Chapitre I
Depuis toujours, je suis d’un naturel timide, rougissant facilement pour un rien, d’autant plus face aux filles, à un point tel que mes parents se demandaient si je finirais un jour à trouver l’âme sur.
Bien que n’étant pas l’aîné de la fratrie, je fus désigné comme étant le successeur de l’entreprise familiale.
Une petite société uvrant principalement dans le bâtiment.
Je n’en était que le gérant alors que mon père vieillissant mais toujours aussi autoritaire, en restait officieusement le patron.
Mes ouvriers, parfois un peu rustre voire manquant de tact et de manières ne manquaient pas de me faire sentir qu’en tant que patron je n’avais de respect à attendre de leur part qu’au pire pour le titre. Cela ne les empêchait pas de murmurer dans mon dos, voire parfois en face de moi, des affronts à peine déguisés en avis sur ma façon de procéder ou d’agir.. Il en était de même pour les jeunes apprentis.
Toujours est-il qu’un jour, je fus mis en contact avec un jeune couple de mon age, réclamant mes services pour divers travaux. Ils avaient un jeune fils d’une dizaine d’années voire moins Colette, c’était son prénom, était une très jolie brune, vive et intelligente. Tout ce dont j’aurais toujours rêvé. Mon père, qui l’avait enoeillée, ne se privait pas ne s’empêchait pas malgré son age de la courtiser et de la convoiter, qu’un jour, Colette vint me voir en me demandant s’il m’était passible d’éviter que mon père soit aussi présent. Elle me demanda si je pouvais faire aussi la leçon à mes ouvriers et aux apprentis, car elle avait horreur de se faire siffler ou de subir certains commentaire sur son si superbe physique.
De part le temps libre que lui laissait son métier Colette passait me voir sur le chantier et ce de plus en plus souvent. Seule.
Étant aux petit soins pour moi, m’offrant du café joliment présenté sur un plateau avec quelques petits gâteaux ce qui ne manquait pas d’agacer mon personnel. Bien que trop jolie et trop désirable pour moi, je ne pouvais m’empêcher de songer qu’elle aurait pu être ma femme et son fils, le mien.
Et ce qui devait arriver arriva. Colette quitta son compagnon après s’être entichée de moi. Elle vint habiter chez moi avec son jeune fils et fit vendre leur maison.
Un jour, alors que nous venions de commencer les inventaires dans les ateliers jouxtant notre habitation, Colette vint nous apporter du café. Mon inévitable père était là tout comme mes ouvriers et quelques apprentis, jeunes ados encore retords voire frondeur, mais l’ambiance était bonne bien que Colette, maintenant devenue ma femme n’aimait pas trop se retrouver seule avec eux. Elle m’avait d’ailleurs parlé plusieurs fois qu’étant absent et eux aux ateliers, ils prenaient l’habitude de venir papoter avec elle, toujours sur des sujets osés et grivois. Que plusieurs fois ils s’étaient risqué à la peloter alors qu’elle était encore assise dans sa voiture ou qu’elle en sortait.
Qu’ils arrivaient souvent à lui déboutonner son chemisier pour lui glisser la main dans son soutien-gorge et lui caresser les seins, ou lui soulever son pull ou son t-shirt pour faire de même, qu’à chaque fois ils lui caressaient ou lui pinçaient les fesses, lui soulevait la jupe si elle en portait une, qu’ils réussissaient alors à lui baisser en partie sa petite culotte, leurs doigts s’immisçant dans la fente de ses fesses, qu’elle arrivait parfois à la porte de la maison à moité débraillée, un sein à l’air, la petite culotte sur les genoux, trop pressée de rentrer au plus vite se mettre à l’abri sans avoir pris le temps de se rhabiller. Qu’ils lui disaient qu’elle était trop bonne, qu’elle devrait se laisser faire, que j’en saurais rien et qu’ils finiraient tôt ou tard par se la faire.
Colette exagérait sans doute même si je savais que mes ouvriers et les apprentis devaient très certainement la harceler et souvent profiter de mon absence pour tenter de la draguer. Mais je pensais qu’elle grossissait le trait sûrement pour me faire réagir et les mettre au pas.
Chose dont je me sentais hélas bien incapable, pensant qu’ils finirait par se calmer. Je savais aussi que Colette me cachait ou croyait que je n’étais pas au courant car un jour, j’avais surpris Bruno, un jeune ouvrier, qui avait comme elle me l’avait dit, tenté de la peloter alors qu’elle était assise dans sa voiture, la vitre baissée. Ce qu’elle avait omit de me dire et qu’elle ne savait pas que j’étais déjà rentré et que je les observais bien planqué derrière une fenêtre sale d’une annexe des ateliers, trop sale pour qu’avec le reflet du soleil ils puissent me voir, mais suffisamment transparente pour que de mon point de vue je puisse voir parfaitement et distinctement tout ce qui se passait. d’autant que cette petite fenêtre n’était qu’à quelques mètres d’eux. Ainsi, au lieu et comme elle aurait du le faire si cela la mettait si mal à l’aise, il lui suffisait de remonter la vitre, voire de lui donner un coup de portière pour l’éloigner ou le dissuader. Mais de là ou j’étais, il m’était impossible de rater dans ses moindre détails tout ce qui se passait. Elle fit comme si elle regardait un dossier posé négligemment sur le siège passager, tandis que Bruno, en partie appuyé sur le rebord de la portière avait entré le bras dans l’habitacle et posé sa main rugueuse sur la poitrine et le chemisier de ma femme.
Colette ne broncha pas comme elle se plaît à en dire le contraire, la tête légèrement penchée vers son dossier, elle laissait Bruno lui caresser lentement la poitrine, lui attrapant parfois à pleins doigts les rondeurs que formaient ses seins au travers de son chemisier immaculé. Toujours comme inspirée, elle le laissa faire. Puis il chercha à glisser la main dans son décolleté, mais celui-ci était trop fermé. Il commença alors à en libérer le premier bouton, y introduisit un doigt qu’il fit gigoter sûrement sur la naissance du sillon de ses seins, sans doute renforcer par le port de son soutien-gorge. Ce n’était pas suffisant. Il en libéra un deuxième et la sa main disparut à moitié sous le tissu.
Il la retira pour une nouvelle fois encore libérer un troisième bouton. Cette fois sa main tout entière disparu et je pouvais voir que sous le tissu qui tantôt se plissait tantôt se tendait qu’il lui caressait un sein mais sans savoir si c’était sous ou dans le bonnet de son soutien-gorge. On aurait pu croire que cela lui suffirait, déjà peloter un sein de ma femme quand même, mais non ! Enhardi par l’absence de réaction de Colette qui feignait de toujours s’intéresser à ce foutu dossier, cette fois il déboutonna tout ce qu’il restait et avant qu’il ne finisse par en être bloqué par la ceinture de la jupe où était enchâssé le reste, Colette le regarda un bref instant, par dessus ses lunettes de soleil alors baissée sur la jolie pointe de son petit nez et, dans un geste tout féminin, bomba le torse tout en dépliant largement un pan de son chemisier, offrant ainsi à la vue de Bruno et à la mienne sa superbe poitrine encore sertie dans l’écrin de fine dentelle mauve qu’était son soutien-gorge.
Bruno pris le temps de contempler ce qui s’offrait à lui. Il en sorti même son smartphone de sa poche, pour immortaliser le tableau qui lui était ainsi exposé et qui allait être le premier d’un longue collection à venir. Colette elle, ne chercha même pas à l’en empêcher ou à détourner le visage pour qu’on ne puisse la reconnaître, que du contraire, d’un geste souple elle secoua légèrement sa chevelure comme pour se recoiffer, retira ses lunette de soleil et fixa l’objectif de l’appareil photo intégré tout en souriant.
Malgré ou à cause de la faible distance qui nous séparait, je pus néanmoins clairement distinguer la photo que Bruno venait de prendre de ma femme toute dépoitraillée. Je le vis pianoter un moment sur ce téléphone et, montrant l’écran de son smartphone à Colette comme pour le lui prouver qu’il venait de mettre en ligne la photo d’elle sur tous ses réseau sociaux et envoyé a ses amis.
Cela semblait amuser Colette. Ensuite, Bruno se remit à caresser la poitrine que maintenant Colette lui offrait. Mettant cette fois et bien visiblement sa main non plus dans un mais alternativement les deux bonnets du soutien-gorge. On voyait que l’un et l’autre prenaient du plaisir. Lui à peloter les seins de sa patronne, sentant sûrement se dresser ses tétons entre ses doigts, elle en se laissant ainsi masser et malaxer les seins par cette main rugueuse mais pourtant jeune.
Les seins de Colette commençaient doucement à sortir de leurs bonnets, faisant apparaître peu à peu comme une demi lune ou presque le cercle rose foncé et bien dessiné de ses mamelons, tranchants sur la blancheur de sa peau et le mauve de la dentelle. A ce moment, elle ferma les yeux, pencha la tête légèrement en arrière et tout en tendant le coup vers l’embrasure de la portière en offrant sa bouche entre ouverte à Bruno. Tout en continuant à lui malaxer la poitrine il l’embrassa langoureusement en voyant distinctement leurs langes s’entre mêler et changer de bouche.
J’aurais du intervenir de puis bien longtemps, d’autant plus que j’avais vu Bruno prendre d’autre photo au fil de son avancée avec Colette, ma femme, mais j’étais comme pétrifié ou plutôt fasciné de voir d’aussi près et sans être vu, mon ouvrier se faire plaisir avec ma propre femme, sous mes yeux. De cette non intervention je me sentais aussi coupable autant de ce qui montait en moi doucement, à savoir l’envie irrépressible que tout cela cesse la disputant à celle de voir jusqu’où cela irait, me laissant alors prendre à mon propre jeu pervers de voir ma superbe femme être prise par un vulgaire ouvrier.
Pas si vulgaire que ça, en tout cas pas suffisamment pour Colette. Un bruit de porte que l’on déverrouille me sorti de mes pensées de plus en plus malsaines et je me dis alors que s’en était fini, qu’elle en avait assez ou qu’elle reprenait son rôle d’épouse bien sous tout rapport. La portière s’ouvrit lentement les séparant de leur baiser interminable et torride. Bruno se recula pour laisser la portière s’ouvrir et ainsi laisser sortir Colette qui ne manquerait pas de se revêtir. Je la regardais sortir lentement de la voiture, attendant toujours le geste qui la recouvrirait et terminerait cet épisode somme toute sans grande conséquences, mais ce geste ne semblait pas vouloir venir. Bruno lui continuait à la prendre en photo de Colette, cette fois debout et sortie de la voiture. Toujours face à lui, le chemisier commençant à lui tomber des épaules elle se laissait mitrailler par l’objectif et les yeux de Bruno sans compter les miens et tous ceux qui auront droit de voir ma femme ainsi exposée sur le net. Elle referma derrière elle la lourde portière que se ferma d’un bruit sourd puis, s’adossant à celle-ci laissa Bruno revenir vers elle, sur elle. D’un geste sec, il lui fit tomber le chemisier définitivement des épaules, la prit par la taille et la serra contre lui tout en se frottant sur elle.
Il lui pris ensuite les fesses et tout en l’embrassant à nouveau mais cette fois de façon encore plus dévorante, lui mordant parfois les lèvres, et agitant fébrilement sa langue dans celle de ma femme.
Il commençait à onduler de bas en haut sur elle et ses mains descendue sur les cuisses de Colette remontèrent cette fois en entraînant sa jupe, lui mettant cette fois les fesses à l’air. Tout en continuant à lui bouffer littéralement la bouche qu’elle lui offrait sans résistance voire même avec passion, Bruno massait et malaxait le joli petit cul rebondi de ma femme, lui pétrissant les fesses, celles-là même que je connaissais si bien pour les lui avoir caressée il n’y a pas encore si longtemps.
Ses doigts s’immisçaient maintenant entre la dentelle de la petite culotte de Colette et sa peau. Par moment je voyais le smartphone apparaître derrière elle et prendre des photo de ses fesses qui peu à peu se dénudaient, l’autre main de Bruno ayant abaisser partiellement la petite culotte de ma femme, ses doigts glissant dans le sillon de son cul maintenant presque nu. Cette même main qui glissa sur le flanc de sa cuisse puis remontant tout le long à en venir nerveusement avec les doigts, déboutonner la ceinture de la jupe de Colette. Puis du plat de cette même main, il lui caressa le ventre et descendit lentement vers le pubis de ma femme entraînant avec elle et la jupe et sa petite culotte dans une chute aussi lente qu’inexorable. Les doigts de Bruno caressaient maintenant la chatte de Colette qu’elle avait totalement épilée, lisse et douce, comme l’aurait été celle d’une petite fille. Je le regardais caresser maintenant les lèvres de la vulve de ma femme et comme un fait exprès, de l’endroit ou j’étais, ils étaient placé idéalement pour que je puisse lui voir les phalanges d’un doigt tendu venir s’imprimer dans la fente du sexe de Colette. Il se recula un bref instant pour prendre d’autre photo de près cette fois de sa main massant la chatte de ma femme et dont l’un des doigt avait partiellement disparu entre les plis charnus de la fente du sexe de Colette. Puis il repartais, le plat de sa main appuyé sur les lèvres de la chatte de Colette et qui s’ouvraient sous sa pression, ses doigts disparaissant entre les cuise de ma femme et cherchant très probablement à atteindre son petit trou. Il amplifiait à chaque mouvement de va et vient son geste labourant les lèvres de la vulve de Colette à chaque geste e, venant à ce que ce soit le plat de son poignet qui au plus bas venait au contacte de la chair rose humide et tendre du sexe de ma femme. Une synchronicité sembla un moment vouloir s’installer et sans doute à chaque plongée il en était arrivé à lui titiller son petit trou, à lui caresser sa petite rondelle voir à y introduire le bout d’un doigts, jusqu’à ce je que le vois par moment comme tenter de soulever Colette uniquement de la main et de l’avant bras qui elle se mettait aussi a onduler et se soulever sur eux. Bruno ralenti alors ses mouvement de va et vient et sa main ne se cantonna plus qu’aux lèvres de sexe de Colette.
Ses doigts les trituraient, puis les écartaient et Colette sembla s’accrocher un moment à lui, alors que sa vulve rose et humide fut exposée à l’air libre, aidée des doigts qui la maintenait ouverte, alors que l’un deux, semblait avoir trouvé son petit clitoris avec lequel il le titillait tandis que deux autres s’enfoncèrent lentement mais sûrement dans le trou ainsi offert du sexe de ma femme.
Je voyais très bien les gros doigts rugueux de Bruno aller de plus en plus vite et de plus en plus profond dans la vulve de Colette comme si il voulait y fourrer sa main toute entière. Il y allait en mettant toute son énergie, aussi vite qu’il lui était possible de le faire, secouant et soulevant même Colette par moment et là, pour la première fois, j’entendis ma femme gémir sans retenue et en redemander. Aussitôt, il réagit en lui disant: « T’aimes ça hein Colette ! T’aimes ça hein ma salope te faire tringler par la main d’un ouvrier ! Mmmh oui ! Cochonne va et encore t’as rien vu, tu vas la voir ma grosse queue et de près salope ! Tu vas me la bouffer ma bite avant que je te baise et que je te la foute dans l’cul ! Avoue que t’attends qu’ça sale pute ! Mmmh oui j’vais t’enculer sale chienne, t’entends salope ? Mmmh oui j’vais enculer la patronne, oh oui j’vais fourrer ma grosse bite dans le trou d’cul de la femme de mon parton. Dommage qu’il soit pas là pour voir comment j’vais lui ramoner sa pute par tous les trous. Sale putain tu m’excites trop salope, j’ai trop envie de te baiser les trous devant ta lopette de mari…
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Bonne lecture 🙂