Ce n’est pas tout les jours qu’une histoire aussi incroyable se réalise. Megan est une jolie jeune fille d’à peine 19 ans. Et c’est peu dire que la délicieuse Megan a le feu au cul. Mais pas le petit feu de camp, le gros feu de joie. Megan est une véritable chienne en chaleur. Pour éteindre l’incendie, son seul recours est de se faire purement et simplement recouvrir de foutre.

Avec ses airs de jeune fille sage, elle est connue dans tout son quartier pour pomper les bites à la chaine, dans l’unique but de se faire inonder le visage de semence chaude et gluante. En bonne gloutonne, elle nettoie tout avec son doigt pour se gaver la bouche avec gourmandise. Insatiable ! Cette petite salope a tellement une bouille d’ange, mais le diable au corps que les habitants du quartier la surnomment avec ironie Angel.

C’est par le biais d’internet que je fais sa connaissance. Rapidement au cours de nos échanges, je prends conscience de son pédigrée et de son inapaisable besoin de sperme. Le pari est venu sans trop savoir comment. Je lui dis que j’écris un peu et lui fais part d’un scénario avec elle dont l’idée germe en comprenant ses fantasmes. Elle veut que je lui écrive ce récit érotique dont elle serait l’héroïne, mais est persuadée que je lui mens et que je n’écris rien. Je lui parie donc que si je le rédige et le publie sur internet, elle devra réaliser ce scénario avec moi. Banco !

Évidemment, en quelques jours, le récit est en ligne et le lien dans sa messagerie. L’idée du scénario est assez inhabituelle. Compte tenu de son irrépressible besoin de baigner dans le foutre, je lui remplis au fil de mes éjaculations un bocal entier de ma semence que je conserve au congélateur et que je ferais réchauffer pour l’en asperger pendant que je la baise.

J’ai tenu mon engament, le pari est gagné. Elle doit se rendre à l’évidence, et se plier à mes exigences. Par méfiance, je lui ordonne de s’exhiber sur le champ en video call pour m’assurer que ce n’est pas un profile bidon. Elle s’exécute, m’offrant un spectacle totalement impudique. Elle se caresse sans vergogne et rapidement prend une position complètement offerte pour dilater son joli petit cul avec ses doigts puis avec des plugs et des sextoys de plus en plus larges. Je sens de l’excitation dans son show, mais aussi une grande incrédulité quant à la concrétisation du scénario. Il faut dire que c’est complètement surréaliste. 

Satisfait de la crédibilité de mon interlocutrice, je lui demande me m’envoyer une photo de sa carte d’identité pour m’assurer de sa majorité. Elle s’exécute tout autant. Je suis rassuré. Même pas 20 ans et quelle chienne !!

Ces formalités accomplies, me voilà donc en train de mettre en place la réalisation de ce fantasme improbable. Comme nous habitons à plusieurs centaines de km l’un de l’autre, je prends mon temps. Je veux surtout que le bocal soit bien rempli et chaque jour écoulé augmente sa teneur en foutre. Selon les moments de la journée, la consistance de ma semence est plutôt liquide ou gluante. Elle aura un bon panaché.

Au bout d’environ 2 mois, je loue un studio pour un week-end et lui intime d’être disponible à ces dates là. Elle commence à prendre conscience que la fiction va laisser place à la réalité. Mais malgré qu’une certaine appréhension se fasse ressentir, elle continue à jouer le jeu docilement en m’assurant qu’elle sera bien là.

Je me retrouve donc quelques jours plus tard dans un train en direction du sud de la France avec dans mes bagages tout un attirail que j’ai prévu pour cette soirée et le précieux bocal de foutre congelé protégé par un sachet isotherme. J’ai tenu un compte précis de mes éjaculations : il contient 84 giclées !! De quoi quasiment remplir le pot de confiture.

Arrivé sur place, je constate que le studio est fidèle à la description et qu’il conviendra parfaitement à notre petit jeu. Je l’aménage et dispose mon attirail pour préparer la soirée. Le temps de prendre une douche et il est l’heure. À chaque minute qui s’écoule, je me dis qu’il est évident qu’elle ne viendra pas et qu’il faut être parfaitement crétin pour faire près de 2000 bornes aller/retour comme ça.

Mon téléphone bip à ce moment-là : incroyable, elle est en bas ! Elle n’usurpe vraiment pas sa réputation de petite salope, elle est vraiment là ! Je lui réponds en lui indiquant le code, l’étage et le numéro de la porte. Elle frappe peu de temps après et je la fais entrer sans un mot. 

J’avais fixé quelques règles au préalable. Elle ne devait pas parler tant que je ne l’y avais pas autorisé et elle devait porter une tenue précise. C’est le cas. Un léger bustier blanc nacre largement entrouvert offre une vue imprenable sur ses jolis seins pommelés. Elle ne porte rien dessous et le fin tissu laisse deviner son insolente poitrine dressée au travers. Une jupe courte grise moule son petit cul et de fines chaussettes gris clair montant au-dessus des genoux mettent en valeur ses jambes. Elle est perchée sur des escarpins pour parfaire le tableau. Dans cette tenue, elle est entre la secrétaire de direction ultra sexy et la jeune écolière en uniforme. Elle est vraiment bandante cette petite. Son corps est un hymne à la baise. Une bouille d’ange, avec de jolis yeux noisette et de longs cheveux châtain foncé, mais un regard qui laisse deviner le démon qui trône au creux de son bas ventre. Je comprends son surnom d’Angel. 

Je m’approche d’elle, rassemble ses cheveux que j’empoigne doucement et l’attire vers le dossier du canapé sur lequel je la courbe. Son joli cul ainsi présenté, je lui intime de remonter sa jupe. Elle porte un shorty en dentelle noire qui moule admirablement ses deux globes. 

— « Enlève ta culotte et donne-la-moi ».

Elle s’en défait, une jambe après l’autre, laissant apparaître lentement son intimité, et me la tends d’une main.

— « Dis-lui adieu. Je la garde en souvenir des humiliations que je vais te faire subir durant cette soirée et du plaisir que tu vas en tirer. C’est aussi la certitude que tu repartiras d’ici cul nu comme une bonne salope soumise ». Et sur ces belles paroles, je m’en saisis.

Son shorty est déjà humide et sent bon la cyprine. Je le glisse dans ma poche et vais chercher mon premier ustensile.

— « Écarte tes fesses et offre-moi tes orifices ».

De ses deux mains, elle découvre son petit trou encore serré et de deux doigts ouvre sa chatte toute lisse. Ma queue déjà bien dressée dans mon jean commence à me faire mal tant ce spectacle m’excite. Je m’approche d’elle et fais glisser mon doigt entre ses lèvres soyeuses. Elle est déjà bien perlante. Je caresse avec mon doigt l’entrée de son orifice, dessine le contour de ses lèvres. Je remonte en direction de son anus et le badigeonne de sa mouille. L’opération se répète, insérant mon doit à chaque fois un peu plus dans son cul. Puis je pose le plug anal à l’entrée de sa rondelle et commence à l’insérer doucement en faisant quelques va-et-vient pour dilater son trou. Il s’emboite facilement dans son cul, qui l’avale avec gourmandise. Ainsi préparée, c’est instinctivement que je lui assène une belle fessée sur chasse fesse avant d’aller attraper son sac à main que je dépose devant elle sur le canapé.

— « Attache-toi les cheveux ».

Elle fouille dans son sac, en sort un élastique et s’exécute, toujours cambrée sur le dossier du canapé. Je la saisis par sa queue de cheval et l’entraine vers la cuisine. 

— « À genoux ! Les mains sur les cuisses ! »

Elle obéit sagement et s’agenouille à côté du mini frigo. J’ouvre celui-ci pour en extraire le bocal congelé et lui montre rapidement pour qu’elle commence à se faire une idée de la quantité qui l’attend. 

— « Ça représente 84 vidages de couilles. Et à chaque fois en pensant à ce que j’allais te faire avec ce soir. J’espère que tu es flattée petite salope. »

Elle me répond timidement en acquiesçant de la tête. Un début d’appréhension émane de son geste.

— « Tu vas commencer par me remercier avec ta bouche. Une chienne à genoux ça doit sucer ».

Elle tend ses mains vers ma braguette gonflée, fais glisser la fermeture éclaire d’une main et défait ma ceinture et le bouton de mon jean de l’autre. Elle le baisse en dessous de mon caleçon et ses mains se posent sur ma queue. Je sens la chaleur de ses paumes à travers mon caleçon et ma queue frétille d’impatience. La lueur dans son regard témoigne d’une impatience réciproque. Elle descend mon caleçon et libère ma bite tendue et déjà luisante. Ses lèvres s’en emparent avec gourmandise et commencent à goulûment me sucer. La chaleur de sa bouche m’envahit et je profite pleinement de ce moment tant attendu. Elle aussi savoure l’instant et me suce avec application sur toute la longueur, la faisant pénétrer bien au fond de sa bouche. 

Alors que la petite salope se délecte de ma queue, je commence ma cuisine. J’avais préparé une casserole remplie d’eau qui frémit déjà à feux doux. J’ouvre le bocal et le plonge dans l’eau pour qu’il réchauffe au bain-marie. 

— « Voilà petite gourmande, ta friandise est en préparation ».

Une lueur lubrique éclaire son regard et elle me pompe de plus belle. Elle agrippe ma queue et mes couilles avec ses mains et me suce voracement. Les soupirs étouffés de satisfaction sont les premiers sons qu’elle émet depuis qu’elle a posé un pied dans le studio.

Je me laisse sucer béatement pendant que la préparation décongèle. Je lui baise la bouche par intermittence en lui tenant la tête. Ou j’extirpe ma queue pour la frustrer un peu, lui intimant de s’occuper de mes couilles avec sa langue. Elle s’y emploie docilement avec un plaisir évident. Plus elle y met d’ardeur, plus son joli cul se trémousse, amplifiant la sensation du plug et son excitation.

L’énorme glaçon de foutre commence à fondre sur les bords du bocal. Je prends un couteau sur le plan de travail, et avec la pointe, détache un bon morceau encore congelé. Je sors ma queue de la bouche de la petite vorace et lui tends le glaçon.

— « Voilà ton premier morceau de friandise. C’est une bonne glace au foutre. Tu vas pouvoir le laisser fondre dans ta bouche. Mais attention, tu ne l’avaleras qu’avec ma permission ».

Surexcitée par cette perspective, elle approche sa bouche de mes doigts et vient récolter sa récompense. À son sourire, je devine qu’elle est conquise par la situation. Le glaçon doit déjà commencer à fondre et à rependre le gout du foutre dans sa bouche. En glissant un doigt sur sa chatte, j’ai la confirmation qu’Angel est aux anges. Elle est obscènement poisseuse.

Je fourre ma queue dans sa bouche et prends un pied incroyable avec le contraste de température. La sensation de froid sur ma queue brulante est intense. Je lui baise la bouche sans retenue. Une fois que le froid s’estompe, je suppose que le glaçon a laissé place à du foutre chaud et je la laisse se délecter d’avoir la bouche remplie de sperme et d’une bite. Chaque succion laisse place à un soupir de plaisir. Elle savoure en connaisseuse. Du sperme s’échappe de la commissure de ses lèvres et elle le récupère consciencieusement avec un doigt pour le remettre en bouche.

— « Attention, n’avales pas gourmande ! Garde bien tout et profite d’avoir la bouche bien pleine ».

Elle acquiesce sans abandonner sa pipe, prise par son plaisir.

Je jette un il au bocal pour constater que le glaçon a entièrement fondu. Je saisis le récipient et fait doucement tourner le liquide à l’intérieur pour jauger de la consistance et de la température. C’est bien, mais pas encore assez chaud pour être à température du corps.

— « Réjouis-toi petite salope, c’est bientôt prêt. À partir de maintenant je t’autorise à parler. Mais tu ne pourras faire usage de la parole que pour me répondre, me remercier, me supplier ou manifester ton plaisir. C’est bien compris ? »

Elle acquiesce de la tête, ne souhaitant visiblement pas lâcher ma bite.

— « Je t’autorise à avaler ta friandise ».

Elle s’empresse de déglutir la dose de sperme avec un soupir de satisfaction.

— « Je vois que ça t’a plu ».

— « Oui, beaucoup. Merci de m’avoir offert ce délicieux cadeau » se réjouit-elle.

Douce musique

Je me saisis alors du bocal et l’approche de son visage. Je fais tourner lentement la mixture à l’intérieur pour bien la mélanger. Son regard inquiet fixe le contenu. En voyant le résultat à l’état liquide, elle prend soudainement conscience de la quantité de sperme que cela représente. L’appréhension qui s’empare d’elle est palpable, mais toujours mêlée d’excitation. Son trouble augmente encore lorsque que je lui fais renifler le mélange et que la forte odeur de foutre s’empare d’elle.

— « Ça fait beaucoup quand même », bredouille-t-elle timidement. « Je ne sais pas si »

Avant qu’elle n’ait eu le temps de finir, je pince d’un coup sec un de ses tétons avec les ongles. Elle tressaute de douleur. 

— « Je ne t’ai pas autorisé à te plaindre ».

— « Excusez-moi », me répond-elle la tête basse.

— « Si tu recommences, tu seras encore punie. Maintenant tu vas gouter ma cuisine avec ton doigt et me dire si c’est assez chaud ».

Elle approche timidement son doigt dont elle trempe le bout dans le récipient. Elle le porte à sa bouche, un mince filet de sperme venant se figer sur son menton et suce son doigt.

— « C’est bien chaud. Même un peu plus chaud que d’habitude », me glisse-t-elle.

— « Parfait. Comme ça tu auras du foutre un peu fiévreux. Et il ne refroidira pas trop vite. Il est bon ? »

— « Oui, comme si vous veniez juste de le cracher », répond-elle en bonne chienne lubrique.

Justement Je suis trop excité. Et il ne faudrait pas que j’aie un fusil chargé pour la séance qui va suivre. Le coup partira trop vite, ce serait dommage.

— « Tu vas pouvoir comparer immédiatement. Vide-moi les couilles petite traînée ».

Des étincelles plein les yeux, elle s’empare de ma bite et me suce comme une morte de faim. Elle me branle et me pompe comme si sa vie en dépendait. Son autre main masse mes couilles comme pour les encourager à lui en donner le plus possible. Elle me trait littéralement ! Dans mon état d’excitation, elle me fait exploser dans sa bouche en quelques secondes. Une vidange pure et simple. Sa bouche est à nouveau pleine et elle continue à pomper jusqu’à la dernière goutte pour ne rien gâcher.

— « C’est bien petite salope. Tu es vraiment faite pour décharger des burnes. Tu peux tout avaler ».

Je la regarde déglutir avec un appétit qui ne faiblit pas.

— « Alors ? Il est aussi bon ? »

— « Encore meilleure. Il vient juste d’être récolté », répond-elle en se léchant les lèvres.

Alors que ma queue commence à débander, elle la prend doucement par les couilles et suce encore un peu les dernières gouttes qui pourraient s’y trouver. Cette petite est vraiment hallucinante de putasserie.

— « Bien. Je vais te préparer pour ta séance maintenant ».

Je replace le bocal dans l’eau pour ne pas qu’il refroidisse. Je saisis la casserole d’une main et l’empoigne par les cheveux de l’autre pour la conduire au bord du lit. En marchant, la sensation du plug anal est immédiate. Une intense chaleur redouble dans son ventre durant ces quelques pas.

Je dépose la casserole sur la table de chevet jouxtant le lit. Positionné derrière elle, je défais les quelques boutons de son bustier que je fais glisser de ses épaules pour la dévoiler et je fais coulisser la fermeture éclaire de sa jupe qui tombe à ses pieds. Elle est divine. 

Mes mains caressent doucement son cou, ses épaules, descendent vers son insolente poitrine et la masse avec gourmandise. Elles continuent leurs chemins en dessinant sa taille pour se poser sur son bas ventre et son pubis. Les soupirs de plaisir s’échappent d’elle au contact de ses caresses apaisantes. Elle sait que c’est le calme qui précède la tempête.

— « Garde tes talons et tes chaussettes montantes et allonge-toi sur le dos ».

Une fois allongé, je place un oreiller sous ses reins. Je fouille dans mon sac et en ressors un de mes ustensiles. C’est un petit coussin pour la nuque relié à des bracelets d’attache par deux harnais. Je le positionne sous sa tête, relève ses jambes et fixe les deux bracelets à ses chevilles. Je règle les harnais pour qu’ils soient bien tendus et que ses jambes soient bien écartées au-dessus d’elle. 

Ainsi ligotée, elle est complètement offerte. Sa chatte est ouverte comme les portes du paradis et le plug est luisant du jus qui s’en écoule.

— « Tu es bien installée ? »

— « Oui, merci. C’est très confortable » sourie-t-elle.

Agenouillé a coté d’elle, je commence à caresser son clitoris. Il doit la torturer tellement il est gonflé. Le contact de mon doigt l’électrise.

— « Tu es curieuse de savoir comment va se dérouler la suite ? »

— « Oui, ça m’intrigue beaucoup », soupire-t-elle sous la caresse.

— « Tu veux savoir comment je vais répandre tout ce sperme sur toi ? »

— « Oh ouiiii » gémit-elle, sans que l’on puisse deviner si elle répond a la question ou si elle commence à prendre son pied.

— « Alors regarde la surprise que j’ai pour toi. »

J’extrais de mon sac à malice un beau gode et une poire. Tout en continuant à la caresser, je lui explique le principe de l’engin.

— « Tu vois ce gros gode ? Et bien la poire se remplit de liquide, s’adapte dedans et à chaque fois qu’on appuie dessus, ça gicle. Comme un pistolet à eau ».

Ces yeux fixent l’engin avec appétit. Sans m’arrêter de choyer son bouton, je commence à parcourir son corps de mon autre main. Chaque endroit que je caresse, je lui dis que je pourrais gicler dessus. J’agrippe ses seins et pince les tétons dressés chacun leur tour.

— « Je pourrais gicler là »

Je passe ma main sur son visage, sur ses lèvres, glisse mon doigt dans sa bouche, tout en lui répétant à chaque fois.

— « Je pourrais gicler là »

Elle suce mon doigt avec avidité, alors que celui sur son clito la tient au bord de l’explosion. Je le retire de sa bouche pour le faire glisser au fond de sa chatte et masser la paroi supérieure de son vagin.

— « Puis je pourrais gicler là aussi Tu vas en avoir partout. Tu vas baigner dans le sperme chaud. Je t’ai laissé les mains détachées pour que tu puisses racler le foutre quand il coule, te caresser avec et te le coller dans la bouche pour ne pas en perdre. Tu seras une véritable poubelle à foutre »

L’excitation combinée à l’effet de mes doigts sur son clitoris et dans sa chatte est en train d’avoir raison d’elle, et je sens sa membrane se contracter. Ses jambes se crispent, mais ne peuvent se refermer à cause de l’entreprise des harnais. Je stop mes caresses et l’abandonne au bord de l’orgasme. Elle couine et gigote de frustration.

Je profite de ce moment pour remplir la poire avec le contenu du bocal encore bien chaud. Je l’insère à la base du gode. Mon outil est paré à l’action.

Je le promène sur tout son corps. Elle ne le quitte pas des yeux. Je le pose sur ses lèvres et avant que je n’aie pu prononcer le moindre mot, elle se met à le sucer goulûment en le tenant à deux mains.

— « N’aspire pas sans que je t’y autorise, sinon tu vas tout vider comme une affamée de foutre que tu es. C’est bien compris ? »

Elle acquiesce sans lâcher des lèvres son énorme jouet. Tout en tenant le bout du gode qu’elle tête avec entrain, je me place entre ses cuisses et commence à lui bouffer la chatte avec application. Elle est souillée de mouille, c’est un délice. J’en profite avant qu’elle ne soit gluante de foutre. Alors que je la lèche et qu’elle recommence à gémir de satisfaction, je ressors le gode de sa bouche et lui asperge quelques jets sur le visage. Chaque giclée est dense, équivalent presque à la quantité d’une éjaculation complète. Elle s’exclame de surprise et d’excitation. Elle à le visage entièrement recouvert en quelques secondes. Et alors qu’elle a encore la bouche ouverte je renfonce le gode dans sa bouche, assez profondément, et lui envoie encore quelques jets directement dans la gorge. Elle suffoque de plaisir, alors que ma langue aspire son clitoris et que de trois doigts je fouille les tréfonds de sa chatte.

Je ressors le gode. Elle reprend son souffle et respire fort, au bord de l’orgasme. Je le fais gicler un peu dans sa bouche grande ouverte. Elle en a déjà plein le visage et sur ses jolies lèvres.

— « Tu n’avaleras que quand je t’aurai autorisé à jouir »

Le gode descend encore un peu et je vise ses deux seins avec quelques jets. Puis je finis par l’enfoncer sans ménagement dans sa chatte. Malgré le plug dans son cul, il rentre sans difficulté. Je la lime avec en douceur et bien profondément. Les deux jouets frottent à travers sa fine paroi interne. Elle se trémousse comme elle peut, entravée comme elle est. Une de ses mains masse ses seins recouverts de sperme, l’autre son visage, se léchant les doigts et en aspirant le plus possible. Je sors le gode et le garde à l’entrée de son trou béant pour l’arroser de plusieurs jets. Elle miaule, la bouche dégoulinante. Et je le renfonce pour la bourrer sans retenue. Les va-et-vient sont intenses et brutaux. Elle couine comme une chienne.

— « il ou p’ait, aissez-moi ouir » gémit-elle difficilement en bavant du foutre.

— « Pas encore petite salope »

Tout en continuant à la ramoner, je retire doucement le plug. Ses jambes commencent à se contracter quand la partie la plus large étire son anus en sortant. Puis d’un coup je sors le gode de sa chatte et plante ma bite au fond de son cul. En quelques coups de bites lents, mais profonds et brutaux, je la sens se contracter malgré elle. Elle ne peut plus se retenir.

— « Vas y jouis salope !!! Et avale bien tout »

Ses jambes tirent sur les harnais. Elle explose dans un cri, déglutissant une gorgée de sperme entre chaque râle de plaisir. Son anus m’enserre la bite dans un spasme foudroyant et je la laisse plantée bien au fond ne pouvant plus la bouger. Je vois sa glotte s’activer à chaque fois qu’elle en avale une gorgée. Son orgasme est long et vraiment intense.

Elle respire fort, essayant de reprendre ses esprits. Ma bite est toujours fichée dans son cul, qui ne s’est pas décontracté. Je recommence à la bouger lentement au fond, pour prolonger son orgasme. Ça la surprend, elle n’est pas encore remise. Elle gueule comme une chienne. Je lui cloue le bec en enfonçant le gode dans son gosier. Je le fais gicler alors que ma queue commence à lui bourrer son cul encore comprimé de son orgasme.

— « Avale petite salope. Bouffe tout ce foutre comme une chienne pendant que tu te fais défoncer le cul ».

Elle a du mal à tout avaler et à jouir en même temps. Je le sors et lui asperge la gueule et les seins copieusement. Je lâche quelques instants mon instrument de torture, attrape ses talons à deux mains et lui baise le cul à grands coups de bite. C’est un déluge de cris. Elle beugle comme une perdue, la gueule et le corps dégoulinant de sperme. Je ne résiste plus à ce spectacle totalement fascinant et je gicle copieusement au fond de son cul. De longues saccades m’agitent et je lui remplis le fion jusqu’à mon dernier spasme de jouissance.

Ma queue reste plantée au fond de son cul et nous reprenons nos esprits pendant quelques secondes, profitant de l’intense plaisir qui vient de nous secouer. Alors que ma bite est encore bien raide, maintenue tendue par son anus encore contracté, je la sors de son fion et viens la présenter à ses lèvres.

Encore une fois, je n’ai pas le temps de parler. Elle la suce avec ferveur, me remerciant pour son plaisir avec sa bouche de salope.

— « Ooooh ouiiiii Voilàààà C’est bon Nettoie bien cette bite qui t’a bien enculée »

— « HHHHmmm merci. C’est tellement bon de sucer votre queue sortie tout droit de mon cul. Elle est encore gluante de tout ce foutre. J’adore ça ».

Mais quelle chienne

— « Tu n’es vraiment qu’une poubelle à foutre. Tu en as encore plein qui coule sur ta gueule de traînée. Ne gâche rien ».

— « Ooooh non, surtout pas. J’aime trop ça, c’est un vrai bonheur d’en avoir autant ».

Avec application elle récupère avec son doigt le sperme poisseux qui la recouvre, et l’avale par petites bouchées tout en nettoyant ma queue. Elle masse ses seins maculés, se léchant avec ferveur la main et les doigts. Il en dégouline de sa chatte et de son cul. Elle récupère tout avec minutie et ne gâche rien. Toute cette semence et cet orgasme l’ont rendue fiévreuse de bonheur.

La poire du gode est quasiment vide, et c’est tant mieux, car il est temps de faire une petite pause après cette séance frénétique. Je prends le gode et lui balance sur le corps les quelques giclées qui restent dedans. Je me lève, attrape la casserole à côté du lit et me dirige vers la cuisine. Je rallume la plaque et pause dessus le tout pour faire réchauffer l’eau et le contenu du bocal.

Je l’observe en attendant. Elle récupère doucement, mais continue à se dandiner comme une chienne en chaleur, se caressant tout le corps avec le sperme qui reste. Elle est luisante comme une athlète huilée avant une compétition de body-building. Je ricane en pensant qu’elle est adepte comme eux des régimes ultras protéinés.

La mixture a réchauffé plus vite. Il y’en a moins, la moitié du bocal. Juste de quoi remplir une dernière fois la poire et je retourne vers le lit.

— « Tu es prête pour le dessert ? »

— « J’ai déjà bien mangé, ça fait vraiment beaucoup. Je suis gourmande et très excitée, mais j’ai peur de ne pas réussir à tout finir. Et je m’en voudrais, vous m’avez tellement gâté. Je n’ai jamais avalé autant de sperme, vous m’avez complètement rempli. Mais je ne veux pas gâcher » confie-t-elle inquiète.

— « Je suis sur qu’une chienne gourmande comme toi va réussir à tout finir. Pour commencer, tu vas me faire durcir dans ta bouche ».

Je me positionne à genoux a coté de sa tête et elle commence à embrasser et à lécher ma queue. Elle caresse mes couilles, les lèches, puis enfourne doucement ma bite dans sa bouche. Je ne me lasse pas de la chaleur de son gosier et de la douceur de sa langue. Doucement ma bite se raffermit entre ses lèvres. Sentir ma queue gonfler dans sa bouche ravive son excitation et elle recommence à gémir de plaisir. 

Tout en me faisant délicieusement sucer, je place le gode à l’entrée de sa chatte et l’insère doucement. Elle me pompe de plus belle, toute chaude de se faire remplir des deux cotés. Je la remplis en profondeur. Quand elle commence à vraiment bien gémir et à onduler, je balance quelques jets au fond de son trou, tout en continuant à la fourrer.

Quand je la sens de nouveau bien chaude, je sors ma queue de sa bouche, le gode de sa chatte et m’en vais fouiller dans le sac pour en sortir des boules de geishas assez fines. Je reprends ma position pour qu’elle me reprenne en bouche.

— « Tu es bien là à me sucer, hein ? »

Je n’ai pour réponse qu’un miaulement étouffé de satisfaction.

— « Tiens ! Je sais que tu en veux encore et que ça t’excite »

Et avec le gode je lui recouvre le visage de sperme alors qu’elle me pompe toujours. Elle soupire de bonheur. Sa main étale le précieux liquide sur son visage et sur ma queue. Elle suce avec ardeur. Je lui en remets.

Je plonge le gode dans sa chatte pour la remplir un peu plus encore de foutre puis je lui insère après les boules de geishas.

— « Tu sais que je ne te baiserais pas la chatte ? Je la laisse à tes petits coups de passage. Ces pauvres amants qui ne savent pas que tu es une traînée et que les chiennes comme toi il faut les enculer ».

Elle miaule de plaisir et agite son petit cul pour acquiescer. Je quitte sa bouche pour me placer entre ses jambes et j’enfourne son cul d’une seule traite. La combinaison de mon sexe et des boules la font chavirer instantanément. Je l’encule méthodiquement. Je ressors ma queue, la remplace par le gode, asperge ses tréfonds et remet ma queue. Je lui démonte le cul en le lubrifiant au foutre. Elle hurle de plaisir d’un tel traitement. Je lui asperge les seins et le visage tout en lui besognant l’anus. Elle baigne dans le sperme. Je lui donne le gode à sucer en même temps et s’en empare avec avidité. Elle reçoit quelques jets en récompense qu’elle avale avec délice. Je lui arrache le jouet des lèvres pour lui replonger dans le cul et la graisser encore avant de lui remettre dans le bec. Ma bite l’encule dans un clapotis de foutre indécent. Elle patauge littéralement dans son cul. Je lui baise le fion comme une brute et lui baise la bouche avec le gode. Elle hurle comme elle peut pour ne pas s’étouffer. Le frottement des boules sur ma queue à travers sa paroi a raison de moi. Je sors le gode de sa bouche et vide partout sur elle le reste de la poire alors que je décharge tout mon jus au fond de son cul. C’est une véritable pluie de foutre qui s’abat d’un coup sur elle alors qu’elle hurle sa jouissance comme une chienne. Elle s’essuie les yeux comme elle peut, se lèche les doigts, se tartine tout le corps des deux mains. Angel est au paradis. 

Je profite de mes derniers va-et-vient dans son fion puis ressors ma queue. Je la remplace rapidement par le plug pour garder tout le jus à l’intérieur. Je prends quelques photos avec mon smart phone. C’est surréaliste. Attachée, complètement offerte, engluée d’une quantité astronomique de sperme, elle est totalement souillée. Je retire les boules de geishas de son vagin, la détache et ses jambes s’écroulent d’épuisement. Des spasmes de plaisir parcourent encore son corps. 

— « Tu es rassurée ? Finalement il te restait de la place pour le dessert. C’est bien tu n’as rien gâché. Je suis très fier de toi, tu es une salope de grande classe ».

— « Merci. C’était vraiment hallucinant. J’ai joui comme jamais. Vous vous êtes donné tellement de mal pour accomplir mon rêve d’être recouverte de foutre. Vraiment merci. »

— « Le plaisir était partagé ».

— « Approchez pour que je nettoie votre belle bite, c’est la moindre des choses ».

Passé un moment de plénitude et d’apaisement, elle me demande si elle peut se servir de la douche avant de repartir.

— « Non ! »

— « Mais je ne peux pas rentrer comme ça. Je suis couverte de sperme des pieds à la tête ». Son regard est paniqué.

Je lui tends quelques feuilles de sopalin.

— « Voilà tout ce que tu auras pour te nettoyer. C’est ton dernier cadeau ma petite salope : un « walk of shame » d’anthologie. Un « slut walk » de prestige pour finaliser cette soirée comme il se doit et la graver dans ta mémoire. Tu vas rentrer en t’étant juste essuyée, les cheveux collés et empestant le foutre. »

Résignée, elle commence à s’essuyer, rouge de honte. Alors qu’elle arrive à son entre jambes, elle me demande timidement si elle peut enlever le plug.

— « Non plus ! Comme j’ai gardé ta culotte en souvenir, je t’offre ce plug. Mais tu dois le garder en toi. Il te rappellera ta condition de salope et en marchant il te gardera excitée. Et si tu t’avises de l’enlever, tu es tellement remplie de foutre que tout dégoulinera le long de tes jambes. »

Je la prends par la main pour la redresser du lit et l’aide à se rhabiller. Je la soutiens, elle a les jambes cotonneuses à cause de la séance intense et de la peur du trajet retour. Je lui murmure à l’oreille de se tenir à moi pour faire quelques pas dans le studio. En marchant un peu, le plug produit son effet, et je la vois reprendre de l’assurance.

— « Tu te sens prête pour affronter ta dernière épreuve ? »

— « Oui »

Je la raccompagne à la porte. 

De retour chez moi le lendemain, je reçois un message :

« Le chemin du retour à été terrible tellement les sentiments les plus contradictoires se mélangeaient en moi. Après la séance que vous veniez de me faire subir, je ne pensais pas qu’il serait possible de se sentir encore plus humiliée et chienne que cela. Et pourtant j’y ai trouvé du plaisir en repensant à tout ce qui venait de se passer. Puis-je devenir votre soumise SVP ? Je ferais ce que vous voulez. Je serais le jouet sexuel pour tous vos scénarios ».

Je lui ai simplement répondu :

« C’est aux lecteurs qui liront ton histoire accompagnée de tes photos de décider. »

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