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The Cage Of The Virginity – Chapitre 1




Chapitre 1 :

« BIP BIP BIP BIP !!! « Il est 10h et c’est l’heure pour moi de me lever après la dure nuit que je viens de vivre, comme chaque nuit, je dansais en petite tenue de cuir et latex et sur des talons de 15 centimètres, vous l’aurez compris, je suis danseuse, plus précisément strip teaseuse dans un club sadomasochiste à Paris, la Chambre Rouge.

En plus de danser, je fais la conversation avec les clients dont la plupart m’utilisent comme cobaye dans leurs jeux sadiques : utilisation de barres d’écartement pour les bras, séances de fessées, de flagellation avec des cravaches, des paddles et des martinets, j’ai même essayée le shibari, cet art ancestral qui vient du japon, cette variante japonaise du bondage où les victimes sont attachées avec des cordes et parfois, avec des clients qui me plaisaient réellement, je m’adonnais à quelques attouchements en public sans jamais aller très loin.

Je m’extirpe de mon lit, mon client d’hier soir n’y est pas allé de main morte avec son paddle, j’ai encore mal aux fesses qui sont encore rougis par l’instrument, je sors de ma chambre, heureusement, mes colocataires sont à leurs boulots, on ne se croise que très rarement sauf le soir quand je dois aller travailler.

Je m’occupe comme je peux pendant la journée : je m’occupe de mon linge, de mes papiers, je lave ma vaisselle personnelle et à l’heure du déjeuner, j’appelle le centre médical où ma mère où elle est internée depuis la mort tragique de mon père et de mon frère il y a 7 ans, j’avais 18 ans et mon frère en avait 22, ils me manquent tous les deux, même papa me manque et depuis sa disparition, ma mère a sombré dans l’alcool et dans une grande dépression.

— Institut Sainte Marie, Sandra à votre écoute …, marmonna une standardiste d’une voix lasse.

— Bonjour, je voudrais des nouvelles d’Agnès Ferris, je suis Johanna, sa fille …

— Ne quittez pas un-instant mademoiselle, je vous passe le docteur …

— Mademoiselle Ferris, ici le docteur Kingsley, murmura une voix suave et virile

— Oui bonjour docteur, comment va ma mère cette semaine ?, m’enquis je

— J’ai des nouvelles positives à vous annoncer, votre mère est redevenue joyeuse …

— Joyeuse ? C’est-à-dire ?

— Votre mère ne ressent plus le besoin de boire, elle rit et elle ne fait plus de crises de larmes.

— Vraiment ? Vous êtes sûr ?

— Absolument, je dirais même que sa guérison s’accélère, nous la garderons encore quelques temps.

— Afin d’en être complètement sûr ?

— Oui, c’est cela même mademoiselle, je vous appelle si il y a du nouveau, au revoir mademoiselle …

— Au revoir docteur, dis-je en raccrochant.

Je passais mon après midi à dormir, à me reposer et à 18h très précises, je me prépare pour aller travailler et pendant que je sortais de la douche, Robert, un de mes colocataires rentrait du boulot, il est professeur dans un quelconque lycée de la banlieue parisienne où il enseigne la philosophie à des jeunes qui s’intéressent plus au rap et à la drogue qu’à Aristote et Montaigne.

Une demi-heure plus tard, c’était au tour d’Alice de rentrer à la maison, elle est secrétaire médicale chez un dentiste renommé de la capitale, je l’apprécie beaucoup malgré son côté frigide, elle est amoureuse de Robert qui, lui, fantasme carrément sur moi, je les vois plus comme des amis.

A 20h30, me voilà au club, je salue Vanessa, la barmaid blonde et Cameron, l’assistant barman, un séduisant travesti, je l’adore, c’est devenu mon meilleur ami depuis que je travaille ici, soit depuis 5 ans, j’arrive dans la loge prévue pour nous les danseuses, Bree, Annabelle et Madison se préparent, je me déshabille entièrement et revêt mon soutien gorge en cuir qui dénude mes seins, un string ficelle, une mini jupe ultra courte et taille basse en cuir, des bas noirs qui tiennent tout seuls et des sandales à talons compensés, je complète ma tenue par une perruque noire et un collier en cuir, l’accessoire typique des soumis(es).

Me voilà prête, je débarque en tenue de scène dans la salle, la soirée commence à 21h30 très précises, Wesley, mon patron est prêt aussi, c’est à lui que je dois ce boulot et je lui serais éternellement reconnaissante, il m’a aidée à vivre.

A 21h30 précises, la soirée commence, le service d’ordre contrôle les clients et vérifie le dress code : cuir et latex, je vois des gens que je croise tous les jours dans la rue, ça me fait drôle de les voir habillés en cuir et latex, de voir certaines personnes que j’ai croisé anonymement dans la rue être soumis(es) ou dominatrices, Wesley nous fait signe, mes collègues et moi de nous diriger vers la scène où nous allons danser.

Je me dirigeais vers la scène quand un homme d’une quarantaine d’années me toise du regard, un homme blond, visage avenant, vêtu d’un tee shirt noir assez près du corps, d’un pantalon en cuir moulant, je me surprends même à rougir devant cet homme si séduisant.

Pendant une heure et demie, je me vends, je vends mes charmes en dansant, je me soumets en dansant à ma collègue Bree qui est une spécialiste du martinet et qui s’en sert avec grâce et dextérité sur ma personne, nous finissons nues toutes les quatre devant un public surexcité et admiratif.

Nous profitons de l’obscurité pour nous rhabiller mais pendant que je me rhabille, je sens des mains baladeuses qui touchent mon corps en toute impunité, je suis toute excitée, presque liquide.

Une fois rhabillée, je réajuste mon collier et ma perruque, me voila prête à nouveau, prête à subir les assauts de ces fétichistes en goguette, je discutais avec Cameron quand le gars qui j’ai vu en allant danser me regarde d’un il sensuel, je lui adresse un sourire entendu.

— Je vous offre un verre, mademoiselle ?, me demanda t’il sensuellement avec un accent américain.

— Oui … je veux bien …, bredouillais-je en rougissant.

— Cameron, ma mignonne, sers nous une vodka grey goose, s’il te plait.

— Tout de suite James, s’exclama Cameron au bel inconnu.

Et c’est ainsi que je fais connaissance avec James, un séduisant expatrié américain de 40 ans, il est photographe, il est si séduisant et j’apprends qu’il est aussi richissime à en crever mais ça, je m’en fiche, il pose sa main sur la mienne, je reconnais plus exactement son toucher, je sais que c’est lui qui m’a touché, je souris et après notre verre, il m’a entraîné dans la salle réservée aux jeux sadomasochistes, il m’arrache un baiser, retrousse ma jupe, s’installe sur une banquette, je m’installe sur ses genoux et il finit par palper mon cul en douceur avec le plat de la main.

Je n’ai pas le temps de dire ouf que le saligaud m’administre une fessée, une fessée de douze coups, j’ai mal mais je m’en fous, je dirais même que sa séance de fessée déculottée m’excite vraiment.

Je m’installe à califourchon sur lui, il m’embrasse, sa langue rencontre la mienne, il pétrit généreusement mon cul, je crois que j’ai envie de lui mais le problème est qu’à 25 ans, je suis encore vierge mais c’est décidé, je n’en peux plus, j’ai envie de découvrir les plaisirs de l’amour.

— J’ai envie de toi ma jolie …, murmura t’il d’une voix chaude.

— J’en ai envie aussi, dis je en me mordillant la lèvre.

— C’est bientôt la fin de la soirée, accepterais tu de prendre un petit déjeuner en ma compagnie ?

— Est-ce un rencard, monsieur ?

— Non ma jolie, c’est juste que j’aimerais faire plus ample connaissance avec toi …

J’acceptais de prendre un petit déjeuner avec lui et à la fin de la soirée, à 5h30 du matin, je me rhabille et en sortant du club, James m’attend, tout sourire, il me prend par la main et nous partons au petit matin …

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