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Le réveil des sens – Chapitre 7




Tôt dans la matinée, mon mari étant parti travailler, en retard d’ailleurs car il n’a pas pu échapper à mes caresses dont il m’a remercié d’ailleurs par une formidable éjaculation, Claudine me téléphona pour nous inviter, ma fille et moi, pour un après-midi coquin. J’avais d’autres idées en tête aussi je déclinais l’invitation sous un prétexte plus ou moins vaseux. Je trouvais le temps long, le mari au boulot, la fille en classe, me remémorant les merveilleux instants de cette nuit et de ce matin et n’ayant pas voulu, faute de temps, qu’il me rendît la pareille, j’ai bien pensé me satisfaire seule mais, le programme que j’avais concocté ne me permettait pas de gaspiller mes forces. Pour chasser cette envie qui me tenaillait, je fis une longue sieste.

Ma fille rentra vers 16 heures 30, m’embrassa sur la bouche en me caressant la poitrine.

— Quelle affreuse journée, me dit-elle, je n’ai fait que penser à nous et j’attendais mon retour à la maison avec impatience pour te serrer dans mes bras en espérant que tu t’occupes de ma petite chatte qui est affamée.

— Il faudra attendre un peu ma Chloé adorée, répondis-je en me dégageant de son étreinte, je suis certaine que tes vicieuses pensées de la journée n’ont pas été suivies d’une petite branlette vite fait dans les toilettes de l’école.

— On ne peut rien de cacher, tu as raison, je n’ai pas résisté mais ce n’était pas dans les toilettes mais en classe mais discrètement sois rassurée.

— Personne ne t’a vu ?

— A part Anne qui est à la table voisine non, personne ne s’en est aperçu.

— Comment t’y prends-tu ?

— Tu veux savoir ? Tiens, passes ta main dans la poche de mon pantalon.

Je fis ce qu’elle demandait et là, surprise, la poche était percée.

— Tu vois c’est facile de se faire une petite gâterie en plein cours. Anne aussi à une poche décousue et souvent, par un petit signe de connivence, nous entamons une masturbation simultanément. Le plus difficile est de ne pas se manifester trop bruyamment au moment de la jouissance.

— Bon arrêtes de me parler de masturbation et de jouissance, cela me trouble l’esprit et le reste aussi d’ailleurs.

— Mais ma petite maman chérie, je ne demande qu’à te soulager.

— S’il-te-plait, ne me tentes pas, vas dans ta chambre, sois sage et ne redescends que dans une heure.

— Une heure ? C’est long, je ne sais pas si j’aurai le courage d’être sage.

Chloé partie, j’attendis le retour de mon mari. Il était 17 h 15 lorsqu’il arriva. Comme me fille, il m’embrassa et me pelota la poitrine mais au contraire de tout à l’heure, je ne me suis pas soustraite à ses caresses et même, je passais la mais sur sa braguette et, presque aussitôt, les effets se firent sentir car il se mit à bander. Je l’entraînais sur le canapé, ouvrais son pantalon et extrayais sa longue bite raide et dure. Il voulut glisser une de ses mains entre mes cuisses mais je l’en empêchais.

— Après mon chéri, après, laisses-moi me concentrer sur ton plaisir. Fermes les yeux et parles moi, dis-moi ce que tu ressens, ce qui te ferait plaisir.

Mon mari ferma les yeux.

— Je sens ta main qui m’enserre la queue, tes doux va-et-vient, ton autre mains qui me caresse les couilles, qui remonte vers mon gland, Mylène chérie, c’est divin, je vais… je vais…

— Non, attends dis-je en ralentissant mes caresses, pas encore, parles-moi de tes envies, toutes tes envies, même celles que la morale réprouve.

— J’aimerai que notre fille soit là, qu’elle nous regarde, qu’elle me montre sa petite chatte, qu’elle se branle, elle aussi. J’aimerai aussi, comme nombre d’hommes, voir deux femmes faire l’amour. Mylène, n’arrête pas je vais venir, continue, continue…

— Ouvre les yeux mon amour.

Mon mari ouvrit les yeux et devant lui, Chloé, pantalon et culotte sur les chevilles, se branlait. A cet instant il aurait voulu disparaître mais c’était trop tard, il éjacula une quantité impressionnante de foutre.

— Ton premier vou est exaucé mon chéri maintenant voici le second.

Je me suis agenouillée devant ma fille et remplaçais ses doigts par ma langue.

— Ma fille, ma femme, elles se… Elles se…

— Oui papa, Maman et moi on se donne du plaisir et, que tu sois là à nous regarder, ajoutes encore plus de piment à notre relation incestueuse.

— Et avec Anne alors, c’est terminé ?

— Non. Tu sais papa, on peut très bien aimer, sexuellement j’entends, plusieurs personnes à la fois. Regardes, en ce moment, j’aime maman qui me suce divinement et je pourrai te caresser le sexe aussi et si Anne était là, je pourrai la branler en même temps.

J’arrêtais un instant de lécher Chloé et me retournant vers mon mari, la bouche couverte de mouille et persuadée qu’il était prêt maintenant à tout voir et à tout entendre, je lui dis :

— Non seulement notre fille pourrait faire tout ce qu’elle vient d’énumérer mais à son palmarès et au mien par la même occasion, il y a encore Claudine, la mère d’Anne qui, au point de vue cul, nous bat tous à plate couture.

Mon mari était abasourdi, toutes ces révélations en même temps !

— Alors toi aussi Mylène, avec Anne et sa mère ?

— Oui et toi maintenant. J’avoue que l’arrivée d’une queue dans notre harem de chatte n’est pas pour nous déplaire. N’est-ce pas Chloé.

Chloé ne répondit pas de suite car, pendant que je parlais, mes doigts qui avaient remplacés ma bouche, faisaient leur effet et, quand je lui ai titillé le clito, Chloé se mit à jouir intensément. Elle mit quelques minutes à refaire surface.

— Papa, ta bite est redevenue grosse, maman je peux ? Papa tu veux ?

— Si maman est d’accord je le suis aussi répondit mon mari.

— Bien-sûr que je suis d’accord sinon je n’aurais pas organisé cette mise en scène. Vas-y ma fille, donne du plaisir à ton père.

Chloé se précipita sur la queue de son père.

— Mon dieu qu’elle est grosse déclara-t-elle, dis-moi papa comment il faut que je fasse.

— Tu vois dit-il en me montrant le bout de sa bite, là c’est le gland, c’est la partie la plus sensible surtout la base et le filet, tu vois cette attache qui relie le gland à la peau mobile. Non ne le touche pas encore, c’est un peu comme ton clito qui, je l’ai très vite constaté, est très développé et très sensible. Commence des va-et-vient avec la peau. Tu recouvre le gland puis le dégage jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus descendre. Oui, comme ça, tire un peu moins fort, c’est ça, remonte maintenant, redescend, oui tu me fais du bien, tu apprends vite.

— Pendant que tu branles ton père ne pourrais-tu pas t’occuper un peu de moi ? Vous avez tous deux pris du plaisir, il n’y a plus que moi qui suis resté sur ma faim.

  Inutile de vous dire que, ma fille d’abord, mon mari ensuite, lorsque Chloé l’eut fait éjaculer en étant très fier d’avoir réussi à faire jouir un homme pour la première fois puis enfin, les deux en même temps, se sont démenés pour me déclencher jouissance sur jouissance. Jamais je n’aurai cru pouvoir avoir autant d’orgasmes en si peu de temps. J’avais l’impression de jouir en continu. Le soir venu, vous comprendrez qu’après un repas modeste, nous avons, tous les trois, dormi comme des loirs.

Le lendemain matin, mon mari qui se levait le premier, me rendit une courte visite dans notre chambre, glissa une main entre mes cuisses.

— Prends en bien soin. Je l’aime ta chatte.

— Et celle de Chloé aussi j’espère.

— Bien entendu, je sors d’ailleurs de sa chambre, je lui caressé aussi la chatte.

— Comme tu viens de le faire avec la mienne ?

— Oui, mis à part qu’elle, elle a joui tout de suite. Je la soupçonne d’avoir commencé à se branler avant que je n’arrive.

— A ce soir mon chéri. Je vais essayer de dormir encore un peu, à moins que…

    Je laissais volontairement ma phrase en suspend. Il pouvait ainsi imaginer plein de chose comme, par exemple que je me masturberais seule ou bien que j’irai rejoindre ma fille que ce soit elle qui me caresse.

Il était presque midi lorsque Claudine m’appela.

— Ce n’est pas chic Mylène, après ce qu’Anne vient de me dire au téléphone, que ton mari, ta fille et toi avaient pris du bon temps sans me convier à votre fête, non ce n’est pas gentil ça !

— Chloé n’a pas su tenir sa langue à ce que je vois. Je ne lui en veux pas. Je comprends son impatience à raconter sa première aventure avec un sexe d’homme.

— Ta fille a fait un récit détaillé à la mienne juste avant de rentrer en classe aussi elles ont été, Anne surtout, à peine assises à leur place, obligé d’utiliser leurs poches percées. Tu connais le principe je crois ?

— Oui, je connais ce principe depuis peu Chloé me l’a expliqué. Je trouve que c’est astucieux et je pense que je ne vais pas tarder à en faire autant sur mes pantalons. Et toi tu t’en sers déjà je suppose ?

— Oh oui et quand je me suis retrouvée seule, que j’avais été prise, comme je te l’ai déjà dit, d’un besoin irrépressible de me masturber souvent, j’utilisais la poche percée n’importe où, même en public et c’est surtout entourée de monde que j’avais les plus grandes jouissances.

— Elles sont gonflées nos filles, tu ne crois pas ? Elles se feront pincées un jour ou l’autre, c’est certain.

— Mais c’est déjà fait ajouta Claudine.

— Quoi ! Quand ! Et par qui ! m’écriai-je.

— C’est Anne qui s’est fait prendre par sa prof de français. Lors d’une interro, Anne n’avait pas d’inspiration et rêvassait. Bien sur ses pensées se dirigèrent vers le sexe et l’excitation fut telle qu’elle utilisa la poche trouée pour se soulager mais ses mouvements furent repérés par la prof car, à la sortie du cours, elle demanda à ma fille de rester.

— Elle lui a passé un savon et l’a menacée d’une sanction ?

— Et bien non, à son plus grand étonnement elle lui a juste demandé de me rencontrer.

— Le lendemain, à l’heure convenue, je me rendis au lycée, la peur au ventre. Elle m’attendait non loin de l’entrée et me dit :

— Vous êtes madame Claudine X, bien, suivez-moi et allons à l’infirmerie, à cette heure il n’y a plus personne.

Je la suivis. Elle devait avoir la cinquantaine, très mince, maigre même, pas de cul, pas de poitrine, les cheveux en chignon, un visage anguleux, sans grâce. Seuls ses yeux d’un bleu très pale, pouvait fasciner. Un regard qui vous donnait des frissons. Une fois entrées, elle verrouilla la porte.

— Nous seront tranquille ainsi dit-elle pour justifier la fermeture du verrou. Bon, savez-vous pour quelle raison je vous ai convoqué ?

— Oui, Anne me l’a dit.

— Ah, répondit la prof surprise, C’est pourtant un sujet intime.

— Depuis mon veuvage, Anne et moi nous nous disons tout.

— Même sur votre vie sexuelle ?

— Oui, nous ne nous cachons rien

— Ainsi vous saviez que votre fille se masturbait en classe ?

— Qu’elle se masturbait oui, en classe non.

    Une fois de plus la prof fut étonnée par ma réponse. Je ne lui avais certes pas dit toute la vérité, je n’allais quand même pas lui avouer que nous nous masturbions l’une l’autre et plus également.

— Elle sait aussi que moi-même, me retrouvant seule, j’ai recours à la masturbation pour me soulager.

— Vous n’avez pas songé à vous remarier ou, tout du moins, prendre un nouveau compagnon ?

— Non, d’ailleurs qui voudrait de moi ? Vous avez vu mon physique ?

— Votre visage est très avenant dit la prof pour être polie.

— Mais le reste, regardez, qui voudrait d’une grosse dondon comme moi ?

— Je sais ce que vous ressentez, moi-même, je n’ai pas un physique qui attire les hommes.

— Vos yeux sont magnifiques répondis-je pour lui rendre la politesse.

— Peut-être mes les hommes se soucient peu des yeux, ils préfèrent caresser le corps et, pour cela, il faut être un peu moins maigre.

— Vous n’allez pas me dire que vous n’avez jamais connu d’homme ?

— Et bien si, je suis encore une demoiselle, enfin, plutôt une vieille fille. Pourtant mon corps n’est pas insensible, au contraire il est hypersensible et cela m’empêche d’avoir une vie équilibrée.

— Comment cela interrogeai-je ?

— Pour vous résumer il faut que je remonte à mon adolescence. J’étais, à cause de mon physique ingrat, le vilain petit canard et mes soit disant copines se servaient de moi pour assouvir leurs pulsions. Aussi, très souvent, je me retrouvais le cul nu et les autres filles me caressaient le minou en faisant des commentaires plutôt salaces, tels que : « Tu as vu sa chatte, elle est poilue comme celle d’une guenon, regardez son clito comme il est gros et elle mouille la salope ». Je me laissais faire sans rien dire, non pas par peur de leur déplaire mais parce que j’y trouvais beaucoup de plaisir. A chacun de leurs attouchements je jouissais mais je ne laissais rien transparaître. Je pouvais, suivant la durée de leur « torture », avoir 3 ou 4 orgasmes.

— Jamais vous ne vous êtes révoltée ? demandai-je un peu excitée en imaginant la scène.

— Non, jamais, inconsciemment je devais aimer cela car, toutes les fois où mes camarades me laissaient tranquille, je me masturbais 2 à 3 fois par jour.

— Et quand vous êtes devenue jeune femme ?

— J’ai continué à me satisfaire seule.

— Au même rythme ?

— A peu prés, suivant mon humeur du moment.

— Et maintenant ?

— J’ai atteint la cinquantaine et rien n’a changé.

— Vous vouez dire que vous vous masturbez toujours autant ?

— Oui, et puisque nous en sommes aux confidences, j’avoue que l’autre jour, lorsque j’ai surpris votre fille, j’ai eu, moi aussi, une envie terrible de faire la même chose. Malheureusement mon statut de prof m’en a dissuadé, j’ai du attendre d’être rentrée chez-moi et ce soir-là, j’ai un peu honte de vous le dire, mais j’ai pris un immense plaisir en m’imaginant à la place d’Anne et me masturbant en plein cours.

— Pourquoi me racontez-vous tout cela, à moi ?

— Parce que j’ai senti que je pouvais le faire, que vous avez l’esprit ouvert, sachant que votre fille et vous parliez librement de sexualité, en un mot, que vous ne me jugeriez pas. Je vous avoue que je vous avais convoqué pour que vous sachiez et que vous sermonniez votre fille mais, votre franchise m’a quelque peu désarçonnée et j’en ai profité pour me soulager d’un lourd secret.

— Madame, votre confiance m’honore. Je vous assure que cela restera entre nous.

— A ce moment du récit de Claudine, je l’interrompis.

— Puisque tu avais promis de ne le divulguer à personne, pourquoi m’en parles-tu ?

— Mais toi Mylène, tu n’es pas n’importe qui et je voulais te rassurer sur le fait que nos filles, au fond, ne craignent pas grand chose en se branlant en classe, surtout si tous les profs ou tout du moins une grande partie d’eux ont la même mentalité que la prof de français.

— Alors, après cette discussion tu es rentrée chez toi ?

— Bien-sur que non, ce serait trop simple. Je voyais que son récit l’avait émoustillé et moi aussi par la même occasion aussi je voulus la provoquer et ma provocation alla bien plus loin que ce que je m’étais imaginée.

— Raconte ! Vite !

— Je me suis approchée d’elle et j’ai entour é ses épaules de mon bras. Elle a posé alors sa tête sur mon épaule en sanglotant. Je la rassurais en lui disant : « Cela vous ferait-il plaisir si nous retournions au temps de votre adolescence ? ».

— Oh oui, dit-elle d’une petite voix, mais comment ?

— Simplement en faisant comme à l’époque, tu vas enlever ta culotte !

    J’étais passé volontairement au tutoiement, d’un ton assez sec, pour la replonger dans le contexte de l’époque.

— Non madame Claudine, non pas ça.

— Tu veux que je me fâche ? Allons montre-moi ton cul et ta chatte !

La prof s’exécuta. Soulevant sa jupe jusqu’au dessus des hanches. Surprise, elle n’avait pas de culotte.

— Tu te ballades toujours comme ça demandai-je.

— Oui, très souvent. Quand j’ai une envie subite c’est plus commode.

— Une envie subite de quoi ?

— Envie de me… masturber.

— On dit branler, allez répète et montre-moi.

— Quand j’ai envie de me branler.

— En classe aussi ça t’arrive ?

— Parfois

— Tu t’es branlée quand tu à vu ma fille le faire ?

— Oui, j’en avais tellement envie, comme maintenant. S’il vous plait, madame Claudine, branlez-moi.

    J’ai alors regardé son sexe ? Entre ses maigres cuisses il paraissait monstrueux, fait de grosses lèvres énormes desquelles pendaient des petites lèvres hypertrophiées, d’où s’échappait un important flot de mouille, un clitoris qui ressemblait à une petite bite que j’eus très envie de toucher et qui prit encore du volume en raidissant sous ma caresse. Je n’avais jamais vu une telle chatte.

— Vous savez, madame Claudine, vous êtes la première personne à me toucher. J’en rêvais depuis si longtemps.

— Tu n’as jamais trouvé un ou une élève ou bien un ou une collègue, durant toute ta vie d’enseignante, qui aurait aimé te faire ce que je suis en route à te faire. Mais quelle chatte tu as ? Moi qui croyais avoir une vraie chatte de branleuse, tu me bats à plate couture ! Tu dois employer tout tes loisirs à te branler ma parole.

— Oui, je ne fais que ça ? Chez moi j’ai une collection de revue, de film pornos, des godes de toutes les tailles. Mais avec vous, votre main, vos doigts c’est encore meilleur. Allez-y, pénétrait-moi, oui comme ça, encore un doigt, encore un …Ahhhhh.

    Ma main était rentrée entièrement. Je la pistonnais pendant qu’elle s’occupait de son clito.

— Allo, Mylène, tu es encore au bout du fil ? Ah oui j’entends ton souffle. Ma parole on dirait que tu es en train te caresser ?

— Comment veux-tu que je reste passive avec ce que tu me racontes ? Si je comprends bien la prof à pris un pied monstre quand tu l’as fistée ? Et elle ! J’espère qu’elle t’a rendu la pareille parce-que tu devais être excitée ?

— Et bien non, quand elle eut joui de tout son saoul, elle m’a regardé drôlement, comme si rien ne s’était passé et même parut-elle surprise de se trouver là, le ventre à l’air. C’est tout juste si elle ne s’est pas offusquée lorsque je me suis branlée devant elle.

— Bien fit-elle en se levant, pour votre fille je passe l’éponge mais qu’elle ne recommence pas puis la prof déverrouilla la porte de l’infirmerie et sortit très dignement. J’ai eu la nette impression qu’elle m’avait mené en bateau depuis le début, qu’elle devait servir les mêmes salades à d’autre femme ou peut-être à certaines élèves. La seule chose sur laquelle elle n’avait pas menti je crois, c’est qu’elle devait se branler ou se faire branler, chaque jour, un incroyable nombre de fois. Et toi Mylène, où en es-tu ?

— Au point mort ! Ton récit s’est achevé trop tôt mais ce n’est pas grave, mon mari et Chloé rentrent dans très peu de temps.

— Anne ne va pas tarder non plus répliqua Claudine, mais je crois que je vais commencer maintenant toute seule je pense que ma fille sera contente de me trouver, cuisses ouvertes avec la main dans la chatte.

Lorsque mon mari revint du travail, je ne laissais pas respirer et après un long baiser, je lui mis la main à la braguette.

— Tu bandes mon chéri, c’est à moi que tu pensais en revenant du boulot ?

— Pas exactement, c’est ma collègue, tu sais Micheline, elle avait des problèmes de voiture et m’a demandé de la ramener chez elle. Tu la connais, malgré ses 60 balais, elle s’habille toujours comme une jeune fille, jupe ultra courte, corsage décolleté et j’avoue que de la voir là, assise à mes côtés, sa jupe au ras de la moule, j’ai pensé à toi et à ta chatte surtout que cette salope de Micheline n’arrêtait pas de faire des effets de jambes. J’avais bien du mal à me concentrer sur ma conduite. Je me mis à bander et je voyais le regard de ma collègue dirigé vers ma braguette tout en se passant la langue sur les lèvres.

— Tu n’as rien tenté ?

— Et bien non, je ne t’ai jamais trompé, ce n’est pas maintenant que nos relations se sont améliorées, que je vais le faire.

— Tu sais mon chéri, les délires sexuels ne sont pas vraiment une tromperie, d’ailleurs ne nous sommes pas tous les deux trompés en incluant notre fille à nos jeux ?

— Ce n’est pas la même chose, ça reste en famille.

— Et si je te disais que ça me plairait que tu dragues ta Micheline et si tu ne veux pas me tromper vraiment, tu n’as qu’à me laisser participer. Ca me plairait aussi de lui bouffer la chatte pendant que tu la baises.

— Je ne te savais pas aussi vicieuse ma Mylène adorée mais j’avoue que ta proposition est tentante en attendant occupes-toi de ma queue.

— Et toi de mon minou.

Alors que nous étions en pleine séance de caresse, Chloé rentra, nous vit et en un tour de main se retrouva dénudée.

— Doucement les amoureux, dit-elle, attendez-moi, j’ai du retard.

    Nous avons cessé un instant de nous caresser pour nous occuper de notre fille et nos efforts conjugués ne tardèrent pas à faire leur effet et elle se mit à jouir en poussant des cris de bête. Pendant que Chloé refaisait surface, mon mari et moi allions reprendre nos caresses mutuelles quand, la main de Chloé s’empara de la bite de son père et l’autre s’occupa de ma chatte. Notre fille eut vite fait de nous conduire vers une délicieuse jouissance.

— Dis-moi papa, tu aimes la fellation ? A toi, maman je ne te demande pas si tu aimes le cunnilingus, je connais ta réponse.

— Je n’en sais rien ma fille, jamais personne ne me l’a fait.

— Quoi, s’écria Chloé ! On ne t’a jamais sucé ?

— Non, personne.

— Même pas maman, ajouta-t-elle en se tournant vers moi.

— Non, répondis-je, je n’ai jamais osé bien que j’aurai aimé essayer comme j’aurais voulu que ton père me fasse un cunni. mais, à notre époque, nous étions persuadés que seules les prostituées faisaient de telles choses.

— Papa, je peux essayer ?

— Pourquoi pas mais, tu peux le constater, ma queue n’est plus en état.

Malgré sa réponse, Chloé pris la bite molle de mon mari en bouche et la nouveauté de la chose le refit bander très vite. Chloé mettait une telle ardeur à sucer son père que j’eus envie, moi aussi, d’y gouter. Ainsi, pendant cinq bonnes minutes nous nous sommes partagées sa bite et c’est dans ma bouche qu’il cracha son sperme au grand dam de notre fille qui se contenta de la nettoyer.

— A moi maintenant criai-je en m’allongeant et en écartant les cuisses.

— A nous dit alors Chloé en prenant la même position. J’espère, mon papa chéri, que ta langue ne se fatiguera pas trop vite.

Le repas du soir vite avalé, nous nous sommes couchés repus, les sens au repos. Avant de m’endormir je me dis que ma fille devait être au courant de l’épisode où Anne s’était faite gauler par sa prof en train de se branler pendant son cours ; Je me promis donc de lui en parler dés demain matin.

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