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Premiers plaisirs anaux – Chapitre 1




C’était dans notre chambre d’hôtel à Rome. Il faisait chaud et nous étions épuisés par une matinée de marche. Alors nous avions décidé de nous reposer un peu dans la chambre. 

Elle s’était allongée à côté de moi et très vite j’avais commencé à la peloter, comme j’en avais l’habitude. Elle était brune avec les cheveux longs et à peau blanche et fine, avec des petits seins dodus et roses au bout, des tétons sans relief, qui lui faisait un peu mal parfois. Elle avait des fesses bien rebondies dans une culotte à rayures, juste au-dessus de ses deux bonnes cuisses rondes à peau épaisses.

Je les avais pelotés un moment et puis comme d’habitude j’avais mis mes doigts dans sa culotte. Jusque-là je n’avais jamais osé toucher son anus. Je m’étais contenté avec son vagin, principalement parce qu’elle avait toujours un mouvement de recul quand je glissais mes doigts plus bas, entre ses fesses.

Elle a fait glisser sa culotte pour faire apparaitre ses fesses et j’avais doucement vu apparaitre deux belles moitiées blanches éblouissantes : jamais astronaute navigant dans la galaxie ne verra plus bel astre ni planète plus propice à la vie ! Moi, j’étais fiévreux, comme un roi mage suivant, assoiffé, guidé par son bâton, l’étoile du berger qui s’était levée entre les dunes du désert.

Je doigtai son vagin mouillé, mais j’avais faim d’aller plus loin et avec ma main restée libre j’avais commencé à caresser l’intérieur de ses deux fesses blanches et lisses. Petit à petit j’avais pu m’approcher de son trou du cul et j’avais commencé à passer mon doigt dessus. Elle avait dû aimer  ça <parce qu’elle m’avait finalement laissé faire, sans rien dire, allongée sur le ventre par-dessus ma poitrine.

Au bout de cinq minutes j’avais voulu enfoncer mon petit doigt, seulement mon petit doigt pour ne pas lui faire mal, mais je m’étais rendu compte que ce truc était bien plus résistant que le vagin ! Quand j’appuyais avec mon index pour l’enfoncer dans le trou qui ne voulait pas s’élargir, je lui faisais mal. Je me souviendrai toujours du moment où j’ai finalement réussi à passer un doigt dans son petit anus brun ! j’avais fait couler suffisamment de sa mouille entre ses fesses et ça m’avait permis d’entrer comme dans du beurre ! c’était chaud et ça me serrait, les muscles de ses fesses se contractaient autour de mon doigt qui coulissait gaiement !

Je bandais merveilleusement ! j’ai dû changer de doigt et c’est seulement avec mon majeur que j’ai pu pénétrer plus profondément ! Je faisais bouger mon doigt à l’intérieur, mais ça ne lui plaisait pas vraiment. Le plaisir qu’elle ressentait venait quand je jouais à entrer et sortir complètement ou à faire le tour l’anus avec mon doigt humide, comme font parfois les enfants avec le bord des verres quand ils s’ennuient au restaurant. Un doigt à l’intérieur et un à l’extérieur de ses fesses, je pinçais ses muscles anaux. Elle adorait, ça la faisait mouiller encore plus !

Cette fois-là j’ai dû jouir dans sa bouche parce que nous avions encore trop peur de la douleur que je lui causerais si je la pénétrais avec mon pénis gonflé. Quel plaisir de remplir, un spasme après l’autre, sa bouche de mon sperme !

Mais ça n’était pas grand-chose encore, comparé à la première fois que je me suis laissé aller dans son anus !

Cette après-midi-là j’avais joué avec son petit cul pendant près d’une heure. Elle était à point et moi j’avais mal à la queue à force de bander en vain. Finalement, elle s’était mise à quatre pattes, sur les coudes, accrochée au barreau de ma mezzanine. Elle m’avait présenté son petit anus gris et je m’étais mis à genoux derrière elle !

J’avais passé au moins cinq bonnes minutes à pousser ma queue de toutes mes forces contre son trou du cul ! elle devait pousser de son côté, mais je n’arrivais à rien, à part à me faire mal au gland. Et puis finalement, avec un peu de salive, un peu de mouille, un peu de patience et d’envie d’un coup ! mon gland avait passé la porte de son anus !

J’avais vu sa bouche grimacer sur sa joue et elle avait poussé un gros soupir. Elle avait un peu mal, mais la curiosité lui donnait envie de tenir bon. Je sentais les muscles de son sphincter contre ma queue serrer, serrer.

La peau entre les deux fesses avait l’air fragile mais je m’en foutais : ma bite était enfoncé dans le cul d’une femme ! enfin ! j’ai attendu quelques secondes, j’ai serré ses hanches et j’ai poussé à fond ! Elle a gémi, mes cuisses touchaient ses fesses maintenant. Je ne sentais plus grand-chose au niveau du gland, que la chaleur et la douceur d’une paroi que j’avais touché mais l’anus était enroulé à la base de mon pénis, comme une bague de fiançailles un peu trop petite. 

Je remarquais une certaine analogie entre le plaisir que j’éprouvais à la sodomiser et celui que je ressentais à me faire lécher le sexe par elle. Analogie des sensations, quand le bout de mon sexe, que rien ne venait plus toucher, percevait la température interne de son corps et le vide autour de lui, alors que sous mon gland ses lèvres refermées ou son sphincter travaillaient. Analogie érotique aussi, car l’excitation que je ressentais à voir sa bouche si belle, qui avait réussi un oral de droit le matin, qui m’avait si brillamment expliquée la nécessité de faire des réformes structurelles le soir à table, se refermer sur ma verge venait du sentiment de transgression, de la joie à commettre en toute impunité un acte violent qui plaçait ma jouissance physique au-delà du langage et de l’esprit, au-delà de la dignité humaine même. Et souvent, ce qui déclenchait chez moi l’éjaculation, ça n’était pas tant le doux plaisir que sa petite langue râpeuse procurait à mon sexe, que la vue du visage calme aux paupières à demi closes d’où il sortait ; ce qui me faisait jouir c’était parfois de voir sa main gauche rabattre une mèche derrière son oreille au moment ou sa main droite, doucement posée sur mes bourses assistait sa bouche dans son labeur.

Ce sentiment d’impunité à faire le mal, je le ressentais aussi à présent que ma verge était solidement plantée dans le cul d’une jeune femme qui grimaçait mais qui, soumise par une forme de plaisir nouveau pour elle, n’avait d’autre choix que de la supporter.

Alors j’ai commencé les va-et-vient. Ça serrai tellement ! À chaque fois que je ressortais ou que je poussais, la peau tendue de la raie de ses fesses suivait le mouvement. C’était trop mal lubrifié pour coulisser correctement. Avec une bonne dose de salive, j’ai finalement pu faciliter mes mouvements. Je la cognais légèrement en l’enfilant aussi profondément que possible, ce qui faisait légèrement balancer ses seins tendus vers le matelas. Je me souviens être devenu dingue au moment de tout lâcher dans son petit cul blanc !

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