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La grosse surprise de Mme Stroke – Chapitre 4




Elle vient de me traiter de petit salope ! Je n’aurai pas été plus sonné s’il elle m’avait donné un uppercut en pleine tête ! Mais c’est une évidence ! Je me suis gentiment laissé porter du local de la piscine jusqu’à cette table pour qu’elle me prenne le cul avec son énorme bite ! Je me retrouve à la sucer avec application. Elle a tellement raison que j’en pleurerais presque ! Je me retrouve finalement dans la même situation que les pucelles que je déflorent le samedi soir, et j’ai même frétillé du cul pour en arriver là !

  J’ai du mal à respirer et relève ma tête pour extirper le dard de la géante. Je tousse, je crache, comme ces blondasses que j’ai vu tenter l’expérience avec Rocco.

— Calme toi ma chérie. Maintenant que tu as bien lubrifié mon chibre, je vais pouvoir t’enculer.

Passant ses mains sous mes jambes, elle me force à me mettre dos sur la table et ramène mes genoux à côté de mes oreilles. Dans cette position, mon petit cul est offert à l’appétit de sa monstrueuse bite. A l’aide d’une de ses mains, elle force son sexe à prendre une position horizontale pour plaquer son gland sur mon anus vierge. Elle imprime de petits mouvements de va et vient, forçant sur ma rondelle qui refuse de céder mais qui est néanmoins en train de se détendre, doucement mais sûrement. Devant ma position de soumise, mme Stroke adopte le registre de domination qu’elle affectionne tant.

— Ta chatte ne va pas tarder à s’ouvrir. C’est une question de seconde.

Donnant un coup de rein plus puissant que les autres, son énorme gland pénètre mon anus de quelques centimètres. C’est une sensation douloureuse mais si jouissive de sentir ce dard massif en moi ! Je geins de plaisir, encourageant ma virile maîtresse à me pénétrer plus en profondeur.

— Tu aimes ça petit chienne ! Laisse moi passer aux grandes manoeuvres

Elle augmente progressivement l’amplitude de ses mouvements, contractant ses puissants muscles abdominaux et fessiers. L’énorme vérin coulisse en moi de plus en plus rapidement et de plus en plus profondément. la douleur est si cuisante que j’ose m’en plaindre.

— Sasha, c’est bon, mais j’ai mal !

Elle saisit la bouteille d’huile d’olive qui se trouve sur le plan de travail et retire son chibre de mon petit cul. J’ai l’impression d’être vidé tellement elle m’a déjà rempli ! Elle verse sur sa bite une bonne dose du liquide visqueux, qu’elle étend de manière experte sur toute la longueur. Son sexe est plus luisant que jamais. Elle prend à nouveau la bouteille et verse une bonne rasade sur ma rondelle.

— ça va aller beaucoup mieux comme ça !

A peine elle pose à nouveau son gland sur mon anus qu’il y entre comme dans du beurre. Elle se permet même de pousser si profondément que je sens le haut de ses cuisses percuter mes petites fesses. J’ai pris entièrement ses 23 cm !

— Tu es fait pour ce métier ! C’est bien la première fois qu’un puceau encaisse la totalité de mon sexe.

Elle se met alors à me pilonner. L’huile qui a coulé dans mon dos a rendu la surface de la table glissante et Sasha est si puissante que j’ai peur d’être éjecté. Elle saisit alors ma taille de guêpe dans ses mains et me retient fermement pour que je ne rebondisse pas. A chacun de ses coups de rein, ses cuisses musclées percutent brutalement mon petit séant qui rougit comme si on était entrain de le fesser. Mon bas ventre fourmille de plaisir. J’affiche un sourire béat qui encourage la géante à me secouer encore plus violemment. Je ne comprends pas ce qui se passe en moi, comment est il possible de prendre du plaisir de cette manière ? Sasha ralentit un peu le mouvement. Elle se couche un peu sur moi et passe ses bras sous mes jambes de manière à ce que le creux de ses coudes soient sous mes genoux. Ses mains viennent saisir mes bras sous les aisselles. Comme si je ne pesais rien, elle se redresse, me maintenant toujours empalé sur son dard et soutient tout mon poids de ses bras puissamment musclés. Je me laisse manipuler avec grand plaisir comme si je n’étais qu’une vulgaire poupée gonflable. Les abdominaux de Sasha sont contractés comme jamais. Ses biceps sont si gonflés qu’ils paraissent plus gros que mes cuisses. Elle se met alors à me faire coulisser sur son chibre. Je n’ai jamais ressenti de telles sensations. Je ne pensais même pas que c’était possible d’abuser du corps d’un homme aussi facilement. Mon petit sexe s’est dressé et Sasha s’en félicite.

— Good boy ! Your clit is hard now. You are my toy, tiny bitch ! Let me lift and fuck your skinny sissy ass !

C’est donc ça le lift and fuck ! Pendant que la belle psalmodie d’une voix rauque en anglais, elle me secoue de haut en bas si violemment que je perds la notion du temps et de l’espace. Tout mon esprit est concentré sur la sensation si agréable de sa bite qui me laboure les entrailles. Des ondes de plaisirs rayonnent d’un point que je situe pas très loin de mon anus, à tel point que je finis par exploser de plaisir. J’éjacule si puissamment que les jets atteignent mon visage, et je finis même par avaler mon propre sperme, couinant comme une pucelle.

— Nasty little boy ! You are definitely a bottom ! I will play with your pussy til I cum inside your fucking tiny ass hole !

Je suis secoué à la fois par mon orgasme et par Sasha, qui n’en finit pas d’augmenter la fréquence de son pilonnage, jusqu’à ce qu’elle se fige et qu’elle exprime son plaisir dans un râle rauque sortant de sa gorge sur laquelle de grosses veines se sont gonflées sous l’effort titanesque qu’elle vient de fournir. Je sens d’innombrables giclées d’un sperme épais inonder si abondamment mon intérieur que le liquide finit même par ruisseler entre mon anus hyper dilaté et la bite de la géante d’ébène. Je vibre en même temps que l’orgasme tend tous les muscles de l’amazone. Je ne l’ai jamais vu aussi impressionnante. Je regarde machinalement au plafond et ne m’étais pas rendu compte jusqu’à présent qu’il était recouvert d’un miroir. Je vois mon corps chétif et pâle, toujours empalé sur le chibre, tenu en l’air pas les bras musclés de la géante noire qui halète de plaisir. Mon visage est recouvert de mon sperme, comme ces fameuse blondes auxquelles le traitement brutal de Sasha m’a forcé à m’identifier. Je suis fasciné par cette image, et n’éprouve à ma grande surprise, aucune honte, comme si c’était ma place.

D’un dernier coup de rein, l’amazone me replace sur le plan de travail et retire de mon cul son chibre qui n’a encore rien perdu de sa vigueur. Je sens du sperme couler de mon fion en même temps qu’une sensation de courant d’air envahie ma rondelle. Sasha me regarde en souriant, tentant de reprendre son souffle.

— Quel pied ! Et tu as même joui sur ton joli visage ! Tu es fait pour ça ! Laisse moi prendre une photo.

La géante saisit son portable, prends une photo sans même que j’ai eu le temps de m’y opposer et se rapproche de moi pour me la montrer. Je n’en reviens pas ! J’apparais telle une ribaude sur laquelle une compagnie de soldats se serait soulagée, allongé sur le dos, totalement nu, les jambes écartées, et surtout l’anus aussi dilaté que la porte des étoiles, duquel s’écoule abondamment du sperme. Mes fesses sont luisantes d’huile et rouges des coups de boutoirs de l’amazone.

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