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Comment ma femme s'est dévergondée – Chapitre 18




Il se met assis à côté de Sandra. S’embrassent à pleines bouches. Il lui pelote les seins dessus, puis sous le t-shirt. Arrêtent. Boivent leur café. Me regardent.

Il rigole.

— Je me demande si nous ne devrions pas faire venir Laurent. Il serait ravi de découvrir ton corps épilé, ta petite chatte toute lisse et ton anus bien visible et bien offert…

— Oh non !! Pas ça, je vous en prie…

Sandra précise.

— Il voudrait surtout te sauter tout de suite, oui !!!!

Ils rient.

Daniel se lève. Vient près de moi.

— Ne crains rien, nous n’allons pas l’appeler. Je préfère te "préparer" un peu…

Près de moi, il commence à me, caresser les fesses. Lentement, prenant son temps. Ses mains vont d’une fesse à l’autre, me caressent le creux des reins, lentement…

Je bouge.

— Ne bouge pas !! Laisse-toi faire !!

Les caresses sur mes fesses durent une éternité.

Une de ses mains s’aventure, devant !!!!

Touche mon bas-ventre lisse. Puis descend. Sur mon sexe !

Le caresse. Caresse les couilles. Les prends à pleine main.

J’esquisse un petit cri. Il continue.

Les fesses à nouveau.

— Mais arrête de bouger bon Dieu !!

— Je vous en prie, laissez-moi…

— Bon ! Ca suffit !! Si tu n’arrêtes pas de bouger, je te fais écarter les jambes à gauche et à droite, je les attache, et je te bâillonne, c’est compris !!

— Oui, snif, oui…

Sa main repart sur mes fesses. Les flatte. Passe devant. Touche mon bas-ventre. Mon sexe, maintenant. Le masturbe légèrement. Passe sur mon ventre, mon nombril. Repart sur les fesses.

Soudain. Il m’embrasse dans le cou.

— Salope, humm. Salope…

Puis vient devant. Et commence à me sucer les tétons…

Au bout de dix minutes de ce traitement je ne peux m’empêcher de gémir.

— Ahhhh, ahh, ahhhh…

— Tu vois que tu aimes ça, salope !

Il continue.

Je bouge…

— Tiens ! Regarde ! Tu as les seins qui bandent ! Regarde comme tes tétons bandent ! Regarde, ils sont dressés !!!

Je baisse la tête et regarde. Il dit vrai. Mes tétons sont enduits de salive et sont dressés tous les deux…

Sa main descend. Il me masturbe. Je gémis.

— Ahhhh, non, ahhh, non…

Il continue.

Sandra rit.

— Si tu savais chéri comme elle m’excite et comme j’ai envie de la fouetter !!!!!

— Je sais ma puce, mais il faut la laisser intacte pour demain, qu’elle n’ait pas de zébrures sur le corps, son amant n’apprécierait pas…

Il me masturbe encore un moment et revient me sucer les seins…

— Oh non, pas ça, non…

Au bout d’un quart d’heure, il arrête tout net. Je halète.

— Bon ! Elle est fatiguée. On va la laisser se reposer.

Ils se lèvent et rentrent, me laissant nue, attachée les bras en l’air, tétons dressés et sexe en érection.

La fenêtre de chambre s’ouvre. Ils vont faire l’amour.

Sous mes yeux, ils se déshabillent. S’embrassent. Ils sont nus. Sandra s’allonge sur le lit. Il vient sur elle, la caresse. Elle gémit. Lui suce les seins. Puis, ça me fait mal de voir ça, se met à lui lécher la chatte. Longuement. Elle soupire, gémit, crie.

Puis il arrête, se lève. Elle le suit, se met à genoux, et commence une fellation.

Elle lui suce le sexe longtemps. Puis se met en levrette sur le lit. Il vient et la pénètre.

Il lui fait l’amour longtemps. Sandra crie, hurle.

— Oui, continue, je te sens bien ! N’arrête pas…

— Humm. Elle est bonne, ta queue !!

— J’adore ta grosse bite. Prends moi fort. Oh oui !!!! Encore plus fort !!

Les positions s’enchaîne. Elle sur lui. De face. De dos.

Allongée sur le côté. Puis à nouveau en levrette.

Il la "finit" ainsi. Elle jouit. Hurle.

Il l’imite bientôt, sort son sexe et éjacule sur ses reins, ses fesses en criant.

Elle s’allonge sur le ventre un instant, lui à ses côtés.

Puis ils se lèvent, viennent sur la terrasse.

Sandra fait exprès de se tourner et retourner, que je puisse bien voir les traînées et placards de sperme sur ses reins et sur ses fesses.

Elle tire distraitement sur mes pinces à seins et m’arrache un cri.

Puis ils rient et piquent une tête dans la piscine.

Ils restent un moment, sortent, prennent une douche dehors et s’essuient.

— Qu’est-ce que tu m’as faite jouir, amour ! Au moins trois fois ! Je n’en pouvais plus !!

Soudain, elle vient vers moi, s’agenouille, et commence à me sucer !!

Elle me pompe consciencieusement sous l’il à Daniel. Me prend bien en bouche. Sors sa langue le long de ma queue qui bande et durcit. Titille le gland. Mange mes couilles.

— Oh oui. Que c’est bon. Oui, continue…

Elle est experte en fellation.

— Hummm, oh, ahhh. Je t’en prie, détache moi. J’ai envie de toi ! J’ai envie de te prendre ! De te faire l’amour, ahhh, oh. Détache moi, j’ai trop envie.

Elle arrête. Se lève.

— Ca suffit pour aujourd’hui ! Les bonnes choses ont toujours une fin…

Ils rient.

Une fois de plus, je suis là, nue, attaché, très excité et ils me laissent en plan, la queue dressée. Les salauds.

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