Une sensation étrange me tire de mon sommeil réparateur, je sens des attouchements et du mouvement près de moi.
J’ouvre les yeux, la chambre est assez sombre, rideaux tirés mais je distingue deux silhouettes autour de moi et des mains sur mes cuisses et entre elles…
J’entends une voix grave, Marc, ta petite pute se réveille…
J’ai un mouvement de recul et j’essaie de serrer les cuisses ; la même voix dure : doucement salope, ne résistes pas ou tu auras mal, laisse-toi faire.
Je me calme un peu, d’autant que d’autres mains s’occupent de mes tétons encore sensibles et que cette exquise douleur m’excite malgré moi.
Je me rends compte quil y a l’homme qui m’a attiré chez lui et m’a baisé et un autre, plus massif, la cinquantaine costaude qui me tripote sans ménagement le sexe et les couilles tout en me maintenant les jambes écartées.
Tu vas voir comme on va bien s’occuper de toi, et toi tu vas t’occuper de nos queues et tu as intérêt à nous faire jouir, sinon tu seras battu.
Je comprends que je suis entre leurs mains et qu’il va falloir que j’obéisse, j’avoue que d’un autre côté la situation m’excite, savoir qu’ils apprécient mon corps et que je les fais bande r me fait de l’effet et je commence à gémir, autant par les tétons que par la main sur mon sexe qui me font céder.
Armand, a toi l’honneur moi je l’ai dépucelé et élargi, profites en ta grosse queue aura moins de mal mais doucement, la salope n’est pas encore trop dilatée, je vais chercher un Popper…
Le nommé Armand me lâche et ouvre sa braguette, il en sort un long serpent encore souple mais déjà impressionnant, j’en reste sans voix ne pensant même pas à ce qui va m’arriver.
Il prend ma tête entre ses mains et me dispose sur le bord du lit, tête pendante sous son sexe qui effleure mon visage.
Allez petite suce-moi, fais-moi bien durcir et tu as intérêt à ce que je ne sente pas tes dents, sinon je t’explose le cul.
J’arrive à peine, bouche distendue à prendre dans ma bouche cet énorme morceau de chair et me souvenant de ce que j’avais déjà fait à l’autre, je le pompe du mieux que je peux tout en lui agaçant le gland avec ma langue que je fais tourner autour.
Son pieu de chair commence à grossir entre mes lèvres et ses mains ont rejoint mes tétons qu’il pince et étire me faisant gémir mais empêchant mes cris, bâillonné par sa queue.
J’ai honte d’avouer que cet assaut de peur, de caresses, de douleurs exquises et d’humiliation m’excite maintenant au plus haut point, il s’en aperçoit voyant les mouvements involontaires de mon bassin.
Dépêche-toi Marc, cette petite salope est prête et obéissante…
Une main s’insinue, elle tient un petit flacon sous mes narines, respire à fond ça t’empêchera d’avoir mal, je m’exécute.
Une sensation étrange m’envahit, je suis à la fois excité et j’ai oublié toute crainte, j’ai juste envie que ça ne s’arrête pas.
Tout en continuant de sucer la grosse queue qui me distend la bouche, je sens entre mes fesses des caresses, puis elles sont écartées et le liquide froid que j’avais déjà senti avant d’être pris coule, des doigts s’insinuent dans mon anus dilaté sans doute par le produit puisque j’entends, ça y est je l’ai ouvert avec trois doigts, tu peux baiser cette pute.
La queue se retire de ma bouche et je suis disposé sur le dos, un coussin me force à me cambrer et l’homme se place entre mes jambes, je vois son énorme sexe tendu a fond.
Marc, tiens le, je vais le défoncer
Il me prend les chevilles et les pose sur ses larges épaules, son sexe se pose sur mon petit trou et il pousse, l’autre me maintient et il pousse, il pousse.
Je sens une petite douleur puis comme si une barre brulante m’envahissait, d’une ultime poussée il s’enfonce en moi jusqu’à ce que je sente ses couilles rêches frotter sur la peau délicate de mes fesses.
Apres un petit temps d’arrêt il commence de puissants va-et-vient et je gémis, malmené mais comblé, marc, bâillonne-le il va sûrement gueuler.
Il me lâche comprenant que je ne vais pas me dérober et sa queue plus modeste se pose sur ma bouche et ne tarde pas à y entrer, me bâillonnant, je bave dessus complètement excité par tout ce qui m’arrive.
S’en suit de longs moments de baise débridée, chacun envahit à tour de rôle ma bouche et mon cul, me tripotant durement couilles, sexe et tétons, parfois lents et puissants mouvements, parfois des coups de reins rapides qui me rendent complètement accroc…
Et puis, l’apothéose, je suis rempli par leur jus brûlant en même temps que je jouis, comme un ballet bien réglé et ils se retirent, essoufflés ; moi je gis sans force sur le lit, défoncé mais comblé, dégoulinant de sperme.
Nous restons sans voix un bon moment et je suis même reparti un peu dans le sommeil tellement j’ai été assailli de sensations extrêmes qui m’étaient inconnues il y a peu.
Ils me font lever et me mettent sous la douche, je me laisse faire et me retrouve lavé et rhabillé, encore assez épuisé.
Tu es bonne tu sais, ils me roulent chacun un patin leurs langues s’enroulant autour de la mienne.
Tu reviendras j’espère, on a encore beaucoup à t’apprendre.
Comme je leur explique que je pars dans le midi demain en stop ils me disent qu’ils ont un ami routier qui y part demain et qu’ils vont lui demander de m’emmener
Je m’en réjouis, ils doivent le voir ce soir, vont le prévenir et me donne son adresse, sois y demain vers 7h il t’attendra.
Je repars, un peu flageolant, que de sensations et de nouveautés pour moi, je n’en suis pas encore revenu…
