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Le meilleur de la famille – Chapitre 5




Lundi 17 juillet 1972

 Les contours du rêve s’évaporèrent quelques jours plus tard ; seules persistèrent les images de Ludivine et de Camille réunies, sans oublier le souvenir troublant d’avoir pris mon pied, du moins j’imaginais l’orgasme ainsi. Les séances de masturbation désormais quotidiennes servaient à reproduire l’étrange phénomène. En résultait l’énervement de ne pas y arriver doublé de cernes bleutées sous les yeux. Pourquoi était-ce si difficile de jouir ? Le mystère restait entier.

  Alors ! C’était comment ? gloussa Camille installée en tailleur sur le lit.

 Le retour de la cousine de bon matin faisait du bien au moral. Son premier geste avait été de se débarrasser de ses fringues comme d’un costume de carnaval dans lequel elle s’était sentie enfermée.

  Étrange, mais vachement bon, je ressentais des picotements partout. Ses mains sur ma taille, son souffle dans mon cou…

  Elle t’a embrassée ?

 Je n’avais pas résisté au plaisir de raconter ma rencontre avec Viviane au Lady, pour le rêve, on verrait ça plus tard.

  Non, dommage. En fait, elle a disparu quand la conversation a dévié sur ta mère et Alice.

  Tu dis qu’elle nous a vues nous embrasser sur la plage, ressassa Camille en pleine réflexion. On devra retrouver l’endroit, ta danseuse y traîne certainement dans l’espoir de te revoir.

 J’avais du mal à être emballée par la proposition, inquiète qu’une autre rencontre ne ternisse la magie de la première. La soudaine présence de Ludivine au montant de la fenêtre retint mon attention ; elle aussi avait repéré notre manège, peu importait de savoir quand et comment. L’acuité de son regard en disait long sur la volonté de se tenir informée de nos moindres gestes.

  On va faire des courses avec Alice. Vous devriez profiter un peu du parc, la femme de ménage veut nettoyer la chambre.

 Enfin seules, ou presque ! Cathy n’était pas du genre à se montrer indiscrète. On fila, non sans avoir récupéré un nouveau cahier dans le carton à dessin.

  Vous en avez pour longtemps ? demandai-je par acquit.

 La femme de ménage posa le balai le long de la cloison.

  Toujours le lundi, il me reste à passer la serpillière dans votre chambre puis dans le salon. Je m’occuperai de la cuisine le temps que ça sèche.

 On quitta la maison à l’instant où la grille claquait sur Alice et Ludivine.

  

 Le magnétophone à cassette, un gadget moderne dont les jeunes abusaient, trônait sur la table. Camille lança une série de slows, l’envie la démangeait de connaître l’étrange perception ressentie dans les bras de Viviane. Jalousie ? L’idée m’amusa. L’avventura de Stone et Charden lui offrit l’opportunité de m’enlacer, sa bouche s’empara aussitôt de la mienne comme pour dire « Ça, elle ne te l’a pas fait ».

 Sans violence, sa langue se fit pressante, inquisitrice, ses mains s’animèrent sur mes hanches. Je soupirai d’aise de sentir nos désirs s’accorder. Car il s’agissait bien de cela, un désir physique, le besoin de toucher, d’embrasser, de caresser, de s’approprier l’autre dans une communion charnelle. La fin de la chanson nous laissa pantelantes, effrayées par ce début de débordement.

 On reprit notre souffle devant le cahier, assises côte-à-côte, sans oser nous regarder de peur d’être entraînées à nouveau. La passion balbutiante dans mes entrailles faisait de Camille une icône dont il me fallait obtenir les faveurs et devenir l’unique égérie, avant notre départ vers d’autres aventures. On coucherait ensemble ou la frustration causerait notre folie.

  J’ai commencé ce dont on a parlé, gronda-t-elle d’une voix trop grave pour pointer un retour à la raison.

 Deux doigts enfouis jusqu’à la garde dans un vagin, le pouce sur le clitoris, le dessin ne pouvait être plus expressif. Grandes lèvres boursouflées, petites lèvres écartées, haut de la vulve rose brillant de mouille, rien n’avait échappé au regard de l’artiste ; pourtant, malgré le soin exagéré du détail, l’érotisme l’emportait sur la description anatomique des gestes.

  C’est toi ?

  La nouvelle copine de mon père dans la salle de bain, gloussa Camille satisfaite de lui avoir joué un bon tour, il venait de se faire sucer.

 Ce genre de précision m’intéressait peu, même pas du tout.

  Tu as d’autres dessins d’elle ?

  Non, mais j’ai réalisé un bouquet de quelques copines des Beaux-arts.

 Envieuse, j’assistai au défilé de caresses, de mains fébriles sur des minous, de clitos malmenés par des doigts impatients ; parfois, la vue en perspective surprenait les seins en arrière plan.

  C’est de la suggestion. En fait, je les imagine comme ça en revoyant leurs visages dans ma tête. Dès ce soir, je commence une série avec toi, et ce ne sera pas du chiqué. Tu voudras bien te toucher pour moi ?

 Je ne lui refuserais rien, ni ça ni autre chose. Un bisou sur la tempe scella la promesse.

  

 Mardi 18 juillet

 Passer une soirée au Lady en compagnie de Camille, sans chaperon, avec pour seule contrainte celle de rentrer en taxi ou d’appeler à la maison, qu’on vienne nous chercher, une telle liberté valait le prix de la compréhension à Alice. J’aimais cette femme digne, gentille, généreuse, honnête, je l’aimais comme la belle-mère parfaite à défaut d’être la mère idéale dans les faits.

  Amusez-vous bien, les filles, sourit-elle au volant de la Mercedes.

 C’était notre intention. Proche de la maison, le Lady offrait l’opportunité de danser à l’abri d’une mauvaise rencontre, excepté en cas d’imprudence manifeste. Depuis hier, de provocations en accalmies, on jouait au chat et à la souris, inversant parfois les rôles afin de tromper l’impatience. Notre niaiserie se devinait certainement dans chacune de nos attitudes, mais on s’en moquait.

  Champagne ? proposa la barmaid au souvenir des deux bouteilles vidées mercredi dernier.

 Le sourire de la blonde témoignait du plaisir de me revoir ; elle évalua la présence de Camille accrochée à mon bras d’un il expert en relations amoureuses féminines. Notre attitude ressemblait à une illusion au milieu de toutes ces lesbiennes affirmées malgré la proximité affichée. On commanda deux bières.

  Mets ça sur ma note, commanda une voix dans mon dos.

 La présence de Viviane me surprit à peine. Son arrogance ressemblait à celle d’une nana en présence de son ex copine, elle avait déjà tournée la page, sa main sur la hanche de sa dernière conquête en témoignait. Tant mieux, car cette assurance déplacée rompait le charme.

  Il y a un air de famille, c’est marrant.

 Un vent de panique rafraîchit l’atmosphère, tremblante, Camille se blottit contre mon bras. Moins honteuse qu’agacée, je déclinai l’invitation.

  Laisse tomber, on ne se doit rien. Ce n’est pas comme si on avait couché ensemble, pas vrai ?

 Là, j’avais trouvé la phrase méchante par excellence. La barmaid privilégia mon billet de 50 Frs posé sur le comptoir. Un sourire penaud accompagna le haussement d’épaules, Viviane s’éloigna sans un mot.

  On va danser après ?

 Heureuse de l’apaisement, j’enlaçai Camille avec conviction. La peau de son dos nu au niveau de la taille raviva un désir latent.

  Allez-y, les filles, pouffa la blonde nimbée de la vapeur d’eau du lave-vaisselle, je surveille vos verres.

  

 On avait attendu l’incontournable série de slows, j’en avais rêvé au point de planifier la soirée, de m’assurer du lieu et de l’instant, de choisir nos tenues un rien provocantes, de réussir à écarter Alice et Ludivine, d’envoyer balader Viviane, de me croire capable d’influencer la nature ; le souvenir de notre étreinte la veille au bord de la piscine sur les notes de L’avventura laissait augurer un parfait tremplin romantique.

 Je me sentais prête au grand saut, mon corps aux formes épanouies de femme l’était sans conteste, tous mes sens l’étaient, ma conscience se nourrissait de cette perspective. Camille donnait l’impression de l’être autant que moi, de partager mon impatience de la première fois, comme si on s’était mutuellement attendues dans nos existences passées. Ce soir serait « Le Grand Soir ».

 Les autres autour de nous n’existaient plus, elles participaient à la composition d’un décor. On se trémoussait face à face, les yeux dans les yeux, attendant le signal donné par la réduction des lumières. À cet instant précis, j’aurais juré être amoureuse, Camille aussi ; du moins, c’était comme ça dans les histoires romancées dont je me nourrissais depuis l’adolescence.

 L’illusion de la passion s’envola dès l’entame du premier slow, on se regarda comme deux complices contraintes de danser l’une avec l’autre pour se consoler de l’absence d’invitation. Un bécot ne réveilla même pas le désir de nous embrasser, on en rit pour se donner bonne contenance. Perdre mon pucelage cette nuit dans ses bras resterait une douce chimère.

 On retrouva notre place au comptoir après le premier slow. Dans un sens, le retour à la normalité de nos émotions se voulait rassurant ; le jeu de la découverte entre cousines pouvaient s’avérer sympa à condition de ne pas déraper sur les sentiments. Non, seule la recherche de l’expérience du plaisir devait nous guider. J’aimais Camille bien sûr, mais pas comme ça.

  Qu’est-ce qu’il y a derrière ? demanda-t-elle d’un ton neutre.

 La disparition d’une serveuse par une porte dérobée que je n’avais pas remarquée m’intrigua. Le sens de l’observation de l’artiste avait encore fait ses preuves.

  Un club privé, sourit la barmaid en comprenant nos intentions, c’est réservé aux membres et à leurs invitées.

  

 Attendre les yeux rivés à la porte, épier la sortie d’une femme isolée, l’inviter à boire un verre, l’amener à devenir notre complice, tout cela avait demandé plus d’une heure ; on pénétra dans le club avec Angélique, photographe sur les plateaux de tournage de cinéma, actuellement en vacances au Cap d’Agde. On avait prévenue la quinquagénaire, pas de sous-entendus, la curiosité seule nous poussait.

 Cette fois, le dancefloor était au centre du salon plus petit, la musique douce inspirait la sensualité, des rambardes de bois ajourées définissaient des espaces bien éclairés sans rien cacher des banquettes voisines accolées aux tables. Ici, on venait voir ou s’exhiber. Les ongles de Camille incrustés dans ma cuisse m’alertèrent ; elle avait déjà remarqué un spectacle intéressant.

 À moins d’un mètre, deux femmes s’embrassaient à pleine bouche, les traits tirés, les narines pincées. Elles se baisaient mutuellement à coups de doigts violents dans leurs intimités, ignorantes de la présence des voyeuses. J’aurai juré ce genre de comportement réservé aux hétéros, c’était mal connaître la sexualité lesbienne qui ne s’encombrait d’aucun complexe. La serveuse déposa une bouteille de champagne.

  Bienvenue au paradis de la méditation érotique, gloussa Angélique en remplissant les coupes, un lieu consacré à Artémis la chasseresse, déesse des jeunes filles, et à ses nymphes. Conserver sa virginité intacte par aversion pour les hommes ne la priva pas de l’amour physique de ses congénères. C’est une légende, mais on a envie d’y croire.

 Fallait-il prendre conscience d’une perche tendue dans la déclaration philosophique de notre hôtesse ? On lui avait tout raconté, de notre niaiserie à nos attentes, du besoin d’avancer sur la découverte du plaisir sans nous préoccuper de savoir si cette route était la bonne ou un raccourci jusqu’à la révélation de nos véritables identités sexuelles au détour d’une rencontre amoureuse.

 Mon désir d’appartenir à ce monde exclusivement féminin résultait peut-être d’une peur immodérée de la face cachée de la lune dont l’origine prenait sa source dans une enfance puis une adolescence pauvre en image masculine de référence. Comment savoir si mon corps apprivoisé ne réclamerait autre chose ? Un gentil garçon pourrait-il me faire changer d’avis ? Pas maintenant, le simple fait de réfléchir au lieu de profiter de la situation était déjà assez déstabilisant.

 Le regard concentré d’Angélique nous poussa à tourner la tête. Deux jeunes femmes se déshabillaient au rythme lent de la musique, le dancefloor devenait scène de théâtre si près de nous que les yeux brillants des protagonistes pénétraient ma propre chair. On avait le choix entre attraper un torticolis ou rejoindre notre hôtesse sur la banquette ; je me retrouvai au milieu.

  

  C’est beau de voir deux femmes faire l’amour, hein ?

 Le souffle d’Angélique flatta mon oreille, sa main emprisonna mon genou. Surtout ne pas bouger, ne pas inciter le serpent à remonter, faire semblant de rien, de profiter du spectacle, se contenter d’un vague hochement de tête pour réponse. Alertée par un léger coup de coude, Camille m’offrit un sourire en demi teinte ; innocent en apparence, le geste ne méritait pas de m’inquiéter.

 Pourtant, sans tourner la tête, le regard de la cousine déviait du dancefloor comme si la promesse d’une nouvelle attraction la faisait saliver. Angélique remplit nos coupes, sa main en profita pour remonter le long de ma cuisse, le doute s’envola. Rassurée par mon inertie, décidée à ne pas me laisser le loisir de réfléchir, la vieille poussa son avantage en faisant semblant de rien.

 Quand la paume se plaqua sur mon entrecuisse à travers le short, une force invisible me plaqua contre le dossier de la banquette. Camille tourna la tête cette fois, son regard me renvoya une image de moi inconnue. Le zip de ma braguette crissa si fortement que je m’attendis à devenir le centre de toutes les attentions.

 Angélique, attentive à la scène sur le dancefloor, ne perdait plus de temps, sa main s’infiltra dans ma culotte. Une délicieuse chaleur me priva de toute volonté, dont celle de me défendre. Curieuse, la cousine souleva mes fesses de la banquette pour faire glisser mon short. La garce ! L’autre se contenta de sourire, toujours sans me regarder. Peut-être était-ce cela le plus dérangeant.

 Je m’attendais à me faire astiquer le clito en vitesse, Angélique enfouit un doigt dans ma vulve. La sécheresse du contact se dissipa aussitôt au profit d’une heureuse moiteur, mon corps acceptait l’intrusion, la réclamait. L’avalanche de sensations m’interdisais de penser, la bouche de Camille s’imposa sur la mienne.

  Caresse ses seins, gronda une voix troublée.

 Comme si elle en avait attendu l’ordre, la cousine détacha ma chemise.

  Embrasse-les, lèche ses tétons.

 Directive, Angélique n’en finissait pas d’explorer mon intimité de fond en comble,  de réveiller sa sensibilité. Le contact de la langue sur mes tétons me fit sursauter, puis le bruit de succion m’étourdit. La présence d’un doigt un peu plus profond en moi sema un doute de circonstance. Mon pucelage… Oh merde ! Qu’elle fasse n’importe quoi, mais qu’elle continue ! C’était trop bon.

 Les yeux ouverts, je ne voyais plus rien. Me faire lécher les seins par la cousine, me laisser caresser par une vieille inconnue, tout ça en public, je n’allais pas me réveiller sans en avoir profité. Angélique débusqua mon clitoris d’un pouce nerveux en caressant ma vulve, les mains de Camille n’en finissaient pas de malaxer mes globes en alternant les coups de langue d’un téton à l’autre.

 Je me raidis, incapable de retenir la déferlante du plaisir, les lèvres pincées comme si je voulais garder pour moi ce moment de pur bonheur. Quand enfin mon regard s’ouvrit sur le monde alentour, la cousine me souriait. Angélique observa son doigt brillant puis le lécha avec gourmandise ; pas besoin d’être lesbienne pour comprendre qu’elle aimait le goût de la mouille.

 Les femmes sur le dancefloor aussi sans doute, elles se léchaient goulûment la chatte. Le spectacle m’intéressait moins après avoir pris mon pied, je me contorsionnai afin de remettre de l’ordre dans ma tenue vestimentaire. À la table voisine, une petite brune me lança un sourire complice, rien de la scène ne lui avait échappé.

  

 La présence de Ludivine dans le parc n’avait rien de surprenant malgré une fraîcheur relative à 2 heures du matin. Alice dormait, alors elle patientait dehors pour ne pas faire de bruit. Il ne s’agissait nullement d’un manque de confiance, plutôt du besoin de savoir si la situation avait évolué entre Camille et moi après la révélation de la semaine passée. On était des cousines germaines.

 La curiosité ne s’encombrait d’aucune timidité ; voir sa fille et sa nièce se livrer à des petits jeux érotiques ne la dérangeait pas, peut-être même aimerait-elle participer, nous servir d’initiatrice. Mais la crainte d’une histoire sérieuse entre nous lui commandait de garder les yeux ouverts. Que tata se rassure, l’amour n’était plus une option cette nuit, ni la perte de ma virginité. J’avais déjà joui.

  Ça va ? demanda Ludivine inquiète de mon détachement relatif.

  Oui, juste un peu fatiguée.

 Mon empressement à répondre reflétait la réalité, mais masquait surtout la crainte de voir divulgués les détails de notre sortie. Angélique, dont l’attitude était redevenue celle d’une charmante quinquagénaire, avait offert une autre bouteille. Je découvrais quelques vertus à l’alcool, dont une certaine relativité dans l’ordre de mes priorités. Ce soir était le prologue d’une histoire à écrire, avec le plaisir en fil conducteur.

 Et Camille méritait un peu d’attention de ma part, que je ne pouvais pas lui accorder en présence de sa mère. L’envie de la caresser m’obsédait depuis notre départ du Lady, d’embrasser ses seins, d’en lécher les pointes, de mettre un doigt dans son minou, de… Le retour d’une certaine excitation me brouilla l’esprit. Une nana pouvait-elle éprouver du désir après un orgasme aussi intense ?

 Dès demain, je répondrai à la proposition de Ludivine de m’enseigner les secrets de la libido féminine, des moments intenses en perspective à partager avec ma complice. Mère ou tante, une femme se devait d’éclairer les jeunes générations sur les nombreuses questions existentielles, le sexe en était une, peut-être la plus importante à l’esprit d’une nana de 18 ans.

  Allez vous coucher, mes chéries, et en silence. Bonne nuit.

 Le manque d’insistance de Ludivine pour connaître la teneur de notre soirée me parut bizarre.

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