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Je me prénomme Justine. Je suis une jeune femme rousse de dix-neuf ans, avec des petits seins émouvants, une taille de guêpe, un ventre plat et surtout des fesses à damner un saint. Mes longues jambes sont celles d’une coureuse de demi-fond. Mon visage est très fin avec des pommettes hautes. Le gris vert très pâle de mes yeux donne à mon regard une fausse candeur. Mon front est parsemé de taches de rousseur. Lorsque j’étais adolescente, je ne les aimais pas, puis je m’y suis habituée et aujourd’hui je joue de cette particularité qui me donne une assurance animale.
Ce soir, je suis invitée à un dîner. Je décide de porter le tailleur-pantalon gris perle qui me moule si bien les fesses et des bottes en cuir noir qui me perchent sur six centimètres de talons. Le dîner est sympa, avec surtout des hommes, jeunes, travaillant tous dans l’univers des hautes technologies. Assez vite, je le remarque et me promets de le croquer dans les heures suivantes. Après le dîner, tout le monde se rend dans une grande discothèque et j’en sors avec ma nouvelle conquête. L’alcool et la fatigue aidant, je lui confesse être tentée par la soumission Il paraît d’abord désarçonné, puis me demande de bien réfléchir et promet de me téléphoner bientôt. Sur le coup, je suis très en colère de ne pas baiser tout de suite. Avec le recul, je crois qu’il a eu raison. J’étais trop saoule ce soir là pour pouvoir vraiment jouir.
Deux jours plus tard, il m’appelle.
— Tu n’as pas changé d’avis ?
— Ma motivation est intacte.
— Tu t’engages à obéir à tous mes désirs, à rendre disponible tous tes orifices, en toutes circonstances, à porter toutes les tenues et accessoires que je t’imposerai, pendant et en dehors des séances. Tu devras tenir un journal intime décrivant toutes les leçons reçues. Tu acceptes la prise de photos numériques et de films.
Après un léger silence, je lui réponds :
— Je suis prête à obéir, pour notre plaisir commun
— Alors viens me rejoindre au 26 de la rue Denis Papin… Tu me plais et tu m’excites.
Et il raccroche.
La porte est entrebâillée. J’entre. Personne ne semble m’attendre. Je suis un peu nerveuse, mon cur bat très fort. J’avise un bout de papier avec mon prénom surligné : des instructions
— Justine, tu es vraiment très belle. Tu vas enlever tous tes vêtements. Dans la commode, tu vas trouver ce qu’il te faut aujourd’hui.
Le meuble est derrière moi. J’ouvre le tiroir supérieur et découvre, bien rangés, des escarpins à talons aiguille, une paire de bas noirs et un porte-jarretelles en soie grège. C’est tout ! Je suis les instructions et sens une présence. Il est là, quelque part derrière moi, mais je ne me retourne pas.
— Je ne veux pas simplement te baiser, me dit-il, je te veux entièrement à moi ou pas du tout ! Je veux que tu sois à ma disposition. Je veux que tu oublies que je suis un homme, que tu es une femme. Je suis un sexe et toi des trous à remplir. Tu es une salope et je vais te traiter comme tel. Si tu es d’accord, tu n’as rien à dire, sinon fout le camp tout de suite, je ne veux plus te revoir.
Je ne réponds rien, mon cur bat fort dans ma poitrine, ma gorge est serrée.
— Je vois que tu ne sais pas quoi faire de tes mains, je vais t’appendre la position que tu devras prendre lorsque tu seras en attente comme maintenant. C’est la position d’inspection : tu mets les mains derrière la tête, les coudes tirés vers l’arrière, le regard bien droit et tu écartes les jambes Allez exécution !
J’obéis mais n’écarte pas assez à son goût. Il m’incite à accentue l’angle que font mes cuisses par de petits coups de baguette sur les mollets. Il commence à me caresser avec le bout de la baguette. D’abord le dos, de la nuque jusqu’aux fesses Il remonte, redescend, pousse dans le creux des reins pour me cambrer. Puis les côtés, de la naissance des seins jusqu’aux chevilles, un coté, puis l’autre. La baguette, maintenant, caresse mon cul, que je sens totalement offert par la position. Il passe devant moi, redresse ma tête en plaçant la baguette sous mon menton, me regarde droit dans les yeux.
— Tu es magnifique et terriblement bandante. Tu dois toujours avoir la tête haute, une attitude fière !
La baguette descend entre mes seins nus, fait le tour de ceux-ci.
— Ouvre la bouche !
La baguette caresse maintenant mon ventre, parcourt la ceinture du porte-jarretelles. Il se place de coté pour admirer ma silhouette, mon cul rebondi d’un coté, ma poitrine dressée de l’autre. Je rectifie ma position en levant un peu plus le menton. La baguette continue sa descente, parcourt le devant de mes cuisses, arrive aux genoux, remonte. Elle vient se plaquer sur ma vulve. Je tressaute.
— Ne bouge pas, je te veux complètement immobile !
La baguette tangente ma chatte, épouse l’arc de cercle de mon entrejambe, remonte dans la raie culière, revient sur le sexe Douce, lente et perverse caresse.
— Penche-toi en avant !
La baguette parcourt mon cul, descend sur l’arrière de mes cuisses, remonte, tourne, glisse sur la raie entre mes fesses, remonte sur ma fente. Je ne peux retenir un petit feulement souriant.
— Redresse-toi ! J’ai envie de toucher le grain de ta peau, de sentir la fermeté de ton corps.
Reposant la baguette, il s’approche de moi et m’embrasse à pleine bouche. Ma langue cherche sa langue. Je lui rends son baiser mais n’ose pas bouger.
— Bras en croix !
Je m’exécute. Il est derrière moi, ses mains fouillent mes cheveux, caressent ma nuque, massent doucement mes épaules, parcourent mes bras. Ses pouces descendent ma colonne vertébrale, remontent sous mes aisselles. Ses doigts épousent la forme de mes seins, passent dessus, replongent en dessous. Mes seins sont fermes, doux et joyeux d’être ainsi à la fête. Je me laisse peloter sans bouger, avec un immense plaisir de me donner. Ses doigts s’attardent sur mes tétons, les roulent, les tirent. Je gémis de bonheur.
— Tu aimes les caresses ?
Je formule un oui à peine audible, d’une fois fêlée par la joie. Ses mains descendent sur mon ventre et vont palper mon cul, une main devant, une main derrière. L’index de la main droite trouve mes lèvres toutes gonflées et humides. À son contact, j’ai une légère contraction.
— Tu aimes le sexe ?
Un oui presque chuchoté.
— Accroupis-toi, genoux écartés, mains derrière la nuque !
Je prends doucement la pose. Du dos de la main, il caresse l’intérieur de mes cuisses. Arrivé à la hauteur de mon sexe, son majeur caresse mes lèvres, descend le sillon de ma chatte, que je sens entrouverte, réceptive et trempée Son doigt n’a pas à forcer le passage. Il rentre en moi comme si j’avais été tartinée de vaseline. Je geins encore un peu.
— Ne jouis pas tout de suite ! Nous allons voir si tu as bien retenu cette première leçon. Dans quelle position dois-tu être pendant les attentes ?
— Mains derrière la tête, tête haute, et jambes écartées.
— C’est bien, nous pouvons poursuivre.
Il présente son majeur humide devant ma bouche.
— Lèche, petite salope! Tu as une belle petite langue rose, souple et ferme Tu aimes sucer des bites ?
—
— Réponds !
— Oui, j’adore sucer.
— Raconte-moi ton dépucelage !
— À 15 ans, avec un garçon de mon âge, dans sa chambre.
— Précoce dis donc, et c’était bien ?
— Non trop rapide. Bien moins bon qu’aujourd’hui
— Tu aimes les longs préliminaires, ta chatte mouillée et tes tétons saillants le crient bien fort. Tu possèdes des jouets ?
— Des jouets ?
— Oui des godes…
— Non, je n’ai jamais essayé.
— Je vais combler cette lacune.
— Mets-toi à genoux, cuisses écartées. Penches-toi en avant et poses les mains au-dessus de tes genoux C’est parfait ! Tu es une bonne petite femelle jouisseuse Cambres-toi bien, tu sens comme ton cul est bien exposé ?
Une noix de lubrifiant sur la rondelle et il me montre un godemichet noir d’une bonne longueur et d’un diamètre très raisonnable. Il pousse lentement mais de plus en plus fort sur mon anus. Soudain, mes muscles lâchent et je sens le sexe de plastique remplir mon cul. Mon plaisir monte immédiatement très haut, très fort, très violent. Dans la savoureuse tempête, par-dessus mes couinements de bête prise entre les serres d’un aigle, mes râles de biche saillie bestialement, je l’entends me dire encore :
— Je veux que tu t’habitues à t’offrir ainsi. Si je travaille ton cul comme ça aujourd’hui, ce n’est pas seulement pour ton plaisir, c’est pour qu’il accepte de recevoir assez facilement des queues. L’objectif est qu’il soit assez souple, mais pas béant.
Ces mots crus et le coulissement facile du gode font soudainement monter une énorme vague de plaisir qui m’arrache de très longs cris.
— C’est ça, oui, jouis petite garce Tu es là pour ça !