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Claire: Le job qui a changé ma vie – Chapitre 1




Je m’appelle Claire, j’ai 21 ans. Je suis une jeune femme qui vient d’une famille sans trop d’histoires, du moins ce fut le cas jusqu’à ma majorité.

J’ai toujours été jolie. Je suis une belle brune d’1m65, je suis mince mais avec des formes: des jolies fesses bien cambrées, des seins au maintien irréprochable et au volume suffisant pour satisfaire mes amants. J’ai les traits fins et des lèvres qui donnent envie d’être goûtées. J’ai le teint assez pâle mais je trouve que cela va très bien avec mes cheveux noirs coiffés en carré long et le maquillage dans les tons ocres et noirs que j’utilise toujours.

Enfant, mes parents m’ont longtemps passé tous mes caprices et j’ai toujours eu de longues listes de prétendants et de gamines voulant être mes amies au collège comme au lycée.

Durant toute mon adolescence: j’ai été une peste, je ne travaillais pas à l’école, je méprisais les autres filles et je consommais les garçons comme des cigarettes: vite allumés, vite jetés, ils ne profitaient de mes lèvres qu’une seule fois.

A 18 ans, j’ai raté mon bac puis au début de ma seconde terminale ma mère est partie avec un autre homme. Fin Novembre, ils sont allés s’installer au Portugal me laissant seule avec mon père. Je lui ai fait vivre un véritable enfer et il a fini par me mettre dehors quelques mois plus tard quand pour la deuxième fois, je n’ai pas eu mon diplôme.

Ce soir là, il m’a lancé une paire de clés en me donnant une adresse. Il avait loué un studio meublé, il payait aussi l’électricité et les autres charges mais pour le reste: "Tu te démerdes. Il faut que tu apprennes ce qu’est la vraie vie".

Bêtement, j’ai tout d’abord été contente d’avoir mon propre appartement. Et puis au bout d’une semaine, en regardant le frigo vide et le désordre partout autour de moi, j’ai découvert qu’à force de mépriser tout le monde, je n’avais aucun ami, personne pour m’aider et pas de diplôme pour trouver un job décent.

Les mois qui suivirent, j’ai fait tous les petits boulots possibles quand on n’a pas de qualification: j’ai bossé dans des fast foods, à l’accueil dans des salles de gym, dans des bars. A chaque fois, je faisais bien sentir à tout le monde que je trouvais ces emplois indignes de moi. J’ai toujours fini par me faire virer ou par partir en trouvant cela trop dur.

Côté cur, ce n’était pas mieux. Jintéressais les étudiants ou les losers mais pas les hommes qui avaient fait des études et avaient une situation. Eux reconnaissaient en moi la connasse qui leur avait brisé le cur dans leur jeunesse; apparemment, il y en avait "une comme moi" dans chaque lycée. Ils se faisaient à leur tour un plaisir de me sauter pour un one shot puis de me m’abandonner à mon désarroi.

Presque deux années de misère sociale et affective ont passé ainsi; j’étais à quelques semaines de mes vingt et un ans, nous étions en Mars et je m’étais faite jeter d’un job de standardiste la semaine précédente. Ma mère se redécouvrait midinette avec son nouveau compagnon, elle n’était pas revenue me voir depuis son départ fracassant. Quant à mon père, il m’avait annoncé qu’il m’avait suffisamment financé et qu’il ne paierait plus mon loyer. C’était la catastrophe à tout point de vue.

C’était un lundi, j’ai parcouru les petites annonces dans le journal sans rien voir d’intéressant puis je me suis décidée à aller faire un tour dehors. Jétais restée enfermée chez moi à mapitoyer sur mon sort tout le week-end mais ce jour là, j’avais envie de me sentir belle et élégante: Je me suis coiffée et maquillée avec soin, j’ai mis une jupe courte, un haut moulant, des collants noirs opaques et des bottines beiges à talons. Enfin, j’ai passé un manteau noir cintrée assez court qui mettait en avant ma taille fine et mes jolies jambes. Je me suis regardée dans la glace, je me suis trouvée belle: mon grand atout et peut-être aussi la source de la plupart de mes soucis.

Ces 20 mois difficiles m’avaient changée: je n’étais plus une ado et cela se voyait sur mon visage, toujours juvénile mais plus grave qu’avant.

J’ai marché dans Paris avec plaisir. Il devait faire 8 degrés en cette fin d’hiver, je n’avais pas froid mais c’était revigorant. Après une heure, je suis entrée dans une galerie commerciale que j’avais l’habitude de fréquenter et je me suis dirigée vers le double panneau d’affichage qui contenait d’un côté diverses annonces placés par des particuliers pour des objets d’occasion et de l’autre des offres d’emplois.

A mon grand désespoir, rien ne me correspondait. Je ne voyais que des postes pour lesquels j’étais certaine de me faire rembarrer à part deux restaurants du quartier qui cherchaient des serveuses… malheureusement je m’étais déjà faite virer de ces deux endroits.

Sur ma gauche, j’ai remarqué un type avec un manteau bleu foncé qui s’était approché de moi, il devait avoir la quarantaine.

— Le type: "Ce n’est pas facile de trouver en ce moment".

Je n’avais pas envie de parler avec lui mais j’ai répondu par courtoisie.

— Moi: "Oui, c’est difficile, surtout sans qualification".

— Le type: "On recherche quelqu’un là ou je travaille. Vous êtes dans quel domaine ?"

— Moi: "Tout et n’importe quoi. J’ai déjà été serveuse, hôtesse d’accueil. Récemment j’étais standardiste".

— Le type: "Par contre, il faut être flexible pour les horaires. C’est difficile quand on vit avec quelqu’un qui a des horaires fixes".

J’ai répondu que personne ne m’attendait le soir en comprenant trop tard qu’il venait subtilement de me faire dire que j’étais célibataire.

Je me suis refermée et j’ai fait un pas en arrière en me disant qu’il n’y avait sans doute jamais eu de job et que ce vieux con était juste en train de me draguer. Je crois qu’il a lu ma réaction; il m’a tendu une carte en me disant: "Les premiers détails sont inscrits sur ce papier. Contactez nous si vous êtes intéressée". Puis il a tourné les talons et il s’est éloigné dans la foule.

C’était très étrange. Je suis allée masseoir dans un café agréable du quartier et j’ai lu la carte que j’avais mise dans ma poche.

" Recherchons jeune femme élégante et raffinée pour un poste de femme de ménage au sein d’un hôtel particulier parisien.

Dévotion absolue et respect sans limite de l’autorité seront des qualités indispensables.

Rémunération très attrayante."

Puis une adresse email à laquelle se manifester pour être rappelée était indiquée.

J’avais fait quelques ménages au black pour gagner un peu d’argent et je ne trouvais pas ça pire que de prendre les commandes dans un kebab ou de répondre "bonjour entreprise machin-chose" au téléphone 1300 fois par jour, surtout si le salaire en avait la peine.

Pourtant tout était étrange dans l’annonce et je m’en rendais compte: de la formulation à la façon dont on m’avait donné cette offre d’emploi jusqu’au moyen de contacter l’employeur. Je me suis doutée qu’il y avait quelque chose de louche mais je ne risquais pas grand chose à me faire expliquer ce que l’on attendait de moi. En plus, il me restait à peine quelques centaines d’euros pour affronter les semaines à venir et je n’avais aucun autre poste en vue.

Je suis rentrée à mon appartement et j’ai envoyé un email à l’adresse de contact avec mon nom, mon CV et mon numéro de portable. J’ai indiqué que je serai ravie de rencontrer mes futurs employeurs pour qu’ils m’expliquent le poste plus en détail.

J’ai repensé à toutes mes candidatures restées sans réponse et je me suis dit que ce n’était pas la peine que j’essaie de comprendre le sens caché de cette annonce: Je n’aurais de toute façon sans doute plus jamais de nouvelles.

Pourtant, en fin d’après-midi, mon téléphone a sonné, c’était un numéro masqué.

— Moi: "Claire Sariot, bonjour"

— Mon correspondant: "Bonjour mademoiselle, je suis Philippe Geniez. Je suis en charge du recrutement pour le poste de femme de ménage auquel vous avez postulé aujourd’hui".

Je l’ai remercié de son appel si rapide puis il a posé des questions sur mon brillant CV avant d’enfin changer de sujet.

— Le recruteur: "Vous êtes la jeune femme qui a croisé Gérald dans Paris aujourd’hui ?".

— Moi: "Nous n’avons pas échangé nos prénoms mais on m’a donné l’annonce dans une galerie marchande cet après-midi effectivement".

— Le recruteur: "Très bien; Gérald m’a dit le plus grand bien de vous. Avant que je ne vous explique la suite, est-ce que vous avez des questions ?"

— Moi: "L’annonce parle d’un salaire attrayant; vous pourriez me donner une idée ?"

— Le recruteur: " Vous gagniez combien pour votre travail précédent ?"

— Moi: "1384 euros"

— Le recruteur: "Nous en reparlerons si vous êtes toujours intéressée mais cela correspond à plusieurs fois ce montant".

— Moi: "Pardon !"

— Le recruteur: "Plusieurs fois ce montant"

….

— Moi: "Ce n’est un simple poste de femme de ménage !?"

— Le recruteur: "Effectivement mademoiselle, il y a d’autres attributions".

— Le recruteur: "Voila ce que je vous propose: je prévois de vous voir pour un premier entretien demain à 14h30 mais je vais vous laisser réfléchir et je vous appellerai le matin à 10h pour que vous m’indiquiez si vous êtes toujours intéressée. Comme vous l’avez compris ce n’est pas un travail comme les autres. Je vous donnerai les détails et je répondrai à toutes vos question de vive voix lors de l’entretien".

Il a raccroché. J’étais totalement perplexe. Je me suis imaginée le pire puis je me suis dit que ce n’était peut-être pas grand chose. Une petite voix me disait de laisser tomber mais le salaire mirobolant et la curiosité l’emportaient largement.

Le lendemain matin le téléphone a sonné à l’heure convenue. J’ai accepté de rencontrer le recruteur qui m’a donné rendez-vous dans un café assez proche de mon domicile. Avant qu’il ne raccroche, il a ajouté un détail: "C’est pour un poste de femme de ménage mais venez apprêtée. Gérald m’a dit que vous étiez très élégante quand il vous a croisé. Ce type de tenue sera parfaite"

C’était n’importe quoi !

J’ai néanmoins respecté la consigne. J’ai mis une robe imprimée plutôt moulante, des collants noirs transparents, des chaussures à talons et j’ai pris la même veste que la veille.

J’ai rejoint le recruteur au bar. Il a semblé m’identifier immédiatement et il est venu vers moi.

— Lui: "Philippe Geniez. Ravi de vous rencontrer Claire".

— Moi: "Pareillement".

Nous nous sommes assis. Il a commandé 2 cafés puis il m’a enfin expliqué.

— Lui: "Vous devez avoir beaucoup de questions. Il y a des sujets que je ne pouvais pas aborder par téléphone".

— Moi: "Expliquez-moi pourquoi tout ces secrets".

— Lui: "Je travaille pour un homme qui vit ici à Paris, dans un hôtel particulier. Il a fait fortune il y a 10 ans mais aujourd’hui il est pour partie retiré des affaires. Il se contente de gérer ses actifs depuis son bureau à la résidence.

Il y a du personnel à son service: 2 en cuisine, 3 majordomes qui s’occupent également de l’entretien de lhôtel particulier, un peu de sécurité, un chauffeur, les femmes de ménage et moi-même qui m’occupe de l’administratif et fait office de DRH pour tout ce petit monde".

Il a sorti un papier et me l’a tendu.

— Lui: "Avant que je ne continue, il faudrait signer ceci. C’est une clause de confidentialité. Vous ne devrez pas révéler la nature de vos fonctions. Que vous soyez retenue ou non, vous devrez garder pour vous tout ce qui aura un rapport avec votre travail y compris le processus de sélection".

J’avais connu un diplômé de grande école qui m’avait parlé de ce genre de choses lors de ses propres entretiens. J’ai signé sans trop m’inquiéter même si cela me semblait disproportionnée pour un poste de femme de ménage.

— Lui: "Très bien. Entrons dans le vif du sujet. Le poste est rémunéré à hauteur de 8000 euros mensuels."

J’ai ouvert de grands yeux.

— Lui: "Vous serez au service de Monsieur"

— Moi: "Monsieur ?"

— Lui: "C’est comme cela que nous appelons notre patron."

— Lui: "Je disais donc: Vous êtes trois jeunes femmes à assurer ce rôle. Vos fonctions consistent en journée à porter l’uniforme de femme de ménage et en soirée à assurer diverses fonctions: Service lorsque monsieur reçoit des amis, croupier lors des parties de carte, etc."

— Lui: "Et vous devez à tout moment répondre aux exigences de Monsieur".

Nous y étions.

— Moi: "Quelles types dexigences ?"

— Lui: "Claire, je pense que vous l’avez compris depuis quelques temps déjà".

C’était bien ce que je pensais. Le job consistait comme je le craignais à se faire sauter et tailler des pipes à la demande. J’avais envie de me barrer mais les 8000 euros mensuels étaient très tentants.

— Lui: "Je vous emmène visiter la résidence et continuer cette discussion dans mon bureau ? C’est tout près d’ici".

Je ne savais pas quoi faire ni répondre. Cela faisait beaucoup d’informations à assimiler en peu de temps.

— Moi: "Il n’y aura pas de tests ou de trucs de ce genre ?"

Il a souri en comprenant que j’avais peur qu’il m’embarque dans l’idée de me tripoter ou de me sauter.

— Lui: "C’est juste une visite de lhôtel particulier et un entretien à mon bureau. Moi d’un côté, vous de l’autre".

J’ai fait oui de la tête et nous avons marché moins de 600 mètres puis nous sommes entrés dans un immeuble. De l’extérieur il ressemblait à tout ceux alentours mais dès la porte franchie et les premiers pas effectués dans la grande entrée en marbre, on comprenait que tout avait été réaménagé en un seul gigantesque et magnifique ensemble.

Philippe, le recruteur, m’a fait visiter les pièces de réception, la cuisine et la chambre qui serait à ma disposition si j’étais retenue. C’était absolument magnifique. J’avais l’impression d’être à Versailles.

Enfin nous sommes allés dans son bureau et il m’a donné des détails supplémentaires.

Il a expliqué que j’aurai un contrat officiel en CDD pour un an payé 2000 euros et résiliable par moi ou l’employeur à tout moment mais que tous les 3 jours, un coursier déposerait 600 euros dans ma boîte au lettre. J’ai fait le calcul: on arrivait bien aux 8000 euros mensuels annoncés… les 3 quarts payés en liquide. Philippe m’a expliqué que cette formule permettait que personne ne soit floué si "Monsieur" ou moi mettions fin à notre collaboration.

Je devais être présente 4 jours par semaine selon le planning que je recevrais chaque mois et je devais dormir sur place si je travaillais plusieurs jours consécutifs. Nous commencions à 10 heures le matin, une coiffeuse et une maquilleuse s’occupaient de nous afin que nous soyons prêtes pour 11 heures.

— Moi: "Il y a combien de filles qui occupent ces fonctions ?"

— Lui: "Vous êtes trois. Vous remplacez une jeune femme dont monsieur a dû se séparer "

— Moi: "Vous avez parlé d’un uniforme pour la journée. Il ressemble à quoi ?"

Il a appuyé sur un bouton. "Talia, vous pouvez nous apporter 2 verres d’eau ?".

Une minutes plus tard, une black magnifique est entrée avec un plateau. Elle avait vraiment une allure de mannequin. Elle portait une tenue de soubrette avec toute la panoplie: talons, jupe ultra courte, bas, tablier, chemisier décolleté. C’était tellement caricatural que j’ai failli en rigoler.

— Moi: "Il reste un domaine dans lequel j’ai besoin d’avoir des précisions…"

— Lui: "Vous êtes au service de Monsieur. Vous ne vous adressez pas à lui sans qu’il vous ai sollicité, vous l’appelez toujours Monsieur. Évidemment vous n’utilisez que le vouvoiement. "

— Lui: "Vous êtes là pour faire tout ce qu’il demande. Il peut également vous partager ou vous prêter à un visiteur mais ce sera toujours dans ces lieux et toujours en sa présence ".

— Moi: "Je m’interroge plus précisément sur ce qui sera attendu de moi".

— Lui: "Je vais être un peu cru, je m’en excuse par avance".

— Lui: " Il n’y aura jamais de coups, rien de scatologique et vous pourrez partir à tout moment même si évidemment ce sera la fin de votre collaboration ici".

Je n’osais rien dire. J’avais du mal à me dire que tout ceci était réel.

Après quelques secondes de silence, le recruteur a sorti une fiche à mon nom.

— Lui: "Je vais vous poser quelques questions d’ordre intime. Monsieur a des attentes importantes".

— Moi: "Allez-y"

— Lui: "Ce sera vraiment intime"

— Moi: "J’ai bien compris".

— Lui: "Avez vous déjà eu ce type de travail ? ou avez vous déjà été escort ?

— Moi: "Non jamais".

— Lui: "Ça se voit mais je devais vous le demander".

— Lui: "Concernant le sexe vaginal, y a-t-il des positions ou des choses qui vous mettent mal à l’aise et que vous ne pratiquez pas ?

— Moi: "Heu… non"

— Lui: "Pour le sexe vaginal, y a-t-il des positions ou variantes que vous ne pratiquerez pas ici si vous étiez retenue pour ce poste ?"

J’ai baissé les yeux. C’était une torture.

— Moi: "…Non, je ne pense pas".

— Lui: "Pratiquez vous la fellation ?"

— Moi: "Oui"

— Lui: "De type deep throat ?"

Je me sentais devenir écarlate et je n’arrivais plus à le regarder.

— Moi: "Rarement"

— Lui: "Si vous acceptez le poste, serez vous prête à effectuer ce type de fellation à chaque fois que Monsieur vous le demandera"

— Moi: "Je… oui, enfin je ne sais pas… il faut…"

Je sentais les gouttes de sueur couler sur mes tempes.

— Lui: "C’est important, il faut que vous me répondiez"

— Moi: "Oui, cochez oui".

J’ai bu une grande gorgée d’eau. J’aurais voulu me cacher au fonds d’un trou.

— Lui: "Pratiquez vous la sodomie régulièrement ?".

— Moi: "… Régulièrement ce n’est pas le bon mot".

— Lui: "Mais vous l’avez déjà fait ?"

— Moi: "Oui".

J’étais rouge de honte de devoir donner autant de détails.

— Lui: "Moins de 5 fois ?"

— Moi: "Je… à peu près. .. peut-être 6 ou 7 fois"

— Lui: "Est-ce que vous aimez cela ?"

J’ai levé les yeux vers Philippe. Il avait son stylo à la main et une myriade de questions sans doute toutes aussi gênantes à continuer de me poser. Je lui ai lancé un regard implorant pour que cela cesse mais il semblait déterminer à compléter sa maudite fiche.

J’ai attrapé mon manteau et je me suis levée.

— Moi: "On va arrêter là; cela me met trop mal à l’aise".

Et je me suis dirigée vers la porte du bureau.

— Lui: "Je comprends, ce nest pas facile. Vous savez, pour moi non plus ce nest pas simple de vous embarrasser de la sorte. Ce questionnaire est fait pour éviter les malentendus et aussi pour que vous preniez conscience de ce qu’on attend de vous"

— Lui: "Si vous franchissez cette porte, ce sera définitif. Je vais vous laisser quelques minutes le temps que vous y réfléchissiez puis je reviendrai et si vous voulez partir, je vous raccompagnerai à l’extérieur".

Je me suis rassise, Philippe est sortie me laissant seule puis la jolie Black est venue me redonner un verre d’eau en me souriant. Je cherchais un soutien auquel me raccrocher et elle était ce qui y ressemblait le plus dans cet étrange contexte.

— Moi: "Ils sont cinglés !"

— Elle: "Tu fais comme tu veux mais moi je suis bien contente d’être là. T’as fait la visite ? C’est un vrai palace"

Je lui ai montré la feuille .

— Moi: "C’est trop glauque, c’est pas possible !"

— Elle: "Ha oui, le questionnaire ! C’est super gênant, je sais".

Des pas ont retenti. Elle m’a glissé à l’oreille en partant: "Si tu veux être prise, il fait être ouverte d’esprit".

Elle est sortie puis Philippe a repris place au bureau.

J’ai réfléchi aussi vite que possible et je suis arrivée à la conclusion que le mieux était de répondre oui à tout pour garder toutes mes chances d’être retenue. Une fois à la maison, il serait toujours temps de réfléchir à tête reposée et d’envoyer balader toute cette folie si c’était ce que je voulais.

— Lui: "Je vous raccompagne à la porte ?"

J’ai fait non de la tête.

— Lui: "Très bien ! Nous en étions au sexe anal. Est-ce que vous aimez ?"

— Moi: "Pas spécialement"

— Lui: " Si vous acceptez ce poste, serez vous prête à pratiquez la sodomie dans le cadre de vos fonctions à chaque fois que Monsieur vous sollicitera"

J’ai repris ma couleur écarlate en disant "oui" d’une petite voix puis j’ai répondu point par point pendant une quinzaine de minutes que je serai prête à ce qu’on me fasse tout et n’importe quoi: utilisation d’objets, relations avec des femmes ou même plusieurs hommes et autres horreurs.

— Lui: "Voilà c’est fini. Je sais que cela a été éprouvant, j’en suis désolé".

Le téléphone a sonné. Philippe a répondu "Oui monsieur" à trois reprises puis il a raccroché et il s’est dirigé vers un placard.

— Lui: "Vous êtes retenue pour la dernière étape. Vous rencontrerez Monsieur et il y aura une mise en situation. Vous serez cinq jeunes femmes. L’une d’entre vous aura le poste."

— Lui: "Si vous êtes toujours intéressée, je vous rencontrerait encore demain et après-demain pour vous expliquer plus en détail notre organisation, vos horaires, etc… et aussi le déroulement de ce dernier entretien."

J’ai compris qu’il devait y avoir une caméra dans la pièce et que le boss avait sans doute écouté toute notre conversation. Ce n’était pas très légal… mais rien ne l’était dans ce qu’on me proposait.

Philippe m’a tendu une enveloppe.

— Lui: "Il y a 1500 euros; cela ne vous engage à rien. Monsieur veux simplement vous remercier de participer à cette sélection".

Il m’a raccompagnée à l’expérieur. J’étais un peu sonnée mais j’avais mes réponses et une enveloppe contenant plus d’argent que mon précédent salaire mensuel.

J’étais tiraillée par ma morale mais j’avais envie de continuer cette improbable aventure. Après tout, j’avais baisé gratuitement depuis 2 ans et cela ne m’avait rien apporté. Le faire dans un environnement luxueux et gagner une fortune par la même occasion ne pouvait pas être pire.

Les après-midi suivants, Philippe m’a expliqué avec encore plus de détails le fonctionnement de la maison: les horaires des repas, la gestion des tenues, etc puis le grand jour s’est approché dangereusement.

J’ai hésité, j’y ai beaucoup pensé. C’était effrayant mais je voulais voir jusqu’où cela pouvait aller. C’était inouï de penser que ce fameux "Monsieur" allait réellement sauter 5 filles et en garder une comme femme de ménage. C’était d’un autre âge.

J’étais sans doute folle, vénale aussi , mais j’ai décidé de continuer… Par contre, il était hors de question que je me fasse "tester" pour rien. Si j’y allais, c’était pour être l’élue. Il faudrait faire tout ce qui serait exigé de moi et avec de l’entrain. Me présenter et ne pas être retenue était de loin le scénario le plus humiliant.

La veille, j’ai eu du mal à dormir, j’ai tourné dans mon lit presque deux heures. Je n’avais pas que de l’appréhension: ce n’était pas très avouable mais je ressentais aussi une certaine excitation à l’idée de me mettre autant en danger.

Philippe m’avait pris rendez-vous chez un coiffeur et une esthéticienne le matin même. Ils m’ont prise en charge sans que je n’ai rien à demander. L’esthéticienne a éradiqué le moindre poil sur mon corps et m’a magnifiquement maquillée; La coiffeuse m’a également embellie même si ma coupe ne permettait pas de folies. Quand je suis arrivée à la résidence, une tenue m’attendait dans une des chambres: une robe de créateur, moulante et courte, une magnifique paire de chaussures à talons et un mot: "pas de collants, ni sous-vêtements".

Je me suis préparée puis je me suis regardée dans la glace. J’étais canon !

On a frappé à la porte: C’était Philippe qui m’attendait pour m’emmener dans une pièce aménagée en salle d’attente. Il y avait 4 autres filles, toutes brunes également et aussi apprêtées que moi.

Philippe a expliqué que nous allions faire cet entretien une par une. Nous passerions toutes et saurions demain qui serait embauchée, sauf si Monsieur était immédiatement convaincu par l’une d’entre nous. Dans ce cas là, elle serait choisie et les suivantes ne passeraient même pas.

Pour que ce soit juste, il a tiré l’ordre de passage au sort. J’ai hérité de la troisième position.

— Philippe: "Soyez patiente, surtout les dernières, cela peut être assez long. Il y a des revues et des boissons".

Il a emmené la première fille et je me suis retrouvée seule avec mes 3 autres concurrentes. La situation était trop gênante pour que nous entamions la discussion, nous avons toutes tripoté nos téléphones portables sans nous adresser un mot.

45 minutes plus tard, Philippe est venu chercher la seconde jeune femme puis encore une demie-heure après ce fut mon tour.

J’allais jouer le jeu à fonds: par curiosité, par défi, par goût du risque aussi et parce-que 8000 euros mensuels me permettraient de mettre rapidement de l’argent de côté pour voir venir pendant quelques années.

Philippe m’a amené devant une grande porte puis il s’est adressé à moi.

— Lui: "Quoi qu’il se passe à l’intérieur, vous recevrez 2000 euros après cet entretien. Que vous soyez sélectionnée ou non et même si vous ne faites que discuter… mais ce n’est pas le but de cette étape"

— Lui: "Vous comprenez ce qui va se passer lors de cette dernière étape de sélection ?"

— Moi: "Je vais rencontrer Monsieur. Il me posera des questions… puis il messaiera"

— Lui: "Il dirigera mais ce ne sera sans doute pas lui qui effectuera cet essai"

— Lui: "Je vous aime bien Claire. Vous m’êtes plus sympathique que les autres".

— Moi: "Heu… Merci Philippe".

— Lui: "Je vais vous donner quelques conseils: n’oubliez pas une chose, même s’il vous donne à un autre, c’est lui votre patron, montrez avec vos mots et vos yeux que vous avez toujours cela à l’esprit"

— Lui: "Et n’oubliez pas: appelez le Monsieur et attendez qu’il vous sollicite pour vous adresser à lui. Je sais que vous trouver cela un peu ridicule mais faites avec".

Puis il a ouvert la porte et m’a annoncé: "Mademoiselle Claire, votre troisième candidate".

J’ai avancé, c’était une grande pièce: Sur ma droite, deux filles en tenue de soubrette dont Talia se tenaient alignées. A l’opposé, 3 majordomes en tenu de service étaient immobiles eux aussi.

Au fond, un homme était assis derrière un bureau, 35 ans, élégant, plutôt beau avec ses cheveux bruns coupés court. Tout ce petit monde semblait pendu à ses lèvres. Il n’y avait pas de doute c’était lui "Monsieur". A sa droite, il y avait un autre homme du même âge qui semblait s’amuser de ce cérémonial. Il donnait l’impression d’être le seul à percevoir le côté loufoque de cette mise en scène, tous les autres étaient plongés dans leurs rôles.

J’ai avancé avec assurance jusqu’à me trouver à deux mètres du bureau. Je me trouvais très jolie avec les vêtements préparés pour moi, une coupe de cheveux et un maquillage professionnels. Cela me redonnait un peu de la confiance que j’avais perdue ces derniers mois.

— Monsieur: "Bonjour Claire. Alors comme cela vous voulez travailler pour moi ?"

— Moi: "Bonjour Monsieur. Je serai honorée de travailler à votre service".

— Monsieur: "Vous avez compris ce que j’attends de vous ?"

— Moi: "Oui Monsieur, je vous servirai quelles que soient vos demandes. Mes attributions iront bien au delà de celles d’une femme de ménage au sens usuel".

— Monsieur: "Vous comprenez bien tout ce que cela implique ?"

— Moi: "Oui monsieur, je serai totalement à votre disposition"

— Monsieur: "Pourquoi choisir ceci plutôt qu’un autre travail ?"

— Moi: "Je pense pouvoir vous satisfaire pleinement et ce serait mentir que de nier l’attrait de cet hôtel particulier magnifique ou de la rémunération que vous proposez".

— Monsieur: "Au moins vous êtes franche"

C’était risqué mais il n’était pas dupe de toute façon. Autant avoir un peu d’honnêteté.

— Monsieur: "Vous savez ce qu’il va se passer maintenant ?"

— Moi: "Oui monsieur. Je vais avoir l’opportunité de vous prouver que c’est moi qu’il convient de choisir".

J’avais préparé cette phrase à l’avance, j’étais fière de moi.

— Monsieur: "Enlevez le haut de votre robe que nous voyons vos seins "

Je m’étais préparée à être "essayée" mais je n’avais pas imaginée qu’il y ait autant de monde autour de moi. Je me suis encouragée intérieurement pour ne pas rester bloquée.

C’était tellement délirant que je préférais vivre cela comme un jeu. J’ai baissé ma robe bustier sur mes hanches pour libérer ma poitrine et j’ai fait un pas vers le bureau du patron en sentant mes tétons durcir. Le froid et cette situation surréaliste avaient des effets sur moi. Il m’a regardé avec un sourire satisfait.

— Monsieur: " Allez vous mettre à genoux devant Yohan".

Un des majordomes s’était approché de moi, j’ai compris que c’était de lui qu’il s’agissait. Il avait à peu près 25 ans, brun, grand, costaud et un air trop sérieux compte tenu de ce qui s’annonçait.

Il s’est placé de profil par rapport à son patron et je me suis mise à genoux à ses pieds comme on me l’avait demandé.

C’était maintenant !

J’ai pensé à m’enfuir mais j’ai chassé cette pensée immédiatement. Je me suis dit intérieurement "Suce, salope !" pour ne pas être surprise si ces mots étaient vraiment prononcés.

Le majordome a déboutonné son pantalon. Sa queue déjà en érection m’a sauté au visage. Je le laissais beaucoup moins de marbre que son visage ne l’indiquait. Sa verge était imposante sans être non plus disproportionnée.

— Monsieur: "Claire, vous vouliez une occasion de montrer vos talents. Elle est devant vous".

Dans quelques secondes j’allais devenir une traînée; mon cur battait la chamade. Puis d’un coup j’ai cessé d’avoir peur, il était trop tard pour reculer et d’une certaine manière c’était rassurant.

J’ai doucement léché le gland, la verge et les bourses puis j’ai embrassé la pointe avant de me l’enfoncer dans la bouche.

J’ai serré la base avec mes doigts et je l’ai masturbée en même temps que je coulissais sur la partie haute.

Mon cur s’est remis à battre à toute vitesse: j’étais vraiment en train de le faire ! J’avais un peu les mains moites, mes tempes bourdonnaient… et cette insulte que je me murmurais intérieurement: "T’es qu’une pute".

J’ai senti Yohan tressaillir, je pensais m’y prendre comme il fallait. Une voix ferme m’a pourtant ramenée à la réalité.

— Monsieur: "Tatiana. Allez aider Claire. Ce n’est pas comme cela qu’on s’y prend dans cette maison"

Je me suis dégagée interloquée et un peu vexée. La soubrette que je ne connaissais pas encore, une très jolie blonde, a avancé vers moi. Elle a passé sa main derrière ma tête pour me renfoncer sur le gland de Yohan puis elle m’a soufflé à l’oreille: "Laisse moi t’aider".

Sa voix était rassurante et de toute façon, je n’avais personne d’autre à qui me raccrocher. Elle a pris mes mains restées sur le majordome et les a posées sur mes genoux.

— Tatiana: "Sans les mains. C’est important. Tu les mets sur tes genoux ou dans ton dos mais après tu ne les bouge plus".

J’ai coulissé sur la queue de Yohan doucement en m’enfonçant jusqu’à la moitié de sa longueur. J’ai continué quelques minutes puis de nouveau Tatiana m’a soufflé quelques mots à l’oreille.

— Tatiana: "Je vais t’aider un peu plus. Je vais te tenir et te guider. Il ne faudra pas que tu te crispes".

Elle a placé avec délicatesse une main sous mon menton et une derrière ma tête. J’ai sucé comme cela encore quelques secondes puis elle m’a dit: "Laisse toi faire complètement".

J’ai cessé de m’activer et c’est elle qui a poussé et tiré mon visage sur la queue de Yohan. J’ai sentie de la chaleur monter dans mon ventre. Offrir mes lèvres en public, me faire piloter comme cela sur le sexe d’un inconnu, par une femme en plus, tout cela était trop nouveau et trop troublant pour me laisser insensible. Progressivement elle m’a enfoncé de plus en plus loin jusqu’à ce que cela devienne plus difficile pour moi.

— Tatiana: "Laisse la salive couler de ta bouche. Ne retiens pas, ça ira mieux".

J’ai écouté son conseil et effectivement c’est devenu plus supportable. Malheureusement quelques vas et viens plus tard, j’ai cru que j’allais étouffer.

— Tatiana: "Tousse, laisse aller et bave encore".

J’ai écouté et de nouveau, cela m’a sauvé. J’ai toussé malgré la verge entre mes lèvres et j’ai laissé un nouveau flot de salive s’échapper sur mon menton, les doigts de Tatiana et ma poitrine.

Dans un mélange de douceur et de fermeté ma "peut-être future collègue" a réussi à m’enfoncer en totalité sur la queue qui m’était présentée. Elle m’a fait faire des vas et viens complets et m’a immobilisée à quelques reprises les lèvres contre le ventre du majordome. Après que j’ai eu à déglutir encore quelques fois, notre boss l’a arrêtée.

— Monsieur: "Très bien Tatiana. Vous pouvez reprendre votre place. Yohan mon garçon, faites vous plaisir".

Tatiana m’a abandonnée pour reprendre sa position aux côtés de Talia. Yohan m’a agrippé par les cheveux et m’a fait lui même coulisser sur sa bite tout en projetant son bassin à ma rencontre. Ma réaction naturelle aurait été de me raidir et de résister mais j’avais compris que c’était l’inverse que Monsieur attendait de moi.

J’ai retroussé mes lèvres encore plus et je me suis docilement laissée faire. J’essayais de mettre en place ce que je venais d’apprendre mais c’était loin d’être simple.

Yohan a besogné ma bouche mais heureusement il n’a pas tenu très longtemps. Après à peine deux minutes, il s’est mis à grogner si fort que toute l’assistance a compris qu’il allait jouir.

— Monsieur: "Claire, ouvrez bien la bouche. Vous allez avaler son foutre".

Je ne l’avais fait qu’une fois dans ma vie mais je n’en étais plus là. J’ai fermé les yeux et ouvert la bouche en tirant légèrement la langue. Yohan s’est astiqué en laissant son gland entre mes lèvres puis il a déversé son sperme chaud. Obéissante j’ai tout avalé malgré la désagréable texture. J’ai fait ce que je pouvais pour ne pas montrer trop de dégoût… sans être totalement convaincante.

— Monsieur: "Très bien Claire. Talia, allez l’essuyer".

La blackette que j’avais déjà croisé s’est approché avec des lingettes. Elle a essuyé mes seins, mon torse et mon menton barbouillés de salive ainsi que mon maquillage qui avait coulé. Elle m’a soufflé à l’oreille: "Tu t’en sors très bien". Cela m’a donné du courage.

Ensuite, elle m’a aidé à me redresser et à me présenter de nouveau en face du boss. J’aurais voulu boire un verre d’eau pour faire passer le goût du foutre dans ma bouche mais personne ne m’en a proposé.

— Monsieur: "Claire. Vous vous plaisez parmi nous ?"

— Moi: "Oui monsieur"

— Monsieur: "C’était bien mieux après que nous ayons corrigé votre technique"

— Moi: "Merci Monsieur. Je serai toujours prête à m’adapter à vos préférences".

— Monsieur: "Vous aller sucer de nouveau maintenant".

— Moi: "Bien sûr Monsieur".

Il abusait de son pouvoir sur moi et je découvrais des effets inattendus. J’éprouvais beaucoup moins de répulsion que je ne l’aurais cru à me prêter à ce délire.

Le patron a fait signe au type assis à côté de lui et l’a interpellé: "Jeff, à toi".

Il était plutôt bel homme, 35-40 ans élégants même s’il n’était pas en costume contrairement à "Monsieur".

Le type s’est levé et il est venu à côté de moi. Je me suis de nouveau mise à genoux de profil par rapport au patron pour lui donner le meilleur angle de vue. Jeff s’est déshabillé, sa queue était légèrement plus grosse que la première et un peu plus longue. Il était vraiment bien monté !

J’ai repensé à ce que m’avait dit Tatiana: Cette fois, j’ai mis mes bras dans mon dos.

Jeff a tapoté son sexe sur mes joues et ma bouche. Je me suis retenue pour ne pas montrer de colère: c’était vraiment irrespectueux et il le savait très bien. J’ai réussi à me contenir en pensant à ce qui était en jeu. Il a fini par placer sa verge devant mes lèvres et j’ai pris son gland brûlant de désir dans ma bouche.

J’avais compris ce qu’on attendait de moi. J’ai coulissé à un rythme soutenu m’enfonçant un peu plus à chaque aller-retour. J’ai dû de nouveau déglutir, baver et tousser mais ma motivation était sans faille et j’ai fini par cogner contre le ventre de Jeff. A ce moment là, je n’ai plus reculé que d’une dizaine de centimètres avant de retomber à fonds. J’ai coulissé comme cela sur sa bite plusieurs minutes provoquant les grognements satisfaits de mon partenaire. Il a posé sa main au dessus de ma tête mais sans chercher à ajuster le rythme ou l’intensité de mes caresses.

— Monsieur: "Très bien Claire, continuer ainsi".

J’ai obéi et j’ai sucé sans changer de technique . Jeff semblait sur un petit nuage, je sentais sa verge vibrer sur ma langue et ses doigts se crisper dans mes cheveux. Je ressentais autant ma propre soumission que mon pouvoir sur son plaisir.

— Monsieur: "Claire, enfoncez vous au maximum et léchez ses couilles par en dessous".

Je me suis laissée tomber jusqu’au ventre de Jeff puis, son gland au fond de la gorge, j’ai ouvert la bouche en grand pour sortir ma langue par en dessous et laper ses testicules. Je n’avais jamais rien fait de tel.

C’était difficile et écurant compte tenu de la profondeur de la pénétration dans ma gorge que cela imposait mais j’ai mis mes appréhensions et ma dignité de côté. J’ai bavé énormément et dégluti bruyamment mais je suis parvenue à faire ce que "Monsieur" me demandait.

Je n’ai pas entendu de nouvelles consignes. Dans le doute, je suis restée dans la même position, enfoncée à fonds et léchant les bourses de mon partenaire avec application. C’était difficile de tenir ainsi, il valait mieux que cela ne dure pas trop longtemps.

La queue était loin dans ma gorge et je devais me contorsionner pour faire jouer ma langue. A un moment, j’ai cru m’étouffer mais j’ai encore tenu bon.

Jeff a profité 2 ou 3 minutes supplémentaires de ce traitement puis il m’a agrippé derrière la tête et il m’a mis des coups de bassin furieux. J’étais certaine que j’allais vomir. Je sentais mes yeux couler et ma bave me barbouiller le visage, j’ai eu un haut-le-cur mais heureusement il a cessé avant qu’il ne soit trop tard et il s’est extrait de ma bouche me laissant haletante et souillée de salive.

— Monsieur: "Jeff, mets là en position sur le bureau".

Il m’a attrapé sous bras et m’a fait m’allonger, le torse et le ventre sur le bureau de Monsieur, le cul tendu en arrière. J’ai senti qu’il m’enlevait ma robe, j’étais toute nue, je n’avais plus que

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