Il y a une bonne année, fin 2011, j’avais alors 22 ans, j’ai connu sur un groupe MSN, entre autres, un homme un peu plus pervers que les autres de son âge, Fausto.

Contrairement aux filles, mes goûts pour les hommes est restrictif, je n’aime que les matures, très matures, celui- ci était un retraité de 68 ans très vert, il voyageait beaucoup sur son bateau, sa vie était partagée entre le nord de la région Parisienne et ses voyages.

Un visage émacié, buriné, peu de cheveux, pas très grand, mince..pas l’homme que l’on remarque vraiment, mais très pervers dans ses propos, il savait m’exciter comme pas mal de vous sur Xstory qui m’écrivez pour mes récits, au grand malheur de ma culotte…

Je jouais avec lui par mails, nos échanges de mails était de plus en plus fréquents et la tension montait, je me surprenais à contrôler plus souvent ma boite mails, il me racontait tellement de choses et savait me faire raconter mes vices ou fantasmes les plus intimes, sur moi et ce que je pouvais savoir sur ma mère aussi..bref, il était entré dans ma vie de tous les jours…du lever au coucher, mais aussi dans ma culotte…je mouillais rien qu’en voyant un de ses mails non lu…

Après quelques mois de correspondances sans tabou, il voulait me voir, je ne parle pas des photos les plus coquines que je lui envoyais, mais il voulait qu’on se rencontre, j’étais très surprise, je m’amusais avec lui et lui avec moi, mais de là à le rencontrer…j’avais un peu peur..ça ne m’intéressait pas vraiment…

Pour me rassurer il m’avait donné son n° de téléphone, celui de sa plaque minéralogique, sa ville, mais ça ne m’amenait pas grand chose..

Il devait repartir en voyage sur son bateau et ne devait pas revenir avant plusieurs mois, il me mettait la pression tous les jours, c’était dans ma tête maintenant, j’y pensais un peu tout le temps…et j’ai finalement accepté..

Nous avions rendez-vous place de la porte Dauphine vers 21 h, près de l’université, j’habite pas loin, j’avais oublié qu’il ferait nuit en Novembre…c’est idiot, mais je vais quand même passer en voiture et si ça minquiète trop ou s’il n’est pas seul, je ne m’arrête pas.

J’arrive dans mon Austin roulant doucement, je cherche sa voiture, un 4×4 japonais avec des plaques 93, je passe l’université et je vois la voiture garée devant le RER sur la place, j’arrive doucement à sa hauteur, il m’a vu dans son rétro, j’avais décris ma voiture au toit blanc, il sort aussitôt de sa voiture et vient au devant de moi sur la route, je vais pas lui rouler dessus et je suis bien obligée de m’arrêter…il vient à la portière et me dit qu’il va me laisser sa place, qu’on sera mieux pour discuter dans la sienne…

Il sort, je me gare à sa place, et je vais à sa vitre et lui dit que malheureusement je ne peux pas rester plus d’une demi-heure car mes parents m’attendent, je mens bien sûr, il semble contrarié mais me dit que ce n’est pas grave et me dit de monter dans la voiture, ce que je finis par faire.

Il démarre…je m’étonne mais il a vu la voiture de police qui tourne sur la place et il ne peux pas rester en double file, mais au lieux de rester dans le coin il rentre dans le bois de Boulogne par la route du lac, je suis un peu saisie, mais il se met à me parler et je ne me rends pas compte de suite qu’il a l’air de chercher quelque chose, je pense à une place, mais il s’arrête à la hauteur d’un chemin qui s’enfonce dans le bois et le prend…

Il roule une centaine de mètres, et quand il s’arrête je me retourne et constate qu’on ne nous voit plus de la route, il éteint toutes ses lumières et se penche sur moi pour m’embrasser.

J’avais pas vraiment envie de l’embrasser, me laisser caresser à la limite, mais bon, pas vraiment attirant, mais il me coince contre la portière et tente de déboutonner le haut de ma robe, je suis bloquée, il est rapide, quand je bloque une main l’autre se place entre mes cuisses..là il résiste et y reste, ses doigts sont déjà en train de frotter ma chatte à travers ma culotte, dans cette voiture, dans la pénombre, l’ambiance est assez propice, mais je me débat, je suis en colère, il s’en fiche et nos jeux de mains deviennent ridicules après tout ce que l’on se racontait par mail, il me le dit et de guerre lasse je le laisse caresser par dessus la culotte mais bien que je tienne cette main il la passe sous ma culotte et doit sentir que je mouille déjà..

Il entre ses doigts et me fait du bien..je me laisse aller le dos contre la portière, et le laisse faire, il ouvre totalement ma robe boutonnée, remonte mon soutien au dessus des seins les faisant jaillir…ils me les sucent tout en me branlant.., c’est tellement bon, il s’y prend bien, puis il ouvre sa braguette et sort son sexe bandé, recule son siège, et passe sa main derrière ma tête pour la diriger sous le volant et me rentre son truc dans la bouche..

Je suis complètement en biais, pas bien, pour plus de confort je me mets à quatre pattes, les genoux sur le siège passager, mon compagnon en profite pour relever ma robe par derrière, le dos nu il peut passer sur le coté pour caresser mes seins qui pendent dans cette position, il descend ma culotte jusqu’aux genoux ne pouvant aller plus bas, et plus à l’aise ainsi il peut glisser sa main sur mes fesses, entre mes cuisses…mais je réalise en même temps que de ce fait je dois avoir les fesses nues devant la fenêtre passager..

Il me fouille de ses doigts, devant, derrière, je suis hyper excitée, aussi je m’active sur son sexe, mais pas trop, je ne veux pas que cela finisse trop vite, ma main droite sent la dureté de son engin, ma bouche, tantôt happe une bonne partie de son sexe, tantôt joue avec son gland, l’enveloppant de la langue, tout en branlant doucement le reste de sa verge..il apprécie, s’arrêtant souvent de me caresser pour mieux se laisser aller sur le dossier et profiter pleinement..

Tout à mon affaire, je sens soudainement de l’air frais sur mes fesses, je veux relever la tête mais il me la maintient sur son sexe, je sursaute, des mains touchent mes fesses, mes cuisses, des hommes parlent entre eux, et je comprends que Fausto a ouvert la fenêtre à des voyeurs qui devaient être là à regarder depuis un moment, mes fesses sont à la fenêtre et son esprit pervers n’a pas manqué de profiter de la situation.

Il continue à me maintenir, tirant même un peu plus ma robe que j’ai maintenant sur la tête, les voyeurs ont tout mon corps jusqu’au cou à leur disposition…je ne sais pas combien ils sont mais je sens pas mal de mains qui me tripotent, les seins pendants dans le vide, les cuisses, le ventre, et bien sûr ma chatte et les fesses…je mouille de plus en plus, Fausto bouge tout seul dans ma bouche à coup de reins, comme il peut…je n’ai plus le courage de m’occuper de sa verge…trop prise à ressentir mon plaisir d’être ainsi fouillée…tripotée…par tous ces gens, heureusement mon visage est sous la robe, je ne pourrais les regarder…

Mais Fausto est au bout et se laisse aller dans ma bouche, je pensais pas qu’il y serait resté, mais l’excitation de la situation, pour lui qui regardait ce que l’on me fait, a du être trop forte pour avoir le temps de sortir…seulement, surprise, je m’étrangle, et je pars en quinte de toux, je suis obligée de me relever et de sortir la tête de la robe, rouge écarlate, assise sur le siège passager, j’essaie de reprendre mes esprits tout en regardant autour de moi…robe ouverte, seins sous le soutien, la culotte sur les cuisses….

Un silence étonnant règne quelques secondes, le temps qu’ils me regardent, peut-être un peu étonnés de mon âge apparent, moi j’en vois 3 qui sont à me regarder, et un autre qui arrive et s’informe auprès des autres de la situation, ils doivent se relayer les info par SMS quand il se passe quelque chose, parce que je vois 2 autres personnes qui arrive sortant de l’obscurité, d’une autre direction, devant la voiture…

Très inquiète je m’affaire à essayer de boutonner ma robe, mais un pan est coincé sous mes fesses, je suis en train de les soulever quand ma portière s’ouvre d’un coup…

À suivre..

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