Le soir venu il me fut difficile dexpliquer à Frédéric la raison de mon accord à linvitation du diner pour le lendemain. La seule raison valable qui me vînt à lesprit fut dexpliquer que javais légèrement sympathisé avec cet homme et quil avait pour habitude dinviter facilement beaucoup de personnes et quaprès de multiples refus je ne pouvais plus décliner linvitation. Il comprit ma gêne de refuser systématiquement et accepta donc linvitation.
Le lendemain comme me lavais demandé Paul je mis une de mes tenues les plus sexy : robe moulante (qui mettais en valeur ma grosse poitrine) et relativement courte. Frédéric ne me fis pas de remarque puisque cest une robe que je portais souvent en soirée et il ladorait.
Arriver chez Paul cest sa femme qui vînt nous ouvrir. Sa femme qui se nomme Jeanne est petite, relativement grosse mais ce qui me marqua le plus cest quelle semblait bien plus vielle que Paul alors que dans les faits ils ont seulement 2 ans de différence. Dès que Paul apparut je compris immédiatement que ma tenue lui plaisait énormément. Lapéritif vite expédié le couple se retira pour préparer la suite du repas. A ce moment Frédéric me dit :
-Elle est sympa même si elle parle très peu, mais lui quel moulin à parole il me saoule !!!!
-Tu comprends mieux mes refus maintenant même si avec un peu de temps il est moins désagréable.
-En attendant il minsupporte !
-Calme toi ça vas passer.
-Je le fais pour toi mais ils ne sont pas près de venir à la maison.
-Merci mon chéri.
Un bisou plus tard et Frédéric avait retrouvé un calme relatif mais il est vrai que Paul était en grande forme ce soir il me répugnait toujours mais une force invisible mattirait toujours vers lui. Il était pourtant beaucoup plus vieux que moi, gros, laid et lourd avec ses blagues vaseuses mais rien à faire lenvie de sentir sa grosse queue en moi était plus forte que tout.
Paul réapparut en compagnie de Jeanne nous invitant à quitter le salon pour les accompagner autour de la table à manger. Pour ma part il me fallait faire une pause pipi.
-Où sont les toilettes ?
-Paul intervint tout de suite :
-Suis moi je te montre.
Devant les toilettes Paul me colla contre le mur en malaxant mes seins.
-Tu me rends dingue avec cette robe tes gros seins mexcitent.
-Calme toi on pourrait nous voir
-Non ne tinquiète pas.
Il membrassa goulument et je pus sentir son sexe tendu contre mon ventre avant quil ne reparte en direction de la salle. Jétais à la fois stressé à l idée du déroulement de la soirée mais également très excité par la situation.
Le repas se passait plutôt bien, mis à part le quasi monologue de Paul qui ne manquait jamais de remplir le verre de Frédéric. Une fois le repas terminé tout le monde était un peu éméché surtout Frédéric qui avait énormément bu. Cest à ce moment que Paul proposa un strip poker et à ma grande surprise et sous leffet de lalcool Frédéric accepta la proposition et dans un regard échangé avec mon mari jacceptais également le jeu et comme depuis notre arrivée Jeanne neut pas son mot à dire. Ne sachant pas jouer jappréhendais la suite, par contre les règles pour se dévêtir était simple : le vainqueur choisissait la personne qui devait enlever un vêtement. La partie devait se dérouler en dix manches. Dès la première manche cest Paul qui remporta la victoire et il désigna à ma grande surprise sa femme. Celle-ci retira son haut laissant un apparaitre un soutien gorge dans lequel on pouvait deviner une petite poitrine. Deuxième manche et cette fois ci cest Jeanne qui gagne et certainement par vengeance elle désigne Paul qui enlève son t-shirt sous lequel était dissimulé son gros ventre poilu que je connaissais déjà. Lambiance devenait de plus en plus lourde dans la salle et peu de mots étaient échangés. Mon mari pourtant dans un état second remporta la troisième manche et indiqua à nouveau Paul. Celui-ci retira son pantalon on pouvait deviner un début dérection vu la bosse qui déformait son caleçon. A la quatrième manche Paul gagna de nouveau et il me désigna enfin. Etant peu vêtu il me suffisait simplement denlever ma robe sous laquelle je navais absolument rien. Une fois la robe retirée je pu remarquer que mon corps produisait un effet important dans le caleçon de Paul puisque lon pouvait à présent voir le bout de son gland dépassé légèrement au dessus de lélastique. Jeanne ne manqua de me complimenter sur ma plastique :
-Waouh tu as des seins superbes !
-Merci ils sont un peu gros tout de même
-Non ils sont parfaits, compléta Paul.
Sur ces paroles le regard de Frédéric devînt noir malgré son état alcoolisé.
-Oui cest vrai quils sont très gros mais ils tiennent parfaitement droits, termina Jeanne.
Sentant mon mari sur les nerfs Paul nous proposa une coupe de champagne que lon accepta, il se retira donc de la table et alla en direction de la cuisine. Une fois de retour Frédéric avala dun trait son verre et en demanda un deuxième. Les manches senchainèrent et avant de commencer la neuvième nous étions tous plus ou moins dévêtus : moi depuis un moment jétais nu, Paul lui étais toujours en caleçon, Frédéric avait seulement retiré son T-shirt et quand à Jeanne elle était depuis le tour précédent également nue.
Paul gagna et désigna de nouveau sa femme mais celle-ci étant nue le jeu pris une nouvelle tournure.
-Bon si tu na plus de vêtements alors il te faut un gage en lien avec le jeu.
— Très bien jaccepte !
Frédéric et moi étions dans lattente de ce fameux gage même si Frédéric semblait totalement ailleurs.
-Tu vas me sucer pendant une minute.
Sans la moindre hésitation elle se leva sagenouilla et entama une fellation sur la tige déjà bien raide de Paul qui ferma les yeux en signe de plaisir. La minute fut vite passée mais me laissa très excitée par ce spectacle. Jeanne refusa malgré linsistance de Paul de terminé la partie prétextant une énorme fatigue. Lorsque le jeu repris nous nétions donc plus que trois et mon homme semblait très fatigué.
Une nouvelle fois Paul remporta sans difficultés la dernière manche.
-Bon jhésite mais je vais te choisir Sarah.
-Mais je nai plus de vêtements moi aussi !!
-Oui, oui je sais donc même punition que Jeanne tu dois me sucer pendant une minute ça me permettra de comparer.
-Mais
Mon regard alla en direction de Frédéric mais il neut aucune réaction aux paroles de Paul.
-Ne tinquiète pas tout à lheure en préparant sa coupe de champagne je lui ai rajouté un petit produit demain il naura aucun souvenir dune bonne partie de la soirée. Allez viens tu as un gage à réaliser.
-Tu es totalement fou mais jai tellement envie de toi !!!
Dans la seconde qui suivit jétais à genoux devant lui avec son gros membre entre les lèvres.
-Cest sûr tu suces mieux que ma femme.
Après la fellation il resta assis pour que je puisse venir mempaler sur son sexe et une fois de plus il me remplit totalement allant jusqu’à taper le fond de mon sexe. Tout à sa joie il se mit à humilier mon mari.
-Regardes ta salope elle préfère les grosses queues, regardes quelle aime ma queue, dit lui tu préfères mon sexe.
-Chéri il baise trop bien il à une bite énorme qui me remplit bien aahhh , ouuuiii
-Tu vois je la baise mieux que toi, elle a un vrai sexe au fond de sa petite chatte bien serrée.
-Arrête de lui parler et sodomises moi avec ta grosse queue.
-Ok mais attends continues de bouger je vais te sucer tes grosses miches.
Il me suça les tétons comme un dingue et simultanément il malaxait mes seins ce qui augmenta mes cris même si je tentais de les contenir pour ne pas réveiller Jeanne.
-Après ce traitement je me mis à quatre pattes et il entra dans mon petit cul après une longue préparation buccale. Malgré la préparation la pénétration fut douloureuse mais après quelques va et viens le plaisir lemporta sur la douleur. Après quelques minutes il intervertit les orifices il joua à changer de trous ce qui me fis hurler de plaisir. Jusquau point de non retour pour lui.
-Aaaahh , je vais jouir dans ton cul !!!
-Non attends
Linstant daprès son sexe était placé entre mes deux gros seins pour une branlette espagnole tout en ayant son gland au fond de ma bouche. Le plaisir fut immédiat et il inonda le fond de ma gorge de sa semence chaude.
Il membrassa et après mettre rhabillé je pus installer Frédéric dans la voiture. Celui-ci était livide et ne laissait toujours paraitre aucune expression sur son visage.
Le lendemain il eut un mal de crâne terrible et il me fallut beaucoup dimagination pour lui conter la fin de la soirée.
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