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Avec Cerise – Chapitre 1




Cest presque par hasard que jai connu Cerise. Une beauté digne des Diane et Aphrodite réunies. Une allure sans: crée par Eros lui-même. De longs cheveux clairs tenus pas un chignon sont ramenés vers le visage en une charmante frange. Elle me parle dans le café où nous sommes assis pour boire une bière. Je la couvais des yeux, justement ses yeux bleus intenses me plaisaient, comme ce que je voyais de ses seins ou ses jambes. Elle bavarde de tout sans me connaître :

— Vous êtes de la ville?

— Oui, comme vous sans doute.

— Pas du tout je viens darriver.

— Vous ne connaissez personnes?

— Personne, mis à part mon propriétaire et le serveur et vous, je ne connais strictement personne.

— Que faites vous dans la vie?

— Je suis la nouvelle directrice du service comptabilité de la grosse boite.

— Mazette, vous navez pas de copain ou copine?

— Non, personne depuis que jai 19 ans, jai failli

— Vous avez failli quoi?

— Je parle trop, ne mécoutez pas.

— Du tout, cest un plaisir de vous entendre.

— Vous êtes seul?

— Oui, jai rompu avec mon amie.

— Elle nétait pas gentille.

— Trop, avec les autres.

Plus je regarde Cerise, plus jai envi delle. Et puis je maperçois quelle ne porte pas de soutien gorge. Aucune marque sous son top. Je regarde ses lèvres qui me donnent envie de poser ma bouche sur la sienne. Pourquoi sa bouche me tente à ce point, sans doute le mouvement de sa langue pour humidifier sa bouche, je ne sais en tout cas je me penche à peine pour lembrasser. Surprise sans doute elle nouvre sa bouche qu’avec un temps de retard. Ma langue cherche la sienne qui se dérobe un instant avant daccepter le contact.

Il me semble être dans un cartoon de Tex Avery : il me paraît quun éclair se passe entre nous. Ce premier contact fait quelle maccepte comme partenaire de flirt. Jallais continuer mes recherches sur son corps quand elle minterrompt :

— Avant daller plus loin, il faut que je te parle.

— Vas-y, avoue tes crimes.

-Ce nest pas un crime. Quand jétais jeune je faisais comme mes copines, je me masturbais pour mon plaisir. Javais souvent en tête lidée de me faire dépuceler. Jhabitais la campagne où javais mes endroits préférés pour me faire lamour. Un après midi de juillet, jétais nue dans un bois, je me faisais du bien quand jai vu, pas loin de moi un garçon de mon âge à peu près qui se caressais le sexe. Il était aussi nu que moi. Cétait la première fois que je voyais une bite en érection. Je trouvais que cétait excitant. Je me suis approchée de lui qui ma presque sauté dessus. Jattendais cet instant depuis si longtemps. Il ma faite coucher, il est venu sur moi pour me la mettre. Cétait presque un viol. Il a pénétré dans mon sexe, il ma fait mal. Jai bien senti quand il a joui : il est sorti, ma remerciée en partant. Je ne sentais encore que cette douleur dans le ventre. Depuis jai toujours refusé quun homme me touche, jai même fait un essai avec une copine, je préfère la masturbation qui me donne tous les plaisirs.

Tu es donc le premier depuis mes 19 ans. En plus tu es gentil, cest pour ça que je te permets de membrasser.

Elle membrasse sans que je ne demande rien. Je reprends où jen étais en cherchant à lui faire du bien et lexciter en lui caressant la poitrine. Jarrive facilement sans quelle se défende trop. Ses seins sont durs comme de la pierre. Je ne fais que les frôler. Nos bouches restent unies. Jai limpression quelle se donne à moi. Jenlève ma main pour la mettre sur une cuisse. Je monte lentement : elle se laisse faire surtout quand je sens sa chaleur vers sa chatte. Bien sur elle ne porte pas de culotte.

Jarrive sur son sexe, quelle immense partie mouillée. Je mattarde, comme cest normal sur son clitoris. Pour une fille qui naime pas les hommes, elle se laisse branler facilement. Sa tête est contre mon épaule : je lentends respirer rapidement. Ma main continue son travail de sape jusquau moment suprême de son orgasme.

Je mattendais à sentir sa main sur ma queue. Il nen est rien. Dommage jaurais bien aimé quelle me masturbe aussi.

— Si nous sortions de ce café pour aller ailleurs?

— Où?

— Ca mest égal.

Je ne vais pas quand même lemmener dans un de ces hôtels minables pour amants réguliers.

— Chez moi, ça te va?

— Oui.

A peine entrés je lembrasse encore, elle répond à mes baisers. Je commence à la déshabiller : elle se laisse faire.

— Nous allons faire quoi?

— Ce que tu veux mon ange (Je commence à lui dire des mots doux : danger)

— On fera lamour?

— Bien sur.

— Tu me baiseras?

— En plus je tenculerais, te sucerais. On fera même un 69.

Je lentraîne vers la chambre où elle se couche seule sur le lit. Je me déshabille à mon tour. Son regard est fixé sur ma bite en érection :

— Que tu es gros!

— Non, je suis normal.

— Pourtant je te trouve bien gros quand tu bande.

Quand je me couche à ses cotés elle ne fait rien que tendre ses lèvres. Je lui caresse encore la chatte : elle ouvre bien ses jambes et semble ignorer ma bite. Quand elle jouit encore une fois, je prends sa main pour quelle me prenne. Elle tient ma queue comme un objet fragile. Je lui apprends à me caresser. Plus ou moins adroitement elle commence. Je prends du plaisir, enfin, parce que cest une nouvelle main qui caresse.

Jai envie de la sucer : je me tourne pour avoir mon visage juste à la hauteur de son trésor, dans les deux sens du terme. Toute sa chatte est fermée par une fourrure fournie. Jembrasse toute son intimité. Je suis frappé dabord par son odeur attirante de fille en chaleur et par son goût différent des autres filles que jai connu. Je ne sais où aller : tout mattire. Ma langue décide de visiter son clitoris. Je ne suis pas surpris de le sentir se gonfler en venant sur lui. Je le trouve presque trop doux. Je le sens fléchir sous ma caresse avant de se redresser. Elle commence à gémir lentement et commence ces commentaires :

— Cest bon ce que tu fais. Je sens ta langue qui me fait du bien et ton nez qui souffle de lair chaud. Continue encore longtemps.

Je continue longtemps, même si elle me dit jouir, je continue quand même. Quand elle a eu sa dose dorgasme, elle serre ses jambes en me faisant prisonnier : quelle joli prison pour ma tête.

Cerise se détend assez pour que je continue. Maintenant je me sers également de mes doigts. Jen rentre deux dans son puits. Elle part encore, alors, ma langue remplace mes doigts pour aller sur son rectum.

— Je ne pensais pas que tu mencule avec ta langue.

— Je ne tencule pas je te caresse lanus simplement.

— Tu menculeras quand?

— Plus tard.

En plus elle est pressée de se faire sodomiser. Je fais le tour de son cul : elle retient encore ma tête. Je ne sais si cest-ce que je fais, elle attrape ma queue pour me branler lentement. Je force un peu avec le bout de la langue : jentre relativement facilement dans son ventre.

— Que cest bon ce que tu fais.

— Régale toi.

— Cest délicieux. Je ne pensais jamais être traitée comme ça par un homme.

Je reviens me coucher normalement près delle : Cerise me prend le visage dans ses mains pour mieux membrasser. Elle entre sa langue directement dans ma bouche. Elle a vite pris le coup pour embrasser. Quand elle finit son baiser, je vais sur elle. Elle comprend la suite en écartant ses jambes.

Cest moi seul qui guide ma queue vers son vagin. Jai encore peur dun rejet aussi jentre très lentement. Je suis enfin au fond delle : je suis dans une véritable fournaise. Je reste au fond de son ventre sans bouger : cest le paradis pour ma bite. Jentame les va-et-vient.

— Cest bon de te sentir dans mon con. Fais-moi encore jouir, je ne vais pas tarder.

Mes mouvements sont rapides : japproche de son orgasme, son X° orgasme. Sa jouissance est maintenant bruyante : elle crie son bonheur de jouir.

— Oui, Oui, encore. Baise moi.

— Je nai pas jouis encore, tu vas tout prendre dans ton ventre.

— Oui, Jouis en moi.

Nous bougeons tellement que je me trouve sous elle. Je crains que notre union se termine bêtement : elle prend le relais en se mettant assise sur moi. Je regarde sa poitrine balancer pendant ses mouvements. Même si javais voulu me retenir, je ne pouvais plus :

— Je vais jouir dans ton ventre.

— Oui, moi aussi je vais jouir.

Jéclate en une longue décharge. Mon sperme a du lui remplir le vagin. Je sens en même temps quelle lâche une bonne quantité de cyprine juste avant de seffondrer sur moi.

Nous restons ainsi un long moment : je débande même en elle. Sa bouche revient encore sur la mienne. Je sens outre sa langue, ses seins sur mon corps.

— Tu vas menculer maintenant?

— Quand je banderai encore, tout à lheure.

Elle se tourne pour prendre ma pine dans sa bouche. Je suis plein de sperme et de cyprine : elle nest pas dégoûtée. Sa main serre la base de ma queue pendant que sa langue lèche pour me nettoyer. Elle fait plus que nettoyer, elle me donne un plaisir que je ne connaissais pas : bander dans sa bouche.

Maligne, elle se mouille lanus avec sa cyprine, se met en levrette pour me donner son cul. Je ne sais pourquoi elle tient absolument à être sodomisée.

Je me mets en position derrière elle, mes mains sur ses seins. Japproche ma queue de lentrée ou la sortie de son ventre : elle prend ma bite pour la mettre juste sur son petit trou. Je nai pas intérêt à la louper. Je ne veux surtout pas lui faire mal : ou le seul mal que je veux faire est de lui donner son orgasme.

Mon gland doit bien mettre 5 minutes à traverser son sphincter. Elle sest totalement détendue. Je peux rentrer toute ma bite. Elle a un cul accueillant, plus serré que son vagin, plus jouissif en bref.

— Oui, encule moi, jaime beaucoup. Je pensais que tu allais me faire mal, au, contraire je sens que je vais jouir.

Moi aussi je sais que je ne vais pas attendre trop, elle va me faire partir dans les cieux, ceux des amants qui jouissent. Hélas je jouis juste avant elle.

— Je sens ton jus dans mon boyau. Cest bon.

Je sors delle avec regret. Mais crevés de notre baise, pour elle cest la première fois quelle se fait mettre volontairement, nous nous endormons bien serrés. Ce nest que plus tard au réveil que nous nous rendons compte de ce que nous avons fait :

— Tu sais je crois que jai bien aimé baiser avec toi, chéri.

— Tu baises comme une grande, amour.

Parler cest bien, baiser cest mieux. Nous reprenons au début, cette fois par un 69, pratique qui lui plaît beaucoup, surtout quand elle reçoit mon sperme dans la bouche. Après avoir bien baisé nous allons petit déjeuner.

Nous sommes nus pour déguster ce quelle a tenu à préparer. Bien sur le café est froid quand nous le buvons. Pour moi cest normal, je lai faite s’asseoir sur le bord de la table, les jambes bien ouverte pour la déguster. Comme elle a voulu me rendre la politesse, après mon sperme, la boisson était froide.

Nous décidons après quelques jours de vivre ensemble. Le lendemain de son installation chez moi elle me demande la permission de se masturber comme avant : comme si jallais lui interdire de prendre son plaisir somme elle aime.

Depuis bientôt 10 ans, nous avons dit oui à monsieur le curé, bien longtemps après nos expériences diverses.

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