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Unif Sissy Transformation – Chapitre 1




Je mappelle Alexandre. Jai 19 ans. Ayant juste commencé luniversité, mes parents qui ont les moyens ont acheté un appartement en ville, juste à côté du campus universitaire. Appartement que je partage avec ma sur jumelle, Alycia.

Enfin, plus exactement, que je partageais. Parce quaprès quelques mois de colocation, Alycia a préféré sen aller. Il faut dire, je ne sais comment notre « uf » a été partagé, mais bien quelle soit la fille, elle a toujours été les muscles, style garçon manqué, et moi la tête, plus intelligent mais plus faible quelle. Plus maladif et sensible aussi. Et un peu pervers. La voir se balader dans lappartement en petite culotte et sweet-shirt me rendais fou. Après de longue soirée de fantasme masturbatoire, je me suis enhardis et ai piqué quelques-unes de ses culottes usagées pour me masturber dedans le contact doux de ces tissus contre mon sexe mont tellement plu, que je me suis mis à mettre ses petites culottes, et à me masturber avec la culotte sur moi cétait divin ! Malheureusement elle ma pris sur le fait. Je me suis retrouvé en moins de deux secondes au sol, elle sur moi, à me baffer et me traiter de pervers puis elle a décidé de quitter lappartement, et daller prendre une chambre dans un dortoir de luniversité, avec ses amies. Elle ne voulait plus partager un appartement avec un « pervers » selon ses propres termes en plus elle est partie en laissant ses vêtements, car ne sachant pas ce que javais fait et avec lesquels, elle se disait « dégoutée », et quelle « noserait de toute façon plus jamais les remettre sur elle ».

Je me retrouvais donc seul dans ce grand appartement ce qui me plaisait énormément. Etant considéré comme un « geek » je navais pas beaucoup damis, et ayant difficile à créer des liens sociaux être seul était ce que je préférais ! Enfin, cest le mantra que je me répétais sans cesse bien sûr je rêvais davoir pleins damis, je préférais être cool, beau, joyeux, sociable, je fantasmais avoir plein de filles folles de moi, et avoir du sexe à nen plus finir mais voilà, mission impossible pour moi. Alors je préférais me répéter que jétais mieux seul, dans mon grand appartement tout vide

Le hic, cest que mes parents ne lentendaient pas de cette oreille ! Les coûts et charges de lappartement en plus des charges du dortoir dAlycia étaient assez conséquents, et même si ils pouvaient le payer, mon père gagnait bien assez pour cela, mais ils voulaient me responsabiliser face au coût de la vie. Alycia étant partie par ma faute, je devais trouver un nouveau colocataire. Les charges quil ou elle payerait me serviraient dargent de poche, car je nen recevrais plus de eux. Je tins un bon mois et demie puis, à sec et la mort dans lâme, je fus obligé de mettre les affiches un peu partout dans les halls de luniversité pour mon annonce de recherche dun colocataire.

Je neus pas longtemps à attendre, je reçu un mail de « Joliminoi » avec lextension de lunif, me demandant quand une visite de lappart était possible. Ce samedi après-midi, jattendais sa visite, nerveux, une boule dans le ventre quitte à être obligé de partager lappart pourvu que ce soit avec une jolie fille et peut être un peu nymphomane ce serait pas mal ? Pourvu que ah on sonne

* *

Je mappelle Mike. Jai 19 ans. Après une bonne année de glandouille, mon père ma quasi obligé à aller à luniversité. Faut dire quon est une lignée de magistrats influents et autre médecins éminents de père en fils depuis des générations alors un chômeur ça fait pas bon dans larbre généalogique Ceci dit mon rêve nest pas de glandouiller évidemment. Jétais le meilleur quater back de mon école. Une carrière sportive, cétait ça mon rêve. Javais le physique pour. Grand, bien bâti, le teint halé des « riches blancs du sud », les cheveux blonds coupés en brosse, je suis un cliché sur patte. Mais je suis né comme ça, quy puis-je ? Et jai le mental pour aussi. Ambitieux, fort, un mental dacier.

Le souci, cest que je my suis pris un peu tard pour lunif. Jai pu minscrire en fac de droit sans soucis, mais pour dormir Pas question de faire les navettes entre chez moi et lunif, cétait bien trop loin. Et plus aucune place qui se libérait dans les différents dortoirs loués par lunif tous les appart était pris, et le seul qui sétait libéré métait passé sous le nez. Un groupe de filles était juste passé avant moi. Très jolies au demeurant, surtout la petite, Alycia. Je lai même un peu draguée, mais quel caractère, elle ma rembarré, ce qui ne marrive pas souvent ! Lesbienne, pour sûre aaah parfois jaimerais bien être une mouche et assister à leurs soirées, dans leurs chambres de fille ça doit être hot, hot, hot !

Mais cela ne résout pas mon souci de logement. Mon père réussit à persuader sa bigote de sur, ma tante, à me loger. Mais elle nhabitait pas tout près de lunif, et du style vieille fille acariâtre, on faisait pas mieux. Bien vite, jen eu marre de faire la navette et de supporter le caractère de ma bigote de tante ! Cest à ce moment que je tombais sur une affiche, pour une colocation. Un bel appartement selon la description. Et juste en face du campus. Génial ! Je demandais à une copine de classe si je pouvais envoyer un mail à partir de son adresse, car ma tante nayant pas dordinateur, et encore moins internet, je navais pas encore créer la mienne. Le lendemain, elle mannonça quune réponse était arrivée, et que le gars, un certain Alexandre, mattendait samedi. Génial ! Mon problème de logement allait sans doute se résoudre bientôt ! Bon jaurais préféré que ce soit une colocation avec une superbe blonde, et un peu nymphomane sur les bords ça naurait pas été mal mais bon, on se contentera d « AlbatorAlex », selon son pseudo

Le samedi, à lheure pile, je me rendis à lappart, idéalement situé, et sonnais plein despoir

* *

On sonne je vais ouvrir et découvrir « joliminoi ». Une rousse en minijupe, sil vous plaît, une jai ouvert la porte et reste pantois merde ! « Joliminoi » est un type, de deux fois ma carrure, une fois et demie ma taille, le teint hâlé larchétype du type que je déteste (et qui me le rendent bien !) : le gars beau, grand et fort !

* *

Jai sonné, et on vient mouvrir. Raté pour la blonde nymphomane, ça je le savais déjà, mais le « Alexandre » me dévisage, la bouche pendante bon, il ne sattendait pas à moi non plus. Comme le gars ne semble pas beaucoup bouger, je décide de prendre les devants. « Bonjour ! Tu dois être Alexandre ? Je suis Mike, et je cherche vraiment un logement je peux entrer ? » Je suis convaincu que la vie, cest comme le foot : sil ny a pas douverture possible, faut enfoncer les lignes et créer toi-même louverture ! Sourire sympathique, main tendue et serrée (il a les mains moites !) et je joue un peu de mon physique, gentiment, mais fermement et me retrouve vite dans le living. Je connais de loin ce type, le geek en fac de commerce. Les copains du foot sen moquent souvent. Cest vrai quil est pas très grand, plutôt frêle de constitution, pâle de peau, pas très poilu, lunette dépassée et T-shirt au logo dune marque dinformatique il sest mis sur son 31 le coco !

Il me fait visiter lappart, pas vraiment enchanté. Mais lappart est génial ! La chambre est grande, la salle de bain aussi et super équipée, tout comme la cuisine, le living est lumineux et spacieux et la TV HD et à écran plat. Le rêve. Et à cinq minutes du campus. Même pas, une rue à traverser. Cet appart il me le faut, il est trop génial !

* *

Génial ! Je le connais en plus le gars, cest la nouvelle star du foot de lunif. Cest pas « joliminoi », cest « Capitaine Belle gueule ». Jaurai sorti mon plus beau T-shirt pour rien. Et en plus à peine je lui ai serré la main, il était déjà dans le living, avec son sourire « Pepsodent ». Je nen voulais pas de ce gars, pas chez moi, mais je nosais pas le chasser. Les grands et forts ont toujours eu une sorte dassise sur moi, je nose jamais leur dire non. Je lui ai donc fait visiter lappart. Et en plus il semblait emballé. Zut, et re-zut. Je nosais pas le baratiner, lui dire que lappart était déjà pris. Il ne me restait plus quune solution, la dernière parade : la visite terminée jallais chercher le contrat de colocation, et à son insu changeait le montant de la colocation, pour une somme plus importante que ce que javais prévu une somme dissuasive ! Puis je le lui tendis, expliquant les règles à respecter jattendis avec une anticipation sadique le moment où ses yeux tomberaient sur le montant, et où il allait pâlir et me rendre le contrat les larmes aux yeux, se cherchant une excuse pour ne pas me dire que cest impayable pour lui hé, hé, hé

* *

Cest quasi fait, je le sens ! Il est allé me chercher le contrat de colocation, je suis presque dedans. Bon, il me baratine les règles dusage, normal. De toute façon on fera un peu comme on veut, cest toujours comme ça. Alors, les clauses me semblent conformes, et le montant de la colocation wouah, il se mouche pas du pied le gars ceci-dit, lappart en vaut la peine. Je suis sûr que mon père payera cela sans sourciller, rien que pour plus avoir ma tante lui téléphoner chaque vendredi pour se plaindre de mon attitude non chrétienne et remettre en question sa façon délever son fils ! Je souris au gars et lui demande un stylo pour signer le contrat. Oh, oh oh, sa tête ! Il sy attendait pas, pour sûr ! Aurait-il essayé le coup du montant dissuasif ? Il était bien en dessous alors ! Raté, le geek ! Tu devras me supporter, hé hé

* *

Quoi ? Nooooon ! Il nallait pas signer ? Si, il allait le faire ! Il me demandait même un stylo ! Et moi, comme un con, au lieu de lenvoyer bouler je lui en tendis un, en lui demandant avec ma petite voix « Un stylo-bille ça fera laffaire ? ». Il sourit « Cest parfait ! », le prit et signa le contrat. Nom de nom ! Jallais devoir faire avec lui comme colocataire ! Oooooh pourvu quil ne ramène pas de filles tous les soirs, bonjour le bruit à moins que je pouvais peut être faire un trou dans le mur pour espionner leurs ébats et Une tape sur lépaule me ramena aux réalités présentes

— Alexandre, je suis vraiment content davoir signé ! Je sais quon ne se ressemble pas beaucoup, mais lappart est génial ! On va faire connaissance et je suis sûr quon va bien sentendre !

— Je Merci Mike. Jespère vraiment que ça va aller. En tout cas, cest signé, tu emménages quand tu veux.

Je lui tendis le double des clés, que javais préparé pour « joliminoi ».

— Je vais chercher mes affaires chez ma tante, et je reviens, vieux ! Je ne vais pas perdre une minute ! En plus, ya match pour le super bowl ce soir !

Il me sourit, re-tape sur lépaule et sen va, claquant bruyamment la porte. Et merde !

* *

Jétais sur un petit nuage ! Javais signé, jallais vivre dans cet appartement génial ! Je pris la voiture, alla chez ma tante, empaquetant mes maigres affaires en un temps record. Je remplis mon coffre et le siège arrière de la voiture de cartons, sacs, vêtements, Jaurais voulu lenvoyer bouler la vieille bique, mais on en aurait parlé pendant au moins trois générations lors des dîner de famille donc je fus le plus gentil possible, lui expliquant que je ne voulais pas la déranger plus, que ce serait mieux pour moi dhabiter près du campus et que je la remerciais beaucoup beaucoup. Je savais que la première chose quelle ferait quand je serai parti sera de téléphoner à mon père pour le lui dire, et le mettre en garde contre la vie de débauche des étudiants, mais je nen avais cure ! Javais déjà laissé un message sur la boîte vocale de mon père (pour le montant de la colocation surtout), et il mavait répondu dun laconique sms « Ok ». Je roulais, lesprit léger vers mon nouveau chez moi. Et mon colocataire ne semblait pas bien méchant. Fallait juste que je le ménage un peu, tous ces geek, sont juste un peu frustrés, avec de la gentillesse et des bonnes manières, ça devrait aller, jen étais sûr.

En plus je pouvais prendre sa place de parking dans le garage de limmeuble, lui ne conduisait pas. Le pied ! Je pris le premier carton, et remontais à lappart.

— Alex, je suis de retour

Il sortit de sa chambre, un peu pâle et confus.

— Je tu as besoin de mon aide, pour les cartons ?

— Non, je ne vais pas timposer ça. Je vais le faire à mon aise, et ranger au fur et à mesure que je monte les cartons.

Il avait des muscles en chewing-gum, je nétais même pas certains quil puisse soulever les caisses que javais bien chargées.

— Ah daccord. Je Je retourne dans ma chambre, jai un gros test lundi, je bosse dessus.

— Pas de soucis, vieux ! Tu ne voulais pas regarder le super bowl avec moi ? Jai de la bière et des chips !

— Non, non merci !

Et il retourna dans sa chambre, refermant la porte derrière lui

* *

Sitôt la porte de ma chambre refermée, je pus souffler. Il avait failli me surprendre sur le fait ! Je déboutonnais mon jeans et lenlevais. En dessous, je portais un des strings en dentelle rose dAlycia. Trop de pression, fallait que je dépressurise ! Le contact de mon sexe bandé contre la dentelle était divin ! Je me frottais doucement la tige, pensant quAlicya avait porté sa petite culotte contre son sexe à elle, sexe que jimaginais humide, ouvert pour moi je fis descendre et monter le culotte le long de ma hampe, me caressant avec lélastique du slip, pendant plusieurs minutes, puis rentrais de nouveau mon membre tendu et le branlant furieusement par-dessus le tissu je ne tardais pas à jaillir, éjaculant dans le string en dentelle rose jenlevais mon T-shirt et mes chaussettes, et me mis au lit comme ça, juste en string. Lhumidité de mon sperme me faisait fantasmer comment Alycia devait mouiller ses petites culottes quand elle était excitée

Je mendormis rapidement, épuisé par le stress vécu cet après-midi. Le lendemain, je méveillais assez tard, on était dimanche. Encore à moitié endormis, je passais un pantalon jogging sur le string rose, et allais à la salle de bain après un petit pipi, brossage de dents, puis douche, puis soudain jentendis le bruit de la porte de la chambre souvrir mes cheveux se dressèrent quasiment sur la tête ! Javais déjà oublié que je nétais plus seul heureusement que javais passé un pantalon de jogging !

* *

Après un super match de foot, quelques bonnes bières, je fis le lit de ma chambre et passais une nuit divine ! Le lendemain matin, dimanche, dès le réveil, je commençais ma journée par des exercices pour garder la forme. 50 pompes, 50 abdos, et quelques exercices de stretching, comme chaque matin. Jen étais à ces exercices quand jentendis du bruit vers la salle de bain. Alex devait être levé. En short, basket et t-shirt, javais lhabitude de courir une bonne heure avant de prendre ma douche. Je sortis de la chambre et vis très vite quAlex avait laissé la porte de la salle de bain ouverte. Prenant cela comme une invitation, je passais la tête.

— Bonjour Alex, bien dormi ?

Il cracha de surpris leau avec laquelle il se gargarisait la bouche. Peut-être quil ne sattendait pas à ce que je le salue dans la salle de bain Javoue que je ne suis pas vite gêné. La nudité ne ma jamais choqué, même la nudité masculine. Après lentraînement au foot, les douches sont collectives. Et je ne suis pas du genre timide. Donc ça ne me dérange pas de discuter dans un vestiaire, dans une douche ou dans la salle de bain, en slip ou sans. De toute façon il était habillé dun pantalon jogging, et moi aussi alors pas de soucis Il sessuya la bouche avec son essuie.

— Heu je non merci je suis pas très sport

— Il faut, mon vieux. Cest comme ça quon reste en forme ! Quoique tu nes pas très gros pour un gee heu je veux dire pour quelquun qui reste souvent assis

— Bof, tu sais quand jétais plus petit, jétais beaucoup plus gros. Et tout le monde se moquait de moi. Alors je fais attention maintenant. Et je fais du sport, mais sur la Wii, où personne peut me voir

— Faut pas être gêné mon vieux, et la Wii nenlève pas ces petits bourrelets là !

Pour le taquiner un peu, et oui jessayais de créer de la complicité entre nous, jattrapais un petit bourrelet au niveau de son ventre de surprise il en lâcha son essuie

— Et là, mais pas toucher !

Il était gêné, je compris quil ne fallait pas insister. A ce moment, il se pencha pour ramasser son essuie. Et ce que je vis me laissa pantois ! Son jogging descendant, par un mouvement inverse le haut dun string rose, en dentelle apparut le tissu dentelé enserrant ses hanches, la partie plus fine sinsinuant entre ses fesses Jen étais sur le cul ! Jamais je naurais cru ça !

Il comprit ce que je venais de voir, et devint tout rouge dans son visage Je lui souris, encore étonné

— Tu tu te travesti ?

La couleur de ses joues saccentua, il me cria un « cest pas ce que tu crois ! » et courut senfermer dans sa chambre. Je restais quelques minutes sans bouger, puis descendis pour faire mon jogging.

* *

Nom de nom de nom ! Comment avais-je pu être aussi stupide ! En me baissant je lui avais fait voir le string que je portais ! Mon secret allait être éventé ! Jallais être la risée de lunif ! Comment avais-je pu le laisser regarder ! Mike avait vu mon string ! Mike avait vu mon string. Mike avait vu mon string rose en dentelle. Mike avait vu mon string rose en dentelle avec la ficelle descendre entre mes fesses putain, pourquoi répéter cela me faisait bander ? Je bandais comme un fou dans le string. Était-ce le fait davoir été vu qui mexcitait comme cela ? Étais-je vraiment un pervers fétichiste ? Et je ne pouvais mempêcher de me branler par-dessus le tissu rose, bandant plus dur que jamais. Et jéjaculais une grosse quantité de foutre dans le string, avant de me coucher, honteux, sanglotant et encore excité Pour sûr, jaurais besoin de me branler encore quelques fois aujourdhui

* *

Courir me faisait un bien fou. Il fallait que je digère cette nouvelle donne. Pas du tout que cela me choquait. Je suis très ouvert, surtout sexuellement. Lorsque jétais à linternat il métait même arrivé de branler un copain qui me branlait. Cétait bon. Et regarder le sexe des autres sous la douche ne me dérangeait pas, certains étaient pas dégeu. Je devais être hétéro bi curieux, comme disent les sites de rencontres. Et il faut dire quAlex avait des hanches et un cul pas mal pour un garçon. Non, mais lidée qui me taraudait la tête était : que faire de linformation. Le pragmatisme, je tiens ça de mon père. Je pouvais évidemment le répéter, la nouvelle se répandrait en moins de deux dans tous le campus et on se marrait bien. Oui, mais je ny gagnais rien. Me fâcher avec un Alex humilié, et risquer de perdre lappart. Non, ce serait trop bête. En plus il y avait un côté dAlex que jaimais bien. Que je trouvais sympa. Non, il fallait utiliser cela autrement, à mon avantage. Pour renforcer ma complicité avec lui, et qui sait en récolter quelque bonus.

Une jolie blonde qui faisait son jogging vint à ma rencontre, dans le sens inverse. En me voyant, elle me sourit. Je lui fis un clin dil. Puis courut avec elle. Mon charme naturel avait encore agis, je sentais que je nallais pas passer laprem seul !

Je ne rentrai que fort tard le soir. Lappart était silencieux, Alex devait déjà dormir. Je me mis au lit et dormit comme un loir, lesprit léger et plein didées, et les couilles vidées par une charmante blonde

* *

Je dormis très mal je navais pas vu Mike de la journée. Il allait se moquer de moi et le raconter à tout le monde. Jallais être la risée du campus. Le lendemain javais envie de brosser les cours, mais javais ce test important, pas question de me faire porter pâle. Lestomac noué, je me levais et sortis de ma chambre. Mike était déjà parti, il était matinal

Après une rapide toilette, habillé de mes habituels jeans et t-shirt informes, je pris le chemin du campus. Je mattendais à être la risée de tous, mais rien ! Je croisais les étudiants qui mignoraient comme dhabitude. Pas de moqueries, pas de vacheries balancées. Même dans ma classe, à part Pitt qui me donnait comme chaque matin une tape sur la tête, rien ! Il semblerait que personne ne soit au courant. Mike aurait tenu le secret ? Etonnant, serait-il possible que jaie enfin un ami ?

Le corps libéré de ma peur, je cartonnais au test. Je me sentais tellement mieux ! La journée se passait bien, et à midi je déambulais dans les couloirs de lunif et tombais nez à nez avec ma sur et ses copines !

— Bonjour Alycia, ça va ?

— Mis à part que jai un frère pervers ? Oui ça va

Son ton était glacial. Lhistoire nétait toujours pas passée. Bon, je comprenais, me voir me branler dans ses sous-vêtements devait avoir été un choc pour elle. Tandis quelle me tournait le dos, fraternellement, je mis ma main sur son épaule

— Ecoute Alycia, je

Mais je ne pus ajouter un mot quelle me tordait déjà le bras, je ne pouvais plus bouger

— Ne me touche pas ! Jamais ! Tu entends ?

Bon, elle devait mavoir aussi entendu prononcer son nom en me branlant dans ses sous-vêtements. Elle continua à me tordre le bras, bon sang que ça faisait mal. Elle semblait vraiment, vraiment très en colère. Puis dun coup elle lâcha, puis me repoussa, tourna le dos et continua son chemin avec ses amies, qui gloussaient comme des poules. Le souci, elle mavait repoussé si fort que jétais rentré dans un gars derrière moi. Gars qui en laissa tomber le snack quil mangeait, à cause de limpact. Il se retourna vers moi, furieux.

— Cest quoi ton problème, mec ?

Il me prit par le t-shirt, et menvoya valdinguer contre les casiers du couloir. Cétait Roberto, un des centres avant de léquipe de foot. Il me détestait, et avait lhabitude de se foutre de moi. Jallais déguster cest sûr. Alycia continua son chemin sans se retourner. Lui me repris par le t-shirt, me souleva de terre et levait son poing pour me frapper. Mes jambes tremblaient de peur. Ma vie défila devant mes yeux, remplie de solitude, de moquerie, de coups reçus mais soudain une main se posa sur lépaule de Roberto.

— Laisse tomber, Rob, il na pas fait exprès. Jai tout vu, cest cette gonzesse qui la poussé sur toi.

Cétait Mike ! Mike qui prenait ma défense, ça alors !

— Je vais le déglinguer jte dis !!!

— Cest sûr, et il va se plaindre au proviseur et tu seras encore suspendu pour le match prochain. Le match contre Berkley, Roberto. Alors quon a besoin de toi !

La brute sembla réfléchir un peu. Il me secoua encore contre le casier, puis me lâcha. Mes jambes tremblaient tellement que je ne tins pas dessus, et me retrouva assis au sol, le dos contre les casiers.

Les gars sen allèrent, se moquant de ma faiblesse. Seul Mike resta en face de moi, mobservant. Puis il me tendit la main, et maida à me relever.

— Je merci.

— Cette Alycia, une vraie peste. Tu devrais pas draguer ce genre de fille, cest trop fort pour toi, tu sais.

— Cest ma sur *soupir*

— On dirait pas tu veux quon en parle ?

Et ainsi, je passais lheure de midi avec Mike, au resto du campus. Il paya le lunch, et je lui racontais tout : ma naissance avec ma jumelle, mon enfance difficile, avec Alycia dabord éternelle protectrice, jusquau moment de ladolescence où je devins un boulet pour elle, lachat de lappart par nos parents, le partage de lappart avec Alycia, mes fantasmes sur elle et sur ses sous-vêtements, comment jen suis venu à me masturber avec puis dans ses sous-vêtements, comment elle ma surpris, puis son départ à elle et sa venue à lui. Et comment il se fait que je portais un string rose le dimanche matin Après avoir tant parlé cétait la première fois de ma vie que javais dit autant de mots en une seule fois je me tus, honteux. Je réalisais que javais parlé de mes secrets les plus intimes et les plus honteux avec Mike, qui était encore quasi un inconnu le silence qui suivit fut un peu gêné

* *

Javais passé la matinée à la bibliothèque du campus, à la fois pour travailler, et aussi pour faire des recherches. Lhistoire dhier avec Alex mavait fait cogité pendant la nuit, et je parcourus le matin des articles et extraits douvrages qui parlaient de gens comme lui, timides, faibles, influençables, ainsi que dautres sur les profils des garçons qui se travestissaient, qui avait un côté féminin très prononcé. Enfin, je terminais par la théorie sur les rapports de domination qui peuvent sexercer entre gens faibles et forts. Le lien entre tous ces articles fut évident pour moi. Si je créais un rapport de domination sur Alex, je pouvais en tirer quelques avantages. La psychologie mavait toujours beaucoup plus intéressé, plus fasciné que le droit. Lexpérience me tentait vraiment. Je ne voulais pas être méchant avec Alex, mais si ce que javais lu était vrai, il se sentira mieux dans un rôle de « dominé ». Cétait en quelque sorte un peu pour son bien.

En sortant de la bibliothèque je tombais sur lui au moment où il sétait fait malmené par la fille qui mavait piqué le dernier appart du campus, Alycia, et où il allait se faire rosser par Roberto. Je pus le tirer de ce guêpier, et lui payait un repas. Il me suffit de quelques questions bien posées, et le voilà qui me racontait sa vie. Pourquoi se confiait-il à moi ? Parce que je lavais sauvé, moi qui lai surpris en questionnement de genre je deviens sans quil le sache un « mâle », un fort, qui la protégé. Et tout ce quil me disait cadrait bien avec ce que javais lu. Je cernais de mieux en mieux son profil psychologique, il avait vraiment un profil de « dominé » je rêvais de pousser mon expérience plus loin.

— Tu sais Mike, je suis pas gay, hein, cest pas parce que je mets des sous-vêtement féminin que

— Oh, tu sais Alex, ça na pas dimportance ça. De nos jours, ce qui compte ce nest pas le genre, mais le plaisir. Que ce soit avec des femmes, des hommes, les deux, quimporte. Le respect et le plaisir cest ce qui compte. Dis-moi, tu es encore puceau ?

Il baissa la tête le rouge aux joues. Evidemment quil létait encore. Tout en adéquation avec son profil psychologique. Il fallait pousser mon avantage plus loin.

— Dis-moi, quest-ce que tu voudrais vraiment, le plus, au fond de toi ?

Il réfléchit quelques instants.

— Être accepté par les autres

— Accepté, tu es sûr ?

— Non aimé je veux être aimé de tout le monde, quon mapprécie, quon ait du plaisir à me voir, être cool être bien peut être un peu beau aussi

— Et si je te disais que je pouvais taider à cela ?

— Quoi ! Vraiment ? Impossible !

— Alex, tu me fais confiance ?

Je dardais mes yeux sur lui. Cest maintenant que le lien se ferait, ou ne se ferait pas. Linstant décisif.

— Je oui jai confiance en toi.

— Je suis ton ami et je vais taider. Mais il faudra que tu fasses tout ce que je te dis, daccord ? Je vais taider à être aimé de tout le monde, ou presque.

Javais appuyé sur le mot « ami ». Il me mangeait dans la main ! Il hochait de la tête, encore un peu hésitant, mais je savais quil le ferait.

Laprès-midi commençant, il rejoint ses cours, moi je retournais à la bibliothèque. Je terminais mes passionnantes lectures. Je fis aussi un détour par les bureaux de lunif. Lannée commençant, je pouvais encore changer dorientation. Je laissais tomber le droit pour la psycho

* *

Les cours de laprès-midi passèrent tellement vite. Il faut dire que je ny étais pas vraiment. Mon esprit vagabondait. Je repensais à ce que mavait dit Mike. Dabord je nen revenais pas de lui avoir tout raconté, jusquà mes pensées incestueuses sur ma sur ! Alors quavant-hier je ne le connaissais pas, je lui avais révélé toute ma vie, mes fantasmes, ce que javais de plus intime ! Comment avais-je pu faire cela ? Était-ce parce que je me sentais à laise avec lui ? Il faut dire quil mavait bien aidé : il avait gardé mon secret et mavait protégé, face à un type de son équipe de foot. Surtout, il se disait mon ami. Je navais jamais eu dami avant.

Je repensais aussi à ce quil mavait dit : il pouvait me faire aimer des autres mais comment ? Était-ce seulement possible ? Et cette question sur la confiance. Oui, javais confiance en lui. Je voulais avoir confiance en lui, car là, à part lui je navais plus personne. A part lui jétais vraiment seul, maintenant que ma sur mavait tourné le dos.

Tout cela tournait dans ma tête, et jétais un peu perdu entre perplexité et espoir. Jétais content de retourner à lappart le soir.

Mike était dans le living, et il mattendait. Il me fit asseoir en face de lui.

— Alex, on va commencer mon programme, tu es prêt ?

Quoi quencore indécis à lintérieur, je hochais de la tête.

* *

Javais potassé mon programme toute laprès-midi, jétais prêt lorsquil rentra le soir. Je lattendais dans le living, et après lavoir mis en confiance, je commençais.

— Tu sais Alex, deux piliers pour se faire aimer des autres, cest le look et la confiance en soi. Cest peut-être idiot, et pas juste, mais lapparence joue un rôle important dans nos interactions sociales. Ton look est à revoir. Mais on verra ça plus tard parce que le look cest le plus facile à changer. Lestime de soi, lassurance joue aussi un grand rôle dans nos rapports avec les autres, parce que ça se sent. On sent les faibles, comme on sent les forts. Pour le moment je ne vais pas faire de toi un fort, mais quelquun qui est fier de ce quil est. Tu aimes porter des petites culottes de fille à lappart ? Et bien sois en fier ! Pourquoi le cacher ? Si cest ce que TU aimes, TU dois en être fier. Alors, à partir daujourdhui, je veux que sitôt rentré à lappart, et quoi que tu portes, tu enlèves ton slip dhomme, et tu passes un sous-vêtement féminin. Que tu garderas jusquau moment de sortir de lappart. Daccord ?

— Cest cest tout ?

— Cest le début.

Et je lui montrais la porte de sa chambre. Sans mot dire il se leva et alla dans sa chambre. Jétais certain quil allait enfiler un sous-vêtement féminin

* *

Jétais complètement déstabilisé par ce quavait dit Mike. Cétait ça, son « programme » ? Juste faire ce que je faisais déjà ? Enfin, à un détail près. Avant cétait en cachette. Maintenant je devais en être fier. Jenlevais donc mon jeans, mon slip, et passais une petite culotte boxer bleu marine. Le tissu de la culotte sur mon sexe me fit tout de suite bander. Mettre un sous-vêtement féminin me faisait toujours cet effet. Je remis mon jeans et revint dans le living.

— Tu en as mis une ?

Mike me regardait. Jacquiesçais, gêné.

— Et quel effet ça te fait ?

— Je jaime bien. Le contact de ma peau avec le tissu de la petite culotte, cest bon. Jaime bien.

— Parfait, sois en fier !

Et nous continuâmes nos occupations. Nous dinâmes, racontèrent nos journées, à chaque mouvement je sentais la petit culotte contre ma peau. Je ne débandais pas de la soirée. Enfin seul dans la chambre, je ne pus mempêcher de me masturber. Le plaisir me semblait déjà un peu meilleur lorsque je vins dans la culotte.

Le lendemain, de retour de lunif, je mis une autre culotte. Une mauve. De nouveau, je bandais à peine la culotte posée sur mon sexe. Nous passâmes de nouveau la soirée, et de nouveau je dus me soulager le soir. A la fin de la semaine, je dus faire la lessive de mes sous-vêtements féminins. Mike arriva à ce moment.

— Je vais taider !

Je rougis instantanément.

-Mais non, tu dois être fier daimer mettre ces petites-culottes ! Tu as du goût, en plus, elles sont jolies. Mais toutes salies au même endroit.

Je rougis encore plus. Il en renifla une.

— Dis-moi, est ce que ça te fait bander de mettre ces petites culottes ?

Je fis « oui » de la tête. Je me sentais humilié, mais en même temps, je commençais à en ressentir un peu de fierté. Cest vrai quelles étaient vraiment jolies ces culottes.

— Et tu te branles dedans, cest ça ? Non, sois fier mon ami. Cest ton plaisir ! Un plaisir que tu aimes, cest bien !

Il maida à les mettre dans la machine à laver. Voir ses mains dhommes sur mes petites culottes me faisait quelque chose. Je ne savais pas dire quoi. Mais ça me faisait quelque chose. Il en laissa tomber une à terre. Automatiquement, je me baissais pour la ramasser. Mon jeans large laissa apparaître le haut du string noir que je portais ce jour-là.

— Oooh, joli le string noir !

Je rougis, je me sentais humilié à nouveau, et voulais disparaître sous terre. Mais je ne menfuis pas comme la dernière fois. Il souriait.

— Cest bien ! Tu dois être fier dêtre joli en string noir !

Il passa sa main sous lélastique, et tira doucement. Le triangle de tissu noir se colla contre mon sexe, je sentis mon pré-sperme qui mouillait déjà le tissu. En même temps, le fin tissu allait et venait entre mes fesses quelle sensation étrange ! Javais limpression que Mike faisait exprès de mhumilier et de me rassurer en même temps.

* *

Javais choisis un moment de faiblesse pour le premier contact physique. Il était rouge dans son visage, mais ne senfuit pas. Les choses suivaient leur cours, lentement, mais sûrement.

— Alex, je tai concocté aussi un petit programme de sport. On va un peu relooker ton apparence. Tu dois faire ces exercices tous les matins. Et du jogging avec moi le weekend.

Il acquiesça de la tête. Les exercices que javais choisi lui feraient perdre un peu de ventre, mais pas trop, garderait ses fesses fermes sans enlever leur léger arrondi, et garder ses jambes comme elles étaient. Il y avait bien là quelque gène féminin quil avait piqué à sa sur, pas de doute !

Il fit ses exercices, et le jogging avec moi. La semaine suivante, jallais pouvoir monter le programme dun cran.

Je savais quil rentrerait plus tard le lundi, il allait manger avec un pote de son club déchec. Lorsquil revint, jétais à laise, en slip dans le divan. Cétait la première fois que je me mettais autant à laise. Il me regarda hésitant. Puis il alla dans sa chambre, enfiler une petite culotte. Puis il revint dans le living.

— Fait chaud aujourdhui, je me suis mis à laise. Vient tasseoir, le film est cool. Dis-moi ça a été ta journée ?

Il me raconta sa journée, et nous discutâmes tout en regardant le film. Je voyais bien que de temps en temps il zyeutait mon entre-jambe. Cétait masculin, il devait se demander si jen avais une plus grosse que lui, quelle genre de sous-vêtements je mettais. Javais un boxer bleu clair, assez serrant, sous lequel on devinait sans peine la bosse que faisait mon sexe à demi-bandé. Il semblait avoir chaud lui aussi. Bon, javais monté un peu le thermostat, pour être sûr quil ait chaud !

— Tu as lair davoir chaud, mets-toi à laise ! On est entre homme, on peut se promener sans pantalon, ya pas de honte à avoir !

Il me regarda, interloqué. Hésitant. Puis il obtempéra, enleva son jeans et son t-shirt. Il nétait pas très poilu, pour sûr, et le manque dexercice et de nourriture diététique avait fait que la graisse se mettait au niveau de la poitrine. Typique. Et mes exercices nallaient rien changer à cela ! Il avait mis une petite culotte en dentelle, jaune. Jolie. Son sexe était visible sous le tissu. De taille normale apparemment. Je fis comme si de rien nétait. On échangeait nos points de vue sur le film, qui se finissait. Puis, nonchalamment, je zappais, et tombais sur un porno.

— Tiens, un porno ! Yavait longtemps tu regardes toi, ce genre de film ?

Tout en parlant, je laissais la chaîne. Une fille en sous-vêtement aguichant se faisait peloter par deux gars. Un des gars lui massait sa généreuse poitrine, tandis que lautre passait sa main dans sa culotte. Une culotte en dentelle, un peu comme celle que portait Alex, mais rouge. Les caresses semblaient lexciter, car la fille laissa sa tête aller en arrière et roula une pelle au premier gars, puis au second.

— Non, je je ne regarde pas souvent ce genre de film

— Tu devrais, ça donne des idées tu sais

Un des gars déboutonna son pantalon et sorti un sexe bandé, de belle taille, que la fille commença à lécher, puis à sucer, tandis que lautre baissait sa petite culotte voir la petite culotte passer sur les fesses de la fille fit tressaillir Alex, qui bandait déjà comme un fou. Sa petite culotte jaune était tendue à fonds. Je commençais doucement à bander aussi, ce quil vit du coin de lil. Mon sexe était plus grand que le sien, ça se voyait déjà et jétais même pas entièrement raide. Dans le film, le gars lécha le cul de la fille, le long de sa fente, puis sattarda sur son anus, quil lécha avec gourmandise. Ensuite il sortit son membre, lui aussi de belle proportion, et lenfonça dans le cul de la fille, qui couina, tout en continuant à sucer le premier gars. Un classique du genre, quoi.

— Tu vois, je pense que merde ! Mon portable qui sonne ! Jamais tranquille !

Je me levais et laissais Alex seul. Evidemment, personne ne mappelait à cette heure, cétait mon alarme, tout était programmé. Seul, il commença à se caresser par-dessus le tissu du slip en regardant le film. La blonde suçait le premier gars avec passion, le tout en gros plan et en HD. Elle semblait se délecter de ce membre dans sa bouche. Puis, le gars qui était dans son cul sortit son membre et vint vers sa bouche. La fille suça le membre sans poser de question, tandis que le premier gars prenait le cul laissé libre. Celui quelle suçait vint bien vite dans sa bouche, elle se délecta du nectar blanc, le montrant bien à la caméra. Elle ouvrit sa bouche pleine de sperme, le fit gicler sur son menton, avant de le repousser en bouche dun doigt gourmand. De nouveau, le gars qui la sodomisait se retira de son cul, vint vers son visage, et se fit gicler sur son visage. Le sperme atterri sur son front, ses joues, ses lèvres. Elle attrapa le pénis éjaculant avec sa bouche, le laissa terminer dans sa gorge, avant de le nettoyer complètement. Elle semblait ravie, et Alex venait de se lâcher dans sa petite culotte.

— Et alors Alex on se donne du bon temps ? Sacré canaille va !

Il devint rouge dans son visage.

— Ten fait pas mon vieux, cest normal. Faut prendre du bon temps. Si tu veux je ten enverrai quelque uns sur ton ordi, si tu as aimé ce film, tu adoreras les autres !

Il hocha la tête, et toujours gêné, disparu dans sa chambre. Jen profitais pour remettre le thermostat sur normal, et de sortir le dvd que javais mis, lui faisant croire que javais zappé par erreur sur une chaîne porno.

* *

Je méveillais le lendemain, encore un peu honteux. Je métais fait prendre la main dans le slip, si jose dire par Mike. Je me sentais déjà tellement pervers de fantasmer sur ma sur, que je navais jamais vraiment osé aggraver mon cas en regardant du porno. Alors, le film mavait fait forte impression. Je navais su me contrôler.

Après une rapide douche, je mhabillais, puis croisais Mike à la cuisine. Il fit comme si rien ne sétait passé la veille.

— Alors bien dormi vieux ? Tu veux une tasse de café, je viens den faire ?

Je hochais de la tête un bon café, voilà ce quil fallait pour me mettre les idées en place.

— Avec du lait, je crois ?

Je nen revenais pas ! Mike avait remarqué que je prenais du lait dans mon café ! Cela peut paraître idiot de sarrêter sur ce genre de détail, mais personne ne faisait en général attention à moi. Alors, oui, ça me touchait quil ait remarqué, et quil y pense ! Il me tendit la tasse, et je le remerciais.

— Pas de quoi, allez je file, je vais être en retard aux cours. A ce soir !

La journée se passa sans incident notable, et le soir, Mike avait un sourire dune oreille à lautre : il avait récupéré son portable, il allait de nouveau pouvoir être connecté au net Après avoir passé une petite culotte en coton rose, avec des fraises imprimées dessus, je lui donnais un coup de main pour réinstaller les programmes, puis filais dans ma chambre.

Comme chaque soir, je consultais mes mails avant de dormir. Mike men avait déjà envoyé un, pour preuve que tout fonctionnait bien. Il me remerciait encore du coup de main. En cadeau, il avait mis un lien, avec juste la phrase laconique « comme promis » Je cliquais sur le lien et arrivais sur une vidéo porno, du même style que le film de la veille : une brunette avec un cul extraordinaire, deux gars bien membrés, du sexe anal, des fellations, des giclées de sperme Javais envie daller dormir, mais en même temps je ne pouvais détacher mes yeux des scènes pornographiques, de ses bites bandées qui allaient et venaient simultanément dans son cul et dans sa bouche, de ses gros seins qui se balançaient de façon hypnotisante, du sperme ensuite, qui coulait sur son menton et sur son cul. La vidéo finie, je regardais entre mes jambes : une grosse tache rose foncée se voyait sur la petite culotte, là où mon sexe avait éjaculé mon foutre chaud inconsciemment je métais caressé par-dessus le tissu de la culotte en regardant la vidéo.

Les jours suivants se ressemblèrent, le matin Mike me servait mon café ou mes céréales du petit déjeuner, puis les cours, et le soir il menvoyait des vidéos. En quelques jours jen devins accro, javais difficile à mendormir sans ma séance porno-masturbation. Toutes les vidéos quil menvoyait tournaient autour des mêmes thèmes, qui mexcitaient énormément, sexe anal et fellation. De temps en temps, la fille était un trans, une fille avec un pénis. Si au début cela mavait éberlué je ne savais même pas que ça existait ! je navais pas trouvé cela moche du tout. Au contraire, ça avait un petit je-ne-sais-quoi-en-plus de terriblement excitant. Avec le temps, il y eut de plus en plus de ce genre de vidéos, et ce nétait pas pour me déplaire Je navais même plus remarqué quavec ces vidéos pornos, je ne fantasmais plus sur ma sur le programme de Mike semblait donc fonctionner !

Autre preuve que son programme me faisait du bien : pour la première fois de ma vie jai été invité à une boum ! Une fête avec les joueurs de léquipe de foot et les pom-pom girls. Bien sûr, jai refusé. Je ne me sentais pas assez à laise que pour aller à une fête de ce genre mais rien que le fait quon my invite officiellement était tellement nouveau pour moi !

* *

Alex semblait vraiment bien réagir à mon programme. Bon, daccord, je lavais rendu accro au porno mais tous les hommes ne le sont-ils pas un peu ? En plus lidée de demander aux potes de léquipe de linviter à la fête lui avait fait un grand effet. Javais limpression quil était mieux, même physiquement. Je ne sais pas trop expliquer, il était plus lumineux, moins sombre, moins replié sur lui-même. Je me demandais vraiment jusquoù je pouvais aller. Je voulais pousser plus loin autre chose

Un soir, alors quon faisait la vaisselle, lorsquil sétait penché pour ranger un poêlon sous lévier, je lavais taquiné : tirant par le bout du string qui passait par-dessus son jeans, je tirais un peu, jouant avec le tissu du string entre ses fesses, et collant le tissu avant contre son sexe

— Arrête Mike, cest pas drôle !

Il me dit cela le rouge aux joues.

— Désolé Alex, je te taquinais. Dis-moi, cest vraiment bon de mettre des sous-vêtements féminins ?

— Je heu oui, jaime bien. Cest une sensation unique.

Il voulait comme dhabitude éviter ce genre de conversation. Mais je voulais pousser mon avantage plus loin.

— Pourquoi tu nen mettrais pas en dehors de lappart, quand tu sors ?

Il me regarda, bouche bée.

— Mais oui, Alex, penses-y ! Tu aimes ça, ça te fait du bien tu te sentiras encore plus en confiance, encore mieux ! Cest bon pour le programme que tu suis ! En plus ya que nous qui le saurons ! Ce sera notre secret !

Il rougit encore une fois. En entrant dans la confidence, je devenais plus que son ami, son complice. Il semblait pensif toute la soirée. Allait-il oser ?

Le lendemain, nous allions partir en même temps pour lunif. Je lui demandais si il avait réfléchis à ma proposition il déboutonna son jeans pour me montrer quil portait un petit slip en dentelle jaune. Il allait oser, il allait passer un cap !

* *

Au départ, je nen revenais pas de lidée de Mike. Mettre des sous-vêtements féminins pour sortir ? Mais, si on me découvrait ? Quelle honte ! En même temps, cest ce que je connaissais même avec des sous-vêtements masculin cétait toujours la honte pour moi, les moqueries enfin beaucoup moins maintenant, depuis que jétais le petit protégé du Capitaine de léquipe de foot. Cest pour ça que aussi que je lui faisais confiance. Des jours sans moquerie, sans balaise qui me fait tomber, me frappe ou mhumilie en publique En plus, comme un vrai ami, Mike voulait partager ce sercet avec moi ! Moi, le geek, qui devient lami, le complice du capitaine de léquipe de foot ! Je décidais donc de mettre une petite culotte pour sortir le lendemain !

Et je ne le regrettais pas ! Quel plaisir. Je marchais dans les couloirs de lunif, au milieu de tous ces étudiants et étudiantes, sachant ce que je portais sur mes fesses. Une petite culotte en dentelles jaune. Cétait euphorisant. Sils savaient ! Et quel plaisir lorsque je massis, au cours, sentant le tissu contre mes fesses, contre mon sexe cétait tellement euphorisant, que cela mexcitais. Je dû profiter de la pause de midi pour aller me masturber aux toilettes, tant cela me plaisait.

Lorsque je rentrais à lappart le soir, jétais vraiment sur u

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