Nous étions partis le Samedi matin très tôt, pour nous rendre chez ma grand-mère ou nous devions passer le week-end. Mon père avait confié un double des clés de la maison à Léon. Durant le voyage je ne cessais de penser aux plaisirs que Léon allait prendre avec Olaf, imaginant les scénaris les plus fous. Ma bite était en feu, jétais déjà impatient dêtre arrivé chez mamy pour me masturber.

Nous étions arrivés depuis une heure, après les palabres des retrouvailles, puis un déjeuner délicieux, je demandais à me retirer dans ma chambre, en pensant my branler tranquillement. Je prenais mon temps pour masser ma pine tendue en me branlant simultanément le cul à deux doigts, mes pensées entièrement tournées vers Léon et ce quil devait faire avec Olaf.

La porte de ma chambre sétait ouverte, je navais rien entendu, ma mère me regardait dans mes uvres, deux de mes doigts plongés dans mon anus. Le temps que je réalise elle était repartie, avait retiré la porte. Je continuais donc mes jeux, pensant avoir peut être rêvé.

Cinq minutes sécoulaient que la porte souvrait de nouveau, mon père cette fois se tenait dans lencadrement, mobservait en souriant. Il navait toujours rien dit, mais repoussant la porte, il sapprochait de mon lit un sourire au coin des lèvres. Il me lançait avec douceur: « je peux taider? ». Il sétai avancé, sasseyant au bord du lit, posant dautorité sa main sur ma bite.

Le souffle plus court, je ne savais comment réagir, javais oublié mes deux doigts plongés dans mon anus. Mon père me masturbait dautorité, puis il se penchait pour prendre ma pine à pleine bouche « wouawww ! ». Un scénario que je n aurais même pas osé imagine! Puis sa main plongeait vers mes fesses, il écartait mes doigts pour enfiler les siens dans mon petit trou. Amusé, il me lançait: «Cest déjà bien ouvert à ce que je vois! – Avec qui joues tu à la bête à deux dos? Avec Léon ou quelquun dautre?»

Mon père mavait placé à genoux, me léchant bien le cul, il présentait sa gosse queue contre ma rondelle et senfonçait en moi avec douceur jusquà ce que je sente ses couilles plaquées à mes fesses. Il se retirait doucement avant de replonger en moi, à fond à chaque fois. Je me régalais de sentir ce mandrin dans mes entrailles, dautant plus que cétait celui de mon père.

Il me murmurait au creux de loreille: « sacré petit cochon vicieux! Tu aimes bien te faire défoncer le cul! Comme une vraie petite salope! Allez dit moi avec qui tu joues à ça, Léon cest ça? » Jopinais de la tête. Il continuait: « Je moccuperais de vos fesses en rentrant! Nous allons bien nous amuser! ». Il continuait de me pistonner le cul à grands coups lents et profonds. Je me régalais.

Toujours les fesses en lair et la tête sur loreiller je navais pas entendu la porte souvrir. Cest la voix de ma mère qui attirait mon attention: « regarde ton salopard de gendre qui enfile son fils ». Je tournais la tête, sur le pas de la porte, Maman et Mamy, en robe de chambre, nous observaient, sourire aux lèvres, visiblement ni surprises ni choquées. En un tournemain elles se débarrassaient de leur robe de chambre. Maman portait juste un soutien gorge à balconnet mettant ses seins en valeur et un porte jarretelles de dentelle rouge assorti. Mamy elle en soutien gorge noir brodé, portait une culotte de cuir équipée dun sexe artificiel de belle taille. Ma mère continuait: « Nous aussi on veut participer! ».

Elles sétaient avancées jusquau lit, Papa sétait libéré de mon cul. Maman sallongeait sur le dos disant: «Viens mon fils chéri, prend moi, depuis le temps que jattends ça! ». Elle guidait elle même ma pine vers sa chatte trempée. Quel délice que ce vagin bien chaud et humide. Mon père avait repris sa place dans mon cul. Dun regard de coté je voyais Mamy qui après avoir salivé le très gros engin artificiel de sa ceinture enfilait le cul de son gendre. Mon père soupirait daise dêtre ainsi pris en sandwich.

Je naurais jamais pu imaginer que Mamy, Maman et Papa étaient aussi cochons, sous leurs apparences très sages. Nous avons passé le reste de laprès midi, puis après un repas froid, une bonne partie de la nuit en plaisirs divers durant les quelles je profitais des moiteurs des culs, chattes et bouches de Mamy, de Maman et de Papa. Heureusement les divers Godes et sexes artificiels nous avaient permis déconomiser nos forces.

Cest donc après un week-end très divertissant que nous rentrions à la maison, non sans avoir promis à Mamy de venir plus souvent ou quelle nous rende visite rapidement, je suggérais quelle vienne passer une semaine chez nous pendant mes vacances.

Bien que cétait le vacances je dus attendre le Mercredi pour avoir la visite de Léon. Javais hâte quil me dise quels nouveaux jeux il avait entrepris avec Olaf. Je ne lui parlais pas de mon séjour chez Mamy, ni de tous les plaisirs qui nous attendaient maintenant avec mes parents. Il me narrait donc comment il avait sucé OIaf à maintes reprises avant de lui donner son cul, il me vantait combien il se régalait de la pine du chien en lui, sans aller jusquà prendre la boule dans son cul, pour le moment, craignant de rester coincé. Il était Impatient de me faire une démonstration: nous nous rendrons dans labri de jardin, là ou peut être de se faire saillir une fois encore.

A peine dans labri de jardin, après avoir mis un vieux couvre lit par terre, Léon retirait son pantalon et se mettait à quatre pattes. Olaf qui semblait aimer ça, venait aussitôt lui gratifier le trou de cul de quelques coups de langue bien humides avant de le grimper comme une femelle. Léon qui avait déjà expérimenté plusieurs fois ces saillies me dit: «il vaut mieux guider la pine, sinon il tape partout et ça peut être douloureux et je bloque la boule avant quelle entre».

Olaf les deux pattes avant agrippées aux hanches de Léon, limait déjà à une cadence infernale.

La bite du chien avait pris une belle dimension et la boule venait régulièrement taper sur les fesses de mon ami qui disait son plaisir à chaque coup de reins de lanimal. Il me tardait de prendre sa place, en attendant je me glissais sous mon ami pour mieux voir le va et vient de la pine dans son cul, enfournant la bite de mon ami à pleine bouche, je la pompait avec régal, il ne tardait pas à me libérer son jus que javalais avec délice.

Léon sétait libéré de lemprise du chien, celui ci se léchait la pine qui rentrait dans son fourreau. Léon me dit: «il ne va pas tarder à être disponible à nouveau, il récupère vite». Je retirais mon pantalon de jogging pour me mettre à quatre pattes, cul nu. Olaf ne se faisant pas prier, impatient de baiser encore, vint me lécher le cul. Sa langue est râpeuse, humide, mais très agréable. Léon me dit : « je vais le branler un peu et le guider! ». Au passage il en profitait pour lui sucer la bite.

A peine installé sur mes reins Léon guidait la pine dOlaf vers mon petit trou, elle entrait aisément et mon chien, se lançait dans une cavalcade effrénée. Je sentais le membre prendre du volume dans mon cul, après sêtre enfoncé très loin. La boule nétait pas entrée mais cétait génial quand même. Je me régalais à lidée que cétait mon chien qui me bourrait le cul, cétait dun vicieux très jouissif. Surtout que Léon me suçait la pine, ce qui ma fait jouir très vite, mon ami avalait tout.

Léon me dit je vais lenculer pendant quil te baise, il adore ça, je lai déjà fait. Après avoir bien lubrifié le cul du chien avec de lhuile damande douce, mon ami sinstallait derrière lui. Comme si il nattendait que ça Olaf avait cessé de sagiter sur moi, mon ami lui enfonçait sa pine jusquaux couilles: « cest dingue, il me pompe la pine avec son cul ce salop! » du coup la bite de Olaf avait augmentée de volume, me comblant plus encore.

Dun commun accord nous décidions Léon et moi de laisser Olaf récupérer, gardant nous même des réserves pour les jours suivants, ayant de mon coté à satisfaire les plaisirs de Maman et de Papa en soirée. Je navais pas averti Léon que mon père avait prévu de prendre son vendredi après midi pour participer à nos jeux durant les quels je ne manquerais pas de lui faire connaître nos nouvelles pratiques avec Olaf.

A suivre

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