L’actrice laissait échapper des gémissements de plaisir tandis qu’elle léchait la grosse bite de l’acteur. J’ai continué le jeu de la provocation en ajoutant avec humour "Je crois pas qu’elle s’amuserait autant en suçant ma bite", ils ont pouffé de rire et Johan a ajouté "moi j’aurais déjà joui après 20 secondes…". L’actrice s’est reculée pour reprendre sa respiration et lever les yeux vers le visage de l’acteur tandis que la grosse bite restait dressée devant elle. Je bandais discrètement dans mon caleçon en m’imaginant être à sa place et je ressentais un fourmillement dans le ventre, comme du trac avant un match, tellement je trépignais d’impatience à l’idée de sucer Stef. Je me suis tourné vers lui pour jouer la comédie en soufflant "Par contre, avec toi elle prendrait son pied.", il se tournait vers moi en souriant lorsque Johan m’a encore surpris en ajoutant "Surtout que t’as une plus grosse bite que lui". Johan avait raison, la queue de Stef semblait plus massive, et je m’étonnais encore de ses interventions.
J’étais décidément surpris de la facilité avec laquelle on approchait du but, mais rien n’était joué, le passage à l’acte était décisif et il allait peut-être se débiner au moment d’y venir. La vodka nous avait aidés jusqu’ici en nous désinhibant un peu et j’espérais que Johan continuerait jusqu’au bout.
Je me suis retourné vers le téléviseur en entendant le gémissement de l’actrice qui était debout contre le mur pendant que l’acteur la pénétrait à nouveau par-derrière. Sans trop réfléchir, j’ai posé à Stef la même question que je lui avais posée la première fois, en tâchant de paraître spontané : "Ça fait quel effet d’avoir une aussi grosse bite ?" Ses yeux se sont plongés dans les miens lorsqu’il a compris que je précipitais le moment fatidique et sans hésiter il a suivi le script: "Tu veux essayer ?". J’ai hésité quelques secondes afin d’adapter la conversation à la présence de Johan en me demandant s’il fallait insister sur le fait de garder ça entre nous, mais je n’ai pas eu le temps d’élaborer la moindre tactique car mon corps a réagi par réflexe et mon désir a pris le dessus sur mon esprit. Je me suis légèrement approché de Stef et j’ai tendu la main pour saisir en douceur son énorme bite et murmurer un "ouah" en l’admirant comme une salope. J’ai levé les yeux vers Johan pour épier sa réaction, il rougissait et ses yeux étaient fixés sur ma main qui commençait à branler lentement la queue de Stef.
Ma température avait probablement augmenté en flèche et j’étais hypnotisé par mon désir, le regard figé sur ce sexe magnifique tandis que l’eau me venait à la bouche. Après quelques instants j’ai entendu Johan murmurer "Je peux essayer ?". J’ai senti Stef acquiescer sans dire un mot et j’ai lâché sa queue pour glisser la main entre ses jambes et saisir ses grosses couilles. J’ai relevé les yeux vers Johan qui s’était rapproché de nous et je l’ai regardé poser la main sur la belle queue que je venais de libérer et qui reposait lourdement sur le ventre de Stef. Il a délicatement glissé le pouce dessous pour la relever et fermer ses doigts autour. Sa main était plus petite que la mienne et l’impression de grandeur en était décuplée. Il était passé à l’acte sans encombre. On est resté un moment dans cette position, l’un et l’autre collé contre Stef, sa main branlait très lentement sa grosse bite tandis que je caressais ses couilles épaisses. Johan a murmuré "On dirait qu’elle pèse trois kilos".
La remarque nous a fait rire et j’en ai profité pour me lever afin de déboutonner mon pantalon et le laisser glisser au sol avant de revenir auprès de Stef et poser la main sur la base de sa queue tandis que Yohan continuait à branler le reste.
Nos mains n’étaient pas très synchronisées ; c’est tout une expérience de partager une masturbation, et aucun de nous ne semblait vouloir laisser l’exclusivité à l’autre. Stef semblait tout de même apprécier car son sexe était dur comme du bois et il expirait parfois un gémissement de plaisir en laissant aller la tête vers l’arrière. Johan et moi étions hypnotisés par le mouvement de nos mains sur son énorme queue. Nous sommes de nouveau restés quelques minutes dans cette position en immobilisant de temps en temps le sexe de Stef pour lâcher un petit soupir ou un petit rire discret d’admiration. Johan a brisé le silence en déclarant doucement "Ta bite est clairement plus grosse que la sienne", j’ai tourné le regard vers le téléviseur pour remarquer que l’actrice était de nouveau en train d’avaler le gros sexe de l’acteur. Stef commençait probablement à se lasser des sous-entendus, surtout que nous avions déjà tous les deux la main sur sa queue alors que nous n’avions même pas encore enlevé nos sous-vêtements.
Il m’a demandé d’aller éteindre le téléviseur en déclarant qu’on n’avait plus besoin de film. J’ai lâché sa queue avec regret pour prendre la télécommande qu’il me tendait et me diriger vers le téléviseur pour l’éteindre ainsi que le magnétoscope. Lorsque je me suis retourné, j’ai été frappé par l’érotisme du spectacle. Stef était imperturbable, appuyé sur les coudes et le regard fixé un instant plus tôt sur mes fesses et à présent sur mon visage, tandis que Johan était blotti contre lui, sa petite main caressant doucement la grosse queue qui avait sûrement alimenté bon nombre de ses fantasmes. Il a laissé descendre sa main pour aller saisir pour la première fois les bourses dodues de Stef. Je revenais vers le lit tout en le regardant se mordre la lèvre imperceptiblement en sentant le poids de ces bourses et relever la tête pour plonger son regard dans les yeux de Stef. À quelques centimètres l’un de l’autre, Johan lui a murmuré quelque chose que je n’ai pas entendu avant de lui offrir sa langue.
Je suis resté debout devant eux pour regarder ce spectacle que j’avais déjà vécu de l’intérieur. Johan lançait de légers coups de langue sur les lèvres de Stef tandis que sa main massait ses couilles épaisses. Les sous-entendus n’étaient effectivement plus nécessaires, Johan venait de confirmer son désir de devenir sa salope. Je me suis installé à genoux entre les jambes de Stef en m’asseyant sur les talons et sans attendre que Johan ne me remarque, j’ai rapproché mon visage pour lécher ses belles bourses charnues. Johan les a lâchées en me jetant un rapide coup d’il lorsqu’il a senti ma présence et j’en ai profité pour en aspirer une à pleine bouche et la faire danser sous mes coups de langue. J’ai entendu Johan murmurer une question à Stef et lorsque j’ai relevé les yeux vers eux, Johan se penchait lentement sur la grosse queue dressée fièrement au-dessus de mes yeux. Il a doucement ouvert les lèvres pour accueillir le gland en bouche avant de progresser doucement et avaler ce qu’il pouvait de bite en expirant de plaisir, comme s’il goûtait un délicieux dessert.
Ses yeux ont croisé les miens pendant que je continuais à suçoter la même couille. J’ai remarqué avec amusement le mouvement de ses fins sourcils qui faisaient passer sur son visage ses diverses sensations: de l’admiration à l’effort, en passant par cet abandon au désir de procurer du plaisir. Il a refermé les lèvres sur le tronc avant de remonter lentement jusqu’à former un doux baiser en arrivant au gland. Il a soupiré et sans quitter des yeux l’énorme bite qu’il avait devant lui, il a soufflé avec admiration "T’as vraiment une bite magnifique". Sur ces mots il s’est à nouveau penché pour l’avaler avec autant de gourmandise que moi. Je me contentais de lécher les couilles de Stef en regardant Johan prendre son pied et je commençais doucement à vouloir changer de rôle. J’ai attendu que Johan termine l’un de ses mouvements et remonte le visage en libérant la queue de Stef pour me redresser. Je l’ai saisie par la base pour l’orienter vers moi et la prendre en bouche après avoir soufflé à Johan "à mon tour".
Je dégustais enfin sa bite en assouvissant la frustration de cette attente de trois semaines qui m’avait rongé. La présence de son gros gland dans ma bouche m’apportait un plaisir intense qui me faisait bander dur dans mon caleçon.