrine abondante. Quil était bête de négliger cette partie du corps de sa femme ! Celle-ci grogne de satisfaction et pour le remercier entoure de ses doigts fins la verge qui se développe

— Je crois que cest fini, murmure Martine un peu plus tard.

— Oui, tu étais raison, ils ne dormaient pas tout de suite.

Les deux filles se pelotonnent lune contre lautre.

Odile est furieuse ! Déçue et furieuse ! Son époux, quel bâtard ! Il la une fois de plus abandonnée aux berges de la jouissance. A peine avait-elle empoigné la verge quil sest introduit. Quelques coups de rein et tout était fini ! Il sest effondré sans attendre léclosion de son plaisir. Pourtant il aurait du savoir ! Ingrid lui a raconté comment elle lui avait fait la leçon. En vain Il a du penser que les voir Martine et lui faisant lamour, était suffisant comme préparation et quil nétait pas nécessaire den faire plus. Si elle navait pas eu peur de réveiller les filles qui devaient dormir à cette heure tardive, elle les aurait rejointes !

Quest-ce qui cloche chez André ? Pourquoi na-t-elle pas joui dans ses bras comme Martine tout à lheure ? Elle revoit en pensée sa fille se tordant de plaisir Est-ce parce quelle était caressée en même temps ? André serait-il incapable à lui seul de faire jouir ? Il semblerait Elle demandera à Ingrid dêtre présente la prochaine fois. Tant pis si André nest pas content ! Elle a droit au plaisir ! Et quand Ingrid les quittera ? Est-ce que Martine Mon Dieu non ! Forniquer en famille, quelle honte ! Euh En quoi les caresses entre mère et fille sont moins tolérables que létreinte entre André et Martine quelle a acceptée ? Euh Ce ne serait pas bien Peut-être plus tard On verra Pour le moment Ingrid reste parmi eux

Odile sendort sur cette pensée rassurante.

Elle se réveille tôt. André dort la bouche ouverte. Elle ne se sent pas capable de supporter lair béat quil affiche le matin quand il a fait lamour le soir. Elle entend la fille au pair marcher dans le couloir et décide de la rejoindre à la cuisine.

— Embrasse-moi !

— Hé ben ! André nest pas gentil hier soir ? interroge Ingrid après avoir repris son souffle.

— Embrasse-moi encore

— Viens !

Ingrid entraîne Odile dans la chambre de Martine qui est libre. Les deux femmes senlacent

— Ben tu dis ! Tu avais un gros besoin !

Ingrid remet sa robe de chambre. Odile reste allongée sur le lit.

— Quoi il a fait André ? Je mexcuse, je dis : quoi il na pas fait ?

— Tu mavais dit quil avait compris. Il nen est rien ! Je ne sais plus comment faire avec lui.

— Tu dois prendre un copain.

— Tu ny penses pas !

— Quest-ce que Maman doit prendre ?

Martine que les ébats des deux femmes ont réveillée, pointe la figure par lentrebâillement de la porte.

— Entre ma chérie. Je disais ta mère doit prendre un amoureux.

— Oh ! Tu veux quitter Papa ?

— Mais non ma chérie, il nen est pas question, la rassure Odile.

— Ta mère elle trouve ton père, il ne lui donne pas le gros plaisir.

— Pourtant moi hier soir, il ma fait jouir, mieux que la première fois.

— Peut-être ma chérie parce que nous te caressions en même temps, suggère Odile.

— Peut-être si tu le donnes jaloux, il fait mieux attention.

— Pour ce que cela a servi lautre soir quand nous avons eu la visite de Luc et de ses camarades.

— Je ne dis pas un petit jeune, je dis un homme un vrai. Je demande à Gérard de venir.

— Tu veux tromper Papa ?

— Ton père il trompe aussi. Et aussi il na rien à dire, il a promis obéir, tu souviens.

— Euh Cétait valable pour hier soir, sexcuse Odile.

— Qui a dit ça ? Puis après ce quil a fait à Martine

— Quest quil ma fait ?

— Il a fait crac-crac avec toi, tu ne souviens pas ? Il nest pas bien tu sais.

La jeune fille baisse la tête au rappel de linceste.

— Ce nest pas grave. Tu souris ! Mieux que ça ! Odile, tu maides, nous consolons cette petite !

Les trois femmes roulent sur la couverture. Ingrid se place entre les cuisses de Martine et ouvre le sexe des doigts. Elle fait signe à Odile de la remplacer. Celle-ci refuse. Ingrid insiste et la force à embrasser les lèvres intimes. Toute honte bue, Odile laisse la fille au pair les disposer elle et Martine tête bêche se donnant du plaisir.

La porte souvre sur André. Il fronce les sourcils. Prévoyant un orage, Ingrid se jette sur lui et lempêche de parler.

— Tu laisses amuser, ordonne-t-elle dans un murmure. Tu noublies pas, tu as promis.

Il refoule le reproche prêt à fuser. Le postérieur de sa femme lattire. Hier soir il nest pas sûr de lavoir fait jouir. Peut-être que maintenant pendant quelle caresse Martine Ingrid qui devine son désir, le débarrasse de sa robe de chambre. Elle lattire par la verge raide derrière le couple et caresse entre les fesses avec gland.

— Oh ! Que faites-vous ? sétonne Odile.

— Tu ne veux pas que André fait amour avec toi ?

Sans attendre une réponse quelle devine favorable, la fille au pair écarte les globes fessiers. André sourit de voir la figure de Martine. Il avance sa queue. La jeune fille la présente devant la bonne ouverture.

— Ouiii ! crie Odile.

Appuyée contre la porte Ingrid contemple le trio. En débarquant dans leur maison, elle sétait fixé comme but de dévergonder cette famille bourgeoise. Elle est fière du résultat obtenu. Il ne manque que Gérard pour apporter la touche finale. Ensuite elle pourra les quitter avec la satisfaction du devoir accompli

A suivre

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