Chantal 8
Le voyage de sur Agnès vers lévêché
(suite de lhistoire de sur Agnès).
Monseigneur me fait me lever, mais il me garde près de lui en me tenant par la main quil pose sur son gros sexe ; ma petite main nen fait pas le tour, et ce sexe la brûle comme un tisonnier chauffé à blanc. Dans mon hébétude, jentends vaguement monseigneur dire à mère Cécile « Je la prends avec moi à lévêché afin de la former. »
Allez chercher quelques affaires et revenez me voir.
Jenfile ma robe et je rejoins ma cellule où je fais un petit sac ; je mets ma pèlerine et retourne au bureau de mère Cécile. Quand jentre, tout le monde est rhabillé. Ma mère me dit :
Sur Agnès, vous allez partir pour quelque temps avec monseigneur pour une formation qui vous sera utile, et aussi pour le plaisir de monseigneur.
Monseigneur précise :
Retirez votre robe et ne gardez que votre pèlerine : vous devez toujours être prête à donner et recevoir du plaisir.
Je retire ma pèlerine et ma robe que mère Cécile me prend des mains pour la fourrer dans mon sac après en avoir vérifié le contenu. Elle retire culotte et soutien-gorge en me disant « Vous nen aurez pas besoin pour votre formation. »
Je nai donc plus que ma guimpe, mon voile et mes sandales. Après mavoir flatté les fesses, monseigneur me remet ma pèlerine et nous prenons congé de mère Cécile. Je memmitoufle dans ma pèlerine afin de ne pas me montrer nue pour traverser le couvent, mais arrivés à la voiture, monseigneur me retire la pèlerine.
Pour ce que nous allons faire durant le trajet, vous nen avez pas besoin.
Je mengouffre dans la limousine pour poser mes fesses sur le cuir froid de la banquette arrière. Jen frissonne. Tandis que le vicaire se met au volant et démarre, monseigneur mattire sur lui et je prends place sur ses genoux. Après mavoir assise nue sur lui, il me fait écarter les jambes en me disant :
À partir de maintenant, cest où je veux, quand je veux, et comme je veux. Vous êtes ma petite nonne salope disons même ma femelle le temps de votre séjour à lévêché !
Je suis à peine installée sur lui quil prend une de mes jambes et la pose sur le dossier de devant. Je me fais cette réflexion : « Le vicaire doit avoir une vue splendide dans le rétroviseur » Je vois dailleurs quil en reprend le réglage. Mais déjà monseigneur plonge ses doigts dans mon sexe baveux, et aussitôt monte à mon nez lodeur du sperme qui sécoule de ma fente affamée, auquel se mêle le parfum musqué de ma féminité.
Les doigts passent de mes lèvres à lentrée de ma grotte, et le pouce tourne lentement sur mon clitoris. Et inexorablement, je sens monter en moi une jouissance que je ne pourrais maîtriser. Je mécarte le plus possible tandis que monseigneur me fait monter en me susurrant des mots salaces ou en expliquant au vicaire ce quil me fait et combien je mouille sur ses doigts ; cest vrai que lon entend les clapotis de mon sexe. Les insanités murmurées à mon oreille, mais cest le regard vicieux du vicaire que je vois dans le rétroviseur qui finit de mettre le feu aux poudres, et cest comme un raz de marée qui part de mes pieds pour envahir tout mon corps.
Bien vite, sous les doigts du prélat je perds la notion du temps ; rien ne compte plus que les mots salaces quil me murmure à loreille et les bruits mouillés que fait mon sexe sous les caresses plutôt viriles de monseigneur. Une pensée me traverse lesprit quand japerçois le regard du vicaire dans le rétroviseur. Au même moment, monseigneur a la même pensée et, sadressant au vicaire, il lui dit :
À force de regarder dans le rétroviseur, nous allons avoir un accident ! Arrêtez-vous dès que vous pouvez et venez vous occuper un peu de cette petite nonne lubrique ; elle est en train de me juter sur la main. Moi, je men occuperai en rentrant.
Je maperçois quau moment où sarrête la voiture, nous sommes au milieu dun bois. Le vicaire a garé la voiture dans une petite allée ; il fait déjà nuit. Monseigneur lui dit :
Laissez les phares allumés que je voie jouir notre petite nonne lubrique.
Le vicaire me fait sortir de la voiture, et dans la lumière des phares il me fait courber, les mains appuyées sur un tronc au bord du chemin, la croupe tendue vers lui. En jetant un regard derrière moi, je vois le vicaire retirer sa soutane et sapprocher de moi, le sexe tendu. Sans préambule, il membroche sans douceur : je sens que cet homme ne cherche que son plaisir ou bien à faire souffrir. Le sexe du vicaire fouille ma fente sans aucune douceur ; il baise, point, cest tout. Je ne suis quun trou dans lequel il se branle.
Tandis que le vicaire cherche son plaisir, jentends la voix de monseigneur me susurrer :
Alors, ma petite nonne, cest bon de se faire remplir la fente ? Je vais branler ton gros bouton que je vais te manger ce soir en rentrant !
Je sens sa main me caresser le ventre, puis elle descend lentement vers mon sexe et sempare de mon clitoris entre deux doigts. Du coup, cela fait monter rapidement mon orgasme ; mon vagin pompe le pénis du vicaire et je crie mon plaisir, ce qui déclenche léjaculation du vicaire qui se déverse sur mon dos en feulant comme une bête.
Cest la fraîcheur qui nous fait sortir de notre torpeur. Je me retourne et vois le vicaire appuyé sur larbre à côté du mien, la saucisse (cest son sexe ramolli qui my fait penser) qui pendouille entre ses jambes pendant quil essaye comme moi de reprendre son souffle.
Monseigneur messuie le dos, et tous deux nous regagnons la voiture. Il me remet ma pèlerine car maintenant jai froid. Quelques minutes sécoulent avant que le vicaire retrouve et enfile sa soutane. Il reprend le volant tandis que monseigneur poursuit ses attouchements sur ma vulve exacerbée par cet accouplement plutôt brutal. Et cest à nouveau dans un état dexcitation pas possible que la voiture entre dans le garage de lévêché.
Toujours au bras de monseigneur, nous entrons dans le bâtiment tandis que le vicaire referme les portes. Par un long couloir nous arrivons dans une cuisine où saffaire une femme dune cinquantaine dannées. Monseigneur me présente à elle en me disant :
Sur Agnès, je vous laisse aux soins dEdith, ma cousine, et aussi ma bonne. Et parfois plus nest ce pas, ma cousine ? Edith, avant le souper, occupez-vous de sur Agnès ; monsieur le vicaire ne me la pas rendue très propre, et elle sent le sexe. Laissez-lui son voile ; je le lui retirerai avant de se coucher. Et noubliez pas de la débroussailler.
Edith emmène Agnès à létage et la fait entrer dans une chambre où elle pose son sac sur le lit. Sur la droite, elle ouvre une porte, invite Agnès à entrer et lui dit :
Installez-vous sur le bidet ; je vais moccuper de votre bosquet. Nous allons élaguer tout ça.