Il est sur le canapé. Abasourdi par les mots et les images qu’elle lui a fait imaginer. Il est fasciné par le fait qu’elle se soit autant lâchée. Son rêve érotique, lorsqu’il le lui a raconté, ne devait pas stimuler une telle créativité de sa part. Il ne peut s’empêcher de laisser traîner un doute qui, comme un petit poids, tournicote au fond de son estomac. Et si elle n’avait rien inventé, et s’il n’avait pas rêvé ? Il existe de nombreux cas de traumatisme dont le sujet ne se souvient que comme un mauvais rêve par un mécanisme de survie de l’esprit. Et si c’était cela qu’il venait de vivre ?

Toujours dans le canapé de leur si belle suite, il se laisse aller à ses vagabondages mentaux. Elle, à genoux sur le canapé, lui caresse le bras, continue à lui raconter à l’oreille des scènes torrides qui se seraient passées dans l’eau d’une voix susurrée. Des mots qui ne sont que trop rares dons son vocabulaire flottent dans la pièce « bite … mâle … allumeuse … bonne … baise … pipe … » Son trouble grandit. Mais il doit bien avouer que ça n’est pas seulement un malaise. C’est surtout une érection, franche, massive, qui déforme son short sans le moindre soupçon de pudeur. Frissonnant, il tourne son visage vers celui de son aimée et souffle « arrête de me torturer, il faut que je fasse taire ta bouche ».

Leurs lèvres s’unissent et elle, d’ordinaire si réservée dans les baisers qu’ils échangent, se montre entreprenante, torride, intense. Ses lèvres, en général fermées, sont ouvertes et humides ; sa langue, si timide en métropole, est ici agile, joueuse et aguicheuse. Il peine à se contrôler, ses mains se posent sur le corps brûlant de soleil de sa douce et rapidement, il fait glisser ses doigts vers son bas-ventre et le lieu sacré de ses désirs. Subitement, elle se décolle, haletante et crispée. Les lèvres humides et les yeux brillants, elle le regarde avec intensité :

Jeeee … Mon chéri, il faut que je prenne une douche avant !

Une douche ? Tu ne crois pas que c’est du gâchis ? On risque de se salir très vite haha.

Non je … je suis pleine de sable, ça me gênerait …

Moi ça ne me gêne pas.

Il essaye de se recoller à elle, pris d’une envie animale de lui faire l’amour. Elle recule un peu.

Mon amour … je te promets que ça va être génial … mais laisse-moi me doucher !

À contrecur il la laisse s’échapper de ses bras. Une brume traverse son esprit. Pourquoi a-t-elle autant besoin de se doucher ? Le sable n’avait jamais été un problème auparavant. Il faut constater que faire l’amour de manière aussi spontanée, ça n’est plus dans leurs habitudes. Elle a peut-être eu un peu peur. Il cherche à se calmer. Mais ne peux maîtriser les soupçons et le trouble qu’il ressent. Cela ne l’empêche en tout cas pas de bander, son sexe explose hors de son short. Impulsif, il se met nu et commence lentement à se masturber. Des images contradictoires, mais toutes plus excitantes les unes que les autres se bousculent dans son esprit.

Mon chériiiii …

Elle est dans l’embrasure de la porte, lascive et entièrement nue. Un bras accroché en hauteur au chambranle de la porte et l’autre sur ses hanches. Elle est entièrement nue, sa seule parure étant sa superbe chevelure brune lâchée sur ses épaules et le haut de son dos. Son corps perle de gouttelettes qui glissent paresseusement le long de sa peau bronzée. Elle a poussé la coquetterie à appliquer sur sa bouche un rouge à lèvres vif qui en fait ressortir le dessin ourlé. Il aime tant cela. Il reste béat d’admiration. Elle est si belle. Il se sent un peu ridicule, son sexe à la main nue à regarder cette déesse sortie de l’eau. Si Botticelli avait pu assister à cette scène, sa Vénus aurait été plus belle encore. A peine conscient de ses actes, il accélère sa masturbation. Il peine à se contrôler, s’il pouvait, il jouirait là, tout de suite. Mais il doit se tenir, une telle partie de sexe, il faut en profiter. Lascive, elle s’approche de lui, sans le quitter des yeux.

Son regard sombre qui peut être si dur est, à cet instant, illuminé par un brasier inconnu.

Toutes les flammes de l’enfer, ce lieu de débauche permanente et donc d’extase, sont réunis dans les yeux de sa douce à ce moment précis.

Un petit sourire en coin, elle avance, sa petite poitrine fièrement dressée et ruisselante, marchant lentement tel un mannequin, une jambe devant l’autre. D’une voix chaude, elle murmure alors qu’elle s’agenouille devant lui « tu n’as pas eu le temps de m’attendre mon petit chéri ? ». Il n’a pas le temps de répondre qu’elle a embouché son sexe brulant. La tension est telle qu’un simple gémissement s’échappe de sa bouche. Il laisse sa tête partir en arrière et se laisse aller à son extase. Elle s’en donne à cur joie. Jamais une fellation n’avait été aussi puissante. Ses lèvres vont et viennent sans discontinuer. Par réflexe il pose ses mains sur la tête de sa femme pour la guider et elle ne s’en offusque pas. Au contraire, elle suit les consignes qu’il lui donne par les gestes. Il la pousse à aller le plus loin et le plus profondément possible. Elle manque de s’étouffer, mais ne relâche ni son étreinte humide ni ses efforts. Sa langue tourne et tourne autour de son gland.

Elle ressort le sexe de sa bouche et tout en le branlant avec un bruit humide, elle le regarde dans les yeux

Tu aimes comme je te suce ?

Putain !! J’adore !!

Je te suce comme quoi ?

Comme … heu … heu … comme … comme une salope ? (d’une petite voix)

Ah oui ? Comme une salope ? c’est comme ça que tu voulais que je me lâche (un coup de langue sur le sexe baveux qu’elle branle)

Mon amour jeee … oui j’adore … aahhhhhh (nouveaux coups de langue)

Une salope qui te suce comme ça, tu as envie de lui faire quoi ? (Plop ! elle aspire rapidement son gland)

Jeee … deee … de lui faire l’amour …

Vraiment ? … de lui faire l’amour ? … pas … de la baiser ? (D’une petite voix espiègle)

Oh Si ! … SI … SIIIII !!!… Si je … je veux te baiser ma salope !! putain ! oui !!

Elle se détache alors du sexe de son homme et, féline, toujours à quatre pattes, monte sur le lit et tends sa croupe vers lui. La tête posée sur l’oreiller, seuls son sexe luisant et lisse et ses fesses sont tendus vers le ciel.

Alors … qu’est-ce que tu attends pour baiser ta salope !

Désordonné, comme pris de folie, il se jette sur elle. S’enfonce dans sa chatte sans le moindre ménagement. Aucune difficulté pour l’entrée de son sexe, au contraire, il se sent comme aspiré par sa femme. Les Antilles sont donc réellement aphrodisiaques ! Il l’attrape par les hanches. La chaleur de la chambre est si forte que leurs corps ruissellent de sueur. Il donne de grands coups encouragés par ses cris perçants et ses halètements. Parfois même, elle ose des mots « Baise-moiiii !!! … Défonce-moi !!! » … il ne s’arrête pas. Il se crispe soudain, enfonçant ses ongles dans la chair de sa femme. Sentant la jouissance venir, elle l’encourage « Ouiiiiiiii, remplis-moi mon amoouuurrr haaaaaaaaaa » … Il s’écroule sur le lit, son sexe gluant et ramollissant s’échappant de sa femme. En sueur et à bout de souffle, il la regarde se lover contre lui, les yeux brillants, et ils s’embrassent.

Bonne nuit mon chéri. Je sens qu’on va bien dormir hihi.

Encore sous le choc, il ne répond rien, mais très vite, sombre dans un sommeil profond.

Tout à son extase, il dort d’abord d’un sommeil sans rêves. Puis, petit à petit, les images reviennent. Cet après-midi sur la plage, ces regards sur sa superbe femme, ces autres femmes qu’il a regardées discrètement et qui faisaient tout pour attirer les yeux des hommes, cet attroupement dans l’eau autour de sa chérie. Il repense aussi à ce serveur qui, ce soir au restaurant, semblait terriblement intéressé par leur table. Qui se confondait en sourires et en regards espiègles fort peu professionnels. Mais non, un serveur se doit dêtre aimable, il ne faut pas se faire de films. L’ange et le démon sont dans ses rêves et soufflent le chaud et le froid. Cette boule dans l’estomac ne s’échappe pas. Un courant d’air frais sur son corps nu le tire doucement de son assoupissement. Il cligne doucement des yeux et constate que la fenêtre est ouverte. Était-ce le cas quand ils ont fait si bruyamment l’amour ?

C’est vrai qu’elle ne pousse jamais autant de cris et que ses gémissements ne sont pas souvent aussi appuyés.

Pas de quoi se plaindre, ça a contribué à rendre cette partie de sexe légendaire. Toujours embrumé, il se lève et titube vers la fenêtre qu’il referme. Lorsqu’il revient au lit, il veut embrasser sa douce dans le cou et se lover contre elle en cuillère. Mais il ne sent que les draps sous ses doigts. Elle n’est pas dans le lit.

Et si …

Et si elle s’était levée. Que serait-elle allée faire dans cet hôtel en pleine nuit ? Qui serait-elle allée voir ? Comment y serait-elle allée ? Il l’imagine déambulant dans les couloirs en nuisette, à la recherche de n’importe quel mâle pour étancher sa soif de sexe. Il la suppose possédée par un esprit lubrique qui la fait aller au contact de tout homme musclé ou sur de sa virilité. Il la voit aborder serveurs, touristes, membres du personnel, animateurs, cuisiniers …

Tout le monde a le droit au regard de braise qu’elle lui a lancé avant de le sucer. Tout le monde a le droit d’entendre « Alors qui veut se faire sucer par une belle salope ? … Alors qu’est-ce que vous attendez pour me baiser ! » … les bites s’enchaînent dans son esprit embrumé, les pipes, la salive coulant sur le menton et le sol, la cyprine dégoulinant le long des cuisses, les sexes tous plus grands les uns que les autres …

Il faut réellement qu’il repense à sa pratique du porno. Mais il ne peut pas chasser toutes ces images de son esprit.

Il commence à se branler machinalement d’abord puis vite, fort. Il faut faire sortir au plus vite ces images atroces et si excitantes de ses pensées. Il sent que ça vient. Que ça monte. Par réflexe, il attrape un string de sa femme et éjacule de longues et épaisses traînées de sperme dedans. Abruti par la violence de l’orgasme, il s’écroule dans un sommeil sans rêves.

Lorsqu’après un long sommeil épais, il ouvre ses yeux. Il regarde autour de lui, la bouche pâteuse et le regard vaseux. La porte de la salle de bain s’ouvre et elle en sort, toute pimpante, fraîche, le visage rayonnant. Elle porte un minishort en jeans et un petit top court blanc qui laisse voir son nombril et sous lequel elle ne semble pas porter de soutien-gorge. Ses jolis petits seins pointent sous le tissu eux aussi, tous joyeux d’être en vacances. D’une voix caverneuse, il articule difficilement :

Tu … Tuuu … cette nuit, je me suis réveillé à un moment, jee … tu n’étais pas là …

(Gloussante) Oui, on dirait que le jet-lag me fait l’effet inverse. Toi, ça t’épuise et ça te fait faire des rêves chelous, moi, ça m’empêche de dormir. Je suis allée un petit moment prendre l’air dehors pour ne pas te réveiller à tourner-virer dans le lit. Désolée. (Avec un petit sourire).

Il se frotte les yeux, comme soulagé. Elle lui lance un regard brûlant :

Pourquoi … Tu … Tu as encore … encore eu ce drôle de rêve ?

Ben … désolé j’étais inquiet … désolé.

Et … Et si … oui … Et si en sortant prendre l’air … j’avais fait une rencontre. Oui. Je me suis réveillée, impossible de me rendormir. Et dans mon ventre encore un feu qui me consumait. Notre séance de sexe avait été fabuleuse, mais il m’en fallait plus. Pour me détendre, je suis sortie dans le couloir pour aller faire quelques pas dehors. Ce qui est bien aux Antilles, c’est qu’au beau milieu de la nuit, même en toute petite tenue, on n’a pas à craindre le froid. J’étais pieds nus et dans ma petite nuisette noire en satin. J’ai juste eu le temps d’enfiler un tanga avant de sortir. J’ai commencé à marcher et …

Arrête … arrête, je me suis déjà fait pas mal de films cette nuit.

Oui … mais si j’en crois ce qui déforme les draps, il me semble que mes mots ne te dérangent pas tant que ça !

Je ne comprends pas pourquoi ça m’excite autant …

Elle

Et si … j’avais rencontré dehors, mon bel animateur du club. Lui non plus ne semblait pas craindre le froid. Il était torse nu. Putain c’est impressionnant ce que son corps est entretenu. Il est en forme. Tu crois que c’est pour cela que j’étais si excitée hier ? En tout cas, on a commencé à discuter de tout et de rien. Il m’a complimentée sur mes vocalises. J’ai rougi et je me suis souvenue que notre fenêtre était ouverte lorsque nous avons … baisé tout à l’heure. Il a commencé à me dire qu’il était ravi de m’avoir enduite d’huile sur cette plage. Que mon corps est parfait et il m’a félicitée pour tant l’entretenir. Il me caressait l’épaule de sa main, lentement. Puis il a passé ses mains dans mon dos. J’ai tant frissonné.

Tout en discutant, nous avons un peu marché. Nous sommes arrivés près d’un mur au fond du jardin et sa main posée sur mon épaule s’est faite plus ferme. Il m’a grondée de poser mes mains sur le mur et de « cambrer mon petit cul de salope ». Je ne sais pas pourquoi j’ai obéi. J’ai senti un courant d’air frais sur mes fesses quand il a relevé ma nuisette. Puis ses mains ont commencé à me pétrir. Ensuite, j’ai senti sa bouche se poser sur mes globes de chair. Il a baissé mon tanga et sa langue et ses lèvres sont allées partout partout sur mon corps. C’était fou. Tellement fou. Sa langue est allée dans ma raie, s’est infiltrée le long de ma petite chatte dégoulinante, mais a aussi commencé à titiller mon petit trou. C’était merveilleux, tu devrais me le faire, c’est une sensation divine ! J’ai rapidement atteint la jouissance. J’ai hurlé mon plaisir, plus fort encore qu’avec toi tout à l’heure.

Il s’est redressé ensuite et m’a retournée. Il m’a embrassée en se baissant un peu pour que je passe mes bras autour de son cou. Il s’est redressé d’un coup sec et alors que nous nous embrassions, je me suis retrouvée soulevée comme une plume. J’ai passé mes jambes autour de ses hanches par réflexe. D’un geste habile et expert, il a sorti son sexe de son short et sans la moindre difficulté, il s’est enfoncé en moi. Mon Dieu qu’il était gros ! Il me tenait par les fesses et moi j’étais accrochée à son cou. Il a commencé à donner des coups de reins assez longs et larges. Il m’embrassait pour faire taire mes gémissements. Je ne sais pas combien de temps ça a duré, c’est sûrement pendant ce moment-là que tu t’es réveillé mon chéri.

Je ne sais pas, mais après un nouvel orgasme, quand j’ai ouvert les yeux, j’ai vu qu’il y avait un autre homme, un autre garçon torse nu qui nous regardait. Il avait sorti son sexe et se masturbait en nous regardant. Mon amant m’a dit à l’oreille « ma petite putain, mon pote voudrait bien prendre ton petit cul … tu vas adorer te faire prendre par deux queues. J’ai eu peur à ce moment-là, j’ai refusé. Je lui ai demandé de me poser. Les deux garçons me regardaient avec intensité, alors je me suis dit que je ne pouvais pas les laisser comme ça. Je me suis agenouillée et avec un petit clin d’il, je leur ai demandé d’approcher. Il se masturbaient tous les deux. J’ai donné des petits coups de langue sur leurs sexes en essayant de ne pas les perdre du regard. Quand ils se sont crispés, mon courage s’est un peu envolé. Je n’ai pas bougé, mais j’ai fermé la bouche. Leurs jets de spermes se sont retrouvés sur mon visage, mes seins, mes cheveux et ma nuisette. C’était fort.

Ils m’ont aidée à me relever et m’ont raccompagnée à l’hôtel.

Lui

Il continue à bander à l’écoute des mots de sa femme. Son sexe lui fait mal, tant il est tendu. Il a beau avoir joui deux fois avant de dormir, il se sent plein d’envie et de sève. Elle s’approche tout en discutant avec lui. Effleure sa bite à plusieurs reprises avant de la prendre dans ses jolies petites mains aux ongles peints de rouge. Elle ne le quitte pas des yeux tout en lui parlant et parfois passe sa petite langue pointue sur ses lèvres. Il se crispe, sent les spasmes monter, tremble, et son sexe expulse une honorable quantité de sperme sur les mains de sa femme.

Ça a eu l’air de te plaire mon chéri … Et tu imagines si c’était vrai ?

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