Ceci est une adaptation d’une BD que j’ai récemment feuilletée. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé n’est en aucune manière fortuite.
Je m’appelle Nathan, et je viens juste d’avoir 19 ans. Vous savez ce que c’est quand on est un peu timide. Je n’ai presque pas d’amis, pas de copine bref pas de vie sociale. On me dit tout le temps que j’ai un caractère de cochon, méprisable etc. je m’en fou en fait : parce que c’est le seul moyen que j’ai trouvé pour me défendre. Plus jeune j’étais l’objet de raillerie au lycée et dans tout le quartier. Pourquoi ? Je suis légèrement efféminé. 1 mètre 70 environ, l’allure fine et les manières. Bref tout le tralala. Ça doit être parce que j’ai toujours vécu aux cotés de femmes : Ma mère a eu 5 enfants 4 filles et moi le dernier et seul garçon.
Je vis d’ailleurs avec l’une d’elle : Sandra, 25 ans, plutôt mignonne mais elle a le chic pour s’attirer des mecs idiots. Son fiancé Marc, 30 ans, 1 mètre 80, tout dans les muscles rien dans la tête. Glandeur professionnel. Il passe le plus clair de son temps à la maison à se mater des films pornos. Heureusement on se voit qu’au dîner car je les snobe la plupart du temps au profit de ma webcam qui m’évade de ma vie pourrie. Les choses ont très vite évolué dans notre petite maison. Soyez patients je vais tout vous raconter.
Un soir je rentre des cours, je pousse la porte d’entrée et je trouve Marc au salon. Il me salue mais je le snobe. Je vais prendre une bière dans le frigo alors il me lance :
– Tu me snobes mais tu vas te servir dans mon pack de bière, que j’ai acheté avec mon argent
– Pfff dit toi que c’est le tribut pour culbuter ma sur tous les soirs ; Je vous entends souvent tu sais ! Tu la fais grimper au rideau. C’est bien !
Il sert les dents et se lève de son siège en gueulant :
– Mais de quoi je me mêle ? espèce de ?
– De quoi Marcounet ? Bon je vais te laisser avec ton film. Je monte dans ma chambre.
Je le plante la et je monte dans ma chambre. J’adore enrager les gens. D’ailleurs j’allume mon ordi, branche ma webcam, direction Xstory pour me payer des têtes. Comment ? Bah ce que j’aime plus c’est me payer la tête des vieux qui chattent avec les minettes. Donc j’ai emprunté (secrètement) une mini-jupe à ma sur, un soutif rembourré rose, un string rose et une veste en cuir rouge et une perruque. Je suis un imberbe à presque tous les niveaux. Donc mes cuisses, mes bras et tout le reste sont très lisses.
Croyez-moi je suis très convaincant, non : « convaincante ». La blague consiste en : Se « travestir », se maquiller, trouver un pigeon, le chauffer un max et quand il est pris, lui révéler que je suis un mec. C’est très drôle. Mon petit manège commence et dure plusieurs minutes. Soudain j’entends des pas et la porte de ma chambre s’ouvre brusquement. Je me retourne et c’est Marc. Il me regarde l’air ahuri. Mon cur bat la chamade, je suis pris la main dans le sac. C’est gênant je suis habillé et positionnée comme une petite pute:
– Qu’est-ce que tu fais la Marc, on t’a pas appris à frapper ?
Il lève les mains et hurlant des « désolé ». Alors je décompresse, a priori, je peux gérer la situation. Alors il ajoute :
– T’inquiète je garderais le secret. A propos de ton travestissement.
– Ce n’est pas du travestissement. Je me paye juste la tête de quelques vieux. Tu veux voir ? regarde celui-là je vais justement lui dévoiler que je suis un mec déguisé :
Il me regarde faire, la mine intriguée. Je m’amuse et je prends mon pied à dévoiler à un autre gros balourd qu’il s’est fait avoir. Marc me fixe toujours hébété.
– Tu es malade, me lance-t’il. Tu crois que c’est drôle ?
– Moi en tout cas je trouve ça drôle.
Une idée me vient soudain, je tourne ma chaise et me retrouve face à lui, au niveau de sa braguette. Alors je soulevé mon pied droit et le pose au même niveau et je sens sa bite qui a durcie.
– Ho Marcounet, Mon gentil et désormais déviant beau-frère, TA BITE A Durcie. Ce serait moi qui te ferais cet effet ? Tu aimes voir ton beau-frère en mini-jupe et soutien-gorge?
Il est tétanisé, et comme il ne dit rien, je baisse sa braguette et sors sa queue de son bermuda. Un sacré morceau. Elle est déjà bien dure. Je ne sais pas trop, je ne réfléchis plus bien, parce que j’ai envie la de la mettre dans ma bouche. J’en ai des palpitations dans tout le corps. J’hésite mais me ressaisis vite. Regarde vers lui, Il a les yeux grands ouverts :
– Beau-frère, lui dis-je en récupérant mon téléphone de l’autre main sur la table, tu sais que ce n’est pas bien de bander en matant le petit frère de sa fiancée ? hmmm je me demande ce que ma sur en penserait.
Clic Clic. Je lui dis ça en lui montrant la photo de sa bite que je viens de prendre sur mon téléphone et je me mets à rire ! En lui faisant comprendre que je compte bien le faire chanter. Du blé, des corvées tout ce qui me passera par la tête.
– Hey Nathan mais qu’est-ce que tu fais ?
En une seconde, il me plaque au sol en tentant de récupérer le téléphone. Il finit par l’arracher mais reste au-dessus de moi et je le vois sourire. Alors il dit :
– Maintenant on va voir qui sera le jouet de l’autre. Tu t’es déguisé comme une salope a ce que je vois, alors je vais réaliser ton souhait, tu seras une salope.
Cette phrase m’envoie comme une décharge dans tout le corps. Une décharge d’excitation. Avec une seule de ses mains, il me serre les miennes, et de l’autre il commence à me prendre en photo, ensuite il déboutonne ma petite chemise en dessus de la veste en cuir, le soutien-gorge est visible, il continu de me photographier. Je me débats, je hurle mais rien n’y fait, il est trop fort pour moi ? il retire le soutien-gorge, Clic Clic. Je commence à pleurer. Quand il a fini, il me lâche en me montre les clichés numériques. Je suis toujours allongé.
– Non Marc Bâtard, fou je te déteste.
– Oh ! s’exclame t-il, ne me dis pas que tu ne peux pas prendre une dose de ta propre médecine !? Je vais envoyer ces images à tout le quartier, tu ne pourras plus sortir d’ici sans te faire huer
– Non Marc je t’en prie ne fais pas ça.
– Ah Non ! Je ne le ferais pas, mais
Il s’arrête net, et me fixe longuement de manière lubrique. Ensuite, sa main se dirige vers moi, vers ma poitrine, vers mes tétons. Il tire et presse.
– Oh ha. Qu’est-ce que tu fais Marc ?
Il dépose le téléphone, et commence à me caresser les cuisses. Sa main me traverse le corps et l’autre continue de me presser les tétons. Il soulevé ma mini-jupe et déchire le string :
— Oh mais je comprends ma petite salope : Tu as une petite bite, c’est pour ça que tu es si efféminé !
Sa phrase me choque et des larmes coulent sur mes jouent désormais, il est en train de m’humilier. Je continue de le supplier d’arrêter, lui continue de me
– C’est de la violence, c’est un viol espèce de pervers, tu es un pervers.
– Arrête de chouiner salope, hypocrite, ta bouche parle mais ton visage dit autre chose, tu aimes ça, tu es en extase. Et ta petite bite de fiotte te trahit : Tu bandes.
Il se saisi de mon sexe et commence à me masturber. Je Je commence à m’oublier, je ne m’entends plus geindre, mais gémir. Tantôt je pleure quand même: j’ai honte, je suis à sa merci.
Il me porte et m’allonge dos contre le matelas les jambes repliées. Je sens quelque chose à l’entrée de ma raie. C’est son doigt, il pousse doucement ; C’est là que tout a dégénéré : j’ai commencé à voir flou, tout mon corps est devenu raide, j’ai couiné, haleter. Une intense sensation de plaisir m’a traversé le corps. J’ai Joui. Marc s’est mis à rire en répétant :
– Maintenant, Ose me dire que tu n’es pas une petite salope.
To be continued…