Je me présente : Camille, 23 ans, fraîchement nommée comme professeur d’histoire -géographie dans un collège de Normandie à la dernière rentrée. Mes cheveux, coupés plutôt courts (presque à la garçonne), sont d’un brun très sombre, ce que j’accentue en les teignant habituellement en noir, ce qui met particulièrement en valeur mon regard bleu qu’on me dit assez souvent très intense. Avec mon 1,62m pour 57kg, je suis assez fière de mon 91D-63-91. Le fessier charnu juste ce qu’il faut, les jambes fuselées par le sport, la poitrine généreuse et ferme, je suis ce que les hommes ont tendance à  appelée une femme pulpeuse. Bref, je n’ai jamais vraiment eu de problème de séduction.

Depuis que j’exerce mon nouveau métier, j’ai emménagé dans un appartement où mon compagnon, Damien, bientôt 26 ans, thésard en sociologie, viens me rejoindre assez régulièrement. Lui et moi nous somme rencontrer à la fac, quand j’étais en deuxième année de licence, lors d’une soirée étudiante. Depuis, on ne s’est plus quitter. Avec lui, je me sens bien, dans notre relation comme dans notre vie sexuelle. Il n’a certes pas été mon premier amant, mais avec lui je me sens plus… entreprenante, plus ouverte à la fantaisie, bref, certainement plus en confiance. Pourtant, j’avais quand même l’impression qu’il n’en était pas tout à fait de même pour Damien. En effet, j’avais toujours l’impression qu’il se retenait pendant nos ébats, qu’il se réfrénait. Je savais qu’il tenait beaucoup à moi, qu’il aimait me faire l’amour, mais j’avais aussi le sentiment qu’il n’osait pas me demander certaines choses, qu’il n’osait pas exprimer certains désirs, peut-être par peur de me choquer, de me perdre. Bref, si je me sentais personnellement sexuellement épanouie avec lui, quelque chose au plus profond de moi tendait à me faire penser que ce n’était pas forcément le cas de Damien. Et cela commençait à m’effrayer un peu, car moi non plus je n’avais pas envie de le perdre, et on sait tous ce qu’il advient au final des couples où l’un des deux partenaires ne se sent pas comblés sur ce plan là !

J’ai donc pris les devants, et j’ai fouiné, non pas à la recherche des traces d’une éventuelle maîtresse, mais d’activités bien plus prosaïques et pornographiques. Ne trouvant pas de revues dissimulées chez lui, je me suis rabattu sur l’historique de son ordinateur portable : je voulais voir le style de vidéos pornos il regardait dans mon dos (ne râlez pas, les mecs, vous le faîtes tous, même quand votre partenaire vous satisfait!). Après quelques tentatives infructueuses, je fini par trouver ce que je cherchais… et, effectivement, si ces films reflétaient la libido inassouvie de mon chérie, j’avais du chemin à faire !

En effet, avec Damien, nous faisions toujours l’amour avec douceur et tendresse. J’aimais quand il me caressait doucement, quand il prenait son temps pour me pénétrer. J’aimais tout autant faire preuve de beaucoup de douceur quand je lui prodiguais une fellation. Coquine, je savait l’être, mais dans le respect de chacun ! Bref, nos pratiques étaient aux antipodes de ce que je découvrais sur son ordinateur : éjaculation buccale, insultes, fellation et sodomie brutale, pluralité masculine, humiliation, crachats… et toujours des filles particulièrement soumises, obéissantes. Elles n’hésitaient d’ailleurs pas à proférer elles aussi les pires insanités, y compris (surtout?) sur elles-même ! C’était donc cela que voulait vraiment Damien ? Il me voulait soumise et obéissante ? Humiliée ? Brutalisée ? L’idée, au premier abord, me révulsa. Mais pourtant, ces femmes, dans les vidéos, semblaient prendre beaucoup de plaisir à ces situations. Finalement, je crois bien que c’était presque ce qui me dérangeait le plus dans ces vidéos : voir qu’une femme pouvait prendre du plaisir à être ainsi traitée et rabaissée.

Ces idées me trottèrent dans la tête un bon moment, plusieurs semaines. A la fin de ces cogitations, je dus admettre que ces vidéos m’avais sérieusement secouée. En effet, le plaisir manifeste de ces femmes humiliées et soumises me perturbait terriblement, car elle amenait une question dans mon esprit : et si moi aussi je pouvais prendre du plaisir à être ainsi traitée, non pas par n’importe qui, mais au moins par mon Damien ? Après tout, en matière sexuelle, je n’avais jamais fait preuve d’une imagination débordante. Et si… rien que l’idée faisait naître en moi une certaine chaleur qui s’annonçait comme un début de réponse.

L’anniversaire de Damien approchant, je me dis que peut-être ce serait l’occasion de mettre les points sur les i de ce questionnement. Après tout, si au passage je pouvait progresser sur la satisfaction sexuelle de mon compagnon et m’ouvrir des horizons nouveaux, pourquoi pas. Pour notre traditionnelle soirée en amoureux le jour J, je décidai de le mettre en condition de pouvoir lâcher prise à ses envies, et je passai les jours qui suivirent à me procurer quelques accessoires indispensables à la mise en scène que j’avais en tête.

Vint enfin la soirée que j’appréhendais. Je commençai d’abord par prendre un bain pour calmer ma nervosité, puis je me rasai intégralement le sexe : il semblait que c’était la mode dans les vidéos pornographiques qu’affectionnait Damien. Je me maquillai légèrement, juste un peu de rimmel pour assombrir mon regard, et un rouge à lèvre noir : il adorait particulièrement quand je me permettait quelques touches esthétiques gothiques. Une fois ainsi apprêtée, nue, je m’installais dans l’entrée de mon appartement. Je ventousais sur le sol un godemiché de taille respectable, et commençai à me caresser, histoire de m’humidifier un maximum. Ce ne fut pas long, car l’excitation commençait à  monter en moi, au fur et à mesure que mon projet prenait forme. Une fois prête, je m’agenouillai, et lentement, me fichai sur l’engin dressé à la verticale. Je m’enfonçais le plus loin possible, n’hésitant pas à faire quelques allés-retour pour aider à la lubrification. Je m’accrochai autour du cou l’accessoire que j’avais eu le plus de mal à trouver : un collier de cuir noir, ressemblant à un collier de chien, avec un gros anneau métallique sur le devant. Je refermais des menottes sur mon poignet droit, et derrière mon dos, avec une certaine maladresse, et non sans difficultés, j’arrivai à refermer l’autre bracelet sur mon poignet gauche. J’avais fait des recherches sur internet pour finalement trouver cette position : à genoux, les cuisses largement écartées pour offrir avec indécence mon intimité aux regards, bien cambrée, les épaules en arrière, pour mettre ma poitrine en avant. Touche finale, quand j’entendis enfin la clef de Damien entrée dans la serrure de la porte quelque temps plus tard, je relevais le menton, afin qu’il ne rate rien de ce qui était inscrit sur le collier. Un seul mot, en argenté, inscrit en capitales : PUTAIN.

La porte s’ouvrit. Tout en posant son sac à l’entrée, Damien lança un :

— Salut, Mimi, je suis là !

C’est seulement à ce moment là qu’il releva les yeux, et qu’il me vit. Il resta complètement interdit un bon moment, bouche bée, laissant la porte ouverte derrière lui : j’eus la peur de ma vie que mon voisin choisissent précisément ce moment pour entrer ou sortir de chez lui ! Damien se ressaisit finalement, non sans esquisser un petit sourire narquois. Il referma la porte, et se tourna vers moi pour de bon. Je voyais à son regard qu’il ne perdait rien du spectacle que je lui offrais ainsi exhibée. Il ne dit pas un mot, se contentant de sortir son téléphone : il prit plusieurs clichés de moi. J’en fus mortifiée. Mais je tentais quelque chose pour le bien de mon couple, et j’étais bien décidée à aller jusqu’au bout.

Il s’avança jusqu’à moi, me releva le menton, et appesantit son regard sur le collier. Je devais être rouge pivoine. Il sourit. Il s’accroupit devant moi, et appuya ses deux mains sur mes épaules : le godemiché s’enfonça un peu plus en moi.

— Tu me fais quoi là ?

Il me fallait me lancer pour de bon. Je pris mon courage à deux mains, et répondis en le regardant droit dans les yeux :

— Je t’offre ton cadeau d’anniversaire : une putain docile pour la soirée.

— Bien, alors la bonne salope que tu es va d’abord commencer par s’agiter sur le gode qu’elle a dans la chatte… je te veux bien humide pour la suite.

L’insulte me fit l’effet d’une gifle, mais je ne faisais que récolter ce que j’avais semé. Et, en accord avec le rôle que je m’étais assigné pour la soirée, je fis ce qui m’était demandé : pliant et dépliant les genoux, je me relevais quelque peu, pour me laisser retomber, mon sexe allant et venant autour du godemiché. Assez rapidement, cet exercice commença à m’exciter. J’avoue que je sentais particulièrement passer l’engin vu sa taille, et ce n’était pas pour me déplaire. Bientôt, j’accélérais le mouvement en poussant des petits gémissements de contentement. Mes yeux étaient rivés sur la bosse qui grossissait à vu d’oeil dans le pantalon de Damien : il était manifeste que le spectacle lui faisait de l’effet.

— Mais c’est que tu y prends goût, petite garce.

Il déboutonna mon pantalon, le fit tomber. Son boxer suivit le même chemin. Il exhiba alors une érection comme jamais je ne lui en avais connue ! A ce spectacle, je sentis ma vulve se liquéfier.

— Tu la veux ?

— Oui.

— Alors demande là.

— Laisse moi te sucer la bite… met la moi dans ma bouche de salope. L’ardeur que je mis dans cette supplique me surpris.

Il me présenta sa queue, et je tendis la tête pour l’avaler goulûment. La situation commençait vraiment à me faire de l’effet. J’aspirai le gland, passais la langue sur la tige de son membre, je goûtais à cette bite avec une gourmandise qui m’était jusque là encore inconnue. Les mains de Damien se posèrent sur ma tête, et d’un coup de rein, il enfonça violemment sa queue au fin fond de ma bouche.

— Prend tout, sale pute ! Avale là toute entière.

Il fit aller et venir sa queue sans douceur entre mes lèvres. Je ne lui faisais plus une fellation : il me basait littéralement la bouche ! Je sentais son gland taper au fond de ma gorge. J’étouffais à moitié, j’eus même un spasme et faillis vomir. Mais cela n’arrêta pas Damien.

— Oh putain, depuis le temps que je voulais la baiser, cette bouche de sainte nitouche ! Aller, regarde moi ! Je veux voir tes yeux quand je te traite de sac à foutre !

Des larmes se mirent à couler de mes yeux, laissant des traces noires sur mes joues, à moitié à cause de ce que ma bouche endurait, et à moitié à cause de la violence des propos dont Damien m’abreuvait. Sac à foutre, c’était donc ce qu’il voulait que je sois pour lui ? Et bien, je m’étais offerte pour son anniversaire… alors si ça lui faisait plaisir, même si je trouvais cela outrageusement humiliant, sac à foutre je serais. Je le regardai donc, sans honte, pendant que son membre allait et venait dans ma bouche.

— Quel regard de chienne tu as, ma petite salope ! Tu aimes-ça être ma putain docile ?

Il retira sa queue de ma bouche. Je repris mon souffle en hoquetant, un long filet de salive coulant sur le sol. Je relevai enfin le visage vers Damien, et répondit :

— Oh oui, je suis ton sac à foutre dévoué aujourd’hui… use de mes orifices comme il te plaira. Ce soir, je suis ton vide-couille !

Je me prenais de plus en plus au jeu. J’avais honte de me rabaisser ainsi, de m’offrir sans pudeur en usant de mots si orduriers… Mais cela fit naître une douce chaleur dans mon ventre. Je commençais à me liquéfier autour du pieu en latex sur lequel j’étais empalée. Cette déclaration eut aussi un effet radical sur Damien. En effet, il eut à peine le temps de me remettre son sexe en bouche avant d’exploser sur ma langue. Je sentis ses longs jets de sperme chaud se répandre, envahir ma bouche.

— Tiens, tiens, putain ! prend tout mon foutre dans ta gueule ! Hurla-t-il les mains crispées dans mes cheveux. Pompe mon jus jusqu’à la dernière goutte !

J’aspirais tout, je nettoyais son gland à petits coups de langue, sans jamais le quitter des yeux. Quand enfin il jugea que le lui avait bien nettoyer la queue, il se retira. Je le regardai toujours, et ouvris grand ma bouche. Je fus ravie et fière de l’éclair de lubricité qui illumina ses yeux quand il contempla son plaisir qui emplissait ma bouche. Je remuais un peu la langue, pour lui faire voire la bonne quantité de foutre dont il m’avait gratifiée, puis avalais tout. A ma grande surprise (j’avais jusque là toujours refusé de le faire), je ne trouvais pas ça désagréable, au contraire. Je sentais sa chaude semence descendre dans ma gorge, et je voyais le plaisir extrême que Damien prenait à me voir si salope.

— Je suis ravie d’être ton avaleuse de foutre.

Il me caressa la joue, avec une grande douceur:

— Tu fais une parfaite pompe à foutre… ouvre la bouche et regarde moi.

Ce que je fis évidemment. Il rapprocha son visage du mien, et sans prévenir, cracha dans la bouche!

— Avale donc ça, chienne!

Avec écoeurement je m’exécutai.

— Dis merci!

— Merci.

— Merci pourquoi?

— Merci de m’avoir cracher dans la bouche.

Pendant tout l’échange, mes yeux étaient rivés sur les siens, et je pouvais voir le plaisir manifeste qu’il avait à m’humilier. J’étais mortifiée d’être ainsi traité, de m’abaisser à ça, mais j’étais aussi ravie et fière de voir le plaisir que je donnais à mon homme!

— T’en veux encore?

Une seule réponse s’imposait: j’ouvris grand la bouche, où un autre crachat vient atterrir. J’avalais sans plus d’hésitation, sans la moindre manifestation de dégoût.

— Merci… maître.

— Aller pétasse, maintenant, lève toi.

Je m’exécutai immédiatement, me désempalant avec regret du membre artificiel qui était tout entier en moi. Une fois debout, Damien m’agrippa un bras, et me traîna dans la salle à manger. Arrivés devant la table, il me poussa en avant, et plaqua sans ménagement le haut de mon corps sur celle-ci. Elle était légérement trop haute, et je devait me tenir sur la pointe des pieds pour garder le contact avec le sol. Les orifices s’en trouvaient certainement complètement exposés. Je sentis d’ailleurs très vite deux doigts qui vinrent fouiller mon intimité.

— Tu es déjà toute trempée, petite chienne.

Instinctivement, j’écartai un peu plus mes cuisses, encourageant ainsi Damien à aller plus loin encore dans ma chatte détrempée. Les doigts se retirèrent, et soudain, je sentis sa bite bien dure s’enfoncer d’un seul coup au plus profond de mon ventre. Il m’agrippa la taille, le calant avec force sur la table tandis que son membre me besognait avec vigueur. Ses coups de rein étaient puissants, et de plus en plus rapide. C’était tellement bon…

— Tu aimes comme je te baises, salope ?

— Oh oui, c’est bon !

— T’en veux encore ?

— Oh oui, plus fort, encore…

— Et pourquoi je le ferais, hein ?

— Parce que je suis ta petite pute, ta chienne, ton vide couille… baise moi encore… J’étais déchaînée… le plaisir me désinhibait totalement… jamais je n’avais employé un tel vocabulaire, et encore moins à mon encontre… mais mon excitation était à son comble. Damien n’avait jamais eu une telle érection, qui semblait se renforcer à chaque fois que je me rabaissais, jamais il ne m’avait prise avec une telle vigueur, jamais je n’avais éprouvé autant de plaisir. Il me défonçait littéralement à grands coups de bite. C’était si bon ! J’étais prête à tout pour que cela dure !

Il se retira de mon intimité. Je poussais un lamentable gémissement de frustration. Il me tira les cheveux, pour me remettre debout, et enleva les menottes.

— Couches toi sur la table.

Je m’exécutais… impatiente de subir la suite du programme, de ressentir sa bite bien dure en moi. Je fus rapidement sur le dos, les jambes pendantes sur le bord de la table, bien écartées pour lui présenter ma chatte dégoulinante. Damien alla attraper la deuxième paire de menottes que j’avais laissée traîner en évidence dans l’entrée. Il me menotta ainsi le poignet droit à la cheville droite, et le poignet gauche à la cheville gauche. Pour que ce soit possible, mes jambes étaient repliées, et mes cuisses largement écartées. Plus que jamais, j’étais totalement offerte, immobile, impuissante. Damien devait avoir une vue imprenable sur ma chatte et mon anus. D’ailleurs, il ressorti son téléphone, et repris quelques clichés. J’étais rouge de honte. Pourvu que JAMAIS ces photos ne se retrouvent sur internet, était la pensée qui obnubilait alors mon esprit. Je tournais mon visage pour le rendre le moins visible possible.

— Mais arrête donc de te cacher… Tu as décidé de faire la putain, ce soir, alors assume le, merde !

Je redressais alors la tête, et fixait l’objectif en affichant un sourire crispé.

— Tu imagines comme bien des mecs se branleraient en t’admirant ainsi en photo ?

L’idée même me tétanisa de terreur…

— J’imagine la légende… putain docile en attente de votre attention. Non, mieux : sac à foutre en attente de remplissage. Une suggestion ?

Je ne savais que répondre… j’espérais qu’il plaisantait, car il commençait à me faire peur. Mais il continua à insister pour je lui donne une idée de légende. Timidement, je finis par lâcher :

— Vide couilles gratuit.

— Mouais, pas mal… Faudrait comparer pour voir. Tiens, tu vas faire plusieurs essais pendant que je te filme… Vas-y, donne moi envie de te baiser !

Il passa son téléphone en mode caméra, et je lui fis plusieurs demandes : baise-moi, bourre-moi, viens me prendre, je veux que ta bite me défonce… mais cela ne semblait pas lui convenir.

— Non, non… ton collier annonce une putain, alors fait la putain ! Offre toi, avilie toi, ne demande pas qu’on te donne du plaisir, demande à ce qu’on use de toi ! Et de l’allant, merde… donne moi envie !

J’écartais un peu plus les cuisses, lança une oeillade à au téléphone :

— Viens monter ta chienne.

— C’est mieux, continue.

— Ta pute est docile, baise la. Viens me remplir de foutre. Ta poupée gonflable est en position.

— Bien le dernier, bien !

J’étais mortifiée, mais ma chatte dégoulinait comme jamais. Je me prenais au jeu, essayant de l’exciter le plus possible, m’offrant sans pudeur, cuisses écartées autant que je le pouvais, cambrée, aguichante.

— Ton sac à foutre est prêt à l’emploi : profites en !

— Parfait, génial… le ton juste, les mots justes, tout ce que je voulais !

— Alors baise moi, maintenant, s’il te plaît… jamais je n’avais été aussi suppliante. J’avais littéralement le feu au ventre. J’avais plus que jamais envie de me faire prendre !

— Tu m’a appelé comment tout à l’heure, répondit-il avec un sourire aguichant.

— S’il vous plait… baisez moi maître, je n’en peux plus… utilisez votre jouet! Je remuait mon bassin pour bien lui faire comprendre que je n’en pouvais effectivement plus! j’avais perdu toute pudeur tellement j’avais envie qu’il me fasse du bien!

— T’inquiète… la putain que tu m’offres ce soir va être comblée, sois en sûre !

Il passa alors un coup de fil :

— Christian ?

— Salut Damien, bon annif!Il avait mis le haut parleur pour que je profite de la conversation.

— Merci… dis moi, t’as toujours trouvé ma copine canon, non ?

— Camille? Un peu coincée, mais oui, effectivement, elle est vraiment jolie, bonne à mettre au mâle comme on dit à la campagne. Pourquoi ?

— Regarde la vidéo que je t’envoie juste après ce coup de fil… et dit moi ce que tu en dis.

— OK.

Damien raccrocha, et commença à manipuler son téléphone.

— Non, Damien, non, tu ne vas pas faire ça ? Je t’en supplie, non !

— Excuse moi, Camille, mais tu es tellement en chaleur ce soir, que je pourrais pas te satisfaire tout seul. Et puis, je suis ton maître, je fais de toi ce que je veux.

— NON, je veux pas, ça va pas !!! Je hurlais…

— Ce soir, tu ne veux rien, tu ne demandes rien, ce soir, je te rappelles que tu m’as offert une putain docile… tu as fait de moi ton maître, et j’ai rien demandé: alors assume, et tiens en toi à ton programme : fais la pute, et sois docile !

— Mais non, je…

— Pas de mais ! Tu t’es offerte, et comme je suis généreux et que je veux te donner tout le plaisir que tu mérites, je te partage. Je t’assures que tu seras comblée !

— Damien, pit… le téléphone m’interrompit :

— Chris ?

— Putain de merde… je rêve pas là ?

— Non.

— Mortel !

— Alors, toujours coincée ?

— Oh que non ! Je l’aurais pas cru si salope !

— Je vais pas pouvoir assumer ça tout seul… ça te dis d’en profiter ?

— Plutôt deux fois qu’une mon gars !

— Je t’envoie l’adresse, et rapplique toi de suite…

— Elle est ok, hein ?

— Je sais pas : il me tendit le téléphone devant la bouche.

Je m’apprêtais à l’envoyer chier, à la traiter de tous les noms, c’est ce que je voulais faire, et puis j’avisai la situation : je m’étais offerte aux fantasmes de Damien pour sauver notre couple. Je ne pensais pas qu’il rêvait d’aller aussi loin, mais si j’arrêtais maintenant, il serait tellement frustré que mon couple serait fini, c’est sûr ! Je lui avais mis l’eau à la bouche, je ne pouvais plus stopper comme ça… et puis, après tout, jusqu’ici, il n’avait rien fait qui m’ait donné autre chose que du plaisir. Alors, à ma grande surprise, alors que tout mon être refusait ce qui allait se passer, je répondis le plus naturellement du monde:

— Ma chatte est en feu, et Damien c’est déjà vidé dans ma bouche sans toucher à mon cul… La putain que je suis ce soir est frustrée… profite, je suis prête à tout !

Damien repris la parole :

— Ca te va ?

— Faut pas me le dire deux fois !

— Alors radine toi… et prends ta caméra au passage, qu’on se fasse des souvenirs !

La soirée ne faisait que commencer… j’allais prendre cher !

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