Après avoir ramassé le mouchoir en papier, les deux hommes avaient arrêté de suivre Salope. Ils avaient compris qu’ils pourraient faire ce qu’ils voudraient d’elle la nuit. Salope et Maxime marchaient main dans la main en s’embrassant passionnément toutes les deux minutes. Salope semblait radieuse. Elle souriait et marchait avec beaucoup d’élégance en trémoussant ses fesses mises en valeur dans sa petite robe blanche. Maxime était également heureux. Il passait régulièrement ses mains sur les fesses de Salope en lui titillant la chatte et en l’embrassant dans le cou.
Ta chatte est en train de se vider. Il y a une trace humide sur la robe et une coulée le long te ta jambe.
Comme ça tout le monde sait que je suis une chienne en chaleur qui aime se faire remplir de sperme. Cela m’excite tellement.
Elle savait pertinemment que les deux hommes de tout à l’heure voyaient la tache sur sa robe et la coulée de sperme. Elle trémoussait alors ses fesses pour essayer de chauffer les deux hommes et s’assurer qu’ils soient là cette nuit. Elle s’arrêta et se positionna face à Maxime pour l’embrasser dans le cou et jeter un regard sur les deux hommes derrière eux. Elle en profita pour passer son doigt magnifiquement manucuré sur sa lèvre inférieure en lançant un petit regard ingénu. Tout cela sans que Maxime ne se doute de quoi que ce soit.
Tu es bien excitée et câline ce soir. C’est ce nouveau corps qui te met dans cet état ?
Oui, j’adore ce nouveau corps et suis impatiente de me retrouver nue contre vous dès notre retour à la chambre.
Ça tombe bien, ma queue commence à retrouver sa vigueur.
Maxime ne se doutait absolument pas de ce que manigançait Salope. Cela lui faciliterait grandement la tâche cette nuit. Alors qu’ils marchaient, les gens ne pouvaient pas manquer l’auréole humide sur la robe et la coulée de sperme le long de sa jambe. Entre sa façon de se trémousser son nouveau corps de rêve, le maquillage et les traces de sperme, elle ne laissait personne indifférent. Les clients, majoritairement des hommes, ne pouvaient détourner leur regard. Plusieurs lui montrèrent ouvertement la bosse dans leur pantalon. Un homme d’une soixantaine d’années frotta même sa queue encore vigoureuse avec sa main, à travers son pantalon. Salope ne put s’empêcher de minauder et de se mordiller la lèvre en leur lançant des regards torrides. Maxime était tellement occupé à embrasser la nuque de Salope qu’il ne s’aperçut de rien du tout.
Ils montèrent dans l’ascenseur qui devait les mener au 5ème étage de la clinique. Ils étaient seuls lorsque les portes se refermèrent. Salope était tellement excitée par le regard des gens qu’elle croisait et du désir qu’elle créait chez eux qu’elle bouillonnait de l’intérieur. Elle ne put s’empêcher d’ouvrir le jean de Maxime, de prendre sa queue encore molle en bouche et de commencer à la sucer comme une reine. Maxime fut incapable de réagir. Lorsque l’ascenseur s’arrêta au 4éme étage, elle se releva très vite avec un filet de bave sur le menton alors que Maxime remit rapidement sa queue dans son pantalon. Le chirurgien qui l’avait opéré entra à son tour dans l’ascenseur et les regarda, sachant pertinemment ce qu’ils étaient occupés de faire avant son arrivée. Il eut un petit sourire en coin en les regardant.
Je viens faire ma tournée d’inspection à l’étage pour m’assurer que tout se passe bien et qu’il n’y a pas de complications. Vous sortez demain, me semble-t-il ?
Oui tout à fait. Je suis impatiente.
J’apporterai une attention particulière à votre dossier pour m’assurer que vous puissiez rentrer chez vous en bonne santé et sans risque. C’est beau de voir un couple de jeunes amoureux passionnés.
Avec l’excitation de s’être fait surprendre dans l’ascenseur par ce séduisant chirurgien qui ne semblait pas rester indifférent était au comble, elle sentait une boule de chaleur dans son bas-ventre et sa chatte ruisselante de sperme semblait plus humide que tout à l’heure. Elle ne put s’empêcher de blottir sa tête dans le creux de l’épaule de Maxime en ajoutant d’un ait ingénu :
Je suis sa chienne et lui obéis en tout point. Il est mon Maître et peut faire ce qu’il veut de moi. Je suis tellement heureuse de pouvoir le servir avec ce nouveau corps.
Je comprends mieux le tatouage sur votre bas-ventre maintenant.
C’est mon nouveau prénom.
Et ça vous plaît ? Cela ne vous dérange pas ?
Bien sûr que ça me plaît. Ce prénom me représente bien.
Ils arrivèrent au 5éme étage et se séparèrent. Le chirurgien ajouta avant de partir :
À tout à l’heure.
À tout à l’heure.
Maxime ne semblait pas apprécier l’attitude qu’avait eue Salope avec le chirurgien. Il ne dit pratiquement rien jusqu’à leur arrivée à la chambre.
Que se passe-t-il Maître ? vous ai-je contrarié d’une façon ou d’une autre ?
Je sais que tu es contente de nous servir, mais ce n’est pas une raison pour le crier sur les toits. On aurait dit que tu essayais d’exciter ce pauvre chirurgien. Je ne t’ai pas donné l’ordre de crier sur les toits que tu es une chienne. C’est entre nous pour l’instant. Imagine maintenant s’il croit que tu veux le baiser ? Je tiens à toi et à part avec les autres à la maison, je n’ai pas envie de te partager.
Salope se déshabilla et embrassa le torse de Kévin langoureusement tout en montant jusqu’à ses tétons puis en redescendant pour reprendre sa queue en bouche.
Je suis désolée Maître. Moi aussi je tiens à vous et ai envie de vous faire plaisir. Dorénavant, je ferai attention.
Elle commença à sucer son Maître qui ne fut plus capable de parler. Cela coupa donc court à toutes les conversations entamées. Il éjacula directement dans sa bouche une bonne quantité de sperme. Elle entrouvrit sa bouche et joua avec le sperme et sa langue. On voyait le fluide blanc voyager dans sa bouche avant qu’elle n’avale le tout d’un seul coup. Ils se lavèrent ensemble en prenant une douche d’une demi-heure durant laquelle le Maître et sa chienne se caressèrent, s’embrassèrent et se prirent réciproquement dans les bras comme deux amants savent le faire. À ce moment, leur relation ressemblait plus à une relation amoureuse qu’à une relation Maître/esclave.
À la sortie de la douche, Maxime se rhabilla alors que Salope n’enfila qu’une simple nuisette rose quasiment transparente. Ils discutèrent, assis dans le fauteuil, Salope blottie dans les bras de son amant. Ils discutaient de cinéma, de musique, de voyage, de cuisine … La porte s’ouvrit alors et le chirurgien arriva avec son assistante pour l’auscultation. Si le chirurgien n’était pas désagréable à regarder, son assistante était une vraie bombe. Elle était blonde, plus mince que Salope et avait des seins encore plus gros. Il était facile de deviner qu’elle était passée très souvent sur la table d’opération pour refaire la majeure partie de son corps.
Comme prévu, nous venons pour la dernière visite du séjour.
Cela va durer longtemps ?
Au moins une demi-heure, voire une heure entière pour l’ensemble des examens.
Tant que ça ? Je vais vous laisser faire et aller manger quelque chose pendant ce temps. Je reviendrai lorsque vous aurez terminé. De toute façon, je ne vous serai pas très utile en restant ici. Dois-je ramener quelque chose à manger ?
Ne vous en faites pas, parmi l’ensemble des examens, il y aura à manger. Elle ne devrait plus avoir faim après ça.
Bon, je vous laisse.
Maxime embrassa Salope en la serrant dans ses bras puis sortit de la chambre.
Comment dois-je vous appeler ? Monsieur ? Mademoiselle ?
Vous pouvez m’appeler Salope, c’est mon nouveau prénom et il me plaît beaucoup.
Je m’appelle Antoine et mon assistante se prénomme Svetlana. Elle est originaire de Russie.
Bonjour, Mademoiselle, vous êtes magnifique.
Merci, c’est surtout le fruit du travail d’Antoine qui m’a permis de ressembler à celle que je suis maintenant.
Dans ce cas, félicitations docteur. Vous avez bon goût.
Merci.
Antoine regarda le corps de Salope en passant ses mains sur sa nouvelle paire de seins puis sur sa ridicule queue toute molle.
Je vérifie la qualité du travail. Vous avez remarqué des choses particulières depuis votre opération ?
Oui docteur, je suis continuellement excitée. Est-ce normal ?
En effet, ce doit être les hormones féminines que vous prenez à forte dose pour l’instant. Cependant, avec le temps, les effets risquent de devenir permanents. Est-ce un problème pour vous ? Est-ce que mon assistante peut examiner mon travail ?
Ce n’est pas du tout un problème, au contraire. Pas de problème pour que votre assistante examine mon corps.
Svetlana passa lentement sa main sur le corps de Salope puis lui malaxa lentement un sein. Salope commença à gémir et à bouger dans son lit. Svetlana monta lentement dans le lit sans lâcher le sein de Salope et tout en embrassant son corps. Elle retira sa tenue d’infirmière et se retrouva juste en string. Elle embrassa goulûment salope alors que leurs corps quasiment nus se frottaient l’un contre l’autre. Alors que les deux femmes ondulaient maintenant dans une danse sensuelle, Antoine s’approcha du lit. Svetlana se mit sur le dos, la tête juste en face d’Antoine qui ouvrit directement son pantalon, sortit sa queue et lui offrit. Pendant ce temps, Salope commença à lécher la chatte de Svetlana. D’abord lentement puis de plus en plus rapidement et pénétrant de plus en plus loin. Elle mordillait son clitoris, lui arrachant des cris d’excitation étouffés par la queue qu’elle avait en bouche.
Antoine défonçait quasiment la bouche de Svetlana en enfonçant presque entièrement ses 23 centimètres. Après une dizaine de minutes de ce traitement, Svetlana explosa dans un orgasme sonore alors qu’Antoine n’était pas très loin de venir à son tour. Salope, toujours à quatre pattes entre les jambes de Svetlana qui était sur le dos, décida de se concentrer sur son petit trou et commença un annulingus qui semblait lui faire plaisir à la façon dont elle gémissait. Antoine versa un peu de gel sur la chatte de Salope et enfonça sa queue en une seule fois, lui arrachant un cri de surprise. Il y alla à fond et lui défonçait littéralement la chatte jusqu’à ce qu’il explose en elle. Antoine se retira et Svetlana se releva, vint nettoyer la queue d’Antoine avec sa bouche. Elle vint ensuite se poser à quatre pattes derrière Salope, et approcha sa langue pour lui nettoyer la chatte, le contact de la langue tiède sur sa chatte qui dégoulinait était tellement agréable que Salope ronronnait.
Elle commença par tourner lentement sa langue puis la rentra petit à petit de plus en plus profondément pour en extraire un maximum de contenu. Antoine et Svetlana se rhabillèrent, ouvrirent la porte et commencèrent à sortir.
Tout me semble correct, j’espère que nous vous reverrons bientôt à nouveau à la clinique.
Merci docteur. Bonne soirée.
Salope alla vite se laver pour retirer toutes les traces de son examen particulier. Une heure plus tard, Maxime revint avec un bouquet de fleurs à la main.
Je me suis dit que tu devais aimer les fleurs. J’en ai donc profité pour t’en acheter un bouquet.
Merci Maître, vous êtes tellement gentil.
C’est normal. Je veux que tu sois heureuse.
Il vint se coucher à côté de Salope en la prenant dans ses bras et en l’embrassant. Elle lui rendit ses étreintes et ses baisers et attendit qu’il s’endorme pour pouvoir aller à son rendez-vous secret à minuit. Maxime avait le sommeil lourd et elle savait qu’elle pourrait facilement s’absenter une petite heure sans qu’il ne se réveille. Elle décida d’enfiler une petite robe moulante et légère qui lui arrivait plus haut que la mi-cuisse et qui mettait ses nouveaux seins en valeur. Elle n’envisagea pas une seule seconde de mettre un string, bien entendu. Surtout que depuis la castration, sa queue était si petite qu’elle ne devait plus être retenue. Elle n’avait plus qu’une longueur de trois centimètres. Elle se maquilla comme elle avait appris à le faire pour ressembler à une vraie salope (elle porterait bien son prénom). Elle enfila ses talons hauts et sortit discrètement de la chambre.
Elle parvint même à sortir de la clinique sans se faire attraper par les gardes puis rejoignit le jardin où il vit les deux hommes qui l’attendaient. Elle eut un énorme sourire qui apparut et s’approcha d’eux en utilisant ses charmes pour les chauffer à blanc. Une fois arrivée à leur hauteur, elle passa une main sur le pantalon du premier qui lui saisit le cou d’une seule de ses grosses mains.
On va te faire ta fête, mais ensuite, il faudra payer notre transport pour passer la frontière. Tu vas passer à l’abatage !!!